Greater Belgium!
Iets ongelooflijks.
Leest.
Conférence
de M. E. Vinck. f
2° Is liet waar clat de metsers, de pla-
fonneurs, smeden, timmerlieden en dekkers,
enz., verplicht zijn te merken voor de re
kening VAN DEN BESTUURDER, ZOO ver
dat de ouderlingen van 70 en zelfs 80 jaren
op de daken hebben moeten zitten
3° Is het maar dat die tot merken ge-
mongen oudjeswelke moeten merken ten
voordeele van den bestuurder en op 70 en
80 jarigen ouderdom op de daken moeten
kruipen, is het waar dat die ouderlin
gen DAARVOOR EEN SPOTPRIJS VAN 1 EN
2 ER. IN DE WEEK ONTVINGEN
4° Is het maar dat manneer die afge
sloofde mannetjes weigeren te merken om
reden gevende dat zij te oud en te ziekelijk
zijn, is het maar dat zij alsdan bedreigd
morden met een straf van 8 tot 14 dagen
thuisverblijving
5° Is het maar dat de oudjes welke ieder
een heeft zien merken in den hof des bestuur
ders, daarvoor 0-50 tot I fr. wonnen in de
meek
6° Wat nu het Nazareth betreft, is het
waar dat de tabak, melke vroeger geleverd
merd door de winkeliers der stad, is het
maar dat die levering hun ontnomen is
Men heeft ons de eer aangedaan
niet te antwoorden.
Wij mogen daaruit besluiten dat,
wat we vroegen, waarheid was.
Doch, we hebben nog wat te vragen
en we hopen dat toch deesmaal een
antwoord zal toekomen.
Is het waar dat nieuwelingen in
bedden van pas afgestorven lieden
gestoken toerden of worden, bedden
tuier sargies niet gewasschen waren,
zoodat dezelfde sargies zonder her-
wasschen bij de outv-mannekens die
nen zooivel voor levenden als voor
dooden
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?»
(Gretry).
2" Is het waar dat oudjes de som
van 90 centiemen 1 pinte bier per
week winnen als zij de ambacht van
bouwen waarnemen en alzoo onze
metsers rechtstreeks mededinging
aandoen voor een spotloon
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?
(Gretry).
3" Is het waar dat 3 wasscheressen
elke frank per maand slechts ver
dienen en dat voor het tvasschen,
naaien en stoppen van de benoodighe-
den van gansch het gesticht
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?»
(Gretry)
4° Is het waar dat de koffie zonder
melkzoo goed is dat de 3/4 der
vrouwtjes hem in de riool gieten
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?»
(Gretry).
5° ls het waar dat een persoon
van 't bestuur zou gezegd hebben
Giet maar door den zak (den koffie
zak), 7 is wel genoeg voor dat volk
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?»
(Gretry).
6° ls het ivaar dat de ouwtjes dik-
toijls een hutsepot wordt opgediend
ivaar brokken broeiing, korsten van
hesp, slonsen vleesch welke dikwijls
verre van 't versch gehangen hebben
door elkaaar zwemmen en warrelen
als een afzichtelijk ratatoe
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn
(Gretry).
7° ls het waar dat de soep van de
mannekens geen bouillon is maar een
sop van water en brood
Zoo dat maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?
(Gretry).
8° ls het waar dat men hen slechts
alle 3 maanden versche dekens geeft
Zoo die properheid maar is
Waar kunnen zij toch beter zijn?»
(Gretry).
9°... We zouden niet eindigen. De
reeks klachten is groot.
Toen we de eerste reeks indienden,
heeft men ons niet geantwoord.
Nu wij de tweede indienen hopen
wij gelogenstraft te worden, want we
kunnen niet begrijpen dat zoo afzich
telijk gehandeld wordt met de oudjes,
zelfs onder een klerikaal beheer.
We wachten. R. van P.
(Suite.) II.
