GRANDE NOUVEAUTÉ. Moteur a Pétrole de i cheval 1/2. 33, RUE CARTON, 33, MR MME M. MEIER as a 13 13 «s o i fê e a cou at m a i. Alfred De Brouckere 1) E T S. ROS mUDEBSi Théatre d'Ypres. Gonseil communal iyitème Lahre. jusqu'a cinquante kilomètres a l'heure. Noordsch, Zweedsch en Amerikaansch HOUTMAGAZIJN, K A LR en CIMElW, werv®er peerdeilwracht* Théatre des Galeries TSVlS. Représentant généra! ponr la Relgique cliez li™ veuve VAM KEMMEL, tirand'Flace, 5, YFKES, YA A UT rechter kant) ROÜSSELARE. Faites-nous une jolie statue et sur- tout trouvez un symbole exprimant la rapidité avec laqueile ceux qui iuvo- queront ie Saint recevront l'objet de leurs demandes. Trés facile. Sous son pied, nous mettrons un corbean qui dit Cras eras! (demain! demain!) et qui meurt écrasé, impuissant. A la croix, que la main tient élevée, une banderolle fiot- tera avec ce motHodie(aujourd'hui Tout le monde comprendra. La statue fut faite d'après ces don- nées. Les fidèles compnrent si bien, qu'en peu de temps le pauvre anonyme dont les os avaient reposé sans hon- neuraux cimetières romains, devint ie héros connu, aimé de tous ceux qui demandent au ciel des graces et qui les demandent pour aujourd'hui, non pour demain. II eut son bistoire écrite, lui qui n'a- vait iamais eu d'histoire. Si mainte- nant vous me demandez comment un corps de catacombes peut au lieu et place d'un martyr de Phrygie, opérer des miracles, exercer des spécialités salutaires comme celles de marier les filles et de faire aboutir les examens deux emplois auxquels saint Kxpé- dit se donne de preference je vous répondrai que c'est la un mystère. Maïs enfin, lecteurs, voila comment on fait les saints Abel Sallé, (Prieur du couvent de Vaux- sous-Chèvremont). En lisant la qualité de l'auteur de eet article, celui qui entendrait parler de lui pour la première fois se figurerait que c'est une espèce de Mgr Turinaz ruant dans les rangs sacrés,ou plutötdans les sacrés rangs; tandis que ceux qui le connaissaient pour- raient se demander si le reconverti est déja redéconverti. Rien de cela n'estle vrai. Cet article a paru dans U Express de Liége x une époque oil Abel Sallé le signait ex- prieur des Carmes et nous ne l'avons re produit que pour l'édification de nos lec teurs, pour leur demander si, a leur avis, l'homme qui a écrit de telles choses peut sincèrement declarer ensuite qu'il désavoue ce qu'il a dit d'hostile a l'Eglise, declarer Nous avons la bonne fortune de pou- voir annoncer a nos lecteurs qu'ü leur sera donné d'assister prochainement a la représentation de Cyrano de Ber gerac, l'éblouissant succès du Théatre de la Porte Saint-Martin, MM. Mon- charmont et Maurice Luguet ont ac quis de M. Edmond Rostand le droit exclusif de représenter la pièce en France et a l'étranger. Les Directeurs choisis parmi les nombreux concur rents pour faire connaitre dans les dé- partements cette oeuvre magistrale, la plus extraordinaire qui ait été don- née dans cette seconde partie du siècle, ont réuni pour cette entreprise sans précédent une troupe composée de plus de TRENTE ARTISTES d'ÉLITE. lts ont eugagé spécialement, pour jouer le role écrasant de Cyrano de Bergerac, M. Jean Daragon, un jeune et puis sant artiste, que M. Rostand, enthdu- siasmé après lui avoir vu interpreter avac une grande autorité le (Jheminea'vt de Jean Richepin, a formellement dé- signé pour jouer le róle écrasant de Cyrano. lis voyagent avec un matérie! de deux cents costumes entièrement nou- veaux exécutós par la maison Lepère les armes, les cartonnages, les décors qu'ils emportent, sont, aiusi que les costumes, en tous points semblabhis a ceux de la Porte Saint-Martin. Jamais entreprise de tournée artistique n'a été forrnée dans de pareiiles conditions de luxe matériel m d'interprótation. L'ouvrage, qui comporte cinq actes, un nombre considérabie de personna- ges, une figuration nombreuse, sera re- présenté dans notre ville dans toute sou intégrité, sans en suppnmer un mot, ni le plus petit róle. Nous ferous connaitre ultérieure- ment ia date exacte de cet événement artistique. blancce qu'il a constaté noir, et pour mau- dire une fois de plu l'esprit catholique qui amène a se dégrader aiusi d'éminentes indi- vidualités. (N. D. L. R Toux, BronchitisLE THERMOGENE D YPRES. Séance publique du Luudi'I1' Janvier 1900 a 9 h. du matin. 