'33 NOUVELLES DIYERSES. EXTÉRIEUR. 3 FRANCE. ANGLETERRE. de nous occuper activement de l'amélioration de nos voies de navigation et d'écoulement. L'institution de caisses de prévoyance pour la classe d'ouvriers qui s'occupent de l'exploi tation de nos richesses minérales, garantit leur avenir et celui des familles qu'atteindraient de déplorables accidens. La situation de la capitale du royaume in spire un vif intérêt au sénat. Nous examinerons avec une attention sérieuse la convention qui a été conclue entre le gouvernement de votre ma jesté et la ville de Bruxelles la question rela tive aux réparations des désastres de la guerre sera examinée avec la sollicitude^qu'elle doit iiYspirer «Nous apprenons avec une satisfaction qui sera partagée par le pays entier, que l'applica tion des principes bien entendue établira l'équi libre entre les recettes et les dépenses pour l'exercice de 1B40. La révision de la loi sur les sucres les pro positions en faveur de la pêche nationale celles tendant protéger le négoce intérieur contre les abus du colportage et le compte rendu de la situation de l'industrie linière feront l'objet de notre examen le plus appro fondi. Le maintien du bien-être de l'armée est un de nos premiers devoirs en justifiant laconfiance de V. M. l'armée garantit l'avenir du pays qui dans toutes les circonstances sait apprécier son dévouement nos institutions et l'ordre pu blic. Nous ne perdons point de vue l'exemple mémorable que nous a légué le Congrès natio nal des vœux d'union ont été souvent exprimés ^|ns le sénatplus que jamais nous en com 4tfts la nécessité. t vouS, Sire, que la Belgique doit ses réalisés au milieu des temps les plus iffifcues, depuis dix ans que V. MJb'est associé nos,destinées, fidèles une dynastie, qui est le plus ferme boulevard de notre nalioijafité jaloux de conserver ces sentimens morauPtet religieux quijoints au respect de nés institu tions fondamentales, sont plus sûregarantie de l'ordre social et de l'avenir des peuples, nous nous trouverons heureux de concourir main tenir votre gouvernement dans ces voies de modération et d'impartialité qu'a toujours sui vies V. M. et de soutenir ces efforts pour le développement de tous les élémens de prospérité que renferme notre patrie. Ces efforts constans, Sire, assurent de plus en plus V. M. de nou veaux titres la reconnaissance publique. Quant nous, nous tacherons de remplir scrupuleusement notre mandat en nous occu pant d'utiles et nombreux travaux, et le témoi gnage que nous pourrons nous rendre d'avoir fait notre devoir, sera noire plus belle récom pense. M. le président a annoncé qu'il ferait préve nir les membres de la députation du jour et de l'heure laquelle S. M. pourra les recevoir. Un accident dont les suites eussent pu être terribles" a jeté l'effroi au théâtre de Louvain. La lionne de M. Ponsolle^ a brisé les barreaux de sa cage et s'est jetée sur le parquet. Le sang- froid du belluaire a heureusement conjuré le péril. Il a saisi la bête par les pattes et d'un grand coup de poing l'a fait rentrer dans lobéissance. On écrit de S'-Pétersbourg23 octobre On s'occupe toujours du projet d'établir un chemin de fer entre les 2 capitales de l'empire. Les travaux commenceront dans quelques mois. Le chemin passera par Twer et aura des em- branchemens sur Ribinsk. Cantonstadt, dans le gouvernement de Ja- roslaw sur le Volga où est l'entrepôt général des marchandises venant des contrées du bas Volga. Le port de Saiut-Pélersbourg gagnera beaucoup l'établissement de ce chemin. On dit qu'il sera prolongé ultérieurement de Moscou Nischninowgorod. Correspde Hambourg du 1er nov.) Le Journal allemand de Francfort an nonce que M. le docteur Sase, rédacteur par intérim du Télégraphe et condamné une amende pour avoir écrit des chosesdont la légation belge s'est offenséevient de quitter Hambourg. Les journaux allemands nous disent cette occasion qu'il existe depuis plus d un an, une sorte de désaccord cqtre les villes an-, séatiques et la Belgique, dôiïLyoiei la cause Le parti patriotique voulait yobténir la place de chargé d'affaires de Belgique pour un publi- ciste dejysou opinion. M. de Theùx fit en effet demander au sénat des vîBes anséatiques si ce 4 canditat leur convenait. A Brème l'on répondit oui avec empressement j la ville de Lubeck sembla être indifférente là Question tandis qu'à Hambourg la majorité fut, ce qu'il paraît, contraire au catndidàt et cela par des considé rations politiques qui alors pouvaient avoir de l'importance. Lorsque plus tard M. Dujardin fut nommé, le parti patriotique s'est dit offensé et les Anséales n'en témoignèrent aucun plaisir. Dans les pays méridionaux des questions pa reilles s'oublient du jour au lendemain il n'en est pas ainsi dans l'Allemagne du Nord où les opinions sont persévérantes et tenaces. A Brèmç ce sont les bourgmestres N. et D. qui consi dèrent cette affaire, comme une question d'hon neur pour les patriotes Hambourg lé riche# sénateur Mparent du candidat non ehoisi a réuni ses rancunes celles des 'joUf-naux et sociétés teutoniques. 