S uikerfaforieken
Arthur van Vormezelb.
Thé&tre d'Ypres.
Propaganda.
UN MONSIEUR rfiTo
A propos de religions.
L'Abbé Constantin,
Les Vieilles Gens,
Depuis lors, le service de la Justice
se trouve complètement entravé. Le
greffe est fermé ainsi que le parquet.
Aucune pièce n'a pu être emportée
La mesure prise par le Bourgmestre
est done des plus graves
En attendant, une administration
charitable a bien voulu off'rir l'hospi-
talité a la Justice en détresse.
Les audiences civiles et commercia-
les se tiennent a la salie des délibéra-
tions de l'administration des Hospices.
Le service des audiences correction-
nelles est suspendu.Quant aux Justices
de paix, qui, elles, sont a charge de la
ville, elles sont provisoirement logées
a l'Hótel de Vilie.
La situation est done des plus étran-
ges elle est sans precedents dans la
jurisprudence judiciaire et adminis
trative et elle donnera lieu a des con-
séquences déplorables nullités, frais
multiples, etc., etc.
A qui en incombera la responsabili-
té Nous ne le savons.
Et dire que toute cette mise en scè
ne pourrait bien constituer la plus
vaste des comédies Heureusement
que M. Surmont est un clérical
P. S. Nousapprenons a la dernière
heure que les greffiers du Tribunal et
des Justices de paix ainsi que les
employés du Parquet seront admis a
reprendre les pièces les plus nécessai
res a la marche des affaires. Les scellés
seront done momentanément levées
aujourd'hui.
De schandalen welke deze laatste
dagen overal, in gansch België uitge
broken zijn in de suikerfabrieken,
werpen een treurig licht op de boeren-
exploiteerders.
Hoe hebben deze gehandeld
Dat ware aantrekkelijk na te gaan.
Te "Waasten stichtten de klerikalen
eene suikerfabriek en ze riepen
Wij zijn uwe redders. Boeren, plant
beeten
De boeren plantten beeten.
Doch, wat gebeurde er
Boeren hebben hun beeten moeien
laten rotten op het veld.
Boeren hebben spotprijs gekregen.
En ze klagen met reden.
Gansch de exploitatie ligt in de kon
tra kten.
Door men worden de kontrakten op
gesteld
Door de fabrikanten alleen.
De verkoopprijs is daar.
De fabrikant komt om te koopen en
geeft een gedrukte formuul af. Daarop
staan alle voorwaarden. Andere voor
waarden kent men niet. De boer moet
buigen of breken. Verkoopen of laten
staan. Exploitatie of niets. Minderen
prijs of verrotting.
En wie heeft de kontrakten opge
steld
De suikerfabrikant met zijn collegas.
De boer met zijn kapitaal beeten
komt er voor geen artikeltje tusschen.
Hij is de dreumes, de zweeter die moet
zwijgen, die zich moet laten foppen,
die geldelijk moet marcheeren zooals
de knecht van den fabrikant de werk
ossen uit de fabriek behandelt.
Hier weer verplettert het kapitaal
den werkman. Waar de belangen van
twee 'partijen op t spel staan, moeien de
twee partijen ook recht van spreken en reke
nen hebben.
Zoo gaat het in de beeten kontrak
ten. Alles ten voordeele van den fabri
kant. Niets ten voordeele van den
boer. En nochtans is de fabrikant de
eenige aandeelhouder der fabriek niet;
hij levert het kapitaal maar de boer
levert ook het kapitaal beetwortels.
De fabrikant die handelt als te Waas
ten verwaarloost dus het kapitaal van
den boer dat even zooveel gevaren en
zooveel op- en afslag kan ondergaan en
bijgevolg even zooveel verlies, maar
ook even zooveel winst moest krijgen
als het fabrikanten kapitaal.
Waarom wordt de fabrikant zoo mis
trouwd Omdat hij het verdient in 't
algemeen. Wij, progressisten, wij wil
len niet dat verdenkingen berusten op
eerlijke lieden, wij willen niet dat
door de exploitatie der kapitalisten het
volk iu 't harnas gejaagd worde tegen
den fabrikant omdat hij fabrikant is.
