WARNÊTON. Vélocipédie. Les Chceurs. Willemsfonds. Ville de Poperinghe. door hunne kinderen onterfden ge lijkerwijze werd verboden de rijken aan te sporen in het klooster te treden, om des te beter aan hun fortuin te ge raken. En dit verbod was zoodanig raak, dat het ontstaan van nieuwe kloosters, ten minste voor eenigen tijd, gestuit werd. Ook Lodewijks vader, Karei de Groote, had enkele jaren vóór zijnen dood, in 811, de aandacht zijner missi dominici op de misbruiken van het aangroeien der kloostergoederen ge vestigd. Hij schreef hun onder andere: Vraagt aan de geestelijken, of zij n wel verondersteld zijn de wereld verlaten te hebben, wanneer zij on- ophoudelijk door alle mogelijke n middelen hunne goederen zoeken te n vergrooten Wanneer zij zich van de namen van God of van de heiligen bedienen, om het goed TE ONTNE- MEN aan rijken en armen, die een- voudig en onbezonnen genoeg zijn, om hunne wettige erfgenamen te ont- n erven en deze aldus in ellende en x ondeugd te doen vallen (1) Uit deze woorden van den grootsten katholieken Keizer uit het Westen, blijkt het zonneklaar dat er reeds te dien tijde kloosters waren, die rijk werden door erfenis inpalmingen, dus door roof of diefte In den loop der tijden, doch vooral in de XVI°, XVII* en XVIII® eeuwen, toen hier de katholieke vorstenhuizen van Spanje en Oostenrijk regeerden, waren de goederen der doode hand op schrijkbarende wijze aangegroeid.der wijze dat Warnkoenig zegt, in zijn Précis db l'histoire de Liège A la x fin du X VIIle siècle on evaluait les liens x de main-mortedans le pays de Liège x comme formant les deux tiers du terri- x toire de la principauté. x De twee derden van het heele prins bisdom behoorden dus aan de geeste lijkheid Hoe had ze die gekregen Ik wil gemakkelijk toegeven, dat er kloosters waren, waar de paters zich bezighielden met landbouw en veeteelt en daarmede iets konden verdienen maar het werk dier eenigen kon toch zoodanig veel niet opbrengen, om de twee derden van een geheel prinsdom aan te koopen, want dan zou men moe ten besluiten, dat de leekenbevolkmg gedurende die lange eeuwen hoege naamd niets gedaan had, om even rijk te worden, als dat handvol kloosterlin gen, gedurende denzelfden tijd Die meening houdt natuurlijk geen steek en veel gegronder is het dus aan te nemen, dat de kloosters al die uitge strekte goederen niet door hun werk hebben kunnen verdienen maar ze ontvingen door giften en stolen of roofden door in-bezit-neming of erfe- nisinpalming (2) En daarom deed de Fransche om wenteling wèl, met al dat (meesten deels gestolen) goed weer af te nemen Hanske van Tichelen. Dans un de ses derniers numéros le Journal d' Ypres donnait le compte-ren- du de la soirée offerte a ses membres par le Cycle-Club Yprois, soirée des mieux réussies dans le même numéro le Journal annongait a ses lecteurs la fondation d'un nouveau cercle vélocipé- dique liberalle Rapid-Club, et expri- mait a cette occasion tous ses regrets de voir la politique s'introduire la, ou. il n'y a place que pour une tranche et sincère amitié Nous partageons cette fois i'opinion du Journal. Nous aussi (IJ L. Gilliodts Etudes sur l'histoire de la Belgique. (2J Men heeft ons reeds de lijst onzer kloos ters te leperen gevraagd. Ziehier deze lijst naar het werk van E. de Laveleye Le paiti clérical 1° Ongeschoeide Carmelieten. 2° Carraeliete Nonnen. 3° Clarissen Colettmnen. 4" Ierlandsche Damen, 5* Damen der Congregatie. 6° Damen van Roesbrugge. 7° Zusters van Liefde. 8° Zusters der H. Familie. 9° Zusters van Maria. 10° Damen der orde van den H. Augustinus. 