BIEB SI LET OP! Bier op flesschen. üêrison sansOfêration DES CANCERS, TüMEURS, ETC. Troost en Genazing August BUCQUOY Slï REI K!... IE OUWE H. HÖFLACK, COURSES D'YPRES 2500 FRANCS DE PRIX. 2me Avis. 3me Avis. Etat-Civil (T Ypres, D'ASSURANCES GÉNÉRALES in de Visscher ROUSSELAARSCH EN YPERSCH L Ecole d Equiialio» DiMANCHE 4 JUIN 1899. ler Avis. Apotheek DE WALVISCH La morale des jésuites. BRUIN EX BLEEK ROUSSELAARSCH EN YPERSCH r w- g Z G> PI Rijsselstraat, ii' 61, a Flnsliiui WIXDELIXOX, 122, rue Gallait, a Bruxelies. (Fondé en 1866.) énergie contre l'attentat purement po litique, que projette le gouvernement et émet le vceu de voir tous les partis d'opposition s'unir pour faire triom- pher le suffrage universel pur et simple mitigé par la représentation propor- tionnelle et l'instruction obligatoire. avee le Uenveillant concours de a §5 heures tie relevée. La Commission du Sport Hippique a l'honneur de porter a la connaissance du public, que l'Ecole d'Equitation commencera son intéressant travail a 2 heures. Les courses au trot monté et attelé commenceront a 3 heures précises pour se terminera 4 1/2 heures. L'Ecole d'Equitation terminera la fete par un concours de sauts en hau teur qui durera 30 minutes. La Commission du Sport Hippique a l'honneur d'informer le public qu'elle acceptera jusqu'au 28 Mai, a midi pré cis, au Café du SultanGrand'Place, a Ypres, les soumissions cachetées pour la location du buffet principal, a éta- blir, aux frais du plus haut soumission- naire, dans l'enceinte du pesage. Les personnes qui désirent se faire inscrire comme Membres Protecteurs (10 francs, carte de familie habitant sous le même toit) sont priées de s'adresser jusqu'au 28 Mai inclusive- ment chez Monsieur Auguste Brun- faut, rue de Lille, ou chez Monsieur Louis Yandoorne, Place Van den Pee- reboom, a Ypres. lüAprès cette date les inscriptions ne seront plus regues. Fr. 1,25 <lo pot Comme qiioi il esl lieiie de commetlrc cerlains laui. Je ne lis jamais VAmi du Clergé sans profit. C'est un conseiller fidéle et sür, et je ne sache trouble de conscience dont il ne me délivre sur i'heure et sans souffrance. Par- fois, si la petite morale courante me gêne, et si je me crois oblige, fort stupidement, je le confesse, a l'observer, c'est que je n'ai pas a ma portee ce précieux ami, car, lui présent, hesitations, scrupules s'envolent comme fumée légere. Voici un cas, qui se rencontre souvent, oü le doute fait son oeuvre maligne une jeune fille pauvre maia honnête veut épouser un officier, comment y parvenir. i impitoyable administration exigeant 1,200 francs de rente comme dot de la dite jeune fille UAmi du Clergé a répondu d'une ma- nière si admirable a cette angoissante ques tion, que je veux, par les mille voix de Ja presse, faire connaitre la solution qu'il pré- conise. Combien de jeunes filles me béniront d'avoir révélé le secret, et pourront désor- mais agir tutd conscientidcomme disent nos saints docteurs. Je copie done textuellement la consulta tion parue dans VAmi du Clergé du 20 Avril 1899, a la page 367 i Et d'abord la question. Un officier veut se marier avec une jeune fille majeure, mais celle-ci ri'a pas les 1,200 francs de rente exigés par la loi. Un parent veut bien constituer cette rente a la jeune fille 11 suffit, pour cela 1° Ou de lui remettre des titres nomina- tifs faisant 1,200 francs de rente 2° Ou le parent lui-même peut, par des titres en son propre nota, s'engager a con stituer la rente nécessaire a la jeune fille. s Or, il est convenu implicitement entre eux que, le contrat une fois passé, la jeune fille rendra au parent les titres norninatifs constituaut la rente ou, dans le second cas, qu'elle n'exigera pas la rente promise par le parent. Quid de casu, pour la jeune fille comme pour le parent En conscience, peuvent-ils agir ainsi Jusqu'a quel point une pareille loi oblige-t- elle Et voici la réponse a lis peuvent agir ainsi sans scrupule de conscience. Outre que cette loi, de carac- tère administratif, n'est tres probablement point de celles qui doivrnt être regaraées comme créant in foro inierno une obligation de conscience proprement dite, el.e a un certain eóié par lequel on pourrait, dans tous les cas, s'y .soustraire légilimement., c'est-a-dire en tant qu'elle fait obstacle non