Vous reprochez surtout a ma brochure
d'etre peu documentée. II est vrai que vous
reconnaissez en mêrae temps que je ne m'en
suis pas caché et c'est pourquoi, tenant
compte des explications que j'ai fournies a
ce sujet, vous m'ouvrez spontanément vos
colonnes a l'effet de me permettre d'étaler
les documents dont vous regrettez l'absence.
J'ai accepté de vous satisfaire sur ce
point. Avant cela, il convient, je peme, que
je rencontre les diverses critiques plus pre
cises que vous formulez. II est évident, en
effet, que ces critiques sont dirigées sur tous
Ies points censément faibles de mon argu
mentation. jlémontrer le mal fondé de ces
critiques, c'est supprimer déja nos diver
gences de vues, c'est atteindre le but com-
rnun d'une facon plus sure que par le pre
mier système, a moins que vos critiques ne
soient incompletes. Pour être certain de
vous satisfaire pleinement peut être
même au dela de vos désirs je veux re-
courir a la fois aux deux systèmes en
question.
Je glisse sur le premier reproche general.
Vous trouvez que c l'horticulture n'a que
des rapports tres éloignés avec la question
congolaise, a preuve que j'examine la
question au point de vue de l'intérêt géné-
ral. C'est la une inexactitude manifeste
et d'ailleurs si grossière qu'elle ne s'explique
que par le fait de cette lecture superfi-
cielle oh combien de ma brochure,
dont vous ne songez même pas a dissimuler
l'aveu.
Snit un reproche general d'erreur et de
tromperie. Je ne prendrai pas la mouche.
Tout au plus me permettrai-je de vous faire
observer charitablement que, placée oü vous
l'avez inise, vos fidèles eux-rnêmes auront
trouvé l'aceusation par trop précipitée et
par trop gratuite. D'accord la dessus,
j'espère
Vous me reprochez ensuite d'attribuer
des mobiles politiques a l'opposition de la
majeure partie des adversaires de la reprise.
Hélas ce point la, il ne m'est, a mon
grand regret, que trop facile de l'établir.
Car c'est malheureusement dans mon propre
parti plus que dans tous les autres le
parti sochüste seul excepté que cette
affirmation se justitie avec cette diffe
rence cependant que, chez les socialises',
l'opposition fondée sur des calculs politiques
est fomentee par les chefs, tandis que chez
nous c'est au contraire la crème du parti qui
est favorable a la reprise plus ou moins im
mediate tous nos ministres, nos parlemen-
taires aux vues les plus larges, nos prêtres
et nos religieux les plus saints, nos jour-
naux les plus modérés, la presque totalité
des gens les plus compétents commercants
et industriels importants des gens les plus
autorisés missionnaires, civils et militaires
qui out parcouru le Congo.
Pour justifier mon affirmation en ce qui
concerne mes coreligionnaires politiques, il
me suffira de vous renvoyer aux declarations
formelles et réitérées d'un organe tres
répandu chez mes amis du moins il
l'etait naguère, avant qu'il eut donné la
mesure de son sérieux et de son souci de
l'union un organe qui, malgré la guerre
qu'il livre journellement a nos meilleurs
gouvernants, ne s'en pique pas moins d'etre
le défenseur le plus adroit des intéréts du
parti,.... j'ai nommë Toton.
Si mes aveux en ce qui concerne l'atti-
tude de la plupart des catholiques antian-
ncxionnistes doivent me faire passer pour
un enfant terrible, j'ai du moins cette assu
rance hautement consolante que nul ne s'a-
visera de me jeter la pierre avant d'avoir
lapidé Toton.
Quoi qu'il en soit, quand je considers
quelles ruines morales et économiques se
prépare mon pays, faute d idéal et faute
d'expansion, un messager du Dieu de Vérilé
pourrait venir me dire le Congo n'existe
pas vos Africains n'ont foulé qu'un
sol imaginaire les richesses qu'ils ont
cru voir n'étaient qu'un vain mirage; ils
ont peine, ils ont souffert, ils sont morts
pour une chimère....» que je n'en
crierais pas moins a mes compatriotes
Cramponnons-nous sans retard ei collie que
coute a cette féconde chimère du, Congo
Ed. FROIDURE.