2° Election d'un échevin. BRUXELLES. Orphée aux Enfeirs. On n'a point souvenance d'un succès semblable a celui qu'a accueilli Orphée aux Enfers. Les recettes ont atteint des chiffres fabuieux. Les deux jours de Noël ie Théatre des Galeries a littóra- lement été pris d'assaut tant pour les matinees que pour les soirées. Jusqu'a ce jour on n'a pas cessé de faire le maximum Ce qui expiique cette vogue inouïe, c'est que d'abord Orphée est la seule pièce a grand spectacle qui soit donnée en ce moment, ensuite 1'interprétation peut être considérée comme hors ligne et supérieure même a ce qui a été fait a Paris lors de ia célèbre reprise d'Or- phóe au Théatre de la Gaité. De même pour les costumes d'une éiegance par- faite et d'une rare somptuosité. Tous viennent, du reste, des maisons Lan- dolf et Baruch Les décors sont presti- gieux, Duboscq s'est véritablement surpassé et ce sont chaque soir des cris d'admiration dans la salie lorsque la toiie se léve sur les jardins de Pluton, le salon du Roi des Enfers et le Tar- tase embrasé. Voici du reste la nomen clature des tableaux, ce qui vous don- nera une idéé de l'importance du spec tacle La Campagne de Thèbes, l'Enlèvement d'Eurydice, le Som- meil des Dieux, l'Horloge céleste, le Lever de i'aurore, l'Olympe, - le Char d'Apollon, le Buen re tire, la Metamorphose de Jupiter, les Jardins de Pluton, les Enfers, Apothéose, le Triomphe de Bac chus. En tout 4 actes et 12 tableaux. Ajoutons qu'il y a des ballets d'une ri- chesse de costumes et de couleur abso- lument féeriques. Le livret d'Hector Crémieux avec ses calembourgs, ses coq-a-l'ane et seB plaisantenes énormes n'a rien perdu de sa verve ironiqne. Quant a la mnsique d'üflenbach, put-on jamais imaginer rien de plus spirituel, de plus joyeux, de plus entrainant Pluton, Lagairie Poudrier, Jupiter Ambreville, John Styx et tous les interprêtes, emballés par la joie du public, rivalisent de gaieté. La mise en scène a été réglée de fagon parfaite par M. Chavanon. L'orchestre sous l'énergiqne direction de M. Maubourg, enlevé avec un brio endiablé, cette délicieuse partition dont Jules Lemaitre, l'académicien et critique célèbre, faisait tant d'éloges il y a quelques jours. Pour que toutes facilités soient don- nées aux personnes de la province, le spectacle est accommodé de fagon a se terminer a 11 h. 1/4. Dimanche pro- chain et ie iendemain Lundi, Jour de l'An, il y aura matinée a 2 heures. On fera bien de retenir ses places a l'a- vance, on peut ie faire par iettre, dé pêche et téléphone n° 486. Théatre des Galeries. A partir du mois de Janvier pro- chain, MM. les abonnés qui ont payé leur abonnement par anticipation, re cevront en échange le Progrès drYpres, organe de l'aliiance libérale. Pour vos cartes de visite, adressez vous a l'imprimerie de la Lutterue de Dixmude, 51. Exécution soignée. I I qflfMrai!l™B^*aai!=gaiafiBBggSS'SS»flliEBg!SgSB^^ Inderéglable et sans bruit. La plus légère. Poids de la bicyclette avec son moteur en ordre de marche et chargée d'essence 30 kilos. 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EiL:iL;ljc,SlEEll.,iiiKiikÉSSl REDDENDE ENGEL BORSTBMSEm IAPOTHEEK DK WALVISCH ORDRE DU JOUR: 1° Prestation de serment et installation des conseillers élus le 15 Octobre 1899. bicyglktIe automobile Francois HOFLACX, VOOR EENEN VOOR lom hen te hel- lpeii van 't he- Ivig hoesten, 9 henauwdhë- |Jen, het pie pen en ver- slijmen der Slongen, I lieeschheid len kreveling der %eel, enz. Wanneer |andere middelen niet Shelpen, neemt dan fin vertrouwen den DKR Diepestraat, 10 ANTWERPEN 8 tloet de fluimen gemakkelijk lossen! „|en spoedig verminderen het voorkomt en| ..geneest alzoo' de onsteking der lorigetil ^(genaamd de tering)het is ook bij onder-'j «vinding het beste middel om kinkhoest ;ji p!%wcinige dagen te genezen. C n Prijs fr. 1.S5 de halve en 2 franken de groote flench. (Met opleg van '50 centiemen. ü\/1ïr *V. /-..rt r. l I jbekomt men ze franco t' huis.

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1899 | | pagina 2