canonique a la liberte des ra ariages. C est un a empêchemeut institué par la loi civile, non pas, en soi, si l'on veut, intrinséque- ment condamnable, mais auquel marique la sanction de FEglise, et qui, par ailleurs, contrarie assez le droit naturel pour être laissé de cöté auiant que legitime besoin pourra s'en faire sentir. Voila, ou je me trompe fort, un docu ment libérateur, et 'foin de la loi avec ses exigences Quel plaisir noble et délicat que de procéder ainsi a uu petit faux en écriture publique, sans scrupule de conscience Man que la sanction de l'Eglise, et rien ne va plus, et, le droit naturel étant contrarié, la liberté de tromper reprend tous ses droits. C'est le nouvel évangile, celui-la. L'ancien disaitQue votre oui soit oui et votre non, non. Le reste vient du Diable. Et maintenant, jeunes et aimables fian- cées, loin de vous troubles et inquiétudes au sujet des 1,200 francs exigés par la loi, nul souci du petit faux Vous avez le document libérateur contresigné par les docteurs de 1 'Ami de la vérité. Allez-y [Aurore). du b au 12 Mai 1899. Naissances: Sexe mascuün, 4, id. féminin, 6. Manages. Van Daele, Hector, fieuriste, et Van- holst, Félicie, sans profession. Phi- lippart, Arthur, journalier, et Ghis- quiere, Marie, dentellière. Bailliu, Öamille, peintre, et Hofiack, Louise, dentellière. Dècès Brackez, Isabelle, 84 ans, sans pro- fession, veuve de Barbez, Pierre, rue de l'Höpital S' Jean. Deleye, Pela- gie, 64 aus, sans profession. veuve de Buseyne, Charles, rue de Lille. Degryze, Cathérine, 85 ans, sans pro fession, veuve de Doom, Pierre, rue de la Boule. Enfarits au-dessous de 7 ans Sexe masculm.3 id. fériiinin. 0 COMPAGNIE BELGE O OMRS LES ACCIDENTS DE T0UTE NATURE. Fonds de caïuntie 23,000,000 de prAi\Cs Assurances iiidividuelLes contre les accidents corporels de toute nature avec 011 sans garantie, de la responsa- biiité civile viagère contre les accidents de chemina de fer et de bateaux a vapeur de la responsabiiité civile des pharmaciens de la responsabiiité civile des Tramways de la responsabiiité civile des chevaux, voitures et automobi les avec dégats matériels spéciales des cochers spéciales des gardes-chasse maritimes pour le monde entier sport vélocipédique. M.S. La Cie renonce expreaaément en faveur de l'assuré ou de ses ayants- droit, a tous recours contre les tiers (administrations ou autres) du chef de l'accident. Pour tous renseignements s'adresser a M. Arthur SaLOMÉ, Agent de la Cie, a Ypres, rue de Dixmude, 49. BIJ HERBERGIER, 35, ÊDikumuiflesiraat, 35, TE YPER, ZIJN TE BEKOMEN OP FLESSCHEN. Vous tous qui désirez avoir ïheure exacte, nachète que la montre Nüreté, marque dèposèe W« oo Réglage garanti par le fabricantprix modique, voila ses qualitós 10764. Exiger la marque dèposèe pour éviter les contrefagons<yCswNrFyC> Ess vcsite ciics les principalis iiorioger§. Om alle misslag te vermijden, de chirur gijn tandmeester MAURICE MEIER, TE kORTRIJK heeft de eer zijne talrijke ka lanten alsook de personen die begeeren hem te raadplegen, ter kennis te brengen dat er een nieuwen tandmeester die dezelfde naam draagt en met wien hij geenszins in han delsbetrekking is, naar Yper komt, twee huizen van zijne woonst. Hij verzoekt hun zich wel te verzekeren indien zij bij den ouden tandmeester zj-jn MAURICE MEIER TE KORTRIJK die te Yperen te raadplegen is s- dert 1.-1- jaar bij de weduwe VAN KEMMEL GROOTE MARKT, N° 5, (gesloten huis) Maandag. Dond rdag en Zaterdag van 9 tot 4 ure. Hij heeft nog broeder, nog zoon, nog bloedverwant, belast met het vertegenwoor digen van zijn huis. BIJ DE HERBERGIERSTER TE PER, ZIJN TE BEKOMEN bruin en bleek Ypres, impr. LAMB IN-MAT HÉ E rue. de, Dixmude, St. Consultations tous les jours de 10 a 1 heure. Les Mardis de 9 a 5 heures. Guérison sans opéralio» NOUVELLE GÜERISON REMaRQUABLE. Un meaecin de l InsMtit aonne des consultations a COURT RAL HOTEL ROïAL en face de la Gare, les]:™? >i >me methode camtmnatur*ue applicable* <t toute» les m-nadtes etspecia-p r r Voor allen die lijden aan wonden bijzonder voor deze voortkomende van geberste aders aan de beenen en meestal voor ongeneesbaar ge houden. Twijfelt niet meer want met de SOUVE- REREINE ZALF be komt men eene zachte en volkomene genezing. De kwade gevolgen die men soms vreest worden ver meden