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médiate du Congo, n'auraient pas
gagné davantage a Ia prêcher Les
bonnes petites places que leurs adver-
saires ont recueilli au ministère du
travail (a défaut de celui des colonies)
le prouvent assez.
Passons a un autre point oui, nous
trouvons mauvais qu'on cherche des
dérivatifs au socialisme paree que
les dérivatifs au socialisme sont en
réalité d'impuissants dérivatifs a la
question sociale, cause et non consé-
quence du socialisme. On se sent inca
pable de la résoudre sans trancher
dans le vif des abus, et on veut la
reléguer du second plan, en nous de
mandant nos millions et peut- être notre
sang au profit d'une chimère que M.
Froidure, pour des motifs de senti
ment qui font peut-être tres bien en
vers, mais qui n'ont rien a voir avec la
politique, qualifie de fécoude... sans
le prouver.
On nous refuse l'argent nécessaire
pour les réformes sociales qui sont dans
les voeux de touson nous refuse
quelques centaines de mille francs
pour améliorer le sort des petits fonc-
tionnaires il n'y a pas d'argent, dit
M. de Smet de Naeyer. Mais quand il
s'agit de trouver pour le Congo douze
millions prélude de pas mal d'au-
tres alors on trouve de Dargent. On
impose d'uu triple impót la tartine de
l'ouvrier, on impose l'avoine, on im
pose les perches a houblon, on impose
presque tout. Et lorsqu'on s'est assuré
de la sorte 50 millions pris sou par sou
de la poche de l'ouvrier, du petit cul-
tivateur, lorsqu'on a frappé de pareille
charge la consommation populaire
(sans compensation pour la masse et au
profit de quelques gros propriétaires),
alors on va jeter des millions au gouf-
fre du Congo, on les envoie courir après
d'autres engloutis et tacher de sauver
de la banqueroute imminente cette
néfaste oeuvre royale, qui nous a enlevé
tant des meilleurs de nos compatriotes
et qui nous enlèvera le plus clair de
nos revenus si nous commettons la
faute de la repêcher.
M. Froidure voit dans la reprise de
ce funeste Congo la solution de la
question sociale (qui ne serait qu'une
question de ventre, selon lui). Ignore-
t-il que la question sociale se pose,
aussi nettement, plus nettement peut-
être, dans les pays a colonies que chez
nous. Le capital et le travail sont-ils
d'accord en France, en Allemagne, en
Espagne, en Angleterre. L'ltalie, tout
récemment entrée dans la politique
coloniale, y a-t-elle trouvé cette solu
tion de la question sociale que M. Froi
dure lit distinctement dans le mot
Congo Au contraire, l'ltalie s'enfonce
de plus en plus dans la misère, et mar-
che a une révolte agraire accompagnée
d'une retentissante banqueroute. Que
son exemple nous serve de legon.
En Angleterre, la situation économi-
que semble moins tendue est-ce parce
que 1'Angleterre est le pays le plus
riche en colonies Non, e'est parce
que l'Angleterre a eu depuis cinquante
ans des gouvernements libéraux com-
prenant a merveille les nécessités de
leur époque,n'ayant pas peur des mots
et décidés a accorder au peuple, sans
réticence et sans arrière-pensée, les
réformes qu'il réclamait et qui étaient
mures pour la pratique. Grace a
l'amélioration du sort de l'ouvrier,
l'Angleterre produit a meilleur compte
que les autres peuples, d'oü sa prédo-
minance commerciale. Voila un second
exemple a méditer. Au lieu de cher-
cher des dérivatifs au socialisme, qu'on
s'attache a réaliser les réformes socia
les qu'il réclame avec le parti progres-
siste et la démocratie chrótienne. Ce
sera plus pratique, plus efficace et plus
sur mais c'est hors de la partie d'es-
prit des petits politiciens ignorants et
vaniteux qui nous gouvernent pour
notre malheur.
M. Froidure triomphe de Dadhésion
de M. Picard a la politique coloniale.
M. Froidure et M. Picard se ressem-
blent sur ce point, tous deux font au
sujet du Congo de la politique de sen
timent mais M. Picard plus pratique
ue notre contradicteur, réclamait,
ans le même article cité par M. Froi
dure, une enquête approfondie sur le
Congo, pour lequel il ne cachait pas
plus sa sympathie de sentimental que
sa défiance d'homme politique.
Et maintenant, nous attendons, avec
une impatience croissante, les docu
ments qui ont fait de M. Froidure un
si ardent protagoniste de cette fécon-
de chimère du Congo.
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