FERMES, VARIÉTÉS. BEAUX BIENS PATRIMONIAUX DEUX A. rendrelà Poperinghe L1 V. Chemin de fer. DUNKERQUE ET HAMBOURG, État civil d'Ypres. Nlarché d'Ypres. -- du 9 Octobre 1841. *r -*? millions 400,000 fr.), et la garnison tartare a évacué la ville, le 5 juin. Les forces anglaises sont retournées Hong Kong. Le 18 juin, le commodore James Bremer est arrivé Macao et aussitôt il a ordonné le départ de l'escadre pour le nord, pour attaquer, disait-on, Amoy. La, ville d'Amoy, vers laquelle se dirige l'escadreest située sur la côte de Fokiena 'moitié distance de Canton et de Nankin. En f 'attaquant cette place, que lord Jocelyn désigne fcomme fcpe cité florissante, les Anglais espèrent sans doute soulever la province contre l'em- pereur et séparer le Sud de la Chine du nord. 'Cette expédition semble indiquer aussi qu'ils ont renoncé faire une pointe sur Pékin et pénétrer jusqu'au siège du gouvernement. L'attaqué td'Amoy suppose la pensée de s'établir sur la côte. Mais ce sont-là des conjectures. La malle de l'Inde nous apportera sans doute des rensei- gnemens plus précis. Le perruquier Simon étaitappelé devant la police municipale pour avoir gardé des clients chez lui après minuit. Le perruquier. C'est la faute Merlon que voici, c'est lui qui, n'ayant pas le temps de se faire raser le jour, se lait raser au moment où la journée change de date. Le président. Au moins il ne fallait pas trou bler le repos public. On criait chez vous comme si on y assassinait. Merlon. On y rasait c'est presque synonime. Le président. C'est donc vous qui criiez, Mer lon, comme si on vous écorchait? Merlon. Oui M. le président, on m'y écorchait en effet. (Rire général.) On m'a coupé atrocement. Le perruquier. C'est vrai, je me suis trompé. j- Merlon. Vous ne vouliez pas me couper? Le, perruquier. Je ne dis pas ça. (Rires prolon- 'gés.') Seulement je ne voulais pas vous en couper si long. (Longue et bruyante hilarité.) Le président, au perrùquier.^.Vous le coupiez donc exprès? Le perruquier. Toutes les fois; c'est par esprit d'ordre,* vous comprenez, on n'aime pas être au dessous de ses affaires. POUR SORTIR D'INDIVISION. consistant en Le président etJVIerloq, ensemble. I **5pfcV - ■etpourquoi fcè^rruquier. Voilà la chose. M. Merlon est de mauvaise foi comme il ne paie pas comptant, il me fait des chicanes pour le nombre de(barbes qu'il me" devait; quand il en avait douze, il disait qu'il.n'ep avait que six, bref, j'en étais pour mes rasoirs, mon- S savon et mon temps; j'ai trouvé le moyen decxéer Le Notaire GHEI.EIN résidant Poperinghe, procédera vendredi 8 octobre 1841la Mise-a-Prix avec gain d'enchère, et le vendredi 22 octobre suivant 1'Adjudication,chaque fois deux heures de relevée, l'auberge dite la Maison de Fille, Poperinghe, des biens dont la désignation suit, savoir COMMUNE DE RENINGHE. Une très-bonne Ferme, dont les terres, sauf une parcelle, ne forment pour ainsi dire qu'un seul et même bloc; située Reninghe, proximité de l'église1, contenant d'après les titres d'acquisition en lieu manoir, herbages, labour et prairies, en semble 19 hectares 8a ares 77 centiares; connue au plan cadastral, sect. E, N*s 25a, 253, 254, 255, 248, 24g, 251, a44, 247b1', 246 et 212, et sectD. N" 737, 6,8 et 61 pour une superficie de 19 hec tares 45 ares 70 cenliares. Cette ferme confinée principalement par les propriétés de MM. Roeland-Peel, Fallaeys, notaire Reninghe, le comte Dewissocq Gand, Jean- Baptiste et Louis Fan den Peerehoomprop'riétaires Ypres et le comte de Bethune Tournai Est occupée par bail authentique jusqu'à la Saint- Remi 1845 par les époux Joseph Kijndt et Colette Fallaeysou modique fermage outreles contributions et autres charges ordinaires du bail, de 1,100 francs par an. Susceptible d'une forte augmentation étant portée au rôle de la contribution foncière pour un revenu annuel de fr. 1,385-28 centimes. COMMUNE D'pOSTVLETEREN. pour lui une tenuefle livres irréfutable. Le. président. Lequel Le perruquier. Toutes les fois que je le rase, je lui fais un cran sur la joue (rire général) quand nous réglonsje regarde sa joue autant.d^cransautant de barbes (nouveaux rires); seujeihèhtl'aqtÇè jtmr le rasoir m'a tourné dans resmairi$t j,&i feit le chiffre trop grapd ce qui est,cause qu'il» cri tranquillité du quartier. /"-/■.milieu du rire général, le pei ('"tau maximum de l'amené' îséejsm