Alt ACTIONS, FÀBRir D'INSTRUMENTS DE CHIRURGIE, &'4/T3. 4 DE LUIOTERSITÊ DE GiND. AVIS. -V DÉSIBE ÏROTJVEB TOE PXACE lin emploi de Directeur dans chaque capitale de province, et un emploi d'Agent dans chaque chef-lieu d'arrondissement et de can ton, sont offerts pour y diriger les affaires de plu sieurs compagnies belges et étrangères. Ces emplois seront permanents et lucratifs. Il est nécessaire de fournir des cautionnements, et des renseignements sur sa position sociale. Olkt'tl DONNÉ PAR LES ELEVES LAURÉATS DE L'ACADÉMIE PROGRAMME: État civil d'Ypres. JJlarclie iPYprcw. du 14 Août 1841. (N SUPERBE TILBURY NEUF, Ta. deux gaissEs et a soufflets, ia'gnîfiqhe voiture de la valeur.de îoco fr. l'emportée le 3 août dr.au carrousel d'Ypres. Ie soort van Ol stipation qu'il occasionne est salutaire ces peuples, qui au printemps, consomment une trop grande quantité de poissons. Le cahouac des nègres de la Guiné est encore une terre jaunâtre pour laquelle ceux-ci ont un goût tel, que, transportés aux Indes occidentalesleur pre mier besoin est d'y chercher une substanceanalogue; mais, soit différence du climat, soit différence de terre, le cahouac des Antilles leur est pernicieux; aussi l'usage en est-il défendu la Martinique. La terre de Patna est également une argile du Mo- gol qui sert aux mêmes usages qu'en Espagne et en Portugal. Enfin, dans les villagesde l'île de Gava, entreSou- rabaja et Samarang, on vend des petits gâteaux de forme carrée et de couleur rougeâtre, appelés lana- ampalesquels sont formés d'une argile un peu fer rugineuse. On fait quelquefois des petits cornets de cette terre, que l'on fait griller en cet état, cette préparation porte le nom d'ampo. Elle est d'un goût fade, dessèche la langue, et n'est guère recherchée que des femmes enceintes ou de quelques hommes qui veulent diminuer leur embonpoint. Nous terminerons cet article par un exemple re marquable et authentique de géophagisme cité par MM. de Humboldt et Bompland le voici Dans un village de l'Amérique du sudhabité par les Ottomachesces savants ont observé que les habitants, qui ne cultivent point de végétaux, se nourrissent de poissons et de tortures lorsque les eaux sont basses mais lorsque la pêche devient im- uossible cause de la crue périodique des fleuves, ce qui dure environ trois mois, ils mangent presque uniquement une terre potier, grasse, douceau tou cher d'une couleur jaunâtre' et mêlée d'une petite quantitéd'oxide de fer, qu'ils tirentde certains bancs situés sur les bords de l'Orénoque et de la Méta. Ils pétrissent cette terre qu'ils savent tx-ès-bien distinguer des autres espèces d'argile, et en forment des bou lettes de quatre six pouces de diamètre, qu'ils font griller sur un feu léger, jusqu'à ce que la surface ait pris une teinte noirâtre,puis les humectent de nou veau avant de les manger. Les deux voyageurs trou vèrent dans les cabanes de ces Indiens d'amples pro visions de ces boulettes amoncelées en forme de pyramide, et le frère Ramon Bueno,qui vivait depuis douze ans parmi eux, leur attesta qu'un Ottomache en mange par jour environ une livre, et que sa santé n'en est nullement altérée. Ces peuples dirent eux- mêmes MM. de Humboldt et Bompland que/pen dant toute la saison des pluiescette argile