E.DELEU&C'
a m. Arthur Salomé, Agent de
Bier op flesschen.
Le Guide illustré
du Touriste
ATTENTION
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URE CURE RE1MPMLE
WEDUWE H. HOFLACK,
Êcole militaire.
Le
D'ASSURANCES GÉNÉRALES
État-Givil d'Ypres,
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HUI
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quartier S' Pierre. Ce jour-la il pleu-
vait a verse et les pauvres petiots ont
été trempés jusqu'aux os.
Nos recriminations a l'adresse de la
Commission des Hospices restent de-
bout. C'est indigue d'inculquer a de
jeunes enfants, qui doivent leur bien-
être aux libéraux seuls, la haine de ces
mêmes libéraux II est grand temps
qu'ou .leur donne de meilleurs guides
et une direction plus paternelle.
La redaction du Peogrès.
Examen.
Nous apprenons avec plaisir que M.
Armand Vandaele, fils
de notre sympathique chef de station,
a róussi l'examen d'entrée a l'Ecole
militaire.
Armand Yandaele
a terminé ses études au COLLÉGE
MODERNE au mois de Juillet dernier.
Nous félicitons chaleureusement le
futur officier ainsi que ses excellents
professeurs.
L'INDUSTRIELLE ET PASTORALE 8ELGE
SUD-AMÉRICAINE.
Nous lisons dans la Mètropole d'An-
vers
Dans un numéro précédent, nous a-
vons publié ce bilan et consacré une
petite étude a l'lndustrielle et pasto
rale beige sud-américaine, ainsi qu'a
la Banque beige de prêts fonciers, ces
deux institutions soeurs fondées par le
même groupe pour traiter 1e prêt hy
pothécaire, l'une en Argentine, l'autre
au Brésil.
Nous avons loué ces sociétés d'avoir
mis a la portée du public un genre de
placements aussi fructueux et sur en
principe, après l'avoir entouré en pra
tique des plus sérieuses garanties de
justice.
II nous reste maintenant a examiner
les difiérentes formes sous lesquelles
les tiers sont appelés a participer aux
résultats de ces entreprises.
Ces formes sont représentées par
Paction ordinaire, Paction privilégiée
et l'obligation.
Tout le monde sait que l'obligation
est une dette sociale, et que, par consé
quent, el le a comme répondant le capi-
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gedeponeerd merk.
N. B. Het huis levert uitsluitend aan
handelaars.
tal et les réserves, en un mot tout l'a
voir social.
Cependant il est a remarquer que
cette déünition acquiert uue valeur
touteparticulièrelorsqu'elles'applique
aux obligations d'uu établissement de
prêts fonciers sur hypothèques, car
trop souvent, dans les sociétés mdu-
stnelles, le patnmoine des obligataires,
eugagé a l'égai du capital pour avoir
servi a atténuer i'msuffisance de ceiui-
ci, n'est représenté que par des con
structions et machines d'un emploi
tout spécial.
lei, au contraire, la contre-valeur
des obligations est confiée a la terre,
sous forme de prêts consentis en góné-
ral sur ia base de 50 de ia vaieur des
biens.
De même peut-il paraitre oiseux de
rappeler la difiérence classique qui sé-
pare Paction ordinaire de i'action pri
vilégiée, alors que chaque jour voit
naitre des sociétés dont ie capital com-
prend ces deux catégones de titres.
Mais, encore une fois, outre que
beaucoup de personnes ne se rendent
pas un compte bien exact de leur si
gnification, celie-ci prend une portée
spéciale dès qu'il s'agit d'étabiisse-
ments de crédit foncier.
En effet, les actions privilégiées sont
remboursées avant les actions ordi-
naires, lors de ia dissolution de ia soci-
étó En d'autres termes, le montant des
actions ordinaires et des réserves sert
de garantie au remboursement du ca
pital privilégié, après extinction préa-
lable des dettes sociaies.
Or, 1'on peut admettre en principe
que dans Pindustrie du prêt foncier, ie
remboursement des obligations émises
se trouve assuré a suffisance par le fait
que 50 °/0 seulement de la valeur des
biens ont été avancés comme prêts, et
dès lors I'action privilégiée apparait
presque comme une véntable obliga
tion, de second rang si 1'on veut, maïs
garantie par tout ie montant des ac
tions ordinaires et des réserves, et rap-
portant non plus 31/2 ou 4, maïs 6 pour
cent, a titre de dividende fixe, du. par
prionté et récupérable sur piusieurs
exercices en cas d'insuffisaDce éven-
tuelle de bénéüce.
Et, en réalité, beaucoup de sociétés
ont émis des séries successives d'obii-
gations, pourvues de garanties subsidi-
aires et qui, tout obligations qu'elles
soient, n'offrent pas plus ou pas autant
de sécunté que les actions privilégiées
qui nous occupunt.