i'avepiràrenoncer son MaFf%lê.A tucv «-ccctr 'lie [Porter leur ouvrage ï^'est vous, mcmsieua l'Vous êtes donc gcn EPARTS. PÉRIODE D'ÉTÉ. Une »utra Ferme sitjée dans la commune d'Oost- vleteren, non éloigfiééjpç la précédente, contenant en lieu manoir, potager,,-tpaturage, labour et pré, ensernUle d'après titre^j "t»bectares 87 ares 3g cen tiares jt d'après le cadastrtîVsect. A, N"s 600, 601, §29, G3o, 366, 342 jt 2^y, 4 hectares 84 ares la Auji|i occupée par bail a'nîhentique jusqu'au o&obije 1-846, pariy/ nge-AUjert finie y et son ypousç Anne-Thérèse Fan den Ëfçrghe, au fjçpdage préssidé'nt annuel''de 3-32 francs •pardessiu£Jes contrit et autres charges dit bail. /~i ljC r Cette dernière ferme est MM. Louis Fan den Peereboomle baron Dejoigny- de Pamele de GodefroiAuguste Demolder Lille et de madame la douarière Carton-Fan den Pee reboom, Ypres. Ces deux fermes divisées aux affiches en 16 lots, seront adjugées par parties ou en masses. S'adresser pour plus amples renseignemens en l'étude dudit Notaire GHELEIN Poperinghe chargé de la vente. 3. qu'on se le dise. VAPEUR entre trajet en 36 heures. Départs tous les mardis la marée du soir. lre CHAMBRErS. 110 2°» CHAMBREFR. 80 Nourriture comprise.) S adresser Dunkerque M. P. DEBAECKER, Courtier de navires. Du j5 au 9 octobre inclus. 6 naissances. DécroisJulienne-Sophie. DebrouwerMathilde-Eugénie. Fromont, Marie-Hermenoe-Joséphine-Justine-Ézëlie. VanhuUl, Léonie-Amélie. PluileeuwLouise. Nevrjaiis, Virgiiiie-Célina- 4 mariages. VanelslandeMartin-Joseph menuisier, 37 ans, et Laserre, Eugénie-Virginie, 27 ansrepasseuse. Porret, Philippe-Jacques, rubannier, 26 ans, et Declein, Amélie-Rosalie-Josèphe. B a y en, Édouard-Joseph-Antoine, cordonnier, 21 ans, et Cnockaert, Isabelle- Thérèse, dentellière27 ans. Lesage, Louis-François, journalier, 24 ans, et Buseyne, Rosalie-Nathalie, ans. 8 décès. VanbeylenLouis-Antoine, 76 ans, journalier, époux de Thérèse Vermeersch, rue des Bouchers. Greven, Cornéiie, 5 mois, Quartier de Cavalerie. DerooFrançois-Léopold, 47 ans, cabaretier, époux de Joséphine Vereecke, rue deDixmude.— Braem, Marcel-Antoine» Fidèle, 28 ans, soldat au 5m« rég* d'infanterie, vue des Bouchers. Fanbeylen, Sophie, 43, ans, dentellière, veuve de Joseph Clincke- maillie, rue de^Menin. -- Vandenameele, Barbe-Thérèse, 68 ans, épouse de Pierre Tahon, rue de Menin. VallaeysPierre-Jean, 56 ans, charetier, époux de Jacqueline Kiecken, rue de Lille, TalonEugelbert-Joseph, 1 mois, 3 jours, rue de Lille. NATURE DES GRAINS. LÉGUMES. VIANDES ET PAIN. par rasière. id. id. id. id. Pommes de terre id. Idem blauohes id. Foin par quint, métr. id. par kilo. id. id. id. Mouton id. Porc. id. Pain. id. Prix moyen. P r fit e. 1,0 5 0,98 0,96 0,241/2 ous ac re. Tumed nçompagil 10 h. 30 m. du matin, A4 h. 45 m. de l, BrûxpL^s, Anvers, Tirlemontj nimltéJk,de. vs, A6 h. 50 ra. litin, jxiur Ostende /Gand pr Courtrai Anvers Liège .S1 matin, jrour Gand% A 11 h. du mat. cotifiriéepp ^ramle-]5$-L,— le cimeliere du lieu et par les propi4etya d^j, «,<4iS[n mûrie dë vcuv< LAMlilV n FILS, rue du Temple, g OUVERTURE ET FERMETURES DES PORTES D'YPRES. Ouyfcriuré 5 beurçs. Fermeture provisoire, 8 heures. srmélnre définitive 0 heures,. d Wyt «as 1 du matin, pour Gand, ,et 2 h. 30 m. de relevée, pour Ostende. A 4 OstendeJruxelles, An- h. 30 m. de relevée, pour Gand, Courtrai, Brux elles, AnversTirlemont. <^AC h. 45 m. du soir pour Gand. A 8 h. 10 m. du soir, pr Ostende D'OSTENDE 6 h. 30 m. du matin, pour Gand, Bruxelles coïncidences Malines, pour AnversLiège «S1 Trond coïncidence Gand 9 h. 30 m. pour Courtrai. A. 9 h. 45 m. du m. pour Gand, BruxellesAnvers. 4 h. de rel. pour Gand, CourtraiBruxellesAnvers, Tirle mont. v-?, A 6 h. 30 m. du soir, pour Gand. Bruxelles. Vilvorde Malines Anvers. Ter monde Gand. Bruges Oslende I ou vain Tirlemont Ans St-Trond. 8.80 9,20 8,40 8,80 6,00 3,60 4.80 6,40 10,40 11.60 15,20 13,30 C- 1 W. 5,50 3,10 5,75 5,25 5 25 2,95 5.50 5.10 5,75 2,10 2.25 1,30 5,00) 1,70 4.00 2.25 6,50! 3.65 7.25 4,10 9,50 8,50 Les heures de passage nV tant qu'approxiiuatires, les voyageurs d ûveut se trouver la s'a avant celles fixées j*." îte départ. 19.40 10 »0, 05 1(5:00 6,25 3,65 3,80 3.50 3 80 2.80 1.85 0,00 2,25 6,75 5,00 3,25 1.00 4.00 7,50; 4,20 8.25 4.65 10,75 6,05 cnt tle 9.301 5,23

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 4