EnDELEU&C Voulez-vous 1 bonne inontre f Bier op flesschen. JLe üuide illustré du Touriste S'ldï:!- ATTENTION! WEDUWE H. HOFLACK, URE CURE 8EIARQUABLE Cliroifiiifiie locale* D'ASSURANCES GÉNERALES État-Civil d'Ypres, In de Nieuwe Post ROUSSËLAARSCH en ypersch M. Surmont et le commerce et l industrie. Rijsselstraat, n' 61, Nul n'ignore que M. notre Premier profite de toutes les occasions, pour déclarer, aussi bien au Sénat qu'au Conseil communal qu'Ypres est une ville de rentiers, précisément comme s'il voulait faire comprendre par la que pour notre chère cité, on ne doit abso- lument rien faire. C'est ainsi que dans une des derniè- res séances de notre conseil communal, M. Iweins lui proposa d'augmenter le nombre des ouvriers afin d'entretemr un peu plus convenablement les jar- dins et promenades publics ce a quoi M. Surmont répondit que les finances ne permettaient pas de faire cette aug mentation. Demandez des crédits au Conseil communal, reprit M. Iweins, vague comme il est, et nous les voterons. M. Surmont, contredisant, répondit: Pour ce qui concerne d'augmenter n les impöts, a cela je ne souscrirai pas. a Dans une ville d'industrie et de com- merce, établir quelques impöts en a plus, ne souffre aucune difïiculté. Un négociant n'y prend guère attention puisque cela rentre dans les gains et pertes mais Ypres est avant tout 7) une ville de rentiers, et quand vous n retirez un sou a un rentier, sans lui b procurer les moyens d'équilibrer ces dépenses, vousdimiuuez ses revenus b en proportion, b N'est-ce pas la un triste argument, pour un Bourgmestre Y a-t-il un seul rentier qui ferait la moindre observation parce qu'il de- vrait payer quelques centimes en plus, s'il avait la conviction que l'argent des contribuables est bien employé et qu'il n'est nullement gaspillé? Y a-t-il d'ailleurs, a Ypres plus de rentiers, en proportion de sa popula tion, que dans toutes les autres villes de la Flandre Nous ne le croyons guère, a moins que M. Surmont ne compte parmi les rentiers, les carmes et nonnettes, les fainéants et les carottiers du Volkshuis qui sont entretenus par les Hospices, le Bureau de Bienfaisance, la Société de S1 Vincent de Paul, l'oeuvre de S' Antoine, les Congregations et une foule d'autres institutions politiques clérica- les. ALLE BENOODIGHEDEN 0 RIJWIELEN AUTOMOBIELEN 32, Bogaiinicnstraal, Brussel. EADIE, 3 fusils (B. S A en andere stukken. Machienen ELYHAA Amerikaar.sclie Garnituren ELYSIA nieuwigheid sterk, schoon, licht, goedkoop. Eeuig depot van de caoutehoucbanden met liet gedeponeerd merk. N. B. Het huis levert uitsluitend aan handelaars. Nous ne savons sur quelle statistique M. Surmont se base pour parler de la sorte, mais ce que nous afïirmons, c'est que les rentiers sont en minorité a Ypres et que la plus grande partie de la population yproise est composée de commergants, négociants, marchands qui ne demaudent pas mieux que de voir prospérer leur chère cité. N'y at-il pas parti pris, dans une intention contraire, ou par préoccupa- tion politique ou bien encore pour faire son goüt et sa propre idéé, que M. Surmont est l'adversaire acharné de tout ce qui pourrait favoriser ou développer l'industrie et le commerce de la ville d'Ypres Craint-il peut-être l'indépendance du négociant ou de l'induatriel C'est bien possible. Oü sont maintenant ce3 cléricaux francs et sincères, avec Surmont en tête, qui promettaient, a leurs bénévo- les électeurs, d'ériger des fabnques Pour le moment on ne voit construire que des couvents, chapelles et maisQns de santé. Les commergants Yprois, deman- dent