Wij, progressisten, wij willen verzoe
ning, wij willen eerlijkheid, wij willen
rechtvaardigheid.
Dat willen de exploiteerders niet.
Zij willen den boer als vee behande
len, zij willen den boer uitzuigen en
zoo stichten zij haat.
Arbeid en zweet zijn zoo wel kapi
taal als het vijffrankstuk. De haat te
gen rijkdom en geld moet een einde
nemen, en daarom moeten rijkdom en
geld ook hun plichten begrijpen.
Dat middel van rechtvaardigheid
ligt in de kontrakten, opgesteld door
de 2 kapitalen, het arbeidkapitaal en
het geldkapitaal.
Hoe dat middel bereiken
Dat gaven wij op in ons vorig arti
kel.
Vereeniging
Geen politieke vereenigingen.
Boeren vereenigingen.
Trekken de boeren één koord, dan
moet de fabrikant toegeven.
En vooral, boeren, geen heeren als
aanvoerders. Boerengeen politieke
om-den-tuin-leiding
De vereeniging lost dit vraagstuk op.
Doch, er is een groot gevaar. En dat
gevaar is
Dat in stede van beetwortelspolitiek,
de heeren van zekere Volkshuizen bij
u indringen en u dwingen te dansen
gelijk zij fluiten. Want die heeren zijn
aandeelhouders der fabriek en vrien
den der aandeelhouders, en zoo gij
niet oppast, wordt gij bedrogen in uw
eigen syndikaten welke gij oprichtet
juist om niet verpletterd te worden
door fabriekanten en aandeelhouders.
L'enseignement de l'histoire du peu-
ple, tel qu'on le comprend actuelle-
ment a le défaut de passer trop rapide-
ment sur l'étude des nations qui
n'habitèrent point l'Europe. Limitée
par des bornes aussi resserrées, elle
tend a nous donner de l'humanité une
idéé beaucoup plus étroite et Ton ne
s'étonne plus dans ces conditions d'en-
tendre rapporter a tout propos 1 origine
de la race humame a deux ou trois
millénaires avant Jésus-Ohrist.
L'histoire de l'lnde est sous bien des
rapports une des plus intéressantes
pour qiiiconque s'intéresse a Involu
tion de Thomme et les nombreux docu
ments sanserifs décou verts dans ces der-
nières années jettent un jour nouveau
sur des époques tres reculées que Ton
pouvait croire enfouies a jamais dans
les ténèbres de ia préhistoire. Aussi
faut-il dès maintenant reculer a plus de
cent mille ans peut-être i'origine du
Brahmanisme. Ge chiffre efirayant a
première vue est en accord complet
avec les découvertes géologiques mo-
dernes, qui fixent a des époques plus
reculées I'origine de Thomme sur notre
planète.
Notre fierté de civilisés de nouvelle
date reste plongée dans une stupéfac-
tion profonde et pleine de respect a la
lecture du document d'un age aussi
vénérablo. Et notre étonnement s'ac-
croit, quand nous voyons l'étendue des
connaissances acquises a des époques
aussi lointaines. Géométrie, algèbre,
trigonométrie étaient familières aux
Hindous.
L'étude des astres leur avait dévoilé
les mouvements de la terra et de la
lune il y a soixante mille ans. Et dire
que nous, pauvres barbai'es, nous per-
sécutions au nom de la religion de
Jésus, Copernie, Galilée, dire que nous
brulerons vif Cicco d'Ascoli coupables
d'avoir retrouvé ce que les Indiens
connaissaient depuis des siècles. Dire
que Lactance après lui Saint-Augustin
soutenaient l'absence d'antipodes ne
pouvant s'imaginer que Dieu se fut
donné a lui-même le spectacle ridicule
de créer unpays oü les hommesdevaient
marcher la tête en bas et les pied3 en
haut, et oü la pluie monterait au lieu
de descendre.
Si da pareils exemples pouvaient
faire réfléchir
Nous n'envisagerons ici que ie cóté
religieux de la civilisation indienne et
nous nous bornerons a en exposer les
fondements.
Des deux grandes religions qui virent
le jour dans ia péninsule gangélique la
plus répandue,est le bouddhisme qui
aujourd'hui règne dans tout l'Orient.
