CRETON-FEYS GRANDE NOUVEAUTÉ FRANQOIS HOFLACK, MME M. MEIER m WËM&snm CU i SINI ER E CYCLES BELOT 1 sans eHAiNE l J V\ UAtH" 1 COURSE BORDEAUX-PARIS m COURSE de 48 lieurcs de ROUSAXX, m m m m m m m m m ■m m m m m m m m m m m m D E N T S. Andel'spoeder Ëtat-Civil d'Ypres, GRAPHOPHONE PHONOGRAPHE Société Philharmoiiiqoe Par suile du décès de ill. Emile Brunfaut, frère de noire sympathique Président, ïe Concert fixé au Dimanche II c1, a la Citadelle, est remis au Dimanche 25 de ce mois. La MAISON 54, rue au Beuire, 54 A YF1E1, BIIB— BieVelaETTE 7\ /T A a mouvement intérieur central, transmission a dégagement, roulements incomparables. 591 kilomètres en 20 h. 59 m. I s. 4/5 ft |||J I par M. Gaston RtVIERRE, I1' sur la sans ehaine J| jy yf 1° Stéphane sur sans ehaine f| If p 1 2° MULLER couvrant 1257 kilom5 sur sans ehaine U |vl u y[ fl 33, rue Carton, 33, IPttËi. M m. 86 I 12 D 13 IIO "ttJ S €3 M O i%:, U T A S. chez M,,,e veuve VAM KËMMEL, Grand'Place, 5, YPRES, Hotel de la Tête d'Or, YPRES. PeOAOGRAPHE C° des quantités, des petites femmes simples, intelligentes, raisonnables, que le malheu- reux travers fémiuin, de toujours dernander conseil a mené, centre leur raison et leur simplicitè, a des arrangements de toilette, d'ameublements, de sorties, de voyages tout a fait eu désaccord avec leur budget et leur rang dans la société. On m'objectera qu'une femme absolue en ses idees, arrêtée en ses plans, fermée aux avis et representations est un êtrehaïssable. Entre les deux exces, il y a uu milieu. II est de toute néeessité, en ces temps de crises, aussi bien dans l'ordre moral que dans l'ordre materiel, qu'une femme puisse compter sur elle-même, soit süre de a se trouver, en cas de difficulté quelconque, sache prendre un parti sans recourir au voi- sin et a la voisine, s'agit-il de choisir la couleur du meuble de son salon ou le genre d'éducation a donner a ses fils. Laquelle de nous ne s'est vue qui pour un jour, qui pour un an livrée a elle même, et obligée de decider de quelque oc currence Une de mes theories les plus ohères, c'est que nous pouvons acquérir, a volonté, par l'étude et la repression de nous-mèmes, la surveillance constante, l'énergie, toutes les habitudes morales que l'on classe en défauts et qualités. Je professe qu'ori peut se faire gaie, cou- rageuse, sérieuse, croyante ou mélanco- lique, poltronne, sceptique par une vo lonté constante, en dépit des tendances que la nature et l'éducation et les autres facteurs du self nous out données. Je pars de cette persuasion pour recom- mander aux rnères et éducateurs d'habituer les enfants a juger par eux-mèmes,a déduire leurs propres, reflexions, a choisir un che- min a leur idee pour atteindre le but fixé. La fonction du Mentor est alors de rattraper celui qui s'égare, ou qui a mal tourné, au carrefour. Une excellente méthode est d'allouer a l'enfant une somme mensueile sur laquelle il doive acheter lui-même les bagatelles desa toilette, son bagage scolaire, mille petites choses, qui sont des cboses, trés grandes dans sa petite vie. II découvrira bien vite que s"il dépense tout son avoir en bonbons, ses gants troués, ses cravates ou rubans fanés excitent la dérision de ses cama- rades. A mesure qu'il avance en age, on pent augmenter ses responsabilités et élar- gir le budget. Une autre méthode est de laisser a l'en fant une chambre toute a lui la sienne, ou l'appartement oü il joue et travaillé de le ineuuler sur ses indications, corrigeaiu sês erreurs de goüt seulement dans les grandes lignes, et en lui expliquant les pour et con- tre sans ie clouer a sa place d'un adjectif exprimant une indéehiffrable horreur. lis apprendront l'ordre et nos filles pui- seront a eet usage un esprit d'originalité qui fera personnel i'ameublement de leurs futurs logis. Que les meubles soient de boule ou de jonc, les tentures de papiers a treize sous ou de satin de Chine, une chambre ne vaut que par la note intime que la maïtresse de cette chambre sait lui communiquer. Cette note est lamentablement rare. Je ne m'étonne pas que les hommes sortent tant de chez eux il y a si peu de chez soi Simplement paree que la jeune femtne laisse arranger sa maison par le tapissier a la mode, demande conseil au cénacle des connaissances, fait comma tout le monde et obtient le plus banal des intérieurs. Et de la, elle passe, pour des objets plus graves, a leternelle consultation du juge- ment d'autrui. Or, songez-y notre meilleur ami ne va pas jusqu'au fond de notre coeur il nous ignore, et nous l'ignorons. Et bien rarcs sont les amis a qui nous discus tout do noLe vie et de nos circonstances Dés lors, com ment peut-il nous conseilier Tout au plus vaut-il de discuter avec lui uos plans, et de chercher la lumière au choc des arguments. Mesdames, mes sceurs, apprenons a comp ter sur nous et, tout en