eur a Angleterre. —r La nouvelle constatation de l'état de nos finances produit partout limpres- sion la plus pénible. Sans prévoir avec ï'ës-^ar- misles une banqueroute peu éloignée, il faut convenir que la détresse actuelle commande impérieusement d'importantes économies. -4J_e relevé officiel des revenus de l'année et du trimt'stre finissant le 5 janvier, constatent une diminution pour l'année de 922,630 liv., et de 940,692 rien que pour le dernier trimestre. ■Jbç- La Gazette de Flandre et d'Artois qui s imprime Lille, publie le récit que voici, et de la vérité duquel nous aimons douter Un habitant de la campagne revenait-dû i marché ces jouf-s*derniersaccompagné d'urf de ses enfants; arrivé un cabaret isolé, sur la route au-delà de Bapaumequoiqu'il Jût déjà soir, il s'y reposa un instant. Invité par les maî tres de l'auberge rester plus longtemps avec eux, celui-ci s'y refusa, alléguant qu'étant char gé d'argent, il avait hâte de rentrer chez lui. A cette parole, on ne fit plus d'instance, et notre villageois se remit en route; mais ce malheu reux ne tarda pas subir les^suites funestes de son indiscrétion. A peine avait-il fait une centaine de pas, qu'il fut abordé par àid^dividu qui lui asséna plusieurs coups de bi^^Hfe^açljtfva, l'aide de son couteau, de lui o^^^^B^Vçnfant rem> pli d'épouvante, s'enfuit^^M^"°îî$, sac contenant 500 fr. '^^^Ê4,'t'stiques pour le mettre, dit-elle"^^Bîîr(ossuETesjffia dont il craignait la pouia^^, e]ioiitJjjÊ se retirer dans la cave, do^Be"e ferq"*V Elle s'étfûb chargée aupa^F'a,Ji de 50Qift'v^^ cqWrà, un iifdividu entra dans la fl sen -^t^LÈRalfemme Poujr celui-là »1 d viencfrfpas, il est bien mort mais je n'aijB sur lui que dà sous son fils portait sailM J'^^jent jaais il s'est enfui et je nesaisoi'^fl ^^ftfhàM^kiran'Iuilliser son inj Laure 1 ses main« rut la joieV

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 3