I mm t ion suivie d'une tombola solen nelle a éfff décicb'e Jors 3e la première réunion, où s'rst éjjalemlStrformée la commission char gée *deyreçvieillir^es dons que voudront bien foWnir les"personnes charitables de cette ville, qui toujours sônt empressées de coopérer une botuie»soiivre. ...Cette commission est composée de quinze Inenobre^ Va^Â^stichele de Maubus, président'. V IChritIss De Patin, procureur du roi, vice- és%detit |Éi d^lalou, sénateur, ïitervoudt, membre du bureau de bienfai- ^J- rnesl#lerghelynck, idem, âqaidyfinédeciii de régiment. 'FialÙKjnt,,lieu tenant adjudant-major, ttelec&e uillerie, lieutenant d'artillerie. Keif»sier,'idem. Théodore De Gheus. V A]Jj|\Onse Vandenpeereboom. .-'jjhmçois Keingiaert de Gbeluvelt. ^'^•ruïîfaut. A Monsieur le rédacteur du Progrès. Ayant visité Bruxelles notre Exposition des produits de l'indus trie j'y ai particulièrement remarqué les objets qui ont été en voyés par notre ville et ses environs, dont plusieurs sont d'un mérite très-distingué. Je pense, Monsieur, que si notre autorité communale voulait, par l'entremise de la commission directrice, organiser une exposition de ces mêmes produits dans une de salles de notre hôtel- de-ville, (ne fut ce que pendant la durée de huit jours), elle procure rait tous les habitans la satisfaction d'apprécier les ellorts de nos industriels, et dédommagerait en partie les personnesrqui n'ont pu se convaincre du progrès immense que notre industrie a fait depuis quelques années. J'ose espérer, Monsieur, que vous voudrez bien m'accorder une place dans votre prochain numéro, et je vous prie d'agréer mes salu tations sincères. UN DE VOS ABONNES. Il paraît que depuis quelque temps certaines personnes de cette ville se livrent une spéculation qui présente tous les caractères de l'escroquerie elles achètent vil prix les titres des sommes que les remplaçants doivent toucher l'expiration de leur terme de service. Nous espérons qu'il suffira de signaler au public l'existence d'un pareil trafic,pour y mettre un terme. jp'®e llfuck. m. TTules De Codt, secrétaire. (Communiqué.) IBoifc <lu Progrès. Monsieur le rédacteur du Progrès. Lctrigepce veut-elle nous empoisonner Tel est maintenant le re- \£^rimdc toutes les conversations des braves et paisibles habitauts de <1^1* ruejd'Elverdinghe. Si réellement le Conseil de régence a décidé i i que le#boues et autres jolies choses odeur de rose, provenant de h'Yperlé» seront employées combler les bas fonds de la Plaine d'Amour, il faut avouer que la perspective n'est pas bien riante pour ^natis. En effet, sous le rapport de la salubrité, des miasmes continuels empesteront l'air de notre quartier, et ne produiront je pense, ^'Sne amélioration de sanjj^qgs ftSlheureu£^(uyrt«i3, qdi #éjà'eri- 'cMïmiliéres dè» 6 8 [lansMfet espécSs i t*"* ijjtasés OT*C1 pieds oaçl és,*e trouveront pi»|^!fbrénayafif cet air pur"qoi1esiflé!as- fatiguer de }a journée, etltts soutr 1 misère. Et qui .a îe.tbute de iccu^p pas d'exagération RU1 .v m>. se rendap dans importe la i longentléeispjàiiade, il de\ra ne au dessous de la vérité. ieux bourgeois d'Ypre6, laisse-t-il passer meut malencoutreux je ne le conçois pas; "^fcces réels l'embellissement de la ville! Plaine d'Amour comme une de ses veut même qu'on eu fasse un lieu c^publid'de réunipp jnais nous y pataugerons en pleiu