LDELEU&C Bier op flesschen. SlI HI I T ÉI... WEDUWE H. HOFLACK, E Gorrespondance. I In de Nieuwe Post Rijssclstraaï, u' 61, ROUSSELAARSCH KN YPERSCH li m iiij. mém Société c les Infatigablès Examen. SOCIÉTÉ DES ANCIENS POMPIERS de la ville d'Yp res. JkTV I ts. Avis aux cyelistes et aux conducteurs de voitures. Btii vente elseac les principalis Biorlogcrs. ARf Le crédit en question est-il sérieux cette fois-ci et sera-t-il réellement dé- pensé Nous avons lieu d'en douter. De plus, nous avouons franchement, et par ex- périence, que nous ne pouvons avoir la moindre confiance dans les promesses du gouvernement qui nous a trop sou vent joué. Nousy ajouterons toi seule- ment quand nous verrons les travaux sérieusement entamés. N'avons-nous pas vu inscrire au bud get de l'Etat, il y a bientöt 3 ans, un crédit de 264,000 fr. pour travaux d'amélioration aux batimentsdel'Ecole d'Equitation et qu'en est-il advenu Ce crédit a-t-il été détourné de sa des tination et appliqué a d'autres travaux ailleurs comme d'aucuns le prétendent ou bien est-il tombé en boni N'en sera-t-il pas de même du crédit de 250,000 fr. pour notre canal C'est plus que probable. Qui vivra, verra. Un de nos amis, auquel notre esti mable correspondant octroie généreu- sement mais a tort le titre de rédacteur en chef de notre journal, nous com munique la lettre qui lui est adressée par M. G. Werbrouck, ainsi que la gen- tille invitation qu'elle contient. Bien qu'a la rigueur nous pourrions ne tenir aucun compte de la demande d'insertion qui nous est faite d'une fagon tout in directe, nous offrons bien volontiers a M. Werbrouck, l'hospitalité de nos co lonnes. Nous insérons done sa lettre in extenso, et nous le remergions de l'offre qu'il nous fait, de nous faire vi siter le siège et les écritures de la so- ciété, qu'il dirige, ainsi que du rapport qu'il nous adresse. Monsieur le Rédacteur en chef du journal La Lutte a Ypres. Un ami me communique le n° 38, en date du 22 cl, de votre estimable journal, et fixe mon attention sur un articulet inti tule cl1' Rappel Dans eet articulet votre estimable jour nal parle de 2000 actions de 26 fr. l'une, de la société Eigen Heird t, souscrites par le Bureau de bienfaisance d'Ypres, et demande avec une intention que je ne veux pas croire méchante, qui peut avoir été an- térieurement détenteur de ces actions. i> Je ne puis me résoudre a croire que votre estimable journal aurait en vue l'éreinte- ment systématique d'une oeuvre a l'éclosion et au progrès de laquelle tous les hommes de coeur devraient applaudir et que tous les hommes sérieux dèvraient encourager, si pas par leur bourse, du moins par le talent de la parole et de la plume. Et c'est parceque je crois cela, que je vais chercher a vous donner vos apaisements et couper court a c tout ce qui se raconte soit disant d ce sujet Si tous les lecteurs de votre estimable journal étaient des hommes instruits et ca- pables de savoir par quels chemins ils doi- vent passer pour s'informer des choses qui peuvent intéresser le public, ma présente réponse serait inutile et je ne la ferais pas. Le rédacteur de l'articulet que je vise, et que je suppose intelligent et capable, me donnera certainement raison quand il m'aura lu. j> Qu'est-ce en effet que la société Eigen Heird r> II était aisé a votre estimable journal de s'en assurer, et peu de personnes a Ypres l'ignorent. C'est une société faisant aux ouvriers qui en font partie, des ouvertures de crédit pour leur permetlre, sans exiger de leur part un paiement qui dèpasse sensiblement le prix du loyer moyen d Ypres, de devenir en i5, 20, 25 ou 50 ans propriètaires de leur habitation. Cette société a adopté la forme coopèrative. Dans ces trois lignes d'explication le ré dacteur de l'articulet auquel je réponds trouvera, il aurait dü le faire par lui- même parceque le journaliste porte sur des épaules souvent fragiles une lourde respon- sabilité, les éléments d'une enquête fort simple, lui permettant de trouver une ré ponse claire et précise a la question qu'il pose au Journal d'Ypres et peut-être je lesouhaite la conviction qu'il convient a un rédacteur de journal de se dépouiiler, avant de prétendre diriger les masses, de toute idéé préconcue. d J'ai dit, une société coopèrative. Les sociétés de l'espèce, vous ne l'igno- rez pas, Monsieur le Rédacteur en chef, doivent de par la loi et dans l'intérêt des tiers, déposer tous les ans, au greffe du tri bunal de commerce, la liste de leurs action- naires et leur bilan. D'autre part, vous ne l'ignorez