Le bouddhisme fut une réforme du
brahmanisme dont il supprime ('orga
nisation sociale en castes il rendit
accessible a tout homme vertueux la
dignité de prêtre, héréditaire dans le
brahmanisme il releva aussi la con
dition de la femme accusée d'impureté
dans le brahmanisme.
Si la partie sociale des deux religions
diftère, le fond doctrinal est a peu prés
le même. Elles reposent toutes deux
sur deux principes essentiels
1° l'existence d'un Dieu unique en
trois personnes 2° l'immortalité de
l'ame.
Des trois personnes de la Trinité
(Brahma, le créateur, Vischnou, le pré-
servateur, Siva, le destructeur), la
seconde subit de nombreuses incarna
tions.
L'une d'elles enseignée dans le Brah
manisme se fit sous la forme de Krist-
ma. Elle mérite d'être rapportée
Kristma ou, cornme certains auteurs
l'ortbographient, Kristma fut conqu.
sans pêché, sa naissance fut annoncée
par des prophéties nombreuses et an
ciennes sa mère Deranagny le congut
par Topération de 1'Esprit qui lui ap-
parüt sous la forme de Vischnou.
D'après ia Bhagadesva Gêta, une pro-
phétie ayant annoncé qu'il détrönerait
son oncle le tyran de Madura, celui-ci
fit enfermer sa mère qui fut délivrée
par Vischnou. Alors le tyran donna
i'ordre de massacrer dans tous ses états les
enfants du sexe masculin nés pendant la
nuit ou Kristma élait venu au monde. Mais
Tenfant fut sauvé par miracle et prê-
cha sa doctrine 3500 ans avant notre
ère. Après avoir converti les hommes
il mourut de mort violente sur les bords
du Gange suivant les ordres du Brahma
(Dieu, le père) pour accomplir la re
demption des hommes.
Dans les religions indiennes l'ame est
immortelle, elle conserve son indivi-
dualité après la mort du corps. Elle doit
servir des milliers de fois a animer des
corps humains de différentes condi
tions avant d'être incarnée dans le
corps des hommes, l'ame, l'esprit vital
a dü donner la vie a tout ce qui existe,
depuis l'atome et la monade jusqu'a
l'animal le plus voisin de l'homme. La
reincarnation a lieu dans un corps plus
ou moins parfait suivant que l'ame
s'est amendée ou s'est révoltée dans
l'existence précédente. Quand enfin
l'ame s'est suffisamment purifiée par
ces nombreuses reincarnations, elle se
confond avec les purs esprits dans le
sein de la divinité, dans le nirvana
complet.
L'organisation du bouddhisme rap-
pelle a s'y méprendre celle du catholi-
cisme au point que les premiers mis-
sionnaires chrétiens qui virent le
bouddhisme pratiqué dans le Thibet,
cru rent a une contrefagon du catholi-
cisme inventée par le diable G'était la
une supposition peu compatible avec
l'ancienneté des religions indiennes qui
existaient depuis des milliers d'années
quand le christianisme vit le jour.
L'hypothèse contraire a été soutenue
elle s appnie sur le fait que les doctri
nes de 1'lnde étaient en honneur dans
les temples Egyptiens oü Jésus aurait
appris a les connaitre.
A la tête de l'église bouddhique se
trouve un pape infaillible (les catholi-
ques ont attendu jusqu'en 1870 pour
proclamer l'mfaillibi lité du leur).
Après lui vient toute une hiërarchie
sacerdotal e dont les chefs sont les
grands-lamas,portantuncostume violet
semblable a une chappe, de plus la
mitre et la crosse. Des conciles géné-
raux codifient la doctrine. Le célibat
ecclésiastique, les couvents d'hommes
et de femmes, l'eau bénite, les jeünes,
les processions, les pèlerinages, le bap-
tême, la confession, le chapelet, les
reliques, les exorcismes sont autant de
points de contact entre bouddhisme et
catholicisme.
Quant a la morale bouddhique, ci-
tons cette maxime, qui n'eüt pas reniée
le ChristL'homme de bien ne manifeste
jamais d'inimiiiè même d celui sous les
coups duquel il succombe, il est comme Var-
bre de Santal qui parfume le tranchant d
la cognèe qui Vabat.
