Collége Moderne.
L DELEU l C'
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Si
Bier op flessehen.
D'ASSURANCES GÉNÉRALES
ATTENTION!
SU HETE!...
WEDUWE H. HOFLACK,
ROUSSELAARSCH EN YPERSCH
UNE CURE REBNARQUABLE
Cours de religion.
État-Givil d'Ypres,
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i$
In de Nieuwe Post
Concours Général
Rijsselstraat, nr 61,
Toutcela est absolument faux, etje
répète que j 'ignorais qifune motion quel-
conquc serait faite par M. Smeets ou par
un autre membre de la gauche.
Votre correspondant ajoute que
ceux qui ont accusé le gouvernement
n d'avoir négocié avec M. Lorand ne
peuvent souffrir qu'on les dénonce
n lorsqu'ils négocient avec la gauche
socialiste.
Je défie d'abord M. Hecq de prouver
qu'un membre quelconque de la droite
ait négocié avec la gauche socialiste. Je
lui réponds ensuite que je n'ai jamais
accusé le gouvernement d'avoir négocié
avec M. Lorand. Mais si j'avais voulu,
comme M. Hecq, faire preuve d'une
légèreté inqualifiable pour ne pas
dire da vantage j'aurais pu dire
qu'ayant vu un membre du gouver
nement a plusieurs reprises, en conver
sation avec le député de Yirton et lui
servant la main, je devais en conclure
qu'il y avait eu concert entre eux
Mais quelle induction, n'est-ce pas
Et comme le Bien Public eut protesté,
avec raison du reste
Mais contre les antiproporz tout sem-
ble permis.
M. Hecq ne répond pas a ce que je
vous ai écrit au sujet de la suppli-
que adressée au gouvernement en
feveur de l'ajournement,et pour cause.
Apprenez-lui encore, s'il vous plait
ce que j'ignorais quand je vous ai
adressé ma première lettre que des
proportionnalistes avaient signé la lettre.
Ajoutez, pour confondre complètement
M. Hecq, que des proportionnalistes ont
voté la motion Smeets qui avait pour
objet de réduire les séances de 4 a 3
heures
Pour le surplus, je me réfère a ma
précédente lettre qui vous a paru,
comme amoi-même, un peu longue. Je
n'en puis il faut bien que je me défen-
de contre les accusations injustes et
les potins de portière de votre corres
pondant.
Pour finir, permettez-moi d'expri-
mer mon profond regret de voir le Bien
Publicdont je suis un abonné fidele et
un lecteur assidu depuis trente ans, ac-
cueillir des articles qui, sous prétexte
de faire la lumière sur des agissements
ténébreux qui n'existent que dans l'ima-
§ination d'un correspondant, n'ont
'autre but et ne peuvent avoir d'au-
tre effet que de discréditer ceux qui,
pour des motifs graves, ne croient pas
pouvoir se rallier a la R. P.
Quel malheur d'être antiproporz,
même modéré Et dire que mes con
victions se raffermissent a mesure que
je lis le Bien Public
Si ma lettre vous parait trop longue,
je vous autorise a la couper a l'endroit
ou la loi vous permet de le faire. Je
constate que votre correspondant, d'or-
dinaire si prolixe, a été bien bref cette
fois.
Agréez, Monsieur le Rédacteur en
chef, la nouvelle assurance de toute
ma considération. R. Colaert.
de rEiiseignemcnt moyeii du degré
supérieur. Annéc 1899.
MATHÉMATIQUES.
3" Humanités [Grecque-Latine).
"Van Daele, Edmond.
8e sur 137, avec 50 points sur 100.
FLAMAND.
4' Humanités anciennes.
Vuylsteker, Emile.
9e sur 157, avec 68 points sur 100.
lre mention honorable.
Lefevre, ^Vll>evt.
48° sur 159, avec 55 points sur 100.
Humanités modernes.
Ghys, Gleorges.
24e sur 136, avec 57 points sur 100.
ALLEMAND.
4" Humanités [Grecque-Latine).
Vuylstecker, Emile.
lr seul avec 64 points sur 100.