A suivre.)
MFroidure essaye de faire voir le
mal fondé de quelques-unes de nos
critiques.
11 semble nous faire avouer que nous
n'avons fait de sa brochure qu'une lec
ture superficielle. 11 lui faut pour cela
donner une légère entorse a la phrase
que nous avons écnte (voir notre n° 26)
et que voici
dat de hofbouwkunde slechts
kilometers verwijderde betrekkingen
heeft met het Congovraagstuk is
licht te bemerken zelfs bij een op-
pervlakkige lezing.
Ce qui ne.veut pas dire que nous nous
en sommes tenus a cette lecture su
perficielle M. Froidure aurait dü
s'en apercevoir a la fagon dont nous
avons disséqué ses arguments.
Passons a l'aceusation lancée au parti
socialiste de n'être hostile au Congo
que grace aux excitations des chefs.
Toujours la vieille légende des me-
neursn, rengaine que M. Froidure pour
rait, avec avantage pour son argumen
tation, laisser reposer parmi la ferraille
qu'agitent de temps a autre,M.Coiaert
et les politiciens de sa force.
M. Froidure, qui, croyons-nous, étu-
die les questions sociales, mais avec un
esprit que nous avons essayé de carac-
tériser dans notre n° précédent, devrait
savoir reconnaitre, avec le Bienpublic,
que les meneurs ne créent pas les
aspirations et les opinions des masses,
mais ne font que leur donner corps et
consistance.
La vérité est que la masse du peuple
beige est foncièrement hostile a la re
prise du Congo, et particulièrement a
la reprise immêdiate. Les orateurs con-
gophiles qui sont venus conférencier a
Ypres ne se faisaient pas faute de le
reconnaitre en conversation particu-
lière.
Que la crème du parti catholique
soit favorable a la reprise plus ou moins
immêdiate du Congo, c'est possible. Mais
sou hostilité a la reprise immêdiate est
évidente. A moins que M. Woeste ne
soit plus parmi nos parlementaires
aux vues les plus larges ni le Bien
public parmi nos journaux les plus
modérésnimais nous n'en finirions
pas.
C'est sans doute au Patriole que M.
Froidure donne l'amical surnom de
Toton
Le Patriote a en effet déclaré haute
ment que son opposition a la reprise
immêdiate du Congo a pour mobile
principal l'intérêt électoral du parti
catholique. Son aveu nous met fort a
l'aise dans notre opposition car nous
reconnaissons que la reprise du Congo
serait la mort du parti catholique
mais elle serait aussi la mort de notre
pays, et c'est pourquoi nous la combat-
tons, mettant l'intérêt de notre pays au
dessus de l'intérêt électoral de notre
parti.
Et maintenant, nous attendons les
documents qui ont fait de M. Froidure
un si ardent protagoniste de cette
féconde chimère du Congo.
Ph. de Comines.
De drie representanten van ons ar
rondissement zijn, zeggen zij, oppor
tunisten. Dat wil zeggen draaijers
(weêrhaans, zegde minister Beernaert).
Dat is niet juist.
Als het hunne eigen belangen geld
draaien ze niet.
Van al de voortbrengselen van den
grond van ons arrondissement, is er
maar èène enkele die door de nieuwe
tot rechten zal beschermd zijn dat is
hel houtdat zijn de hoppe en tabakstalen.
Ja, landbouwers, hoppekweekers,
tabakboeren en hoveniers, die tabak,
hoppe of boonpersen noodig hebt, die
zullen beschermd zijn tegen de vreem
de concurrentiedie zullen opslaan,
duurder morden
He wel boeren, hoe vindt gij het
Kweekt gij sparrebosschen neen 1
niet waar
't Is voor u eene bitter spotternij,
maar de heeren Berten,Colaert, Struye,
Surmont, Iweins en hunne vrienden
en bloedverwanten de groote grondei
genaars, hebben wel boomen en bos-
schen. Zij weten waarom ze die rech
ten vragen en stemmen.
Zij bewerken aldus hun eigen voor
deel, het voordeel hunner klasse. Maar
eilaas Zij bewerken uwen ondergang.