pas non plus, ces sociétés parceque cooperatives sont a capital illimité. Votre collaborateur pouvait done aisé- ment et sans avoir recours au Journal d'F- pres copier au greffe du tribunal d'Ypres la liste des actionnaires de la coopèrative Eigen Heird s> arrêtée au 31 Décembre 1898. II pouvait renouvelerla même opéra- tion a la fin de l'année courante, et voir ainsi quels étaient les actionnaires disparus et remplacés par la souscription du bureau de bienfaisance. II n'a vraisemblablement pas eu cette patience et je veux bien, pour lui épargner cette besogne, lui fournir de quoi s'apaiser. t La, société Eigen Heird t étant de forme coopèrativedone a capital illimité, elle cherche a augmenter son capital social chaque fois que le .besoin s'en tail sentir, e'est-a-dire chaque fois qu'elle trouve parmi ses membres affiliés des ouvrie.rs disireux d'aller grossir la phalange des ouvriers pro priètaires. s II en résulte que, si les nouveaux pro priètaires qui lui arrivent remplacaient des actionnaires qui s'en vont, elle resterait l'arme au pied. Elle ne veut pas de cela, et cette position de repos ne répondrait aucu- nement aux désirs de ses membres ouvriers. Voila pourquoi la souscription du bu reau de bienfaisance constitue tout simple- ment une augmentation de capital dont votre rédaction verra bientöt d'ailleurs le résul- tatquelques nouvelles maisons ouvrières ne tarderont pas a surgir de terre. J'espère, Monsieur le Rédacteur en chef, que cette explication vous donnera sa tisfaction et qu'elle épargnera a votre jour nal la nécessité d'un 2me rappel. Une rectification de chiffre encore il ne s'agit pas de 2000 actions, mais de 200. J'ajoute que j'aurais préféré ne pas devoir rectifier. Pour vous permettre d'étudier notre oeuvre de plus pres je joins a ces quelques lignes, mon rapport pour l'année 1898, sur les opérations du Comité de patronage des habitations ouvrières d'Ypres, espérant que vous y trouverez quelques indications utiles et j'estime que ce faisant je vous emmène- rai a aimer notre oeuvre et surtout a lui créer de nouveaux adeptos,tant actionnaires qu'ouvriers. Au surplus je suis complètement a vos ordres pour le cas ou vous auriez Ie bien légitime désir de visiter notre siège social et les écritures de notre société. Je vous promets la plus cordiale réception et je suis persuadé que ce que vous constateraz fera tomber bien des préventions. J'espère, Monsieur le Rédacteur en chef, que vous aurez la courtoisie d'insérer ces quelques lignes dans votre n° du 29 c' et je vous prie de bien vouloir agréer l'assu- rance de ma considération distinguée. G. Werbrouck, Secrétaire du Conseil d'adm"11 de la Coop0 Eigen Heird Ypres, 25 Juillet 1899. Si ces explications nous avaient été données au lendemain dn 27 Juin, nous n'aunons pas dü rappeler notre deman de. Nous remercions M. Werbrouck de ses renseignements et nous nous décla- rons satisfaits. Si nos renseignements sont exacts, cette vaillante Société donnera le Mardi 15 Aoüt prochaio, au Jardin de la Gita- delie, route de Menin, une brillante fête champêtre. Indópendamment du Concert, il y aura une Kermesse üamande et un Bal. Nous publierons le programme de ces festivités dans un de nos prochains nu- méros. - -- Monsieur Prosper Van. den Bulcke, de Becelaere, an cien élève du Collége communal sup- primé et .du Collége de l'Union de cette ville, vient de passer avec di$> tiiictioii, devant le Jury de Gand, son premier examen de Hocteur en mé- decine, chirurgie et accouchements Nous lui adressons nos bien sincères felicitations. Invitée par la Société de S' Georges, l'Harmonie se rendra a Courtrai Di- manche 30 de ce mois, pour donner un concert au pare de la Société. Départ d'Ypres a 14 h. 29. Arrivée a Courtrai a 15 h. 19. Départ de Courtrai a 21 h. 47. Arrivée a Ypres a 22 h. 37. Prix du voyage aller et retour 3ma classe fr. 1-30. 2me classe fr. 1-95. Les membres des Anciens Pompiers qui désirent participer a cette excur sion sont priés de se faire inscrire au local les jours de répétitions a 9 heures. Ils jouiront de l'entrée gratuite au pare a la condition d'être munis de leurs insignes. Comment doit-on se croiser 1° On se croisera en tenant la gauche et on dépassera en prenant la droite a) Dans les provinces de la Flandre Occidentale, de la Flandre Oriëntale, d'Anvers, du Limbourg,%e Liège, du Luxembourg, soit dans toutes les pro vinces qui touchent a la Hollande ou a la Prusse b) A Louvain, Aarschot, Diest, Tirle- mont (arrondissement de Louvain). 