NOUVELLES DIVERSES. t,-rn; 251 2 ,e lieu en J)otre ville et par suite un mariage qui devait se célébrer sous peu est définitivement rompu même sous le rapport civil. Éclaireur La cour d'àppel de Bruxelles (lre chambre), s'est occupée dans sa séance d'hier de l'appel du ministère public, relativement la décision du conseil de discipline du barreau des avocats, concernant MM. les avocats Vervoort et Roussell Le ministère public par l'organe de M Ane- tlian avocat-général, a pris la porole et a posé différents faits. La cour après avoir délibéré a ordonné pu ministère public les faits avancés par lui et remet la cause au 5 janvier 1842. Les avocats Roussell et Vervoort ont fait dé faut. On écrit de Mayencele 8 décembre la Gazette de Cologne: On a fait ici des perquisitions chez 2 juifs. Il parait qu'on a trouvé dans les papiers de Van- dersmissen une lettre datée de Francfort s/M. dans laquelle on annonce que 2 juifs d'ici se sont engagés fournir des armes et de la poudre. Ce qu'il y a de certain c'est que notre juge d instruction Bretlinger les a interrogés. 11 résulte d'un état officiel communiqué la chambre par M. le ministre des affaires étrangères que les frais de la mission commer ciale de Paris se sont élevés la bagatelle de fr. 18,033-60. M. de Muelenaere, qui était logé chez un de ses amis, M. le baron de***, recevait une indem nité de fr. 100 par jour. Les detix autres commissaires étaient indemnisés rài£on de 75 fr. par jour. Observateur Onjit dans FEcho-tournaisien,: [abonnés nous^Jvrief ZU cpoc être décrétée en Belgique, sous quelque dénomination qu'elle soit établiesera la charge de l'occupeur, quand bien même la loi dirait expressément que c'est aux propriétaires supporter celte charge. D'après des lettres parvenues de Diekirch Arlon le fait malheureux dont nous avons rendu compte, serait dû un accident. Le coup aurait été donné involontairement en débou chant une bouteille de Champagne. L'instruction qui se poursuit.d'une manière active, ne tardera pas a éclaicir ces faits. Nous venons de recevoir sur cet événement les détails suivants que nous croyons exacts. Les convives réunis au banquet donné pour fêter l'anniversaire de Guillaume II étaient nombreux et les conversations animées. La question de savoir s'il y avait plus d'avantage pour le grand-duché dans son union au zollverein que dans un bon traité de commerce avec la Belgique était surtout vivement débattue. C'est dans la chaleur de la discussion qu'un haut fonctionnaire de l'administration de l'en- régistrement des domaines de Diekirch (né Luxembourg), aussi excité par le vin que par les objections, plongea le couteau dont il se servait pour découper, dans le cœur de son voisin, jeune docteur en médecine, marié depuis peu, et qui a expiré l'instant même. Observateur La Gazette Universelle de Leipsick contient la correspondance suivante de Sinkel, en date du 25 juin Le gouvernement .éerlandais s'affermit et s'étend de plusen pli.,aussi dans la contrée i huJg|MÊBÉMB829 a été cédé au goii- vernetaent^^^^^^Œtcela, mar la raison, que I ajna jeu r h u£ étantac- tolérés ici, se multiplient maintenant de plus en plus dans les provinces hollandaises et y font le métier de cabareliers de marchands d'opium et de denrées de pêcheurs de perles, de fermiers et surtout d'usurierset c'est par leur grande avidité de gains qu'ils se sont fait haïr des indi gènes. Il n'y a que quelques semaines qu'une per sécution presque générale a eu lieu contre les Chinois, dans les environs de Baros et où plu sieurs d'entr'eux ont été assassinés par des Malais et des Arabes, et cela par leur propre faute car ils avaient assassinés un enfant nouveau né dans le bazar Patangas, une lieue et demie de Baros: Les Chinois ont la superstition de croire que la possession d'un membre ou du sang d'un enfant né sur le marché, fait prospérer dans le commerce c'est ainsi que le 2 mai, une femme achémoise qui venait d'accoucher dans une ca bane du bazar, et qui, une demi-heure après voulait porter son enfant chez elle, fut attaquée par cinq ou six Chinois armés, qui lui arrachè rent l'enfant, le tuèrent et après l'avoir coupé en pièces et s'en être fait le partage entr'eux s'enfuirent au plus vite de manière que pendant les premiers joursl'autorité ne put s'en saisir; mais peine la nouvelle de cet assassinat fut-elle connue dans le Kornpong voisin, que des masses d'indigènes se sont assemblés et sont tombés sur les Chinois qui demeurent dans le voisinage et les ont maltraités ou assassinés. Bien que les autorités civiles ei militaires aient pris des mesures pour rétablir l'ordre, elles n'y ont parvenues qu aprèsavoircondLamnéàmort 3 des Chinois qm^xaient pris part l'assassinat, et qui eq«g^JU)lni été peèdus le 13 mai Baros. «L'introduction du id^BpoIele poivre et sur la canelle a produi^PMé meilleur effet, et les indigènes s'en montrent des plus contens car le gouvernement paie ces produits d'expor tation mieux que ne les ont payés les marchands, "mais l'on doute que les prix actuels tiennent.

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 2