FLAMAND.
2' Humanités modernes.
"Verborg-, Albert.
3e sur 98 avec 70 points sur 100.
Toutes nos felicitations aux jeunes
lauréats et au corps professoral.
Rappelons que la rentrée au College
aura lieu le 3 Octobre, a 9 heures. La
veille, a la même heure, auront lieu
les examens d'entrée et de passage.
AVIS AUX PARENTS.
Nous attirons l'attention des chefs de
familie sur les formalités qu'ils ont a
remplir d'une fagon absolument pré-
cise pour dispenser leurs enfants du
cours de religion.
La dispense doit être demandée par
écrit au chef de l'établissement au com
mencement de l'année scolaire, lors de
l'inscription de l'élève ou au moment
de l'ouverture des cours, c'est-a-dire
avant la première lecon de religion.
La demande de dispense doit être
renouvelée chaque annéedans les mêmes
conditions.
La demande de dispense n'appar-
tient qu'aux pères et aux tuteurs c'est-a-
dire que toute demande de dispense
faite soit de vive voix, soit par l'élève
lui-même, soit après la première legon
de religion est nulle et si la familie per-
siste a vouloir exempter l'enfant de ce
cours, il devient élève irrégulier.
Nous croyons inutile d'insister sur
les dangers que présente pour une
nation qui veut rester libre, la diffusion
du cléricalisme.
Nous comptons sur le courage, sur
l'énergie, sur Tattachement des bons
citoyens a la liberté de conscience et au
libre examen menacés, pour dispenser
du cours de religion, dans les formes,
mesquines assurément, leurs fils,
leurs filles, pupilles et concourir ainsi
a la délivrance prochaine du pays.
La Lutte.
COMPAGNIE BELGE
CONTRE LES ACCIDENTS DE
TOUTE NATURE.
Fonds de garantie 23,000,000 de francs
Assurances individuelles contre les
accidents corporels de toute nature,
avec ou sans garantie, de la responsa-
bilité civile
viagère contre les accidents de
chemins de fer et de bateaux a
vapenr -,
de la responsabilité civile des
pharmaciens
de la responsabilité civile des
Tramways
de la responsabilité civile des
chevaux, voitures et automobi
les avec dégats matériels
spéciales des cochers
spéciales des gardes-chasse
maritimes pour le monde entier
sport vélocipédique.
N.B. La O renonce expressément
en faveur de l'assuré ou de ses ayants-
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25
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droit, a tous recours contre les tiers
(administrations ou autres) du chef de
l'accident.
Pour tous renseignements s'adresser
a M. Arthur SalOMÉ, Agent de
la O, a Ypres, rue de Dixmude, 49.
Pour éviter toute erreur, je
dentiste Maurice MEIER,
de Courtrai, a l'honneur d'in.
former sa nombreuse clientèle
ainsi que les personnes qui au-
raient ['intention de venir le con
sultor qu'il y a un nouveau den
tiste portant le même nom et avec
loquel il na aucune relation
commerciale, qui vient a Ypres a
deux rnaisons de sa demeure.
11 les prie de bien s'informer
s'ils sont chez l'ancien dentiste
Maurice MEIER, de Courtrai, qui
est k consulter a Ypres depuis
14 ans chez, Mm8 Veuve VAlN
KEMMEL, Grand'Place, 5 (mai-
son fermée) les Lundi, Jeudi et
Samedi, de 9 a 4 h.
lln'ani frère, ni fils, ni parent
chargé de représenter sa maison.
du "PL au 29 Septerabre 1899.
Naissances Sexe mascuhn, 0 id. férainm, 0.
Manages.
Vanbleu, Joseph, menuisier, et Deleu,
Elise, sans profession. Vangheluwe,
Victor, jardinier, et Legrand, Julienne,
sans profession, Dalle, Alphonse, culti-
vateur, et Debandt, Marie, cultivatrice.
Décès
Waterbley, Adeline, 25 ans, sans profes
sion, célibataire, Sl Jean extra-muros.
