Guêrison sansOpêration mCANCERS, TUMEURS, etc. Tulipe a Gaz Voulez-vous 1 bonne montre F LE MEILLEÜR RIZ DU MOSBE a a I'Institut WINDELINCX, 122, rue Gallait, a Bruxelles. (Fondé en 1860.) Sclioone Visielkaarten aan 1-25 fr. het 100 Les horreurs de ia guerre. Au Congo. I. IM EVSITÉ LUMIÈRE ÉLECTRIQUE GAZ iuppression des Cy!imli*e§ et des Fmiiivoees AL LU MEUR AU TO MA T IQ U E brevetéll Société Anonyme LUX AÖVA, Gaiui. g Consultations tous les jours de 10 k 1 heure. Les Mardis de 9 k 5 heures. NOUVELLE GUÊRISON REMA.RQUABLE Guêrison sans operation Un médecin de l'lnstitut donne des consultations a COURTRAI, HOTEL ROYAL en face de la Gave, les |lr et 31' Samedis d8 ehaque mois, de 10 a 12 heures Java Extra. Marque déposée TSAR PIERRE". En grosRizefiè a va peu r «c Dé PliénixC K4HPHIHJS, ZUNDAM (liollande) TEN BUREELE VAN DIT BLAD oeuvre d'éducateur. Les esprits superfi- ciels seuls ne se rendent pas compte du röle que peut jouer, dans iEduca tion littéraire, la représentation d'oeu- vres fortes et toujours jeunes comme celles des grands ecrivains frangais des deux siècles écoulés. La lecture la plus attentive, l'expli- cation la plus compréhensive d'une oeuvre dramatique ne laisseront jamais dans l'esprit une trace aussi profonde et aussi nette qu'une bonne ïnterpréta- tion par des artistes intelligents, en possession des grandes traditions d'art dramatique dont la Comédie frangaise de Paris est la gardienne attitrée, revê- tus en outre de costumes exacts recon- stitués avec un gout pur dans leurs moindres détails, préoccupés enfiu, ainsi que les hommes d'expérience qui les dirigent, de faire en sorte que l'au- teur lui-même pourrait dire c'est bien. Toutes ces conditions d'une interpré- tation dont la valeur éducative soit l'égale de la valeur artistique, M. Garay a cherché a les faire réaliser par sa troupe, et il y a pleinement réussi. C'est l'éloge le plus complet qu'on puisse faire de son entreprise. Le spectacle de Mardi coirimengait par VEpreuve, un acte de Marivanx. L'art subtil et élégant, la mièvrerie gracieuse de l'auteur des Fausses confi dences exigent de ses interprètes une finesse de jeu, une préciosité de dis tinction même que les artistes de M. Garay ont atteintes dans la mesure nécessaire, sans exces. Ce souci d'une recherche plus raffinée exclut les gros efi'ets et les succès bruyants mais les délicats apprécient ce qu'une interpré- tation adéquate de Marivaux exige d'art et de compréhension. VFpreuve a été jonée dans le ton voulu, avec un ensemble parfait, par ies jeunes artistes de la troupe Garay. Eli citer un serail faire tort aux autres: tous méritent une part égale des éloges, comme tons out recueilh part égaie des applaudissements. Les F our her ies de Scapin formeut avec TEpreuve un co.utraste frappant. L'art franc, le dialogue t.avoureux, la latigue pure et nette de Molière n'ont pas été moms bien compris Le grain decharge que demande la farce inolièresque y a été mis, mais saus la., générosité dont trop d'artistes, jugeant d'après de viel- les traditions, croient devoir gratifier les publics de province. Nous ferons une mention spéciale pour M. Stacquet, qui a rendu a mer- veilie la truculence que présente, dans ses multiples aspects, le röle varié de Scapin. M. Stacquet y a dépensé, sans compter, et comme devant une salie comble, les ressources d'un talent co- mique qui n'a pas dit son derner mot, et que le public Yprois, s'ii y prête un peu de bonne voionté, verra encore grandir. Les camarades de M. Stacquet l'ont secondé avec entrain, et dans des róles de moindre envergure ont montre une réunion de talents dont les tournées dramatiques nous ont déshabitués. La troupe de M, Garay viendra, le 15 Novembre, jouer les Femmes savantes de Molière. M. Garay, qui fut pension- naire de la Comédie-Frangaise de Paris et du Théatre du Pare de Bruxelles, jouera lui-même le röle de Glitandre M. Ohomé, professeur au Conservatoire de Bruxelles, jouera Chrysale. Aux éléments actuels dont il dispose, M. Garay en joindra de nouveaux dont son goüt et son expérience nous garantis- seiit- le bon choix. Une lettre adressée au Temps par sou correspondant américain donne de poi- guants détails sur le retour des troupes victorieuses des Espaguols Rien de plus frappant, rien qui soit plus propre a mettre en lumière les maux affreux que cause la guerre. II parait que la population, qui se livrait a la joie du triomphe a vec un enthousiasme tout yankee, quand elle a vu le lamentable aspect des conqué- rants de Cuba et de Horto-Rico, quand elle a constaté quels ravages la mitrail- le et la maladie avaient exercés dans leurs rangs -- a senti les acclamations se glacer sur ses lèvrea et qu'elle en est demeurée sufl'oquée. Un détail entre autres Le 71e régiment d'infanterie était parti de New-York avec un effectif de 1,043 hommes. Savez-vous combien d'hommes de ce même régiment ont défilé l'autre semaine dans Broadway 331, parmi lesquels un bon nombre, ne pouvant marcher, avaient été chargés sur des cars. Quant aux autres, 14 avaient été tués, 64 étaient blessés, et le reste, c'est-a-dire 534, était Rispersé dans les