depuis nombre d'années l'achève- ment du canal d'Ypres a Comines Eh bien M. Surmont, dans une séance publique du Conseil communal, s'en est déclaré l'adversaire. lis demandent une voie directe, a grande section, d'Ypres a Dixmude, et que fait notre Premier II cherche a, s'y opposer par tous les moyens possi bles et s'entend avec ie miuistre pour faire remplacer cette ligne a grande section, par un tram ayant son point de départ de Poperinghe et pour lequel il voudrait faire intervenir la ville d'Y pres pour une large part. lis sollicitent encore la faveur d'être reliés au tram électrique d'Armentiè- res jusqu'au hameau le Bizet, par Pioegsteert, et par les ramifications de notre Maïeur, cette faveur ne leur sera pas accordée. Toutdoit être exécuté d'après l'idée de M. Surmont. 11 a ia prétention d'être plus capable qu'un autre. Et tout en étant préjudiciable aux intéréts de la ville, il dicte sa volonté envers et con- tre tous. Dernièrement encore, il a fait discu- ter, en comité secretdifférents travaux publics d'une tres grande importance pour faire accroire tout ce qu'il vou lait aux conseillers, et ce, contraire- menfc a la loi. Eh bien chers lecteurs, la ville d'Ypres est livrée en de bonnes mains N'esi-il pas renversant d'avoir a la tête de notre cité, un Bourgmestre qui s'oppose a toutes les propositions faites par les commergants et les mdustnels et qui intervient en haut lieu pour contrecarrer tous leurs projets. a Ypres et aux environs Le Guide illustré du Touriste cl Ypres et aux environs vient de paraitre. Nous pouvons donner l'assurance a nos lecteurs que c'est un tres oli vo lume orné de plus de 80 vues taut de ia viife que des environs. Nous engageons les amateurs qui désirent se procurer eet ouvrage de se hater car un grand nombre d'exem- plaires de ce petit chef-d'oeuvre sont déja vendus et l'édition sera vite épuisée. 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H od CHEMIN DE FER INTERNATIONAL Se méfier des contrefagons. ei "C a en faveur de l'assuré ou de ses ayants- droit, a tous recours contre les tiers (administrations ou autres) du chef de ['accident. Pour tons renseignements s'adresser a m. Arthur Salomé, Agent de la Cie, a Ypres, rue de Dixmude, 49. Four éviter toute erreur, le dontistc Maurice MEIER, de Courtrai, a l'honneur d'in- former sa nombreuse clientèle ainsi que les per soa nes qui au- raient ['intention de venir le con*, sulter qu'il y a un nouveau den- tisle portant le inêrne nom et avec lequel il n'a aucune relation comrnerciale, qui vient a Ypres a deux maisons de sa derneure. 11 les prie de bien s'inforrrier s'ils sont chez l'ancien dentiste Maurice MEI EK, dé Courtrai, qui est a consulter a Ypres depuis 14 ans chez i\lma Veuve V/VN KEMMEL, Grand'Place, 5 (rnai- son fermée) les Lundi, Jeudi et Samedi, de 9 a 4 h. 11 n'a ui frèreni fils, ni parent chargé de representor sa rnaison. Pour vos cartes de visite, adressez- vous a l'imprimerie de la Lutterue de Dixmude, 51. Exécution soignée. du 18 au 23 Aoüt 1899. Naissances Sexe raascultn, 5 id. féminin, 3. Manages. Dufiou, Frangois, magon, et Morel, Julienne, dentellière. Du Bosch, Jean, brigadier au 1' chasseurs a che- vai, et Wullepit, Marie, sans profes sion. Dècès Bollengier, Marie, 77 ans, sans pro fession, veuve de Vitse, Benoit, rue de Thourout. Carnier, Abel, 7 ans, écolier, rue du Verger. Vanhove, Louise, 73 ans, sans profession, veuve de Froymand, rue de l'Hópital S' Jean. BIJ DE HERBERGIERSTER TK YPFJt, ZIJN TE BEKOMEN bruin en bleek Ypresimpr. LAMBIN-MATHÉE me do, Dixmude. Ui On pretend le cancer