en* VAN RENYNGHEBourgmestre, I»o- pei inglie. NOUVELLES DIVERSES. prxxàjir o-. - dirmet opinion* représcnl»** dan* celle en- si eeiule. Nous allons toik nommer le* can- didaU que nous crovon* devoir proposeret u nous e*|>èrofts que tous voudrez bien en faire autant. Nous serons les prnrniers nous rallier vous pour peu que le bien-être de la Belgique nous semble le demander. M. Beke-Bcke sêtant alors levé, et ayant dit qu'il trouvait étonnant que M Van Daele se fût permis de prendre la parole au nom des électeurs littéraux, quand elle devait lui appar tenir de droitlui comme président de l'as semblée: un électeur lui demanda quel titre il se qualifiait de |>ré»identlorsque l'assemblée n'avait |tas formé de bureau. Il lui fit re marquer que ce n'était |ta* (tarrequ'il était allé s'asseoir au fauteuil, qu il lui ap|>artenait d'ôter la parole aux électeurs quiayant provoqué celte réunion croyaient devoir avec leur fran chise habituelle, en ei|toser le but et les motif*. 1-e* candidats libéraux furent alors nommés, ce sont MM. BOEDT. avocate! membre de la régence Yprcs. TH. DONN Y écbevin de la ville d'Yjwes. On somma différente* reprises le parti op posé de faire connaître le* siens: ce ne fut qu'après de longues hésitations qu il se décida nommer par I organe de M. Léon Mullc, MM. DE KLOIUSONK député sortant; JULES MALOlf, chef de division au ministère de la justice. Il a été arrêté qu'une 2* réunion électorale serait ultérieurement convtxpiéepour (tasser un scrutin provisoire. Connuunnjtic.) Un seul «les cinq candidat*, propos»'* dan* la réunion él«»clorale préparatoire, s est assi» déjà parmi les i«'•présentant'» de la nation; non* ne parlerons pas «le lui sa vie parlementaire iieut être appréciée sa valeur par la Belgique «•nti«',re. Quant aux autres, ne M-rait-il pas convenable et nécessaire «|uepar la voie uc la pre».-»e ou de toute autre manière, ils fissent aux «'lecteurs une profession «le foi explicitr «ju il* publi assent un exposé de leurs princi|»es politique* ne fut-ce que faire connaître «pi ils ne sont pa* de e«* hommes qui croy«*nt «pic le mandataire du |HMiplc n'est envoyé Bruxelles que pour y jouir d<-s agrément* de celte capitale, et rendre, «piand il y a lieu «piclque* petits services aux ami*, et aux électeurs qui l'out favorisé du leur vote. IOI DES CEREALES ER 4VSLTEERM. QCESTIOR IMSTtilïlLI. CVsl luntli «lernier qu'a «lu commencer la discussion entamée sur la proposition du minis tère et sur celle de lord Sandon. Lord Bussell a exposé les hases du bill qu'il se propose de présenter pr«jcliainement sur les céréales. Il a recommandé vivement l'abaissement de* taxes comme moyeo d'accroître la ri«dies*e nationale. En théorie, rien n'e*t (du* irréprochable mais, en pratique, rien ne sera plus difficile faire comprendre aux adversaires intéressés devant lesquels il veut soutenir son bill. Le projet du ministère est d'établir dorénavant sur le blé un droit fixe de 8 schellings par «piartei 2 b«?ctolitre* 21 litres.) four compren dre la |>orlée de cette modificationon sait «vue la Législation actuelle repose sur une échelle de droit* mobiles qui s'élèvent ou s abaissent suivant que le prix «lu blé anglais diminue ou augmente. Ainsi quand le blé indigène <?sl au- disons de 61 schelling* le «piailer. le droit «Iroit «l'entrée sur le blé étranger eut «le 23 schellings. C'est alors une véritable prohibition. Quaml le blé monte 69 schilling* sur le marché intérieur, le «Iroit d'entrée descend 16 schelling* 8 pcnccs. Enfin «piand le pr.x dépas se 73 schellings, le droit dentrée se réduit un *cbellii>g! Désormaissi le* hase* du bill nouveau sont adopti'escette progression ascendante fera place une taxe unique et permanenteet la taxe retlnite cmjvèchcra le prix du blé indigène «le s'élever commo il l'a fait trop souvent jus qu'ici. I.c« fermier*n'ayant plu* espérer rei chance* d'augmentation éxjgefont certaine ment un abaissement dans prix do leur* baux. De là réduction né< - «Lui* le* revenus des propriétaires,. Aussices derniers tonl-il* décidé* repous ser la nouvelle loiet l'on doit sattemlre une lutte «IUne citrétm* vivacité. En attendant les pétition* pour et contre affluent au (larlement. Le Standardjournal des tories assure <juc le* ministres ont renoncé dissoudre le parle ment et «(il il» ont résolu de se retirer s ilssont battu» sur la proposition «le lord Sandon re lative aux «Iroit* «les «ucres. Ce journal s'attache ensuite démontrer «pie le cabinet vvliigne peut faire .autrement que de donner sa démission al tendu «pie la loi sur le sucre expire le 5 juillet, et «pic si elle n est pas renouvelée avant celte é|K>«|iie est un revenu «le «piatre millions qui expire avre clic. I.e Staudartl termine en enga- Seaul le ministère prendre son parti avant la éfaite certaine «pi il va é|>rouver dans quel ques heures, eu cédant la plare a de plus ha bile* que lui. !.e* journaux anglais pensent que le vote ne sera pa* émis avant le il ou le 12 dans la nuit. On croit au» que si la majorité oui se pronon cera (tour la proposition de lord Sandon est de 13 ou 20 voix le ministère donnera sa «émis sion <(ue si elle est au-dessous de ce «diiffre il se décidera dissoudre le parlement. (J. de Bruges.) Nous soumettons aux électeurs des cantons de Jodoigne et de Pervvexla proposition de savoir s'il ne ronviendrait pas «le fixer un rendez-vous général de tous les électeurs «les trois cantonsla veille des élections W avre pour partir le matin tous ensemble. Nous prions les électeurs influens de vouloir nous faire connaître les moyens de traiisjiort dont il* |»ensenl aToir besoin et les endroits où nous pourrions envoyer les voitures pour pren dre les électeurs et les cond«iire la veille Wavre et le lendemain Nivelle. Nous apprenons que les électeurs des communes dOrp le Grand, Noduwez-l.insmeau. de Mari Iles, qui n'ont jamais été aux élections, se rcmlronl retle année Nivellt» pour voter pour les candidats que les trois rantons adop teront. Déjà plus de cincpiante électeurs ont (iris rengagement de s'y rendre. Nous espérons (uiuvoir mettre la <li»|H».titinn des électeurs les moyens de transport qu'ils réclament. Electeur de la Dyle. On a souvent proposé en Belgique de ré duire les impéts qui atteignent les classes pau vres et «le faire fare au déficit qui résulterait de cette ré<luclion par des taxes sur des objets «le luxetels <|uc les chevaux de luxe, les voitures, le* armoiries et les chiens. Voici le» pnxluil* des différentes taxes en Angleterre. Ces chiffres sont extraits de la sta tistique de la Grande-Bretagne«jue vient de publier M. de Moreau de lonues. I-c produit sur la taxe «les voitures et le nombre des voitures taxées donnent h;» résultats suivants depuis 1821 F-n 1821 69.850 voit» ont payé 13.235.000 fr. En 1825, 70,213 20.957,000 En 1832, 110.198 10.885,000 En 1835, 123,935 10,690,000 Cette taxe, ainsi qu'on peut le voir, a subi des réductions depuis 1823. La taxe sur les chevaux remonte l'année 1785 Voici le nombre des chevaux «pielle a atteint et le montant de son produit: Années. Ch «le selle. Autres. Prod1 «le la taxe. 1820 178.338 998.963 32.812.000 fr. 1824 171.437 140.238 39.967.000 1829 187,111 151.987 10,893,000 1832 182.878 137.800 11.813.000 1833 181,023 33,733 9.120."b00 1835 136,978 30,344 8.177,000 Malgré plusieurs catégories d'exemptions cette taxe était nuisible ^l'industrie, il a fallu par «livers bill successifs, la réduire «les deux tiers. En 1836. elle a prcxluil 8.275.000 fr. Tare sur les chiens. Cette taxe terni re streindre la fâcheuse multiplication de ces ani maux qui comomment une partie de la sub stance 4]*: l'homme «lans un rapport bien plus bien JiflVrilc de Minir. Certes, c» »W fnUcnkle de ttnn U sang qui I arrêté, un fuir il «-utimcnl lui était l»"P élran.r» 1 uukuM U gravité m MtuAtioMoa.ala «an» -I a a O«F C* de» U L l «ir« I(la «S ur U frxaiiK-rc de France du raaYjui* de JflLu- FVmterl du colooc dâa Ju»- Oluu tju'ua Ju» «féal* de I «uibu- mal.: 17 de l'uni que le» abmlulivtas U ,m 'il uc fumier, el, auiraut quetque%-uns, du rurale meut de doo Curka lai-même. Voici or qu'on raconte ce sujrt. On <iit qu après le» r. uemriits de Narirre U confiance de dan Caria» dans le parti aluoluli le pue s'était-altérée un moment, et que, mécontent de Cabrer» qui n'exécutait par »i ordre»il »»ajt tné le crante d Kipagns commandant |éarnl de (ùli- Al-: u et Jilavr. Cifarrfi' {ai mit eu soin depuis l00?""!* de aaboroer |U;d argent tous cens qui approchaient ,m«r*i« été immédiatement informé de cette intention, uaitùt résolu de se débarrâner de aan rival. I l'on rit un jour apparaître A Rerga petit avocat galicien qui -était de- t qui après avoir tout brouillé m fanativme, avait chavé <Ar» aroir pané (paelqae temps en France, indre Cabrera. Puis, cm entendit r, expulsé d auprès de lui t L parue comme une -irtime t ce qui était maltraité par in comte d'Espagne. Tsjeiro, et parut en faire ta amie ou

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 2