11° 12° 13° Zwartzusters. Ik betwijfel dat mijn lijstje volledig zij. Wie volledigt het Wie bezorgt mij daarbij de lijst hunner goederen nous estimons qu'en matière de vélo cipédie, il n'y a pas lieu de faire de la politique et nous aurions été les pre miers a blamer nos amis s'ils s'étaient constitués en cercle distinct dans ce but, ce qui est une insinuation entière- ment fantaisiste de la part de l'auteur de l'article paru dans le Journal. Malheureusement le Journalqui au- jourd'hui émet une sage pensée dans des termes, qui révèlent cependant d'anciennes rancunes, tel le mot infect qu'il y emploie, le Journaldisons- nous, oublie qu'il est la seule et l'unique cause de tout ce qui est arri vé, et pour le démontrer,il nous suffira de jeter un petit coup d'oeil sur l'his toire vélocipédique en notre ville. Des les premiers temps, oü. l'art de la pédale fit son entrée dans nos murs, les cyclistes compnrent l'utilité, qu'il y avait a se grouper. Le Cycle-Club fut fondé en dehors de tout esprit de parti et nous lui rendons volontiers cette justice que jusqu'a ce jour il a su se maintenir dans les limites d'une stricte et parfaite neutralité. La Société était la seule qui existait en ville, elle était prospère et comprenait un grand nom- bre de membres. La Gommission avait été choisie parmi ceux qui réunissaient le plus de sympathies. Se développant dans d'aussi avantageuses conditions, l'on aurait pu espérer, que le Cycle- Club, qui s'était consacré entièrement aux intéréts dn cyclisme, qui en était la seule manifestation officielle en no tre ville, présentant de sérieuses preu- ves de neutralité, eut obtenu les fa veurs de tous ceux qui s'mtéressaient a la question. On aurait pu croire éga- lement, que notre édilitó communale eut été heureuse de favoriser un cercle de ce genre en lui accordant le mono- pole des fêtes a donner en ville II en eut été ainsi, si quelques grincheux jaloux probablement des progrès de la Société, n'eussent dés l'année 1892 fait souffier un vent de discorde. A l'occasion de la Tuindag 1892 no tre édilité communale cléricale décida l'organisation de fêtes vélocipédiques. Aus«itöt l'on vit sortir comme dessous terre un cercle nouveau, les Sportsmen réunis. Ce n'étaient certes pas des libé- raux, car les nouveau-nés obtinrent immédiatement les faveurs de l'Hótel de Ville et le Cycle-Club fut relégué a l'arnère plan. L'Administration com munale, qui n'était pas libérale non plus, donna en cette circonstance l'exemple de i'intolérance et le Journal d'Ypresorgane clérical, accorda ses faveurs aux Sportsmen réunis. Aujour- d'hui le Journal est revenu a de ineil- leurs sentiments (peut-être est-ce par ee que ses amis y sont en majorité aujourd'hui) ce qui n'empêche qu'il a tort de crier haro sur le Rapid- Club II oublie trop facilement que les torts sont de son cöté et que c'est lui qui a cherché la division. 11 oublie aussi, qu'en son numéro du 17 Aoüt 1892, dans le compte-rendu qu'il don nait de la fête vélocipédique donnée par les Sportsmen réunis, il a froissé beaucoup de cyclistes en écrivant Cependant, il doit avoir semblé aux coureurs étrangers que le nombre des cyclistes était relativement minime a Ypres, eu égard a la splendeur des fêtes vélocipédiques qu'ils savent don ner. En un mot l'abstention du Cycle- Club a pu se trahir. Ce n'était la qu'un demi mal sans doutepuisque la fête a réussi sans eux. dix fois mieux qu'elle n'eut rêussi peut-être s'ils en avaient pris Vini tiative. X Lorsqu'on a tenu semblable langage, Journalil ne faut pas s'étonner d'avoir fomenté la discorde car ce langage était directement dirigé contre cer tains des membres, aujourd'hui dis sidents du C. C. Y. En soutenant a cette époque les membres du Cycle- Club, encore membres de la société aujourd'hui, qui ont eu le tort de se laisser enröler momentanément dans les Sportsmen et en vous réjouissant alors de l'abstention de ceux qui étaient restés fidèles au Cycle-Club, vous avez cherché