Enfin, un autre élément significatif
d'appréciation nous parait résulter de
ce fait, que les actions ordinaires, (les
imeux rémunérées, il est vrai, dans le
partage des bénéfices, maïs aussi les
plus exposées, comme nons venons de
le voir), sont en géuéral conservées par
les promoteurs, au point qu'elles soient
introuvables sur le marché.
Cette confiance absolue des fonda-
teurs en dit pins long que tout raisou-
nement, et constitue un précieux in-
dice pour les preneur3 d'actions privi
légiées et d'obligations.
Elections Choisissez un hon Lamhic
gueuze, 35 ces Ia hout,, 158, Quai de Marie-
mont, Bruxelles.
a Ypres et aux environs
Le Guide illustré du Touriste d Ypres
et iauxenvrons vient de paraitre.
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du 6 au 13 Octobre 1899.
Naissances Sexe masculin, 2 id. féminin, 6.
Mariage.
Laroye, Emile, patissier, et David,
Hélène, sans profession.
Décès
Volckaert, Elodie, 57 ans, ménagè-
re, veuve de Credis, Emile, S' Jean
extra muros. Degrave, Sévérine, 57
ans, sans profession, épouse de Coppin,
Henri, S' Nicolas extra muros.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculin, 0 id féminin, 0.
BIJ DE
HERBERGIERSTER
TE YPEiS,
ZIJN TE BEKOMEN
bruin en Meek
On prétend le cancer incurablepresque toutes les
autorités médicales sont d'accord sur ce point. Cepen
dant l'histoire de la
médecine rapporte des
cas de guérisons spon-
tanées, et les médecins
les expliquent par ce
fait que, dans certaines
constitutions, la force
curative ou la resis
tance h la maladie est parfois tellement puissaule, qu'eile
parvient a vaincre 1'afFectiongrace h une éiimination
lente mais continue du poison cancéreux.
Aider la nature, aider cette force curative, provoquer
cette éiimination, tel est done encore le plus sur moyen
de triompher du cancer; telle est aussi l'énigme de la
guéi'ison d'une dame de Houthem, dont nous venons de
recevoir la déclaration suivante avec prière d'insertion
Yt
A Monsieur le Directeur de l'Institut Windelinckx,
122, rue Gallait, Bruxelles.
Quel bonheur de pouvolr vous confirmer que je suis guérie,
bien guérie de ma tumeur du sein et que je me porte beaucoup
mieux sous tous les rapports.
C'est grace a vous que je dois cette guérison inespérée et
déclarée impossible. Pendant que j'étais en traitement dans votre
Institut, tout le monde déelarait mon mal incurable et prédisait
que je ne saurais plus revenir en bonne santé au milieu des
miens; que j'étais irrémédiablement perdue. Et cependant,
aujourd'hui, me voila sauvée par votre traitement si simple sans
avoir dü subir aucune opération.
Je ne pourrai jamais vous être trop reconnaissante, puisque je
vous dois le reste de ma vie. Aussi vous pouvez faire de ma
lettre de remerciement tel usage que bon vous semblera, sachant
que je ne vous rends ainsi qu'une infime parti&de la reconnais
sance que je dois a vous et aux médecins de votre Institut. Mon
séjour choz vous a cté un peu long, c'est vrai, mais qu'est-ce
que qtielqiies jours de séparation, si on a pu reconquërir une
vie déclarée perdue Aussi ni rnoi, ni mon mari, ni mes enfants
sonmr s loin de regrettei' les sacrilices de la séparation que nous
avons dü nous imposer et tant que je vivrai, je ferai vos louanges
que vous avez tous si bien méritées.
Votre dévouée et reconnaissante
épouse Patfoort, Fr., a Houthem-lez-Furnes.
Si 1'on considère que ce n'est pas lè une guérison
exceptionnelle, mais que l'Institut Windelinckx re§oit
trés souvent des lettres semblables, on peut, h juste titre,
dire que le traitement naturel est encore celui qui est le
plus humain, le plus efficace et le plus recommandable.
La direction de l'Institut. Windelinckx a cru intéres
sant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant
tant de médecins que de malades et de les exposer au
public, dans la salie d'autographes, ou verte h tous, de
9 h. 4 h., 122, rue Gallait, Bruxelles. Ceux qui ne
peu vent se déplacer pour prendre connaissance de ces
lettres élogieuses devraient tout au moins lire l'exposé
de la méthode Windelinckx, qui a produit un grand
retentissemeul et qui a paru réceiiiment sous le titre
Principes dune méthode curative naturelle appli-
cubles a toutes les maladies el spécialement aux tumeurs,
gtandes, muitwies de tu peaumaladies secvèles, etc.
En vente chez tous les libraires ou a l'Institut, contre
un franc en timbres-posle.
Les consultations ont lieu tous les jours de 10
1 heure, 122, rue Gallait, et les mardis de 9 k 5 heures.
Un médecin de l'lns'.itut donne de consultations a Courtrai, Hotel llojal, en face de la gare,(Ie r et 3" Saiuedi du mois, de fO a 12 hr".
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