höpitaux, mort en route, ou avait été repris d'urgence par les famil ies. Tel est le prix auquel on achète la gloire La constatation des désastres qu'une guerre heureusedétermine calmera-t-elle chez Frère Jonathan l'esprit de conquêtes, et le dégt■ütera- t-elie de s'engager, a l'exemple des nations européennes, dans la voie du militarisme C'est malheureusement improbable. L'impression est vive en ce moment, oü l'on a sous les yeux le résultat des combats livrés, oü l'on établit la balance des profits et de per tes. Le3 profits sont des territoires les pertes, des existences humaines. II n'y a pas compensation Mais, peu a peu, cette impression 8'efl'acera et il ne restera plus que l'enivrement de gloire acquise. D'ailleurs, pendant longtemps encore la guerre sera, pour les nations comme pour les rois, 1 'ultima ratio. Viendra- t-il un temps oü les hommes, plus rai- sonnables, règleront leurs difl'érends saus recourir a la force, en invoquant d'autres droits que le droit... canon? Je suis de ceux qui craignent que ce temps béni n'arrive jamais. Mais, en admettant qu'un tel rêve se réalise, ce ne sera pas encore demain malgré le rescrit du tsar. L. G. (Aurore). II court a Bruxelles de nouveaux bruits d'un massacre de blancs au Con go. L'Étatdu Congo les dément. Nous croyons savoir, mais nous le reproduisons sous toutes réserves, qu'il s'ag'irait du massacre de l'expédition Chaltin, occupant Redjaf oü elle au- rait été aux prises avec les derviches refoulés de Khartoum par les Anglais. En vente chez Monsieur Louis Coulomb, 70, rue Jourdan, Bruxelles. 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Traitement par corre pondance, visite ou séjour a l'lnstitut. On répond a I tont malade qui explique sa maladie il suffil de joindre tin timbre pour la I réponse et demander le bulletin de consultation. 11 n'est done pas nécessaire, dans tous les cas, de se déplacer ou de venir en pension a l'lnstitut. Turnhout, le Ir Septembre 1898. Monsieur le Directeur de l'lnstitut Windelincx, Bruxelles, On peut se renseigner chez les personnes suivantes: Mm« veuve Van Cleemputte, Quai au Bois, 11, a Gand guérie d'un cancer du sein. M. Coubtin, 6, rue de la Vigne, a Auderghem lez- Bruxelles, guéri d'une gl uide du cou. M. Beckaert, inslituteur en chef, chausséc de Boen- dael„ 178, a Bruxelles, guéri d'une glande du cou. Révérende soeur Thérèse de Vlaminck, au couvent du lléguinage, k Turnhout, guérie d'un cancer du sein. M"c C. Godfkinon, rue Marie-Henriette, 99, a Ixelles- lez-Bruxelles, guérie d'un lupus de la face. M"e C. Df.pret, place Bara, 5, Bruxelles, guérie d'un lupus du nez. M. F. Bastiaens, instituteur communal, a ïlévillers- Mont-Saint-Guibert, gué»i d'un cancer a la lèvre inférieure. M. Pilakt, secrétaire communal, a Steendorp, guéri de varices ulcérées aux jambes. (Ajouter itn timbre de 10 centimes pour réponse) Inspirée par un sentiment, de profonde reconnaissance et me voyant déjinitivement guérie I operation du cancer du seinje vous autorise et vous prie niême de publier ma guéri-1 son inespérée c'est votre excellente méthode qui m'a sauvée. Quand je me rappelle le traitement si naturel que j'ai suivi dans votre maison, je ne m'étonne plus des remarqua- bles guénsons que vous opérez Aussi soyez assuréque je conserverai toujours le meilleur\ souvenir de votre Institut oU tous, pauvres et riches, sont soianés avec une éaale lance. Votre dévouée et reconnaissanleVeuve Pelckmans-Meeus Négociante, rue de la Victoire, ci Turnhout. I bienveil- SI 1 on^eonsidere que ce n est pas la une guêrison exceptionnelle mats que l'lnstitut Winde-1 lincx re§oit journellement des lettres semblables, on peut, a iuste titre, dire que le traite-1 Ii?0re celui cIui est le plus efflcace et le plus recommandable. La Direction 1 ?o,J+ elin5x a cru intéressant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant I J ïïi n tSilq qS.AUh mala5es et de les exposer au public dans la salie d'autographes. ou-1 n?pnrirP?nnn?i?ilo?JleuJes'122l rRe Ga"ait. a Bruxelles. Geux qui ne peuvent se déplacer pour ces ieB.res élogieuses devraient tout au moins lire l'expose de la mroqui a,.Produit un grand retentissement et qui a paru récemment sous le I ïimpnt 1 I10 curative naturelle applicables a tont es les maladies et spécia-3 lement aux tumeurs, glandes, maladies de la peau, maladies secrètes, etc. fan vente cliez tons ies hbraires ou a I Institut Windelincx conlre 1 fr, en tirab.-pc Ce riz, absolument PCB FT NON MÉLANGE et de toute première qualïté, est fortemenl recommandé par les médecins pour RKMPLACER LES PO 11 MES DE TERRE. parceque le RIZ DE JAVA se DIGÈRE FACILE- MENT et a une GRANDE PUISSANCE NUTRITIVE. Comme il a la propriété de GONFLER EXTRAORDI- NA1REMENT, l'emploi en revient MEILLEUR MARCUÉ que celui de loutes autres espècrs de riz de Java. Comróle chim. Dr. A. DENAYER, Bruxelles. En vente dans les magasins de romest. en b dtes hermétique- ment fermées, ornées de magnifiques lithographies, contenant 2 1j2 et 5 Kilogr. 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De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1898 | | pagina 2