a diviser la Société, vous y avez amené des démissions et vous avez créé la situation que vous déplorez aujourd'hui D'ailleurs, personne ne se laissera rendre a vos tardives protestations e tolérance II y avait a Ypres une Société neutre de gymnastique Les Infatigables x. La politique n'a pas plus de raison d'etre en matière de gymnastique qu'en matière de vélocipédie. Qui a créé la division Sont-ce les libéraux Ré- pondez-nous Journal Et cependant vous soutenez le Voorwaarts3 société de gymnastique catholique nouvelle et vous ne criez pas a I'intolérance cette fois Unpeu plus de réfiexion voussiérait mieux. Nous avons tenu a relever l'article paru dans le Journal d'Ypres, pour ne point laisse r peser sur nos amis un re- proche qu'ils ne méritent pas. S'ils se sont constitués en société distincte ce n'est pas pour y faire de la politique, nous en sommes convaincus, car ceux qui composent le Rapid-Club, ont été des premiers a faire appel a l'union de tous les cyclistes Y prois. XXX. Beau concert. Mlle Van Ackere a chanté du Saint- Saëns, du Bemberg et du Thomé. Voix excellente, figure sympathique, bonne artiste. M. X, le chanteur de genre a rem- porté un succès fou. Mimique hors ligne c'est un observateur. L'orchestre, dirigé par M. Goetinck, ajoué du Brahms, du Massenet, du Delibes....L'étonnante facture rythmi- que de Brahms faisait un joli contraste avec la note originate de Delibes et la mièvreté de Massenet. Zooals het de Ré forme aankondigde, had het stedelijk Willemsfonds M. D1' Jacobs, studieprefekt in 't Collegie, uitgenoodigd een voordracht te geven over den Congo. M. Jacobs bespotte heel geestig zekere lieden welke abso luut willen dat een mensch, welke geen negersdorp en geen katarakten gezien heeft, niet mag medespreken in het Congoleesch vraagstuk. M. Jacobs onderwijst inderdaad geschiedenis en aardrijkskunde; hij heeft nochtans niet geleefd in andere eeuwenen al hoewel hij met zijn leerlingen reizen maakt naar Japan en Siberiëis de heer leeraar daar nooit geweest. Het schoonste in dit alles is dat de H.ri. Congolaters niet veel te antwoorden vinden op de be wijsredenen van hun tegenstrevers. M. Jacobs toonde best aan dat de Con golaters den spot gedreven hebben met België want zij hebben een voudig hun beloften belogenzij hebben ons eenvoudig geld afgeperstM. Ja cobs toonde ouk de noodlottige gelde- lijke en sociale gevolgen der kolonies aan en dit, we mogen 't zeggen zon der vleierij, in eenvoudige, kalme maar bij tende taal Het kunst-gedeelte van 't feest was goed verzorgd. De zangers Mej. Devers en MM.Bartier, Delmotte en Deweerdt oogsten verdienden bijval in, alsook de vioolspelers en hoboïsten Walckers met het orkest. We zouden wel hier of daar 'n kritiek kunnen neêrschrijven, al was het maar dat alle iiefhiebbers dezelfde loftuitingen hooren van 't begin tot het einde des jaars. Doch de uitvoerder is soms de beste beoordee- laar. 't Best schenen ons Mej. Devers in haar solo en M. Bartier in zijn Ro>.~ meinsch lied. Vergeten we vooral M. Mailliard niet, een uitgalmer zooals we er weinigen kennen we drukken op het woord weinigen. We drukken de hoop die heeren nog dikwijls zulke goede feestjes te zien opluisteren, vooraal daar zangers en muziekliefhebbers gelegenheid zullen vinden zich wenken en raadgevingen van M. Hendrik Moerman te nutte te maken. M. H. Moerman had zich wel willend gelast met de klavierbeleiding, eene ondankbare taak, die hij daarom des te kiescher vervulde. Een inval Zoo het bestuur van 't Willemsfonds den heer Moerman vroeg een Concert-Voordracht aan 't uitvoe ren zijner werken te wijden Aan de leden. 