f IMPRIMERIE-LIBRAIRIE ON DEMANDE ON DEMANDE UN OUVRIER PRESSIER, UN COMPOSITEUR ET UN APPRENTI TYPOGRAPHE 1 on admettra, Abonnement tous les Journaux politiques et scienti fiques et tous les ouvrages, pittoresques et ceux qui paraissent par livraisons. Livres de Prières, richement réliés. Fournitures de bureau, registres, papiers écrire et autres, plumes naturelles et métalliques, etc. - Imprimés pour les Régences communales et pour les militaires. Bourse de Bruxelles POSTES. ^de fer. - Départs. distribuées, et, suivant l'usage, les Officiers supérieurs ont été invités dîner au château. Le vent était très-violent pendant le défilé et le chapeau du roi a été emporté par une bourrasque. La cour avait l'intention de quitter les Tuileries immédiatement après les fêtes de bap tême du comte de Parismais la reine Marie Christine devant arriver aujourd'hui samedi Paris, le roi et la famille royale n'iront s'établir Neuilly que lundi 10 mai. L'ex-régente d'Es pagne habitera durant son séjour Parisqui ne sera que de quelques semainesle palais de l'Elysée-Bourbon La grande duchesse douairière de Mecklen- bourgbelle-mère de la duchesse d'Orléans partira avec sa suitevers la fin du mois pour retourner en Allemagne. Le roi et la reine des Belges repartiront en semble pour Bruxelles cependantcause de l'arrivée de la reine Marie-Christine, ils prolon geront de quelques jours leur séjour Paris. De grands préparatifs se font au château de Chantilly pour les fêtes brillantes que le duc d'Orléans a l'intention de donner l'occasion des courses prochaines qui auront lieu dans la plaine de Chantilly. Parmi ces fêtes il y aura un grand balune chasse au cerf, et plusieurs représentations données par les altistes des Variétés et du Vaudeville. Le duc et la duchesse d'Orléans la duchesse de Nemours et la prin cesse Clémentine assisteront ces courses. Le cabinet anglais a décidément perdu la majorité dans les chambres; les mesures concernant l'Irlande qu'il avait proposées dans le désir de retenir O'Connel et tout le parti irlandais dans les rangs de ses amisn'ont pu le préserver d'une défaite complète; pour em pêcher cette défaite de se tourner en déroute, il a dû renoncer au bill concernant l'enrégiste- ment des électeurs en Irlande qu'il avait soutenu avec vivacité. Battu deux jours de suite, le ministère wliig a senti que s'il ne portait pas la discussion sur un terrain où il serait soutenu par l'assentiment populairec'en était fait de luiaussi a-t-il immédiatejnent proposé de modifier la législa- qui concerne les céréales. Le parti tory ne paraît pas disposé attendre le coup que le ministère s'apprête frapper. Lord Sandon a annoncé dans la séance de la chambre des communes du 5 maiqu'il ferait le surlendemain une motion contre la réduction du droit sur le sucre étrangerN&'est le 7. aussi qu< le ministère a dû prés céréa' la raclette et les genouillières de cuir; il entre au corps-de-garde du quartier, charge sur son dos le poêle de fonte dont le poids dépasse cinquante kilog., et l'emporte. Que faites-vous donc lui demande le faction naire au momentoù il passe la porte et gagne la rue. Vous le voyez bienrépond le liardi voleur sans se troubler, j'emporte le poêle du corps-de-garde, pour le changer. Un quart-d'heure après, le poêle arrivait chez un ferailleur de la rotonde du temple qui s'apprêtait en compter le prix au fumistelorsque survinrent deux des inspecteurs de police constamment en surveillance sur ce point. Les agens voulant savoir d'où provenait cette masse de fonte qu'Antonio abandonnait vil prix force fut bientôt celui-ci de convenir de son vol Conduit au commissariat du quartier, le fumiste a été envoyé au dépôt, tandis que le calorifère muni cipal était réintégré au quartier où