VÉLOCIPÈDES
Francois HOFLAOK, constructeur breveté
M. MEIER
LET OP!
B Saison 1898 I
Saison 1898 §f
Deux questions a poser.
Thé&tre d'Ypres.
Saison 1898
Pièces détachées. Accessoires.
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et les
Travaux publics.
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Locomobiles
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l'Agriculture,
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chez veuve VAN KEMMEL, Grand'Place, 5, YPRES,
FOPER1NGHE.
État-Civil d'Ypres,
De geneesheren schijven net voor.
Voici comment fonctionne ce nou
veau principe de droit public.
Quand le ministère a l'intention de
présenter une loi de quelque impor
tance, il réumt la droite, qui en déli-
bère. Puis on passe au vote les mem
bres de la minorité de la droite sont
engagés a mettre leurs opinions en po-
che et a voter, en séance publique,
contrairement a leur conscience.
Sana compter ce qu'a d'immoral pa
red système, il aboutit a cette conclu
sion aussi irrationnelle qu'inconstitu-
tionnelle c'est la minorité qui fait les
lois.Et cette minorité peut êtro infime;
car si la droite ne comptait que 80
membres, l'opinion de 41 d'entre eux
environ le quart de la Chambre
serait imposée au pays comme celle de
la majorité.
L'opposition est considérée comme
n'existant pas, quoiqu'elle constitue,
au même titre que la majorité, une
partie de la représentation nationale
et quoiqu'elle détienne aussi, ration-
nellement et constitutionnellement,
une partie de la souveraineté nationale.
Ce mépris de l'opposition est encore
un indice du même esprit d'intolérance
qui fait repousser la li. P. par la droi
te, et pour l'appréciation duquel nous
renvoyons a la parole autorisée d'Emüe
de Laveleye, citée plus haut.
C'est une opération du genre de celle
que nous venons d'esquisser qui a dé-
terminé la retraite de M. Beernaert a
propos de la représentation proportion-
nelle, quoiqu'il eut une majorité pour
la voter. Mais cette majorité eut été
acquise grace a la gauche, et c'est ce
que M. Beernaert aussi intolérant
que son ennemi M. Woeste ne vou-
lait pas admettre. Son amour pour la
R. P., qu'il a exprimé dans la dernière
discussion avec autant d'éloquence que
de mélancolie, a fiéchi devant son clé-
ricalisme intolérant.
Maintenant que M. Beernaert est re-
légué dans les hauteurs présidentielles,
comment se fait-il que la R. P. ait
perdu du terrain a la Chambre C'est
que la droite compte un grand nombre
de députés dont les opinions n'ont au-
cune consistance, qui sont gouverne-
mentaux avant tout, qui auraient voté
la R. P. avec M. Beernaert au minis
tère, qui la repoussent maintenant
parce que les délégués de M. Woeste
au ministère n'en sont partisan qu'en
paroles.
Ces députés inconsistants n'ont d'au-
tre objectif que la stabilité ministé-
rielle dont M Woeste fait tant de cas
dans ses discours, maïs dont il a si ai-
lègrement fait h iorsqu'il s'est agi de
déloger M. Beernaert d'un ministère
oü il n'était pas assez docile au gré du
pape laïc.
La part prise par M. Beernaert a la
discussion de la ioi d'électorat provin
cial nous a entrainé a une assez longue
digression sur les procédés gouverne-
mentaux en usage aujourd'hui en Bei-
gique. Cette digression n'aura pas été
inutile, car elle aura prouvé une fois
de plus qu'il ne faut pas compter sur
la droite actuelle pour la réalisation
d'aucune réforme la droite n'est
qu'une coagulation d'intérêts plus ou
moins fortement agglomérés plutöt
moins maïs elle n'a ni convictions
fortes, ni désir sincère de mettre i'in-
térêt suprème du pays au-dessus de
toute autre considération.
Ph. de Comines.