Cette analogie entre les religions de
l'lnde et la religion romaine n'est ce-
pendantpas compléte. Une difference
capitale sépare le dogme catholique
K Hors de l'église, pas de salut», établi
par le quatrième concile de Latran,des
paroles suivantes écrites par les Brah-
mes en 1777 en tête d'une conpilation
faite par eux Dieu aime dans cha-
que pays la forme du culte qui y est
observée il écoute dans la mosquée les
dévots qui récitent des prières en
comptant des grains sacrés il est pré
sent aux temples, a l'adoration des
idoles il est l'intime du musuiman et
l'ami de l'Hindou le compagnon du
chrétien et le confident du Juif; et les
hommes d'un esprit et d'une ame élevés
qui n'ont vu dans la contrariété des
sectes que des effets de la puissance du
Très-Haut, ont gravé leurs noms d'une
manière immortelle sur les pages de
l'Histoire.
Dans un prochain article nous parie
rons de la liturgie des temples brah-
maniques et spécialement du faki-
risme. Tréboury.
La troupe de la Comédie Frangaise
du théatre de Gand, si avantageuse-
ment connue en notre viile, donnera
ce soir, a la Salle de Spectacle, une
brillante représentation composée de
Comédie en 3 actes de Meilhac, tiré du
roman de Pierre Decourcelles, et
Comédie en un acte de Valabrègue.
Les bureaux seront ouverts a, 7 heu-
res ndeau a 7 1/2 heures.
Eenige Iepersclie liberalen hebben
een Propaganda-werk der pers ge
sticht.
Blauwe bussen staan in de herber
gen In de Maanin den Zalm, in
7 Zilveren Hoofd en in 't Hof van
Brussel om de dagbladen te ontvangen
welke onze vrienden er wel willen in
werpen om in canton en arrondisse
ment rond gezonden te worden.
Wij vragen zooveel bladen moge
lijk.
Veel bladen.
Veel vlaamsche bladen.
Klerikalen gaan ons tegenwerken.
Ze gaan drukking wêer gebruiken.
Wiezulke feiten kent, schrijve ons dit.
Zijn naam zal ongekent blijven, maar
wij zullen een onderzoek instellen en
elk feit, aangeven met naam en voor
naam van den liefhebber van zedelijke
drukking.
Vrienden, veel bladen.
Veel vlaamsche bladen.
Een oog in 't zeil.
connaitre a tous ceux qui sont atteints
d'une maladie de peau, dartres, ec-
zémas, boutons, démangeaisons, bron-
chites chroniques, maladies de la poi-
trine et de l'estomac, de rhumatismes
et de hermes, un moyen infaillible de
se guérir promptement ainsi qu'il l'a
été radicalement lui-même après avoir
souft'ert et essayé en vain tous les re-
mèdes préconisés. Cette off're, dont on
appréciera le but humanitaire, est la
conséquence d'un voeu.
Ecrire par lettre ou carte postale a
M. Vincent, 8, place Victor Hugo, k
Grenoble, qui répondra gratis et fran
co par courrier, et enverra les indica
tions demandées.
Burgerstand der stad Popcringhe,
van den 27° December tot den 3° dezer maand.
Geboorten Mannelijk, 6, vrouwelijk, 5.
Sterfgevallen.
VanCayseele, Aloïse. 73 jaren, landbouwer,
weduwenaar van Nathalie Leroy, Wijk 29.
Pety, Amand, 83 jaren, landbouwer, echtge
noot van Louise Van Caeyseele, Wijk L.
Baeckeroot, Amelie, 96 jaren, rentenierster,
weduwe van Carolus Cnapelynck, Boescheep-
straat. Baillieu, Jules, ongehuwd, oud 24
jaren, schoenmaker, Casselstraat. De Bergh,
Charles, 63 jaren, kleermaker, echtgenoot
van Sophie Benoist, Groote Markt.
Hinders beneden de 7 jaar.
Mannelijk 2, Vrouwelijk 2.
Lire le fenilleton a la
4™ page.
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