il pourra comme par le passé être utilisé l'hiver procha in. Nous trouvons dans le Nouvelliste des Ardennesles détails d'un crime horrible que la justice a déjà dû poursuivre. Il y a douze ansla fille d'un menuisier d'une commune de l'arrondissement de Mézières fut recherchée en mariage par un jeune homme d'un village voisin. Les parties d'aœord et les noces finies les époux allèrent prendre domi cile dans la demeure du marf. Au bout de quelques moisla jeune femndfe donna quelques signes d'aliénation mentale mais la maladie prit bientôt un caractère tel que le mari se détermina la conduire chez son pèreoù il entrevoyait apparemment plus de chances de guérison. Celui-cien effet reçut sa fille mais bien résolu de ne pas subir les inconvéniens de cette nouvelle position, il construit secrètement avec quatre planches de chéheune caisse ou cercueil, de sept huit pieds dé long, ouverte l'une de ses extrémités et l'assujétit, dressée debout, dans son étable. Ces apprêts terminés, il entraîne son enfant vers ce coffre, parvient, soit persua sion soit force l'y faire entrer et clouer le coffre après quoi il se retire. L'infortunée reçoit par la partie supérieure de sa prison les alimens que son père laisse tomber sur sa tête attendant d'heure en heure sa délivrance. Un jour s'écoule puis deux vet elle est là dans son juste-au-corps de bois, étreinte, frois sée, meurtrie pouvant tout au plus se dresser sur la pointe de ses pieds, et porter la main sa bouche la favenr^dçs angles auxquels le bar- '«.yak Un Co-abonné au journal I'Émancipation il recevrait cette feuille immédiatement après l'ar. rivée de la poste et devrait l'envoyer sa destination avant 4 heures de relevée. S'adresser au bureau du journal. de préférence, ceux qui savent lire le manuscrit français. S'adresser au bureau du Journal. de Veuve JLambin et Fit s But bu Scmplt, 6, Çprte. On se charge de la reliure en tout genre. On reçoit les commissions pour lithographie de caries de visite et de mariage, de régistres lignés la mécanique et d'impression de musique. -- On se charge aussi de Ventes de livresanciens et modernesdont la rédaction des catalogues est confiée une personne, connaissant fond la lihrairie. Ayant complété le matériel de leur atelier typographique au moyen d'une grande quantité de nouveaux caractères qu'il viennent de reoevoir, etpar suite, pouvant exécuter les ouvrages les plus soignés, ils osent se recommander, de nouveau, aux per sonnes qui jusqu'à ce jour ont daigné les favoriser de leurs commandes. Leurs principaux labeurs et ouvrages de ville consistent en affiches, lettres et billets de mort, lettres de faire part, circulaires, cartes d'annonces, étiquettes, factures, impressions de régistres pour le commerce et autres, etc. lie font des prix modères. du 11 mai. Cinq p. Belge, 100 7/8 4 p. °/0 id., 93 a. 3 p. °/0 id., 71 7/8 a. Espag. 22 11/16 a.Banq. Belg., 78.1/4 a. Nouv. Emp. 103 3/4. p. Départs. le matin. 5 heures pour Bruges. 7 heures pour Courtrai le ilaioaut et toutes les loca lités desservies par les che mins de fer. H 1/2 heures, pour Poperinglie et \Yarncton. l'APfiis-midi. îfc-îpMieure?; pour toute la Bel gique et pour l'Étranger. Les facteurs ruraux se mettent larrivée du courrier du matin Arrivées. le matin. Egtre 8 et 9 heures de Bruxelles, de Biuges, de $leuin, et de toutesjes villes de la Bel gique et de l'Étranger. l'apkès-midi. De 2 .3 heures: de Bruges, de Courtrai et du Hainaut. en route, une demi heure après Idétrôk 'inrriv Bruxelles Anvers et Gand 7 h^ •50 m. de relevée. Pour Oslcnde R 30 m. de relevée. Pour Liège et |atin et 12 h. de relevée. Liège, St-Trond, Ostende, Gand, atin. Pour Anvers et firuxelles l^relcvée.

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 4