Nos lecteurs se souviennent des inci
dents violents survenus au Palais de la
Nation iors de l'exclusion de M. Dem-
blon, représentant pour Liège.
Les questeurs de la Chambre avaient
été chargés par ie bureau d'une en
quête ayant pour but d'établir les res-
ponsabilités dans les incidents, et de
rendre compte a la Chambre des résul-
tats de leurs recherches.
Depuis lors, on n'a plus entendu
parler de l'affaire. II se trouvera sans
doute un représentant pour provoquer
des explications il faut que le pays
sache qui a failli provoquer une inter-
vention sanglante de l'armée contre
une partie de Ja représentation natio
nale.
D'après un journal bruxellois, l'en-
quête aurait établi que l'ordre donnó
aux soldats de mettre baïonnette au
canon serait parti d'un des questeurs.
Si ie fait est vrai, il n'est pas sans gra-
vité.
II prouverait, entre autres 1°) que
l'un de ceux que la Chambre a dési-
gnés pour faire la police de ses locaux
a été ie premier a perdre son sang
froid, et qu'il est au-dessous de sa mis
sion 2°) que des soldats beiges ont
obéi a d'autres personnes que leurs
chefs.
II importe que l'on sache si les con
clusions ci-dessus sont autorisées.
La Chambre aura a se prononcer en
1900 sur la reprise du Congo par la
Belgique. Elle aura a prendre a ce su
jet une décision de toute première im
portance pour l'avenir du pays.
Or, la moitié des députés sont sou
mis a réélection dans cinq semaines. II
nous semble que la question de ia re
prise du Congo est une des plus essen
tielies qu'il y aura a éclairer devant les
électeurs. II ne parait pas qu'on y ait
beaucoup penséjusque maintenant.
Les électeurs feraient chose sage en
mettant cette question au premier
plan, et en exigeant des candidats des
engagements précis. Les candidats clé-
ricaux surtout ont une tendance a es-
quiver tout débat sur le Congo il fau-
drait les en guérir.
Tournées
Frédéric Achard.
En ce temps oü tout le monde est
militaire, Le Suvsis, de MM.
Sylvane et Jean Gascogne, est bien
la comédie la plus heureuse qu'il soit
possible de rêver. C'est tordant, c'est
fou, cela dépasse tout ce qu'on peut en
dire il faut aller le voir.
Chirurgiens-Dentistes Specialistes,
DIPLOMES PAR LA COMMISSION MED1CALE BELGE,
BREVETES PAR ARRETE ROYAL.
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M' M. MEIER est a consnlter trois fois par semaine, le rillltli. JeudS Ct SaiUCtll, de 9 h. du matin iusqu'a 4
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Tout ce qui a été, est et sera mili
taire, tout ce qui est femme, fille, sceur
de militaire, ira voir Le Hxirjsis
par conséquent tout le monde.
M. Frédéiuc Achaed va nous initier
a ce chef-d'oeuvre de-rire, pour notre
plus grande joie.
Nous regrettons de devoir rernettre
au prochain numéro la suite de 1 'arti
cle Qnelques moyens d'utilité publique a
Ypres la copie ne nous ayant été re
mise qu'au moment de la mise en page.
Philharmonische Maatschappij.
Op het oogenblik dat wij ter pres
leggen, vernemen wij, dat het vieren
van den heer Voorzitter Van Merris 's
naamdag, die plaats moest hebben op
deu Zondag van Paaschen, eindelijk
bepaald is op Zondag 24" April aan
staande.
In ons naaste nummer zullen wij
liet programma van dit muziekfeest
geven.
du 8 au IS Avril 1898.
Naissances: Sexe masculin, 5, id. féminin, 6.
Manages.