Landbouwers dat zijn de represen I
tanten der proprietarissenmaar de uw I
niet. 6 I
Dat zijn de vertegenwoordigers vat
den landbouw niet, maar wel van dez? I
die den landbouw uitzuigen.
Doet eens uwe oogen goed 0pea
Overdenk dit eens goed. VereenigtV
zendt landbouwers, die uwe gevoelen» I
en belangen deden naar de Kamers en I
zendt de representanten van de pro. I
prietarissen van de popelieren en I
sparrebosschen naar den weerlicht.
Degene welke een best denkbeeld
wil hebben van de sterkte van het pro- l
gramma der klerikale partij leze het I
Nieuwsblad, het katholiek orgaan, och
arme
Zie hier zijn stellingen
1° De katholieken laten meer werken
dan de liberalen.
2° Er is een liberaal welke zijn land I
niet wil verkoopen aan den prijs ge-
boden door den Burgemeester,
De arme sloor meent dat zij nog
leeft in den tijd toen men een kandi- j
daat kon verwijten Gij koopt uw
boter te Kortrijk en zijn tegenstan
der Gij koopt uw schoenen te Brus- f
sel.
En zeggen dat de arme lieden van
het Nieuwsblad meenen dat zij alzoo
propaganda maken. Beste confrater,
zoo we eens spraken over uw pro
gramma, over uw vereeniging met
de kristene demokraten die gij belas- f
tert, (1) over de oude mannetjes, over
de aanbesteding, over het minimum I
dagloon en de uithongeraarswettenI
Die brave katholieken Y. P.
M. Emile Vinck, avocat a Bruxelles
et professeur de statistique a l'Institut
des Hautes Etudes, a fait Lundi, a la
salie des Anciens Pompiers, sous les I
auspices de la Jeune Garde progres- I
siste, une conférence sur VÈnseigne- I
ment supérieur en Belgique.
Par l'effet du beau temps plutót que i
par indifference, nous aimons a le
croire, beaucoup des Yprois que le
sujet pouvait intéresser, n'avaient pas
répondu a l'appel de la Jeune Garde. I
C'est devant une soixantaine de per-
sonnes, que M. Vinck a développé son j
attachante causerie, dont nous allons
rendre compte un peu librement.
M. Vinck s'est demandé tout d'a-
bord quel est le but d'un enseignement
supérieur bien compris.
Donner, par la variété des cours, sa
tisfaction aux goüts et aux aptitudes
de tous les étudiants développer leur
personnalité propre creuser a fond
avec eux quelques sujets pour leur ap-
prendre a creuser seuls les autres tels
sont les objets principaux qu'il assigne,
et a juste titre, a un enseignement
universitaire rationel. M. Vinck (et
tous les hommes de bon sens sont avec
lui) ne congoit pas l'Université comme
une serre chaude oü les étudiants sont
soumis a une culture uniforme d'oü ils
sortent porteurs d'un diplome il veut
que l'Université fasse des hommes
s'intéressant a tout ce qui est humain
et sachant travail Ier, par des moyens
divers peut-être, mais avec une égale
clairvoyance aux progrès et au bon-
heur de l'humanité.
II est triste de reconnaitre que les
Universités beiges sont loin de réaliser
ces desiderata. La faute en est en
grande partie a la loi sur la collation
des grades académiques. Elle déternn-
ne strictement, année par année,épreu-
ve par épreuve, les matières qui seront
enseignées a l'étudiant et par cette
règlementation a outrance, elle étouöe
chez le maitre comme chez l'éleve
toute initiative.
L'enseignement supérieur en Belgi
que est d'ailleurs un enseignemeD
professionnel. On va a l'Universi
pour conquérir un diplome de ®ecle*
cin, d'avocat, d'ingénieur onnyv
pas (a de rares exceptions pres) P°
faire de la science pure et désiutere
sée. On en serait d'ailleurs empeC
par les entraves de l'organisation
(i) En welke verdedigd werden dooi
STRIJD.
le-
-T- »T*
I