En même Lrm] seils relativèmen la classe du dessi| lent Traité de pi démontr^usqu d une^Knce. d euseapî peintre habilo", pnt remarqué avec «fgueil l'é motion qu'il aéprouvéerç»reconnaissant laplace qu'il avait occupée dnlrefois comme «leVe clans celle institution. De plus, nous pouvons assurer que monsieur le Bourgmestre, d'après l'autori sation qui ku a été donnée par le conseil com- miinal, aconShandé M. Bossuet un ou deux tableaux et "que celui-ci ayant accepté cette commande malgré ses nombreux travaux se rendrai Ypres vers^^Bfeis de,mai prochain. era quelques con- ation complète de On connaît l'excel- ïve de ce peintrequi point il a poussé l'étude fait tous les jours une si heurerSeapplication dans ses tableaux, qui nous rappellent le faire et les admirables productions de G. Berkheyden. On nous assure que M. Marchitecte* de la ville de Courtrai, est arrivéà Ypres depuis quelques jours. Cet artiste est chargé conjoin tement avec les architectes de notre ville, de dresser les plans et devis des travaux de restau- ration effectuer celte partie de l'église S4 Martin, que l'on appelle vulgairement le petit "'■portail. ^fespCTons que rien ne sera négligé pour Jà notre belle cathédrale l'antique ma- mce dont nos pères l'avaient dotée. js nous occuperons souvent de ces travaux lï)us accueillerons avec plaisir toutes les ob- lations que l'on voudra nous soumettre ce \t. Les journaux des villes et provinces dû des élections doivent avoir lieu cette année, conti nuent citer les noms des personnes qui ont fait de fausses déclarations de contributions, dans le but de se faire porter sur les listes élec torales. Nous avons pris des informations tendantes connaître si pareil abus avait eu lieu soit .Ypres, soit dans l'arrondissement. Nous sommes heureux de pouvoir déclarer îqr*-'jusqu'ici, nous n'avons découvert aucun fait rdte cette nature, et que noustvons la conviction que nulle manœuvre de ce genre n'a été prati quée. Nous ferons cependant remarquer que dans notre province nulle élection ne doit avoir lieu cette année. Le colonel Roslakowski, un des anciens dé bris des armées de l'empire et réfugié en Belgi que, après les événements de la révolution polo naise, laquelle il avait pris une part active, est décédé ces jours derniers Termonde. Cet'officier supérieur, qui a longtemps séjour né rôarmi nous, avait su mériter l'estime des bàbTlans de »>ervicq éditeur, eu, paraît-il,dansleclief-Iieu de i ce - qui se fait dans notre 'ville. Nos dernières élections communales ont passé inapperçues. Votre estimable Journal qui n'a pas oublié la plus petite commune, avait perdu entière ment la nôtre de vue; cependant le succès du parti libéral a été complet, puisque tous ses candidats ont "été élus la presqu'unanimité. M. Van Elslande, notre digne bourgmestre, vient d'être confirmé dans ses fonctions, par arrêté royal en date du 28 décembre dernier. Ce choix sera vu avec un vif plaisir par ses admi nistrés, car c'est ce magistrat et l'administration, dont une notable partie vient de voir renouveler son mandat, que sont dues les importantes améliorations introduites depuis quelques années dans la régence de la commune; c'est elle surtout, c'est ses démarches réitérées qu'est due l'obtention du sub side de 12,000 francs, que le gouvernement et la province viennent d'accorder pour la construction de notre hôpital. La ville leur devra donc un établissement émi nemment utile et un magnifique édifice que l'on construira nécessairement d'après ies plans de l'ar chitecte de notre province. Agréez, Monsieur, etc. Depuis quelques années le clergé des divers villages situés proximité d'Ypres a cru pouvoir améliorer le sort de la classe nécessi teuse rurale en érigeant deS écoles-manufacttifes de dentelles. Cette fabrication a donc pris.qne extension extraordinaire et la concurrence s'èn est mêlé. Dans quelques endroits comme Zonnebekeil existait déjà une école de ce genre dirigée par la femme de Deurwaerder. Delà rivalité entre l'école ecclésiastique et la laïque et qui vient de finir par la ruine de la dernière, amegéf^par des moyens blâmables fde personnes qui, plus que d'autres, jamais se laisser guider par la haine Ltérêt personnel. Voici le fait învier Je vicaire-coadjuteur Vander- ïWteur d'une école de dentellière*| eCi'irinsligué par le second vicaireH rqnaïtichëz les époux de Deurwaerder. septua génaires ^11 y éclata en injures et en menaces, reprochant entrautres diffamations cette femme, qu'elle tenait une mauvaise maison. Ce qu'il répéta aux jeuaes filles