EZELS, KERMESSE de LANGEIM. EFFECTEN, HERBERGTUIG, DE LÀ VIE HUMAINE 4 FRANCE. Variétés. Met toestemming der plaetselyke Overheid. BY L. ERARD-VAN PARTS, Un professeur de langues VERKOOPING La nouvelle de l'échec éprouvé par les Busses en Circassie, nous vient maintenant par la voie de Constantinople. Voici ce qu'on lit dans une lettre de cette ville du 27 août, publiée dans la Gazette du Midi de Marseille Lés Busses viennent d'éprouver en Circassie un nouvel échec. Les Circassiens ont surpris de nuit un corps d'environ dix mille hommes, qui était campé sous les murs de la forteresse de Marga, et, après en avoir fait un grand carnage, sont entrés pêle-mêle avec les fuyards dans la forteresse, dont ils se sont emparés. Presque tout le camp a été détruit, et un grand nombre d'officiers sont demeurés prisonniers. [Commerce.) Une lettre particulière de Bone, en date du 4 septembreporte qu'un ouragan effroyable s'est déchaîné le 25 août sur cette ville et ses environs, où il a occasionné de grands dégâts; des blokhaus et des meules de foin ont été en levés par la violence du vent, qui a aussi en dommagé un grand nombre de maisons. Enfin, un navire dé commerce a sombré et un àufre a été jeté la côte. La pluie n'avait presque pas discontinué de puis, et une chaleur accablante avait succédé un froid assez vif. D'après des nouvelles de Lillele nommé Vandenbosch, prévenu d'être l'auteur de l'as-' sassinat commis Alsembergsera jugé par le tribunal de cette ville du chef d'avoir pris un faux passeportet un faux nom, l'aide desquels il est parvenu franchir la frontière. Ce délit n'entraîne qu'une peine correctionnellel'ex piration de laquelle Vandenbosch sera livré aux autorités belges. EXTERIEIR. On sait que l'on a beaucoup parlé après la mort du duc d'Orléans du rapprochement qui semblait devoir s'opérer entre le cabinet de S'- Pélersbourg et celui de Paris. Cependant l'em pereur Nicolas n'a pas encore daigné répondre la notification du triste événement du 13 juillet. On n'a pas même reçu de réponse la notification de la naissance du duc de Chartres quoique cet enfant ait déjà deux ans. On disait pourtant que le czar avait écrit une lettre autographe Louis-Philippe. Mais la preuve qu'il n'en est rien, c'est que le Moniteur ne l'a pas annoncé et qu'il n'aurait pas manqué de le faire si le fait avait été exact. On est encore en suspens parmi les mem bres du cabinet sur la question de savoir si l'on ne fera qu'une seule et grande fournée de pairs où si elle sera partagée en trois petites promo tions qui paraîtraient intervalles irréguliers. Cette question devra être décidée dans le conseil aussitôt que le roi sera de retour du château d'Eu. Nous nous joignons avec bonheur la Gazette des Tribunaux pour donner de la publicité au fait suivant, tout en regrettant de ne pouvoir citer le nom de l'homme généreux qui a si bien compris les droits de l'humanité. Vers le milieu de l'année dernière, et par suite d'affaires de bourse, un spéculateur, dont nous tai rons le nom par respect pour une infortune que l'on ne peut attribuer qu'à l'imprudence, fut obligé de passer en Angleterre, laissant l'aris sa jeune epousc-j'iiwjomère de trois enfans. Pour ne pas être poursuivie ellv même, et peut-être même arrêtée par des creanqùtrs auxquels son mari avait donné iComine^double-garantie sa signature Mme... aban donna Sa maison avec le mobilier qui la garnissait, et sé réfugia, sous un nom supposé, dans un faubourg fluai tiei' brillant qu'elle avait jus- qu ahn*4rstîité. Ses biens furent vendus, et quelques semaines plus tard on lui apprit la mort de son - uiari. ApiSs avoir épuisé le peu d'argent qu'elle avait curq)Orl,e en abandonnant son domicile aux créan— l se rendit chez un bijoutier voisin, et lui i vendit successivement tous les objets de luxe qu'elle -mait,caâi£erves. Alors tous les moyens pécuniaires furent épuisés il ne lut restait plus que quelques paires de draps et du linge son usage, des chemises surtout d'une grande beauté. Force lui était désor mais de s'en défaire, car les cris de ses enfans lui demandaient du pain. L'orfèvre chez lequel la pauvre mère avait vendu ses bijoux, lui avait témoigné assez d'égards pour avoir acquis des droits sa confiance. Elle crut pouvoir réclamer ses conseils, car elle craignait de se compromettre en engageant ou vendant sous le faux nom qu'elle avait pris ces objets, bien qu'ils fussent sa légitime propriété. Elle se rendit près de lui et lui dit la fâcheuse situation où elle se trouvait réduite. L'honnête marchand lui proposa alors de prendre pour son propre compte ce qu'elle avait l'intention d'offrir d'autres. Sa proposition fut accepléeavec une vive reconnaissance, et, de ce jour, Mrae... apporta chaque semaine au bijoutier quelque partie de linge dont il lui remit la valeur. Depuis trois mois, la courageuse veuve prolongeait ainsi la triste existence de ses enfanslorsque tout-à-coup elle cessa de visiter la boutique du bijoutier ."Celui-ci s'étonna d'abord de sa disparition. Le ton, les ma nières distinguées de