formait leur piincipale nourriture, et qu'ils en trouvent la pâte si délicate qu'ils en mangent même dans la sai son où ils ont du poisson abondamment. Cependant, au temps de la crue des fleuves, ils y joignent, quand ils le peuvent, un lézard, un petit poisson ou une racine de fougère. Du reste, ces hommes, qui ont un teint d'un brun cuivrésont assez gras et robustes. Le père Gumilla, dans son histoire de l'Orénoque, a prétendu que les boulettes d'argile qui servent de nourriture aux Ottomaches contenaient un mélange de farine de maïs et de graisse de crocodile ou d'alli gator, et le célèbre Haller, dans sa grande physiolo gie, a révoqué en doute l'assertion que ce peuple puisse impunément se nourrir de terre; mais le missionnaire Ramon Bueno et le frère Juan Gonzalès ont affirmé MM. de Humboldt et Compland que les boulettes d'argile ne contenaient pas de graisse de crocodile, et que, dans ce pays, on ne connaissait pas le maïs. D'ailleurs, Vauquelin a fait l'analyse de quçlques-unesdeces boulettes et n'y a trouvé aucune trace de substances animales ou végétales. j 4 - m A l'honneur d'informer le publicque par suite des nombreuses commandes qui lui sont adressées journellement concernant ses AIMANS POUR LA GUÉRISON DES RHUMATISMES, ne pouvant pas suffire de répondre toutes les lettres qui lui par viennent chaque jouril vient de se décider visiter les principales villes de la Belgique. En conséquence toutes les personnes, atteintes de rhumatismes, qui désireraient s'assurer de l'excel lence de son procédé, sont priées de s'adresser direc- lement lui, le i5 de ce mois, en tHôtel de la Tête d'OrYpredepuis 2 jusqu'à 6 heures de relevée. Il a l'honneur de faire savoir en outre MM. les médecins, qu'il confectionne dans ses ateliers toute espèce de Machines Orthopédiques, telles que jam bes artificielles, corsets et lits mécaniques, appareils pour pied botainsi que ceux pour redresser les .jambes des enfants par un nouveau moyen. Il prendra pendant son séjour Ypres, les com mandes et les mesures nécessaires, pour confection ner toute espèce d'appareil qui pourrait lui'"être commandé. Plus tard s'adresser son établissement'*» Gond avenue de la place d'Armesn" 8. 2. Une personne connaissant parfaitement le fran çais et le flamand, ayan^t été attachée une maison »de commerce, Une personne désire acheter un JLèvrier de la meilleure race. S'adresser pour informations au bureau de cette feuille sous l'initiale V. On est prié de s'adresser en personne, si l'on peut remplir les conditionsou par lettre, poste payée), A Mr RUSSELL, RUE ROYALE ,r 18, A BRUXELLES. S. DIMANCHE, 15 AOUT 1841. G DE DESSIN, D'ARCHITECTURE, DE PEINTURE, ETC., DE LA VILLE D'YPRES; EN LA SALLE BLEUE DE L'HÔTEL-DE-YILLE. PREMIÈRE PARTIE. 1» Pastorale variée pour Violon. 2* La Clochetteair chanté par M. Air varié pour Coi clefs. 