été; nous n'ose- j*ro»i3 plus nous y promcnei.de crainte de maladie. L'air que nous y ^"i\ftvspirerons ne sera rien raofiis que sain. Tout est doue fini pour les uorabled habitués qui s'y rendent jou ruelle meut pour des motifs 't- de santéde société ou de curiosité. Ces messieurs devront se coufi- JAé - if^'dans leurs jardins, s'ils en ont, ou demeurer dans leurs apparte nants; car au lieu d'une promenade offrant quelqu agrément, la Plaioc d'Amour ne sera plus qu'un sale, puant et dégoûtant marais qu'on évitera avec soin. Je pris Monsieur le rédacteur, de vouloir insérer ces lignes dàtis son pi ochaiu numéip, afin que la regcnce puisse révoquer une déci- cion si désastreuse et cela au plutôt. J'ai llionneur d'être, Monsieur, votre serviteur dévoué, UN HAgITAN.T DE LA RUE D'ELVERDINGHE. Le 13 novembre, 4 1/2 heures de relevée le nommé Pynck, François, garçon batelier âgé de 19 ans, domicilié Alveringhem se trou vant seul bord du bateau de son maître P. De Meesler d Alveringhemtomba l'eau. Le malheureux ne sàchant pas nager, se noya. CHAMBRE DES REPRÉSENTANTS. Séance du 12 novembre i84i. La chambre des représentants s'est réunie le 12 une heure et demie. Elle a ajourné jusqu la semaine prochaine le rapport sur l'élection dè M. Cogels, Anvers. Elle s'est ensuite çsèeupéë de Ta formation du bureau définitif. M. Fallon a été réélu président par 57 voix sur 73. MM. Dubus aîné"êt de Bher ont été réélus vice-présidents. Le premier a obtenu 50 voix sur 75 votants, le second 43. M. d'Huart a eu 22 voix, M. Angiliisaussi22 voix et M. Coppieters 7. MM. de ReoesseScheyven, Kervyn et De- decker ont été nommés secrétaires. M. de Re- nesse a réuni l'unanimité des suffrages il était déjà secrétaire l'année dernière ainsi que M. Scheyven. M. Kervyn remplace M. Lejeune qui a fait connaître qu'il désirait n'être point réélu. M. Dedecker a été élu en remplacement de M. de Villegasqui n"a eu que 31 voix. MM. R. Dubus et le "baron de Sécus ont été confirmés dans leurs fonctions de questeurs. ■9, Aussitôt que le bureau définitif a été installé, M. le ministre des finances est monté la tribune et a présenté le budget. M. le miniijtcfcîde la guerre a présenté ensuite un projet de crédit'de 4 millions 700 mille fît, pour complément de dépenses de 1841. On sait que les crédits n'ont été accordés que pour dix mois environ. Le budget de 1842 s'élève, en recettes, 105.850.612 fr., et en dépenses, 105,826,140 fr. 81 c. Le budget des dépenses est divisé comme suit Dette publique. Fr. 31,473,652 74 Dotations3,298,958 95 Ministère de la justice10,818,890 Affaires étrangères. i,o6o,5oo Marine960,849 Intérieur5,082,462 y5 Travaux publics. 10,552,942 Guerre29,500,000 Finances11,208,885 Non-valeurs et remboursements 1,872,000 Total. Fr. 105,826, l4o 81 Présidence de M. Fallon. Séance du i3 novembre 184- La chambre s'est assemblée aujourd'hui dix heures pour la nomination de ses commissions. M. Devaux au commencement de la séance, a prié le bureau de prendre acte qu'il optait pour l'élection de Bruges. La chambre a nommé ensuite au scrutin se cret les membres qui doivent faire partie de la commission de l'adresse. MM. Deschamps, Dumortier,d'Huart, Pirmer, de Theux et Meeus qui ont obtenu la majorité des suffrages, formeront celte commission. Les votes se sont répartis ensuite sur MM. Dumont. Dolez, Fleussu, Angillis