Mm°... ne l'avaient pas aban donné sous ses haillons, et son malheur la rendait doublement intéressante. Prévoyant, devinant en quelque sorte lu douloureuse el extrême position dans laquelle elle devait se trouver, il fit des démar ches pour découvrir sa demeure, et après quelques arrangements nécessaires, il vint frapper sa porte. Une petitë'fille'âgée de cinq ans vint la lui ouvrir; et dès le seuil, il aperçut demi cachée sous la cou verture usée d'un mauvais grabat, la malheureuse niére en proie'la maladie, et cherchant calmer ses deux plus jeunes enfans qu'elle mouillait de ses larmes, et dont la voix affaiblie demandait du pain. Pauvre dame! dit en s'avançant respectueusement le bijoutier, pauvres enfans Mais pourquoimon Dieu,ne m'avez-vous pas envoyé votre aînée? J'avais tout vendu, répondit l'infortunée, j'ai sollicité le pain que l'on donne aux pauvres, depuis quinze jours c'est l'unique nourriture de mes enfans. Vous vous êtes trop prématurément désespérée reprit le bijoutier; j'ai tiré meilleur parti que je n'espérais de vos bijoux; les pierres qui garnissaient votre croix étaient d'une grande valeur, et je viens vous remettre 2,000 fr. dont je suis votre débiteur; de plus, s'il vous convient, en attendant une meil leure fortune, d'accepter chez moi une place de confiance je vous remettrai la direction intérieure de ma maison et je prendrai soin de faire élever sous votre direction vos intéressans enfans. Ces offres si honorables pour celui qui les faisait et pour celle qui en était digne ont été acceptés; aujourd'hui M1110... est placée la tête de l'établisse ment du bijoutier, et ses enfans recevront une édu cation modeste, mais convenable. Pour nous qui avons si souvent enregistrer d'odieuses et crimi nelles actions, nous nous trouvons heureux d'avoir taire mention d'un fait accompli avec autant de modestie que de désintéressement. OP TE LANGEMARCK. Deze ringsleking in réglé lyn zal den Woensdag, 28" September 1 «42, 1er gelegenheid der Kcrmis., plaets hebben op de volgende voorwaerdeu Art. 1. Daer zullen 6 pryzen gegeven worden Den inzalzyn eeneschoone Turke metschaepvel den a" eenen schoonen Toom met geby t den 3" een schoon paer Spooreu den 4° eene schoone korle Zweep (Cravache), voor den genen die meest ringeu zal steken; den 5n eetien schoonen Toom met gebyt, voor den genen die met zynen c-zel van verst koomt; en den G° eenen schoonen Halfter in buffel, voor de parochie die het meeste getal mededingers zalopleveren, welken Halfter ter plaets der prysuit- reikiug onder de mededingers zal moelen verlot worden. Art. q. Ruyters onder de iG jaren zullen niet awiveenl worden. Art. 3. Degene die willçn mededingen naer den prys van verstkomenden, moeten voorzien zyri van een getuigschrift hunner plaetselyke overheid. Art. 4. Indien er twee of meer mededingers van de zelfde gemeente of evenafgelegen gemeenten zyn, zullen zy onder elkanderen om den prys moeten loten. Art. 5. De vergadering ten 12 uren en half ter herberg bewoond door de kinderen Van Eecke, om aldaer in pelotons verdeeld te worden, de loting bytewoonen de pryzen van verstkomende en van het meeste getal mededingers toe le wyzen en zicli van daer in stoet elk met zynen ezel naer de loopbaen te begeven. IE POELCAPPELLE, (gemeente langemarck.) Roete keerssen aen 57 centimen 't pond, Ypersch gewigt, 1° kwalileit. Transport vry. Désirerait donner des leçons d'Anglais et d'Italien. S'adresser au bureau du journal. Les divertissements suivants auront Jieu l'occa sion de la kermesse de cette commune LE DIMANCHE, 25 SEPTEMBRE, TIR A LA PETITE ARBALETE. LE LUNDI, 26 D° GRIMPER AU MAT DE COCAGNE. LE MARDI, 27 D° CONCERT INSTRUMENTAL. LE MERCREDI, 28 D° COURIR LA BAGUE AVEC DES ANES. LE JEUDI. 29 D° TIR A L'ARC A MAIN. VAN 2a amassa2a TE VELDE, TE POELCAPPELLE. (gemeente langemarck.) Op Maendag, 26" September j842, om 9 uren s'morgens, zal'er ten huyze van Sr JoaNNES Van- damme, herbergier in de Kwille Verkooping gehou- den worden van geheel den huisraed, beslaeride in Tafels, Stoelen, Beddebakken, Slaghorlogie, Koper, Yzer, Gleys en Aerdewerk, eene Koolstoof, tinnen en gleyssche dubbel Lilers, Lilers eu halve Liters, Toog, veel Bier en Pinteglazen, voorders eene aller- beste Kegge, Houwen en Spaen daerenboven vyflig aeren Aerdappelen (groot gemet) en eene partieLoof. Deze Verkooping zal gehouden worden met tyd van belaeling, mits stellende medekoopers ter aeti- veerding van den Deurwaerder lelip die met den ontvangst dezer Verkooping belast is. <«)2,a sîaas 2a <aa&£ïïï>^22iiï.2, Conbittoile be la Souecription. Les petites Misères formeront un maguifiqne volume grand in-8°. orné de nombreuses illustrations dans le texte, et de 50 grands sujets lires part. Ce volume sera publié en 50 livraisons. La 35e livraison est en vente. - Il en parait une chaque semaine. Prix par livraison 35 centimesL'ouvrage complet fr. 17-50. Ypres imprimerie de LAMBIN, Fils, éditeur, rue du Temple, 6.

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Le Progrès (1841-1914) | 1842 | | pagina 4