4» Mélodie de Clapissott. DEUXIÈME PARTIE. Lè coin du feu, duetto chanté, par MM. 2° Fantaisie pour la TrbinRomi/ ruiuistratnm civile ouden^jj» te——II donnerait sut sa co ne maison conduite les - i 14 i f £s renseignements. pour iÈformationRan bureau de cet te. feuille, sous les jj?""1 3° Sérénade du Guitârrerofinisiijue de Wat»^.:' 4" Grande fantSisie pour Violon. oaKjy. n, a - On commencera 6 heures et demi précisespoux,finiii£v.cinl de donné Je mêmpjjout par les susdits élèves, Du 31 juillet au 14 août inclus. Roose. Natalie-Jiflie. Bouckaert, Henri-Polidore. Laire, Octavie-Mélanie. WoîfcariusPhilomène-Pauline. Debruyne, Louis-Julien. Vanneste, Édouard-Louis. Dewulf, Jean-François. LenoirClémence-Ëmerence. Didier, Eulalic-Stéphanie. VandenbulckeAloïse- A mand-Jacquet,, VerbruygheAuguste-Gustave. Ossieur, Félix-Isidore. CalmeinFélix-Julien. Vanlimbeek, Julien-Aloïse. Odent, Édouard-Léopold. VerstraeteDésiré-Joseph. Un mort né du sexe masculin. <3 S2<&32&(523, Bergami, Lucien-Léonard, 29 ans, musicien au 8e rég1 d'infanterie, et Thérèse Colet, 29 ans, tailieuse. Baeyen, Pierre-Jacques, 26 ans, maçon, et Julie-Sophie Slagmulder 20 ans, dentellière. Termote, Pierre-Alexandre, 27 ans, domestique, et Amélie-Sophie Vermeulen, 21 ans, domestique. Devicq, Constantin-Antoine, cordonnier, 40 ans, et Jeanne-José- phine Demunckcouturièrel\J ans. Lambin, Marie-Julie, 3 mois, rue de Lille. Sanctomm, Julien-Joseph, 1 mois, rue Saint-Jean. bertier, Émérence-Hortense, 4 jours, Marché aux Bétes. baxy, Angèle, 74 aus, dentellière, veuve de Joseph Deslaef, Marché aux Bètes. Deseyher, Jules-Romain, 1 an 5 mois, quartier Dessaix. Vanheule, Philippe-Jacques, 67 ansmarchand de charbons, époux de Colette Maslein rue de Menin. Ferrand, Joseph-François, 77 ans, corroyeur, veuf de Thérèse Degruyter, cloître S1 Martin. Dehaese, Flore, 52 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Dekoninck, Sophie, 53 ans, fileuse, veuve de Jean Breyne, rue de Menin. RemmeryJaoques, 69 ans, voiturier veuf de Thérèse Marteel rue de Meuiu barattoLucie-Pauline, 1 an 14 jours, rue de Jena. Cnockaert, Émérence-Eugénie-Joséphine, 1 an 2 mois, rue des Chiens. DemoorJean-Baptiste, 1 an 12 jours, Marché aux vieux liabits. VandelannoilteJean, 36 ans, journalier célibataire, rue de Ménin. Bouten, Louis-François, 74 ans, propriétaire* veuf de Werkyn rue de Dixmude. VergeelzooneLidore-Constantin-François36 ans, brasseur, céli bataire, rue de Thourout. Mispelaere Eulalie-Octavie3 ans 6 mois, Marché au bois. Smaelen, Ignace-François, 74 ans, particulier, célibatairerue des Étoiles. Tabert, Jacques-Joseph, 81 ans, journalier, veuf de Isabelle Sieuws, époux Je Françoise Cnockaert, rue de Menin. 1 jlKlTURE S. LÎCUHESVIANDES ET PAIN. n. f l'L BLIC LE 19 SEPTEMBRE 1841, IOTEL DO PARNASSE, A YJ»£ES. On^pvurra se procurer des Cartes d'èntrée éûison dé 2 fr. FroiDeïiti^ chaquechez Chs Vanaerderue de Dixmij^, Seigle. prises au bureau se paieront fr. 2-50 dhaquer f *- Vf ti t:*V MEILLEURE manufacture de GAND. aura 120 aétions prix d'une action, 10 fr. -gagnant devra reproduire son billet d'action. S-v.-t.rtTI. IWANZ.EVVXK1, rne du I-ombard, V près. MA D'HEER VAN IRSCHOl by de. Watermolenbrug n° 13 Zyn te bekomen aile slach- Riga en aile andere soorten i DUYGEN, WAGESCIK HOUT, enz., enz. »tt«rre par rasiere. id. id- ick t id. -• par qqinL métr. M id. p»r kijo. i<?- id. i.L'i* w id.fc id. 4d; v 421 26 32 50 i ..13 Pra moyen. 20,80 12,00 14,80 8,50 3,63 3,38 *0 00 *;oo 0,00 0 00 0,00 0,00 0,00 0,00 <},00 Pir lirre. 1,61 1,00 0,98 1,05 0,98 0,96 0,241]* nnpositeurs- JPressier 5 rue du Temple6.

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 4