incurable; presque toutes les autorités médicales sont d'accord sur ce point. Cepen- L4 M r~ dant l'histoire de la médecine rapporte des cas de guérisons spon- tanées, et. les niédecins les expliquent par ce fait que, dans cei'taines constitutions, la force curative ou la resis tance a la maladie est parfois tellement puissante, qu'elle pa'rvient a vaincre l'alfection, grace a une elimination lente mais continue du poison cancéreux. Aider la nature, aider celte force curative, provoquer cette elimination, tel est done encore le plus sur moyen de triompher du cancer; telle est aussi lenigme de la guérison d une dame de Ilouthem, dont nous venous de recevoir la declaration suivante avec prière d'insertion A Monsieur le Directeur de l'lnstitut Windelinckx, 122, rue Gallait, Bruxelles. Quel bonheur de pouvoir vous confirmer que je suis guérie, bien guérie de ma tumeur du sein et que je me porte beaucoup mieux sous tous les rapports. C'est grace a vous que je dois cette guérison inespérée et déclarée impossible. Pendant que j'étais en traitement dans votre Institut, tout le monde déelarait mon mal incurable et prédisait que je ne saurais plus revenir en bonne santé au milieu des miens; que j'étais irrémédiablement perdue. Et cependant, aujourd'hui, me voila sauvée par votre traitement si simple sans avoir dü subir aucune opération. Je 11e pourrai jamais vous être trop reconnaissante, puisque je vous dois le reste de ma vie. Aussi vous pouvez faire de ma lettre de remerciement tel usage que bon vous semblera, sachant que je ne vous reuds ainsi qu'une infime partie de la reconnais sance que je dois a vous et aux niédecins de votre Institut. Mon séjour chez vous a élé un peu long, c'est vrai, mais qu'est ce que quelques jours de separation, si on a pu reconquérir une vie déclarée perdue Aussi ni moi, ni mon mari, ni mes enfants sommes loin de regret ter les sacrifices de la séparation que nous avons dü nous imposcr et taut que je vivrai, je ferai vos louaiiges que vous avez tous si bien mêritées. Votre dévouée et reconnaissante épouse PatI'OORI', Fit., a Houlhem-lez-Furn'es. Si i'on considère que ce n'est pas lè une guérison exceptionnelle, mais que l'lnstitut Windelinckx regoit trés souvent des lettres semblables, on peut, a juste titre, dire que le traitement naturel est encore celui qui est le plus humain, le plus efïicace et le plus recommandable. La direction de l'lnstitut Windelinckx a cru intéres sant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant tant de niédecins que de malades et de les exposer au public, dans la salie d'aulographes, ouverte a tous, de i 9 h. a 4 h., 122, rue Gallait, Bruxelles. Ceux qui ne peuvent se déplacer pour prendre connaissance de ces lettres élogieuses devraient tout au moins lire l'exposé de la méthode Windelinckx, qui a produit un grand retentissement et qui a paru récemment sous le titre Principes d'une méthode curative naturelle appli caties a loules les maladies et spceialement aux tumeurs, glancles, maladies de la peau, maladies secretesetc. En rente chez lous les libraries ou a l'lnstitut, contre un franc en timbres-posle. Les consultations ont lieu lous les jours de 10 h 1 lieure, 122, rue Gallait, et les mardis de 9 k 5 heures. Un méde?in de i'ïno itut denne ties consultations a Coartrai, Hold Royal, en face de la gare, le lr el 3'"e Samedi du niois, de lO a 12 hr". VOOR 02 O 25 <5 P5 co co <1 co Pd pp CJP cn <U tc O JS O CJP pp ■<=C! Q—i Pd O-, <V OD c» R O- "osj"! rcn/i^ircasj ""rtf; CÊ5 5D3

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1899 | | pagina 2