met ons speciaal BLOEDZUIVEREND MIDDEL Aleen te bekomen in de I DIEPESTRAAT, 10, ANTWERPEN Aldaar ook te bekomen de Wonderzalf voor degenen die aangedaan zijn van huid ziekten, puisten, droog en nat zilt, ka- triewiei, baardziekten, het pellen en vervellen der huid, haarworm, rappen, enz., enz., want de genezing is zeker, als men de WONDERZALF en het BLOEDZUI VEREND MIDDEL gebruikt der apotheek X>E WALVISCH, Diepeslraat, 10, Antwerpen, aan 75 centiemen de kleine pot en fr. 1.25 de groote; het bloedzuiverend middel fr. 1.25. (Met opleg van 10 cent. bekomt iwn ze franco t' huis. -"S3 33 tel «mnitnflmiiinm ivies Tumeurs, Cancers du sein, Glandes du eon, Lupus a la face. Cancers de la jlèvre, Fistu/es, Hémorrhoïdes, Ulcères variqueuxUlcères de la.matrice, Car/es, jDartres, Maladies secretes, Rétrécissements et leurs complications par des I guérisons faclices Si vous avez tont essajé en vain, adressez vous a l'lnstitnt Windelincx qui I gu'rit ces maladies sans couper, sans infecter Ie saqjj, en éliminant, pir des I traiiements rationnels, les germes de Ia maladie. On y éviie les opérations, j injections, curetages, incisions, ponctions et touies les interventions chirur- Igicales. L méthode de l'Institut a pour but deguérir la maladie en aidant la j force curative naturelle. Toute maladie révèie avec el le cette puissance cura tive; souienir celte force, I 'aider dans ses tendances vers la guérison, voila e secret des cures merveilleuscs de I'Institut Windelincx. Trailement par con e-pondance. visile ou séjour a lTnstitut. On répon 1 a I tout malade qui explique sa maladie il suffit de joindre un timbre pour la I réponse et demander le bulletin de consultation. II n'est done pas nécessaire, dans tous les cas. de se déplacer ou de veuir en pension a l'Institut. On peut se\renseigner chez les personnes suivantes: Mme veuve Van Clf.e.mpütte, Quai au Bois, 11, a Gand, guérie d'un cancer du sein. M. Courtin. 6, rue du la Vigue, a Auderghem lez- Bruxell.es, guéri d'une glande du cou. M. Bechlaert, iuslituleur en chef, chaussée du Boen- d iel, 178, a Bruxelies, guéri d'une glande du cou. Révéren Ie sffiur Thbrbsb de Vla.yiinck, au couvent du Bé^uinage, a T-uuibout, guérie d'un cancer du sein -M1|eC. Godfrinon. rue Marie H'nriette, 9!J, a Ixelles- lez-Bruxelles, guérie d'un lupus de la face. ftl'ie C. Depret, place Bara, 3, Bruxelies, guérie d'un lupus du nez. M. F. Bastiaens, iuslituleur communal, a ïlévillers- Monl-Saint-Guiberl, guéri d'un cancer a la lèvre inférieure. M. Pilakt, secrétaire communal, a Sleendor Turnhout, le lr Septembre 1893. Monsieur le Directeur de l'Institut WindelincxBruxelies, Inspirée pvr un sentiment de profonde reconnaissance el me voyant définitivementgudrie 1 sans operation du cancer du seinje vous autorise et vous prie même de publier ma guêri-% son inespérée c'est voire excellente méthode qui m'a sauvêe. Quand je me mppelle lel traitement si naturel quej'aisuivi dans voire maison, je ne m'dtonne plus des remarqua-% bles guirisons que vous opirez Aussi soyez assurêque je conserverai toujours le meilleu'A souvenir de votre Institut ou tous, pxuvres et riches, sont soignés avec une éqale bienveil-\ lance4 Votre ddvouêe et reconnaissante Veuve Pelchmans-Meeus, Négociante, rue de la Victoire, 'a Turnhout l'Institut Winde-I que le traite-| La Directionl i---- ..u.. u ui i,1 u^,..„mi iwmt. we lettres élogieuses émanantbH de varices nice rees aux jambes. tant aemeaeeins. que de malades et de les exposer au public dans la salie d'autographes. ou-wa fAion ei' nu timbre de 10 c.-ntiines Dour réoonsel XeI .a tous de.0 a heures, 122, rueöallatt. a Bruxelies. üeux qui ne peuvent sedéplacer pourga (Ajou.ei un umoicne in c uumes poui i epon. lj prendre connaissance de ces lettres élogieuses devraient tout aumoins lire l'exoosé de la EU VZ - Methode Windelincx qui a produitun grand retentissement et qui a paru récetnmènt sous lef^ l( ,1 9f A» ,l.n(m.j io/ lemen t aux lumeurs, gl andes, malad ïes de la peaumalad los secrè te s, e tc Samndis (18 cnnqn6 inois, de 10 (l 12 heures Ln venle chez sous les li brei res ou a I Ins! i t ut Wi uibq jüex contre 1 fr, en ti in b- postij

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De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1899 | | pagina 2