AAN 100 FRANKEN El £18 33, CARTONSTRAAT, 33, ÊBBSÊcxssstt VT MM: 1V1. MEIER un HARMONIUM Alfred De Brouckere BORSTLIJDERS! La Construction DENTS. occasion. Men gelast zich met in het nieuw stellen van oude Velos UB PB M ©use R C O II BI T B 1 I. Examen. Gonseil communal État-Civil d'Ypres, Kosteloos vervoer peerclenvraeiit* Noordsch, Zweedsch en Amerikaansch HOUTIYIAGAZIJN, KALK en CIMEXT, chez Mrne veuve VAX R EMM EL, Grand'Place, 5, Y Pil ES, A Vis. Entretien des Routes en trés bon état. A VENDUE VAART (rechterkant) ROUSSELARE. REDDENDE ENGEL BORSTBAtSERIi lAPOTHEEK DE WALYISCH Chirurgiens-Dentistes Spécialisies, DIRLOMES PAR LA COMMISSION MEDICALE BELGE, BREVETES PAR ARBETE ROYAL. HONORES DU CLERGE El DES MAISONS RELIGIEUSES, Mr M. MEIER est a consulter trois fois par semaitie, le fuMüBÜ* «JCSSill Ct de h. du matin jusqu'a *4 heures de relevée, pour tout ce qui concern»» l'art dentaire. Nettoyage des dents. Guérison des dents les plus douioureuses. Emaillage et aurification des dents cariées, redressement des dents deviées a tout age. Le piacernent des dents artiricieiles se fait sans douleur et sans extraire ies vieilles dents ni les racines. Les dents artificielles de MrM. MEIER permettent de broyer les aliments les plus dürs. l'émission de la voix est plus sonore et plus caire. Les dents sont placées sans plaques, sans crochets ni ressorts on ne saurait pas les distinguer avee les dents naturelles, ni par la forme, ni par la couleur. Mr M. MEIER entreprend aussi les reparations des pieces dentaires non réussies et les reraet a neuf d'après son système nouveau pour lequei il a été brevêté. Deals aiTiiicieiics Uepnis o fr. Denliers complefs depuis 100 fr. el aa-dessus, ga ra «lis paar loate la vie. Consultations trois fois par semaine chez Madame Weave Wan Memmei. CSrand'3*iaee, 5. jf jfieeêf les LUND1, JEUDI et SAiYlEDI, de 9 h. du matmjusqua 4 h. de reieoee. Jeudi soir, il exécuterait la menace qu'il m'avait faite. Le temps pressait un jour de retard de plus, et ma degradation ne ponvait plus ser- vir comme arme electorale. Le lendemain soir done, j'envoyai a Mgr l'évêque de Gand la lettre sui- vante Alost, 12 Octobre 1899. Monseigneur, Avant tout j'ai un devoir a remplir, je dois remercier Votre Grandeur du bienveil- lant accueil qu'ElIe m'a fait hier. Conformément a ses instructions et selon la communication de la Congregation romai- ne dont vous m'avez fait connaitre de vive voix la teneur, j'éviterai les assemblees tumultueuses oü ma robe de prêtre serait exposée a i'irrespect de la foule. Par la disparaitra le danger de scandali- ser les simples, surtout si certains journaux conservateurs cessent de crier au scandale a tort et a travers. Mais j'estime que tout cela sont des cho- ses aecessoires qui découlent du point capital que voici Est-ce que Rome, e'est-a-dire le Pape, me prive de mon droit de citoyen, e'est-a-dire du droit d'etre électeur et eligi ble Si oui, et si je maintiens mon droit, serai- je frappé de la peine extreme qui se trouve dans le Droit Canon la dégradation réelle qui avait lieu surtont quand un clerc, convaincu d'un grave délit, était livré au bras séculier pour subir des peines corporel- les la peine de mort D'après tous les Canonistes, la dégradation est réservée aux crimes les plus ènormes, et ceux-ci doivent être specifies, a savoir, l'hé- résie, l'apostasie, la falsification des actes pontificaux, l'assassinat, la provocation a l'impudicité faite en confession, dire la Messe et entendre la Confession sans être prêtre, voler des hosties consacrées, procu rer l'avortement, fabriquer de la fausse monnaie. Monseigneur, je n'ai commis aucun de ces crimes je défends seulement la démocratie chrétienne devant tous ceux qui veulent en tendre. Je suis persuade, Monseigneur, que si vous en venez a cette extrémité, ce sera un désastre pour notre peuple chrétien de Flari- dre, et je prie Dieu qu'il nous épargne pareil malheur. Votre dévoué serviteur, A. Daens. Le surlendemain, 14 Octobre, je re- qus la lettre suivante, en latin évèché de gand. Gand, 13 Oct. 1899. Révérend Monsieur, Puisque votre lettre d'hier ne contient pas la réponse due, e'est-a-dire claire, simple et adequate a la question posée, et que dans cette lettre vous vous ménagez toute occa sion d'éluder notre defense et celle même du Saint-Siège. Nous sommes force, pour les motifs exposés dans notre lettre du 7 de ce mois, de vous interdire le port do l'habit ecclésiastique. Au surplus, pour ce qui concerne le droit, sachez que dans cette deplorable affaire Nous ne faisons rien si ce n'est avec l'autorisation de la Sainte Congregation du Concile. Nous écrivons ceci avec tristesse et Naus signons, Votre tres dévoué dans le Christ, f Antoine, évêque de Gand. L'abbé veut que ce soit son juge su prème, le pape, qui prononce. Si son juge suprème le prive de son droit de citoyen, il dira Roma locuta est et s'in- clinera On voit par la quel peu de fond on doit faire des principes et des promes ses qu'un mot de Rome peut modifier. II est impossible de faire de la politi que avec des hommes qui reconnaissent le pape comme juge suprème et infail- lihle. Monsieur Aaguste Joye, de Fumes, ancien élève du Collége de l'Union, a Ypres, vient de subir avec succèsdevant le Jury de Gand, sa 2e épreuve de candidature en philosophie et lettres, préparatoire au Droit. SOCiÉTÉ DES ANCIENS POMPIERS de la vil ie d'Ypres. Assemblée générale des actionnaires, Jeudi 2 Novembre 1899, a 8 heures du soir, au local. I. Comptes. II. Amortissements. N. B. Les intéréts des obligations (coupon n" 6) sont payables a partir du 2 Novembre 1899, chez Monsieur Des marets, agent de change, rue au Beur- re, a Ypres. D'YPRES. Séance publique du Samedi28 Octobre i899, a 5 heures du soir. 1. Communications. 2. Dépot du rapport sur l'adminis- tration et la situation des aflaires de la ville en 1898. 3. Procés-verbal de vérification de la caisse communale. 4. Compte communal pour 1898. 5. Fête communale compte de la commission du festival. 6. Instruction primaire gratuite répartition de la part d'intervention du bureau de bienfaisance. 7. Propriétés communales cession d'une parcelle de terre a l'Etat pour l'agrandissement de la station du che- min de fer a Boesinghe. 8. Voirie dénomination de rue. 9. Ecoles primaires budget pour 1900. 10. Ecoles gardiennes idem. 11. Ecole ménagère idem. 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HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1899 | | pagina 2