et de Behr. M. Pirson propose la chambre de s occuper le plustôt possible de la rédactionydq l'adresse. Il pense que si la commission se réunissait im médiatement, elle pourraitnommer son çftppor- teur et diriger ses travaux de manière que le projet pût être distribué dimanche et discu^ lundi. M. le priment saisit avec empressement la proposition de M. Pirson, qui est adoptée par /la chambre; il cède le fauteuil M. de Behr et se retire avec la commission pour la présider. On procède la nomination des commissions. Commission de l'industrie. Sont nommés MM Zoude Pirmez, Manilius, DavidDesmet, Rodenbach, Puissant, H)loy de Burdinne et Osv. Les mêmes députés la composaient l'année dernière, l'exception de MM. Smits et Desmaisièresqui sont remplacés par MM. Eloy de Burdinne et Osy. Commission des finances. Sont nommés MM. Dubus aîné, Angillis, Brabant, d'Huart, Duvivier, Defoere, Mast de Vries, Demonceau et Osy.-Ce dernier remplace M. Cogels qui faisait partie de cette comntfssion l'année der nière: demain que nous devons lui porter nolrè réponse. Et cette réponse vouslembarrassesans doute? AJjl ah! fit Jacqueline dont l'hila rité allait croissant, la vue du visàgfi :triste et sérieux de son époux, ab! ah ah! - Eh bien femme voyons, que dirais-tu "RI - je lui dirais Votre Majesté désire^que iii*j|Ll^i-fassions domdaJ ""alle-auî^^BB^nrj^s-.soiimipsJ^uççux de trouVer Cëtfé tiendrons doncj du lin et o que Jacqueline "fut prise d'un fou rire-qui. manqua de l'étouffer. Heureusement la servante attirée par l&bruit Qi^ml brusquement la porte. Madame Cocqueel réprima tout signe.d'hilarité^ elle saisit sou mari par le pan de son habit et le fit asseoir dans'son fauteuil elle île vouiaitpas qu'un tiers fut témoin de cette scène comique car déjà, en 1520les femmes cherchaient cacher aux yeu^/Je tous, les ridicules qu'elles se plaisaient donner leurs éjKjjK y JjkÈ r La servante partir, Jaiflueline conduisit- Pierre dans la conjugale or -celte époque d'igriofrrti ce ou n'avait pas venté les lîlsjumeaux; Maître Cocque'el riait toujours, et même après que Morphée eût sécoué sur lui ses s'écrier. In hi hi! Sire^ faites le cnle prend: prendre.X Oh! oh! oh! oj faites ii! hi! 'il!sont-ils bêtes Le lendemain, habit; inutile; dit-il, de nous creuser la tête plus longtemps; la quesliou me paraît bien facile résoudre. Voyons, voyons, s'écrièrent tous les magistrats aveo anxiété. Eh bien! continua l'orateur, di^pûs tout simplement l'empereur qu'il peut faire enlever la Hidle et la faire porter Madrid quand boa lui semblera. L'erape- .rcur sera satisfait, et la Halle nous restera. Comment serait-il possible d'enlever et de transporter un bâtiment aussi immense d tonuemeniles magistrats se regardèrent longtemps les un» K^autres^ iV ce silence d'admiration succédèrent les cris de R?en fallut que le magistrat en corps ne ré^iétât la scène cl avai|»jouée la veille... l'avis fut adopté par jer fut envoyé pour demander une audience firre Cocqueel recevait avec com- càllègues qui l'e»touraieni; et uandjrvous c7st venu oelte idée Lyon.* c m su lté quejgir'un Tt^ic i-dious au'on lui IS3uE:^V, dine son. épouse, l.t scène de la veille; àeiAïi faire étalage des en présence Jil-il, vous T.vaçs heureux •.oniiaissancc aux-draps est Âêr Madrid

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 2