Francois HOFLACK, constructeur breveté m MR MME M. MEiER, LET OP! Ch. De Jode-Stecken Saisox 1898 m m m m m m S Saisoa 1898 Saison 1898 gj 3LJ Thé&tre d'Ypres. Gonseil communal Kursaal d'Ostende. i Saison 1898 Pièces détachées. Accessoires. Locomobiles pour l'Agriculture, l'Industrie et les Travaux publics. a air comprimé k pétrole et a l'électricité. II H T It A I. RtJE Dll IOU8CBOM, 2, €3 État-Givil d'Ypres, Hoest - Influenza. rue de Haerne, n° 5 wa»Btïïm. Un sonnet de Mlle Coppin. CONCERT Tombola du Collége Moderne. 55, RUE CARTON, 55, F i» m e n. iM—iiB ehez Mme veuve VAX liEMMEL, Grand'Place, 5, YPRES, Chez Lambly-Mathée, Abonnement de Lecture Aux Belles Couleurs n'ont jamais essayé d'empêcher nn soul empiètement de l'Eglise sur l'Etat Nous en doutons tout cela pourrait bien n'être que belles paroles pour en- gluer les hésitants et faire tomber a droite tous ceux qui y penchent. Ph. de C. Le Journal de Bruges nous apporte le compte-rendu d'une conférence faite au cercle Excelsior, a Bruges, par notre distinguée collaboratrice Me"e Margue rite Coppin. Nous ne publierons pas le compte- rendu du Journal de Brugesque notre confrère le Progrès a déja reproduit. Mais nous ne résistons pas au désir de mettre sous les yeux de nos iecteurs un sonnet de M'"e Coppin, luparelleau cours de sa conférence. Tout le monde en appréciera le charme délicat et 1'in tense poésie, qui caractérisent d'ail- leurs toutes les ceuvres de l'auteur des Poèmes de femmed'Initiation, de Soles- me seul aysme et de ces Lettres de la cilé dolente dont quelques-unes ont paru dans nos colonnes. Par un oubli aussi inexplicable que regrettable nous n'avons pas fait part a nos lecteurs de la distinction honori- fique dont vient d'etre l'objet Monsieur Léon Yervacke, pharmacien a l'hópi- tal militaire de notre ville. Monsieur Léon Yervaecke a regu la médaille civique de 1™ classe en récom- pense des services ren dus pendant 1'épidémie de fièvre typkoïde, épidémie qui. quoique relatée par le Moniteur officiel, n'a existé néanmoins, d'après M. Surmont et son dépotoir, le Journal d'Ypresque dans 1'imagination de La Luite-De Strijd. Nos plus vives felicitations a, notre méritant concitoyen. On nous annonce, pour le Lundi 14 Février 1898, une représentation excep- tionnellement brillante, donnée par la Tournee Baret. Le spectacle se composera de deux pièces en 3 actes, deux prodigieux suc ces de rire, dont plusieurs centaines de représentations a Paris n'ont point épuisé la vogue. La Stafion ChampbaiidcL La üuchcsse de Montélimar Au total six actes désopilants, si- gnés: Eugène LabicheMarc Michel et Albin Valabrègue. Avec la TOURNÉE BARET, on est certain de ne pas être trompé. Cette fois, l'habile impresario a eu la main particulièrement heureuse en réunis- sant un ensemble comique de tout premier ordre. Nous donnerons prochainement les détails de ce programme gai. D'YPRES. Séance publigue du Samedi 5 Février 4898, a 5 heures du soir. Proces-verbal de location des locaux sous les Halles. Muséecompte 1897. Hospices civilscompte 1896 et budget 1898. (Salie du Casino). Samedi 5 Février 1898a 8 h. du soir, donné par ie Cercle Miry sous la direction de Monsieur Louis Mou- qué, avec le bienveillaut concours de Madame Scaron-Ceuppens, cantatri- ce, et de Monsieur Georges Bulcke, baryton. PROGRAMME 1. Marche parisienne (le audition). Fechner. 2. L'ltalienne a Alger, ouverture. Rossini. 3. Grand air de la coupe du Roi de Thulé,chanté par M. G. Bulcke. Diaz. 4. a) Gavotte Henri IV (1° audition). Fechner. b) Douce Missive, mazurka de Concert (1" audition). Lemon. Soliste hautbois M. A. Bloyart. 5. Grand air des Dragons de Villars, chanté par Madame Scaron- Ceuppens. Maillard. 6. 2e Concerto pour violon. Vieuxtemps. Soliste: M. P. Van Breuseghem. 7. Fantaisie sur les motifs de Faust. Brifloux. 8. Duo d'Hamlet. A. Thomas. Mme Scaron-Ceuppens et M. G. Bulcke. 9. Die Wachtparade komt. Eilenberg. BAL. Prix d'entrée pour les non-abonnés au Kursaal 1 franc. N.B. Ce concert remplace celui qui devait être donné le Dimanche, 6 Février, a 5 heures du soir, au Kur saal. L'Administration communale d'Y pres, vient d'autoriser le Collége Mo- ,>j' JEU rs Chirurgiens-Denlistes Specialistes, DIPLOMES PAR LA COMMISSION MEDICALE BELGE, BREVETES PAR ARRETE ROYAL. HONORÉS DU CLERGE El DES MAISONS RELIGIEUSES, Mr M. MEIER est a consulter trois fois par seinaine, 1. I.lllltli. JU'ildi 01 MiUUCtll. de 9 li do matin iu.au'a 4 heures de relevee, 1 pour tout ce qui coneerno I'art dentaire. Nettoyage des dents. Guérison des dents les plus douloureuses. Emailhme et aurifie'ation des dents eanees, redressement des dents deviées a tout a<re. Le placement des dents artificielles se fait sans douleur et sans extraire Gs vieilles dents ra les racines. Les dents artificielles de MrM. MEIER permettent de broyer les aliments les plus durs, Remission de la voix est plus sonore et ulus claire. Les dents sont placées sans plaques, sans crochets ni ressorts on ne saurait pas les distinguer avec les dents naturelles ni mr la forme, ni par la couleur. 