INFLUENCE DE LA PRESSE. JOEVEILES DIVERSES. 5KTÏ UI7Wsimpwr^rr.Çfrtïr le triomphe de l'émancipation intellectuelle et La lettre de M. de Langhe que nous repro- Tla^e^TSSîôn et du raisonnement, morale. duisons ci-après, a été publiée dans les journaux, vxus les moyens qu'avouent les con- Sans le mobile puissant de la presse, quel Nous voudrions qu'il eut ajourné sa résolution; nonces, enfin et surtout, bonne foijj l'épreuve bien eussent produit pour les masses les Ira- sa réélection a A près n aurait pas été dou- 1 toutes les Imaiineries*ét absence de person^* vaux de tant d'écrivains qui, devançant leur teuse. Bien que nous tiapprouvions pas loules ce qui constitue, àv époque, se posèrent dès le 15e siècle, les apôtres nalilés i nj n rien. notre avis^fl!^5^Br?ation dont on peut être fier. Certes, toiu^omrjfe public est inséparable de ses actesmais ^picls que soient ses torts en celle qualité, lesVritiques dont il est l'objet ne peuvent concerne!'sa personne. Au surplus, larrons*égaIcmojrajsobresfr et des person- mn bien émlecelles en mal. En tout il F homme et la chose; celle-ci est jugeable rilans tous les casmais l'homme ne l'est que relativement la cjiose et jamais en lui-même. Voilà pensons-nous ce que les hommes de Jugement appellent de la modération. Dire que ce sera la nôtre, c'est dire que nous repoussons énergiquement ces diatribes grossières et insul tantes personnalités haineuses dont mal heureusement certaine parlie de la presse qui se dit patriote a donné tant de fois le scan daleux exemple. de la civilisation n'hésitons pas le dire leurs ouvrages Fussent apparus comme les astres qui brillent au milieu d'une nuit obscure mais dont la lumière quélqu'éclatante qu'elle soit, ne peut dissiper les ténèbres de l'espace. les mesures auxquelles il a pris part par ses votes, nous avons la conviction qu'il a comme représentant, toujours parlé et agi consciencieu sement. voici Cette lettre Messieurs Dcsirani me retirer des affaires publiques 11 ne suffisait pas d'écrire pour instruire il Je dois prier ceux d'entre vous qui auraient fallait donnerai! peuple le livre où il pût puiser l'intention de nihonorer de leur su [frayes aux La Presse est au corps social ce que la sève est l'arbre qu'elle nourrit l'une en s'infiltrant par mille routes secrètes, développe le principe de l;e vie jusques dans les derniers râ ineaux l'instruction c'est ce qu'a Fait la presse et le jour où naquit l'imprimerie est réellement le poinl"(le séparation du uioyen âge d'avec l'é poque moderne. Alors s'évanouirent rapidement les préjugés qui durant des siècles avaient assiégé l'huma nité et fait la honte comme le malhenr d'une longue suite de général ions* L'instruction se répandit; elle ne fut plus le partage exclusif d'une caste privilégiée; les clas ses infimes de la société participèrent ses bienfaits et dès lors la morale publique s'épura. Bientôt la tolérance religieuse fut érigée en loi d'état cheî la plupart des nations. L'unité nalionale> et pou'ornementale blo^mrjes lilion des privilèges ues communes.^" En-même tems les relations de peuple peu- o- prochaines élections de vouloir les porter sur d'autres personnes. Je ne laisserai pas échapper Cette occasion de témoigner ma profonde reconnaissance MM. les électeurs qui il y a quatre ansmont conféré un mandat que j'ai la conviction d a- voir consciencieusement rempli. A(J réez Messieurs l'assurance de ma con sidération distinguée, F. DE LANGHE, Membre de la Chambre des Kcpiéseutans. Nous trouvons dans l'Observateur du 29 avrilune lettre pleine de sens et contenant les plus justes recjffffjfitons^u^fav^ur des officiers de 'jjj^pnme On y v°ït que les dénominations capitaine de lr<rét de 2 "«classe sont il lu- soires, puisqu'un capitaine de 2me classe peut dans tel cas donné, commander celui de lré mandé. du végétal l'autre fait sentir son heureuse in- t r - flucnce sur toutes les classes de hTsociélé, et pie devinrent plus fi équentes et le commerce classe* Une réduction d'une somme de 900 fr bien qu'elle soit quelquefois une arme dan- qui s établit entre les intelligences, amena la Sm 'CS aPP°in'eménts d un capitaine de 2,nô gereuse dansjes mains de ceux qui s'en servent fusion d intérêts qui, dans une époque peut-être c'assc -m0 sur ceux des capitaines de lre "fiour soulever les mauvaises passions on ne peu éloignée de nous, fera de l'Europe entière c'assei a été opéiée quant ceux dont l'entrée peut méconnaître le bien qu'elle a fait l hu- un vaste réseau dont toutes les parties dépen- airl seiv'ce ne t'ate Pas d avant le mois de sep tembre 11131. L auteur de celte lettre fait sur tout ressortir l'injustice de cet état de choses en établissant que la diminution de solde d'un major n e,st que de 400 fr.ce quicomparé Celles opérées sur'lè traitement des capitaines, donnp une différence notable.' On lit cette singulière annonce dans 1 eJoué- Nous n'avons pas dessein cLembrasser* dans généralité une question aussqiinposante qu^ joue la presse a dant les unes des autre#, concourront au bien- jetre de l'ensemble. celle qui traite des bienfai déversés sur le.genre^liumain elle nous cou in cfw Déjà les guerres sont devenues moins- fré- quintes, moins longues, et déplus en, plus impossibles En outre élles ont perdu le cajrac- duii ail plus loin^c^e ne le permettent les bornes lî^c de barbarie qui lesçdislinguait. d'unjournal nous nous bornerons jeter un Tels sont les bienfaits que la presse a faits p u'œil rapixlp sur quelques faits saillants aux hommes. On ne peut donc Jrop^accélérer ,adés qu'un aperçu de ce influence de ce puissant mobile civilisateur nal fie Bruges: «Un iio.ii.ve a marier. On monsieur as déplacé c^0y; 1 lui réside l'avenir des nennles. V. qui n'a pas le terris de chercher Une femme, La critique est aisée, mais l'art est difficile. ouHi has intérieurement.Au second 11 te resté donc, toujours d'après l'académie, le ut tracera s un caractère; tu peindras chapitre des annonces, .Ah! pour le coupmon cher me jeune fpmme aux yeux noirs et ami, voilà un champ j^isle ouvert devant loi! Tu cheveux bj'ônils et onduleux, la pourras annoncer pompeusement le perfeclion- uis passaiît du physique au njgrahjf ngment des clysopompes tu pourras vanter la t^la pale pectorale dê*M. l' rèresuccesseur îné; lu pourras faire sentir tes lec- tewchanîe de son aîné k y ÉTERNELLE, etc...... fil ts_n uarts des dames et de^ itd'Ypres jo'il y a d'inodore et de commode l'anglaise nouvelknueul in- tclic^jna l'0i, queTu enlre- félicite de tcfl non coçujj. lesl-lu désillusionnép\jfcpnces-tu la ihemère du feuilletonnisleV. N'es-tu pasY ^des difficultés que je le fai'firtcnlrevoir ^.raisonne, recueille loifais péni- jourTi des pensee^tle p^sbmptioiM |tu seras assezf,t9feliné jus projets; et Bois In

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 2