1° Wij herinneren dat de leergangen van Engelsche en Duitsche talen, gegeven door M. Prof. Du Soleil, immer goed en met veel vrucht gevolgd worden. Wij herinneren nog dat de boekerij van 't Willems-Fonds geopend is alle Zondagen van 11 tot 12 uren en dat de volledige catalogus ter beschikking is van iedereen. 2° Naar wij op het laatste oogenblik verne men, zal onder de bescherming van het Wil- lems-Fonds en van de Jonge Volksgezinde Wacht, een stedelijk University-Extension ge sticht worden. M. D. Jacobs. Drin geschiedkundige weten- chappen en prefekt aan 't Vereenigingscollegie, zal er reeks van 6-10 lessen geven over DE OMWENTELING VAN 1830. Naar 't schijnt zullen daar meest onbekende en ruwe waarheden aan 't licht komen. M. G. Van der Stichele, leeraar van Na tuurkunde, zal in den Zomer théoretische les sen geven over Plantenkunde of Botanie. M. G. Huysmans, leeraar van Germaansche talen, eene reeks geschiedkundige, psycholo gische en artistieke studies over den Geest des Kwaads. Volledigingen of wijzigingen en nadere in lichtingen zullen aangekondigd worden in de plaatselijke bladen. On nous écrit Grosse nouvelle On nous annonce le départ trés prochain de notre maï- eur. Sa Grandeur s'embarque pour 1'Aus tralië. L'on sait que le gouvernement Au8tralien a promis une somme de cent mille francs a celui qui parviendrait a débarrasser le pays des lapins qui Ie ravagent. Or, il parait que notre premier, qui depuis longtemps ne rêve qu'actions d'éclat, s'est laissé tenter par l'appat de cette magnifique prime. II va done braver les flots et la tempête pour al ler mitrailler la bas ces redoutables terriers. La Chronique Warnêtonnoise n'ajoute pas si ses deux fidèles gardes l'accom- pagneront. Son retour est attendu avec la plus vive impatience. Sitöt rentré dans nos murs, jl enverra a la rédac- tion du journal la Lutte, les dix mil le francs que celle-ci a gagnés, et il versera dans la caisse communale les trente mille francs qu'il a juré d'y re- mettre. Que fera-t-il des cinquante quatre mille francs restante mystèreD'au- cuns cependant, qui se disent bien in- formés, prétendent qu'il les offrira aux hospices de Deulemont. Nous souhaitons a notre sympathique bourgmestre une heureuse traversée. Puisse le navire qui va nous ramener Auguste et sa fortune, ne pas faire naufrage. Deux Moontges. Nous avons regu une nouvelle lettre de Monsieur Godtschalck, bourgmestre de Warnêton. Nous prions notre cor- respondant d'occasion d'envoyer, a l'avenir, ses correspondances un peu plus tót, pour nous laisser le temps de les examiner, notre journal paraissant le Yendredi soir. Nous contrölerons avec bienveillance la nouvelle épitre de M. Godtschalck et nous verrons s'il y a lieu del'insérerdans notre prochain numéro. A première vue, nous remar- quons dans la nouvelle réponse du maïeur Warnêtonnois, des insinuations malveillantesal'égard de MM.Marhem et Desimpel, dont il semble suspect er la bonne foi. Si ces Messieurs ne voient aucun inconvénient a ce que nous re- produisions la prose intéressante de leur collègue duConseil,nous le ferons, quoique Monsieur Godtschalck ne pa- raisse se faire aucune idéé du droit de réponse.Dans tous les cas, nousvoulons lui laisser l'entière responsabilité de ce qu'il écrit. Quant a nous, nous nous déclarons satisfaits. Monsieur Godt schalck a bien voulu se conformer a nos observations, (chapitre injures) que nous avons faites dans notre dernier numéro. La Lutte-de Strijd. SOCIÉTÉ PHILIIA RMON1QUE. FÊTES données a l'occasion du Carnaval de 1895. Zondag, 24 Februari, YLAAMSCHE VERTOÜNING. Maandag, 25 Februari, BUITENGEWOON AVONDFEEST gegeven door de artiesten van het Nederlandsch Tooneel van Gent. Pastoor Constantljn. Mardi, 26 Février, BANQUET offert par M. le Président J. VanMerris a tous les membres exécutants. Lite la suite a la 4me page. ■aaqoOOayQQQ—«i

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1895 | | pagina 3