Hahn, Henri, journalier, et Inge-
laere, Marie, journalière. Vandaele,
Plmile, tailleur d'habits, et Torrebor-
re, Hélène, journalière. Rommens,
Cyrille, journalier, et Dewachter, Pha-
raïlde, ménagère. Ameloot, Henri,
journalier, et Dehollander, Irma, den-
tellière. Moerman, Prosper, profes-
seur de musique, et Pelgrim, Marie,
sans profession. Decockman, Aga-
thon, journalier, et Vandevivere, Ma
rie, tailieuse.
Décès
Latour, Adèle, 58 ans, sans profes
sion, épouse de Liégeois, Alphonse,
rue des Chiens. Banden, Basile, 87
ans, sans profession, veuf de Helle
bout, Bénoite, rue de Lille.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculin, 2; id. féminin, 2.
Om alle misslag te vermijden, de chirur
gijn tandmeester MAURICE MEIER, TE
KORTRIJK heeft de eer zijne talrijke ka
lanten alsook de personen die begeeren hem
te raadplegen, ter kennis te brengen dat er
een nieuwen tandmeester die dezelfde naam
draagt en met wien hij geenszins in han
delsbetrekking is, naar Yper komt, twee
huizen van zijne woonst.
Hij verzoekt hun zich wel te verzekeren
indien zij bij den ouden tandmeester zijn
MAURICE MEIER TE KORTRIJK die te
Yperen te raadplegen is sedert 14jaar
bij de weduwe VAN KEMMEL GROOTE
MARKT, N° 5, (gesloten huis) Maandag.
Donderdag en Zaterdag van 9 tot 4 ure.
Ypres, impr. LAMBIN-MATHÉE.
-A 'i>? i
Niemand kentbeterde moeielijkheid en denlast
een kind op te brengen dan de moeder of de mem.
Wij moeten hen de talrijke te bestrijden
ziekteteekens niet bekend maken, zooals storing
der verteringsorganen, onregelmatige spijsver
tering der darmen, algemeene ongesteldheid
tengevolge van de welke het kind gedurig
schreeuwt en eene gestadige oorzaak van
bekommering voor de ouders is.
Indien gij aan eenen geneesheer vraagt, wat
de Scott's Emulsie voor een ziekelijk kind doen
kan, zal hij steeds antwoorden dat deze toebe
reiding, van eersten rang, meer zal verrichten
om de moeielijke
spijsvertering te
overwinnen,eene ge
zonde voeding te ver
zekeren en de alge
meene herstelling te
verwekken dan welk-
danig middel ook.
In het hier onder
voorgesteld geval,
zult gij een doorslaand
^bewijs vinden van
^hetgeen de Scott's
'f- Emulsie kan doen
voor de kindertjes en
Charlotte I.K C®M!E gij zult opmerken
dat deze toebereiding ondersteund werd door
verscheidene geneesheeren,in deze gelegenheid
geraadpleegd.
Levallois-Perret (Seine), Frankrijk, 20 Juni 1897.
Mijnheer, Ik aanzie het als een plicht u met den
uitslag bekend te maken, bekomen door het gebruik
van de Scott's Emulsie.
Mijn kind, dat ik bij eene voedster uit besteed
had, was er zoo slecht verzorgd, dat ik het er
moest gaan afhalen, te laat, helaas! want het was
in zulkdanigen staat van verzwakking dat wij
oprecht in bekommerd waren.
Verscheidene geneesheeren door ons geraad
pleegd, verklaarden dat enkel eene herstellende
voeding het kind redden kon en de Scott's Emulsie
werd voorgeschreven, beurtelings met goede melk.
Mijn dochtertje, dat het weinige voedsel weigerde
of dikwijls overgaf, melk, vleeschsap, en eieren, dat
wij haar wilden doen nemen, was op uwe toebe-
toebereiding is, dat wij het leven te danken hebben
van ons bemind kind, waarvan ik het genoegen heb
u hier eene photographie op te sturen.
U de toelating gevend dezen brief af te kondigen,
gelief enz. M. Le Come, 61, rue de Cormeille.