11 en lest réSfillé'quc pen dant le très-court séjour de M. Dujardin dan|£ les villes anséatiquesles feuilles publiques ne tarissaient point en élogffc emphatiques du candidat auquel il avait été 'substitué et que ses éloges se reproduisent errobre maintenant chaque occasion. M. Olozaga, ambassadeur d'Espagn^ en France, a reçu de son gouvernement la somme de 150,000 fiancs pour commencer payer l'arriéré dû aux officiers et soldats de, la légion française. On annonce de nouveau l'arrivée pro chaine du roi des Belges Paris. Il est attendu aux Tuileries du 13 au 20 courant. On dit quf son voyage en France a principalehaeùj, poyr but d'activer les négociations commerciales dégf deux pays, afin qu'un traité de commerce puisse être signé avant la fin de la session deschambrjes qui vient de s'ouvrir. {Corresp.) Le National dénonce l'opinion'publique une dilapidation qui se prépare. Il s'agit d une adjudication publique avec concurrence pOur lè service des lits militaires. La publication du cahier des charges a été retardée de manière rendre toute proposition sérieuse impossible et afin d'écarter les concurrens au profit de ceux que l'administration protège. Le Précurseur d'Angers confirme les renseignemens que nous avions publiés sur l'intimidation ridicule Qgjpl alitorité veut essayer dans cette ville avant pendant le procès de M. Ledru-Rollin. Suivant ce journal, le bruit cJtirait Angers qu'il devait y arriver de Ren- 'nes une batterie d'artillerie l'occasion du prè- cf-i de M', Lt^lru-Rolliu. INoiAyiypijs pas vépiflé par nous-mêmes, dit ôd'jdff^fcijToûdOinê'hl! que peut avojr ce bruit .'mai* stii'ès-^èferéditéet nous ftpu»^ vons at blable. CependantlaVviïî ji __i que degrés-vrais ît l^dépift&îQ sont dans un état de calme p®fhit. qui doit avoir lieu y excitera L'cj et la sympathie que mérite l^^l qu'on ose mettre eh cause; tfiais U n que de très-légal dans les /manifesïïW population. A cet égard il neVest j produit le plus lêgmv symptôme qui puisse/ éveiller 1 inquiétude des plus susceptibles. Mais qu'importe On écrit de Londres 8 novembre On vient de découvrir l'hôtel de l'échiquier de$ bijoux d une valeur considérable qui pa raissent y avoir été déposés il y a plus de 150 an$r 1Un incendie vient de détruire, 4 Man chester, la grande filature de cotoa tle-AjM. Cockley, Barrow et M'Kinley. On eValue les» .pertes 20.000 liv. Elle otoclipait 600 ouvrièrfc^jj qui vont se trouver sans ouvrage. - Oh Madame, fit M. de C..., si je vous répondais yous m'accuseriez d'être libéral outré, anti-religieux, franc-maçon peut-être, Dites toujours, s'écrièrent toutes les dames dont la curiosité se trouvait sin gulièrement excitée. Eh bien mesdames, Pierre Y an Iloutte, réprésenta que les gens dô main-morte outrepassaient scandaleuse-^ ment les droits que les lois leur accordaient; que non contents d'exiger la dhne dont leurs prédécesseurs s'étaient coriteuté^j.iS([u a- lors, ils prétendaient en prélever ejacore surjes bois, l'KçVbtï t les pâturages, le foin, les moutous, les pies, et même sur les fruits et les légume^ tels ;i salades, choux„elc. Il lit obseivj Luther eoinnwnçaieut faire dès pr bre de bourg» 4 1?-et de poorter4 avaii cet hérésiarque. E>,rn jPurf dire que les Y prois - CR et qu'ils seraient benr;*i! leur reconnaissance. Charles remercia rie de faire disparut trê4j|h puisque vous dé^ cz-ï sance, vot^fej f je sois. Six vous donner toiU vant ici côûtinuaCharles, j ai été saisi d'admiration la vue du su* perbe mofrattieïit de la ïl.dle-aux-drapsjamais daïi.s aucun de mesvoyagesje n'ai rencontré rféii de pareil. Ce bâtiment,'{rlàcé'sur une des plus belles places deMadrid, serait d'un effet admirable eu yéi iic ce serait là uil superbe présent.. liés personnes qui composaient le magistrat Vf gardèrent ave'c tèrfcur. Ûne'^â^ûr n^rteltd couvrit Icur^trWk^|i)lî^esèXpirîiierit sur leurs lèvres tremblantes. CqârlcSvit ieiir%^àba^â^*'-Messieurs je comprends l'importance de la demande qoeje vièiisde faire;* "mûr examen; rélléchissez, et demain faites-iuoi con- qui JL'ieruî Van Houtte ordonna ar f Hk Le magistrat délibéra, plusieu fuser la demandé ^>A erait dàng<a£ J eveuemeqt se livraientà lajôie, ils ne négligeaient rien pour faireécla- tcrleur |Hégisesse dès feux de joie étaient allumés dans tous les carre" f©nrs«t lilluiuinatiou^fuWii^éiiérale et^î brillante, dit la chronique, noft parut clia magistrats fui eut 4>ieii de ly urs Atmiùistiés. Eum-jf ,'Ja ville 1 tique f .eût ira

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 3