2° On se croisera en tenant la droite et on dépassera en prenant la, gauche dans les autres parties du pays. N. B. Les autres journaux sont priés de bien vouloir reproduire le pré sent avis. 0 ALLE BENOODIGHEDEN VOOR RIJWIELEN AUTOMOBIELEN 32, Bogaanlenslnutl, Brussel EADIE, 3 fusils (B. S A en andere stukken Machienen ELYRIA Amerikaar.sche Garnituren ELYRIA nieuwigheid sterk, schoon, licht, goedkoop. Eeuig depot van de caoutclioucbanden met het gedeponeerd merk. N. B. Het huis levert uitsluitend aan handelaars. Vous tous qui dèsirez avoir l'heure exacte, nachète que la montre marque déposée M- ir m- (Tl y z Q PI €T3 or> Règlage garanti par le fabricantprix modique, voila ses qualitès 1076i. Exiger la marque déposée pour èviter les contrefacons. <X sunEfFjfy Ypres, impr. LAMBIN-MATHÉE, rue de Dixmude, 51. BIJ DE HERBERGIERSTER TK YPEIt, ZIJN TE BEKOMEN bruin en bleek Ten bureele dezes, Déclaration pour brassergereed gedrukt, aan genadigen prijs. On prétend le cancer incurable; presque toutes les autorités médicales sont d'accoi'd sur ce point. Cepen- WMÊM i JWfJpYJXJCt p fcf s -J dant l'liistoire de la médecine rapporte des cas de guérisons spon- tanées, el les tnédecins les expliquent par ce fait que, dans certaines constitutions, la force curative ou la résis- lance a la maladie est parfois lel lenient pui'ssanle, qu'elle parvient A vaincre l'affection, grace it une elimination lente mais continue du poison cancéreux. Aider la nature, aider celte force curative, provoquer cette elimination, tel est done encore le plus sur moyen de triompher du cancer; telle est aussi lenigme de la guérison d'une dame de Houlhem, doiil nous venons de recevoir la déclaration suivante avec prière d'insertion A Monsieur le Directeur de l'Institut Windelinckx, 122, rue Gallait, Bruxelles. Quel bonheur de pouvoir vous confirmer que je suis guérie, bien guérie de ma tumeur du sein et que je me porte beaucoup mieux sous tous les rapports. C'est gi-ftce a vous que je dois cette guérison inespérée et déclarée impossible. Pendant que j'étais en traitement dans votre Institut, lout le monde déclarait mon mal incurable et prédisait que je ne saurais plus revenir en bonne santé au milieu des miens; que j'étais irrémédiablement perdue. Et cependant, aujourd'hui, me voila sauvée par votre traitement si simple sans avoir dü subir aucune opération. Je ne pourrai jamais vous êlre trop reconnaissante, puisque je vous dois le rc-sto do ma vie. Aussi vous pouvez faire de ma lettre. de reincrrfeinent tel usage que bon vous semblera, sachant quo je ne vous rends ainsi qu'une infiine partie de la reconnais sance que je dois a vous et aux médecins de votre Institut. Mon séjour ehez vous a été un peu loug, c'est vrai, mais qu'est ce que quelques jours de separation, si on a pu recouquérir une vie déclarée perdue Aussi ni moi, ni mon mari, ni mes enfants sonuncs loin de regret ter les sacrifices de la séparation que nous avons dü nous imposer et tant que je vivrai, je ferai vos louanges que vous avez tous si bien méritées. Votre dévouée et reconnaissante épouse Patfoort, Fr., a Houthém-lez-Furnes. Si l'on considère que ce n'est pas 1& une guérison exceptionnelle, mais que l'Institut Windelinckx regoit trés souvent des lettres semblables, on peut, juste titre, dire que le traitement naturel est encore celui qui est le plus humain, le plus efficace et le plus recommandable. La direction de l'Institut Windelinckx a cru intéres sant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant tant de médecins que de malades et de les exposer au public, dans la salie d'autographes, ouverte a tous, de 9 li. a 4 h., 122, rue Gallait, Bruxelles. Ceux qui ne peuvent se déplacer pour prendre connaissance de ces lettres élogieuses devraient tout au moins lire l'exposé de la méthode Windelinckx, qui a produit un grand retentissement el qui a paru récemment sous le titre Principes d'une méthode curative naturelle appli cable s a toutes les maladies ct spécialement aux tumeurs, glandesmaladies de la peaumaladies secretesetc. En vente cliez tous les libraires ou l'liistilut, contre un franc en timbres-posle. Les consullalions out lieu tous les jours de 10 1 heure, 122, rue Gallait, et les mardis de 9 a heures. Un médecin de l'fns itut donne de. consultations a Uoiil'li'ai, Hotel Royal, en face de la gare, Ie 1' ct 3m" Sauicdi du mois, de lO a 12 h' raeecOOOffieswieiw™ H to rn rn

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De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1899 | | pagina 2