assembléesen ajoutant ces mots: Enfantscest ici une mauvaise maisonune mauvaise écoleje vous défends de continuer la fré^Bnter et je vais de ce par%en avertir vos parents et leur\ntimer qu'ils aient cesser de vous y envoyer, car toutes vous devez venir mon école. Les effets suivirent les menaces. Tous les jours les jeunes dentellières quittent l'école de l'épouse de Deurwaerder et cet établissement qui est l'unique gagne-pain de ees vieilles gens, est la veille d'être entièrement abandonné. Nous croyons devoir blâmer le vicaire Van- derzype. Quand on est soi-même directeur d'une école riï^P, ce zèle pour la morale et la religion est outré et peut être défavorablement interprété. Cette démarche de sa partpour ruiner l'école des époux de Deurwaerder semble porter une teinte mercantile et toute d'intérêt personnel qui ne s'accofde guère avec le caractère charitable et* désintéressé qu'on doit supposer un ministre de la religion catholique^- -* Boîte ilii Progrès» Monsieur l'éditeur, Je vous prie d'insérer celte lettre qui portera l'at tention du public sur des faits qui, suivant moi, ne peuvent être trop blâmés, d'autant plus qu'ils*sont commis par une personne qui parsôn caractère, doit être supposé, incapable de les commettre. «>3 J'ai loué une maison au mois de décembre iS^h, M. Lprêtre, au prix de i5 francs par "mois,.. les contributions la charge du propriétaire. Au bout de quinze jours il s'avisa de me faire signer un bail, en disant que c'était dans mon intérêt. Comme je m'y refusais, il m'envoya un huissier pour me sommer de ce faire. Mais quelques heures après, M. Lvint me demander si un huissier n'était pas venu me faire une sommation. Sur ma réponse affirmative, il me jura ses grands dieux, que l'huissier n'avait pas été envoyé par lui. Le mois échu, ma femme se rendit chez le pro priétaire et lui exhiba les i5 francs, prix convenu. M. Len voyant l'argent, se milen devoir d'écrire la quittance, mais quand il vit l'argent compté, il l'empocha et dit mon épouse, qu'il ne pouvait maintenant terminer celte quittance, maisqu'ii l'en verrait de suite par la servante. Étonné de ne pas voir arriver cette pièce, ma femme alla chez le propriétaire pour l(uf rappeler sa promesse. M. Lsoutint qu'il n'avait rien reçu, et la mit la porte. Je nie rendis moi-même chcz je pijjlre Let lui demanda s'il 11'avait pas reçu rSfppK convenu. Il me répondit affirmativement, mais que je devais encore quatre fr. pour des contribulionsdûes l'année dernière, époque laquelle je n'habitais pas cette maison. Mécontent, je laissai voir au prêtre que celte manière d'agir m'élonnait. Mais, sur mes observa tions, Rentra dans une fureur indicible et lâchant la bride ses mauvaises passions, il m'accabla d'injures et de jurons très-malséants dans» la bouche d'un ecclésiastique. Enfin il appela les'voisins pour être témoins de cette scène et quand ils rïfHj arrivés, reçu Je crois devoir porter le récit de mes mésaven tures l'endroit du curé Làwtonnaissance du public, afin que d'autres forcés de louer ses maisons puissent prendre leurs préButioiis et ne pas se trouver sur la rue pat* JeuE .trop grande confiance dans la4ionne foi d'un eccfépfaslique. Auriez, Monsieur, etc. SHP'rW*" P. Ypres, ce G janvier 184-3. - Une tempête terrible a règne pendant toute la journée de jeudi d«j# vec une impétuosité extra ordinaire sur notre côte le vent qui soufflait du N.-O! avec une extrême violence, soulevait les vagues une grande hauteur, et les faisait passer fort souvent ai.-dessus de la digue de mer. Les patrons des bâtiments entrés après la tempêterapportent avojreté assaillis par .y des coups de vent affreux, qyii auront occasionné j de grands sinistres. j f Le patron Sieulers, de lauchaloupe de pêche .celte caliuerie ptsç^g.egf^aline, iir clu sa I on .'Éfflfrt nff Âdpps .1 sic 11 ue jfc nt lit r j - elle l'arrêta pour vient au salon et si iu fini ruent d'esprit sur cette piètre victoire, qu'il les entraîna tous partager cette heureuse gaiété, De Kelulle perdait rarècsenl l'occasion de caresser sa passion favprijj^fhflyHHHÉkl&rilliné' il de jeu qui fut ^détonation' Le malheureux le tenait encore la J de KetulleMaraud, gibier de! braconner sur mes terres. Grâce, grâce, mon seigneur,1 Eh bien, canaille, pour potence et les galères.., Ah! eh! hi! |malheureu&'7tÇr<£ait cîl lissant le duc de Noailles, lur étranger, dit-il, j eticj jsauyezrmoi, il est temps^JI bfra*2#|mer voyait b: liand parut le seigneur j ►je vais t'apprendre Knt une /uzsel

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 2