1dr Mr M. MEIER entreprend aussi les reparations des pièces dentaires non réussies et les remet a neuf d'après son svstème nouveau pour lequel il a ete brevete. r 3 ™uvtdu Dents artificielles dcpnis fr. Dealicrs complets depuis 100 fr. et aii-dessus, ga ra n Lis pour tontc ia vie. Consultations trois fois par semainechez Madame Weave Wan üemmel. fïvantë'I^laee si pees, les LUNDI, JEUDI et SAMEDI, de 9 h. du rnatinjusqua i h. de relevee. derne a remettre le tirage tombola au 27 Mars 1898. de sa Brevet. 2. Un brevet est accordé a M. Hoflack représenté par M Duvinage, a Ypres' pour un coussinet a billes pour barat- tes et autres machines. du 28 Janvier au 4 Février 1898. Naissances: Sexe masculin, 5, id. féminin M'ariages. Vanuxem, Arthur, journalier, et Delen, FJspérance, servante. Bau Pierre, sans profession, et Vandevoor- de, Eugénie, dentellière. "Wenes Julien, tailleur d'habits, et Dufiou' Marie, ménagère. Dècès Bergeman, Frangois, 64 ans, colpor teur, veuf de Werbrouck, Amélie rue de l'Aumónier. Rabau, Hipp0.' lyte, 25 ans, sans profession, célibatai- re, rue des Boudeurs. Dubois, Louis 87 ans, pensiouné, veuf de Fervaque' Marie, rue des Bouchers. Roze' Charlotte, 63 ans, sans profession, céli- bataire, rue des Ghiens. Verbeke Edélie, 81 ans, sans profession, épousè de Candeel, Louis, Nouveau Marché au Bois. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin, 0 id. féminin, 0. 51, RUE DE DIXMUDE51, YPRES, BIBLIOTMÈQUE DES LIVRES-ÉCHANGE. Fr. 1-25 par mo is. LesBibliothèques des livres-échange renferment les ceuvres des meilleurs auteurs modernes. En acbetant un livre-échange, le lecteur peut, après l'avoir lu, l'échan- ger indéfiniment dans tontes les villes de la Belgique et de l'étranger. Het is gekend door de ondervinding. Een geneesmiddel alleen werkt zeker en rap. Geene verkoudheid, geeneu hoest weerstaat aau hare werking. Het is genoegzaam alle twee uren een kof- lij lepeltje van die siroop te nemen om in twee dagen genezen te zijn. Deze borst remedie is overal gekend onder den naam van SIROOP DE PRA- TERE, aan 2 franken de fiesch. Vraagt en aanvaardt altijd maar de echte Si roop De Pratere en weigert alle na maaksels. Te bekomen te IepereD bij Socquet Rousselaere, Veys Dixmu- de, Ghyssaert en overal. Om alle misslag te vermijden, de chirur gijn tandmeester MAURICE MEIER, TE KORTRIJK heeft de eer zijne talrijke ka lanten alsook de personen die begeeren hem te raadplegen, ter kennis te brengen dat er een nieuwen tandmeester die dezelfde naam draagt en met wisn hij geenszins in han delsbetrekking is, naar Yper komt, twee huizen van zijne woonst. Hij verzoekt hun zich wel te verzekeren indien zij bij den ouden tandmeester zijn MAURICE MEIER TEKORTRIJK die te Yperen te raadplegen is sedert 14 jaar bij de weduwe VAN KEMMEL OROOTE MARKT, N° 5, (gesloten huis) Maandag. Donderdag en Zaterdag van 9 tot 4 ure. Hij heeft nog broeder, nog zoon, nog bloedverwant belast met het vertegenwoor digen van zijn huis. MAISON PRIX MODÉRÉ Tout ouvrage est terminé dans la huitaine. Imprimerie LA MBLN-MA THEE rue d.e Dixmude51, Ypres. TOUT PASSE, TOUT CASSE. Tout passe dlseut-ils. lis n'ont jamais aimé Car lis auraient senti cette joie éternelle Le souvenir des jours d'amour, tendre et fidéle, L'immortel souvenir d'un bonheur innommé. «Tout lasse« disent-lls. lis n'ont jamais aimé lis ne l'ont point connue, angoisse apre et divine D'écouter dans la nuit pour le pas qu'on devine, Et de voir l'aube en vain, poindre au ciel embrumé. Tout casse disent-ils. lis n'ont jamais aimé lis n'ont point éprouvé 1'inlassable indulgence Qui nous fait pardonner la même amère offense, Septante fois sept fois au pêcheur bien aimé "Tout passe" o fous «Tout casse Aurez-vous abimé Jusqu'a la mort la fleur de l'amour veritable, Qu'elle renait pour vous radieuse, ineffable... «Tout lasse" disent-ils, ils n'ont jamais aimé! OEDEE DU JOUR: Communications. VELOCIPEDES ■HBBBiKBËHaKZKKHB *«8 LIBRAIRE, ÏEINTURERIE

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De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1898 | | pagina 2