sachant accepter l'inappréciable bienfait d'un avis sage et sincere, gardons-nous d'etre tout entières a la merci de l'expérience ou de 1'inex- périence insouciante des autres Marguerite Coppin. Ville dn I 'ojKvrino he. (Ancienne Musique des Sapeurs-Pompiers.) PROGRAMME DE LA FÊTE qui sera offerte au Chateau de la Lo- vie, a MM. les Membres exécutants aio si qu'aux Anciens Pompiers par leur Président M. J. VAN MER1US, le Mercredi 14 Septembre 1898. En cas de mauvais temps ia fête sera remise au 20 Septembre. Le pare du Chateau sera accessible au public. A 1 1/2 heures, TIR A LA CIBLE offert aux membres exécutants de la Société Phiiharmonique ainsi qu'aux membres du corps des anciens Sapeurs- Pompiers A 3 1/2 heures, CONCERT donué sous la direction de M. E. Van Els- lande. 1. Allegro Militaire avec trom petjes et tambours. (Van Elsiande). 2. Ouverture de ia Muette de Portici. (Auber). 3. Polka de Concert pour fiüte. Soliste: Oreel Arthur. (Mayeur). 4. Fantaisie sur Carmen. (O. Bizet). 5. Noces d'Or, suite de Valses. arr (Van Elsiande). 6. Potpourri Populaire. (Renard). A 4 1/2 heures, REPOS. Lunch offert aux membres exécutants et aux An ciens Pompiers. ans, journalier, veul de Huys, Rosalie rue de Menin. Enfants aü-dessous de 7 ans Sexe masculip. 1 ld- féminin. 2 SOCIÉTÉ DES fitiCitHS PQMPIBiS VILLE D'YPRES. LE COMITÉ. De 5 it 6 1/2 heures, Representation par des Clowns faisant des exercices acro- batiques. Feu d* Artifice Diurne. De 6 1/2 a 8 1/2 heures, FEU D'AR- T1F1CE NOCTURNE. du 2 au 9 Septembre 1898. Naissances: Sexèniascuim, S, id. féminin, 3. M'ariages. Dassonneville, Frangois, peintre, et Marie Hauspie, sans profession. Du pont, Louis, crieur public, et Du- thoy, Sidonie, sans profession. Décès Buseyne, Henri, 89 ans, sans profes sion, veuf de Flamant, Clómence, rue des Chiens. Kerrinckx, Jacques, 61 a l'honneur dinformer le public que ses affaires ne sont reprises par au- cune autre firme. Par continuation on y trouvera l'assortiment le plus complet et a des prix défiant la concurrenceles mar- chandises dont elle a la spécialité notamment Les FERS et les MÉTAUX Les OUTILS pour tous les métiers La QUINCAILLERIE et la FER- RONNERIE Ea COUTELLERIE, les USTENSI- LES DE CUISINE La BROSSERIEjles ARMES A FEU; Les MACHINES A COUDRE Les MACHINES AGRICOLES Les POELES et CUISINIÈRES Les COFFRES-FORTS, etc., etc. WÊmmÊm A G ÊS NT GJÉI%SSSiAJL &s€PUIl JT1 HlflXIfCT e» M.J TTTT «m, sysTewt jusqu a Chirurgiens-JUentistes Specialistes. DIPLOMÉS PAR LA COMMISSION MÉDICALE BELLE. BREVETES PAR ARRETE ROYAL. HONORÉS DU CLERGE ET DES MAISONS REL1G1EUSES M.r M. MEIER est a consulter trois fois par semaine, le LilIlCÜ. «ÜCaidi Cl de S h dn matin i- heures de relevée, J pour tout ce qui concernn l'art dentairn. Nettoyage des dents. Guérison des dents les plus douloureuses. Emailla^e et aurification des dents canees, redressement des dents deviées a tout age. Le placement des dents artificielles se fait sans douleur et sans extraire les vieilles dents nt les racines. ie& Les dents artificielles de MrM. MEIER permettent de broyer les aliments les plus dürs, 1 emission de la voix est plus sonore et plus /re. Les dents sont placees sans plaques, sans crochets ni ressorts on ne saurait pas les distinguer avec les dents naturelles ni nar ia forme, ni par la couleur. M-" M. MEIER entreprend aussi les reparations des pieces dentaires non réussies et les remet a neuf d'après son système nouveau pour lequel il a ete brevete. 1 dU Dent-s artificielles depuis o IV. Denlieis complets depuis 100 fr. et au-dessus, garautis pour Louie ia vie. Consultations trois fois par semaine chez Madame Weave Wan MemmeL fHvand'SHace. WpeeSf les LUND1, JEUDt et SAMEDI, de 9 fi. du matm jusqua 4 h. de relevée. UNE BONNE Ire Maroui M vtio\ vle 18 premiers prix, 16 seconds EN SIX SE MAIN ES demande des agents parlout oü elle nest pas représentée. Prix et conditions 24, rue du Poinqon, BIIUXELLES. Tèléphone 1275. LE a haute voix, le plus agréable amu sement en société, donne d'impor- tauts bénéfices a tous ceux qui Fexploitent pour cafés, lieux de réunion, etc. Envoi franco du prix-courant. 24, rue du Poïucoii, Hoogste belooningen in alle tentoon- Gedeposeerd merk. (stellingen. nieuwe uitvinding doodt de wandluizen, 'vlooien, motten, muggen, mieren, duizendbeenen vogel- vlooien, en in 't alge meen alle insecten zoo snel en zeker dat er om zeggens niets van overblijft. Depot te Yper bij M. R. Socquet, apotheker. Algemeene Depot voor Westvlaanderen, te Rousselare, bij Octave Ameye, apotheker. Fabriek en verzending J. ANDEL dro- giste, Praag, (Oostenrijk). Ypres, impr. LAMBIN-MATHÉE, rue de Dixmudc, 51. PROGRAMME 1 BSffimSSSSSSC YCiCWA 17TJA GgaganraififlBEoaB^^ DE LA WmSSemsmmSSSSOSBm Mte er i g. r<

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1898 | | pagina 2