Buseyne, Amélie, 83 ans, satis profession,
veuve de Vermeersch Louis, S' Jean extra-
muros. Cooren, Constance, 78 ans, den-
tellière, épouse de Roscam, Joseph, S'Jac
ques extra muros. Launoy, Amélie, 90
ans, sans profession, veuve de Leroy, Jean,
rue de Tbourout. Lamote, Cléraence, 84
ans, sans profession, veuve de Morlion, Fre
deric, rue de la Boule.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe mascuhn, 3 id féminin, 2.
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On prétend le cancer incurablepresque toutes les
autorités médicales sont d'accord sur ce point. Cepen-
dant l'histoire de la
médecine rapporte des
cas de guérisons spon-
tanées, et. les médecins
les expliquent par ce
fait que, dans certaines
constitutions, la force
curative ou la resis
tance k la maladie est parfois tellement puissanle, qu'elle
parvient a vaincre l'affection, grace une élimination
lente mais continue du poison cancéreux.
Aider la nature, aider cette force curative, provoquer
cette élimination, tel est done encore le plus sur moyen
de triompher du cancer; telle est aussi l'énigme de la
guérison d'une dame de Houthem, dont nous venons de
recevoir la déclaration suivante avec prière d'insertion
A Monsieur le Directeur de 1'Institut Windelinckx,
122, rue Gallait, Bruxelles.
Quel bonheur de pouvoir vous confirmer que je suis guérie,
bien guérie de ma tumeur du sein et que je me porte beaucoup
mieux sous tous les rapports.
C'est grace a vous que je dois cette guérison inespérée et
déclarée impossible. Pendant que j'étais en traitement dans votre
Institut, tout le monde déclarait mon mal incurable et prédisait
que je ne saurais plus revenir en bonne santé au milieu des
miens; que j'étais irrémédiablement perdue. Et cependant,
aujourd'hui, me voila sauvée par votre traitement si simple sans
avoir dü subir aucune opération.
Je ne pourrai jamais vous être trop reconnaissante, puisque je
vous dois le reste de ma vie. Aussi vous pouvez faire de ma
lettre de remerciement tel usage que bon vous semblera, sachant
que je ne vous rends ainsi qu'une infime partie de la reconnais
sance que je dois a vous et aux médecins de votre Institut. Mon
séjour chez vous a été un pen long, c'est vrai, mais qu'est-ce
que quelques jours de separation, si on a pu reconquérir une
vie déclarée perdue Aussi ni moi, ni mon mari, ni mes enfants
sommes loin de regretter les sacrifices de la séparation que nous
avons dü nous imposer et tant que je vivrai, je ferai vos louanges
que vous avez tous si bien méritées.
Votre dévouée et reconnaissante
épouse Patfoort, Fr., a Houthem-lez-Furnes.
Si l'on considère que ce n'est pas lè une guérison
exceptionnelle, mais que 1'Institut Windelinckx regoit
trés souvent des lettres semblables, on peut, A juste titre,
dire que le traitement naturel est encore celui qui est le
plus humain, le plus efficace et le plus recommandable.
La direction de 1'Institut Windelinckx a cru intéres
sant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant
tant de médecins que de malades et de les exposer au
public, dans la salie d'autographes, ouverte k tous, de
9 h. k 4 h., 122, rue Gallait, Bruxelles. Ceux qui ne
peuvent se déplacer pour prendre connaissance de ces
lettres élogieuses devraient tout au moins lire l'exposé
de la méthode Windelinckx, qui a produit un grand
retentissement et qui a paru récemment sous le titre
Principes dune méthode curative naturelle appli-
cables a toutes les maladies el spécialement aux tumeurs,
glandes, maladies de la peau, maladies secretes, etc.
En vente chez tous les iibraires ou a l'lnstitut, contre
un franc en timbres-poste.
Les consultations ont lieu tous les jours de 10 k
1 heure, 122, rue Gallait, et les mardis de 9 A 5 heures.
Un médeoin de l'lnslitut donne des consultations a Courtrai, Hotel Royal, eu face de la gare, le ir et 3" Samedi du uiois, de 1© a 12 hr".
tel
