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EN EMEN,
D'IMMEUBLES.
MLGIMJEMOMfflTALE
V
'J
JEDÏt# TREIIERY,
LES FURETS,"'
30
FRANCE.
STIQUE ET PITTORESQUE.
UN MAGNIFIQUE VOLUMiifÉND IN-OCTAVO,
.H— -
après bien des effortsil parvint détacher la
barre de bois et tenta le passage, mais il ne put
réussir qu'après bien des essais et s'être entiè
rement dépouillé de ses vêtements. Il s'ebfuit
enfin.
Ui ciel ne pouvait laisser le crime impuni
des gendarmes se trouvaient en embuscade près
de là pour arrêter le passage de contrebandiers;
surpris de voir courii^flBks champs un enfant
entièrement pu et lui firent ra
conter son histoire tout ne tarda pas être
découvert. Après l'avoir couvert de leur man-
ils se rendirent l'endroit où gisait le
ssassiné, puis de là au cabaret dont les
etâires, convaincus du crime, furent gar-
et conduits en prison.
E\T£RIEIH.
On assure, dit un journal, queMme la duchesse
d'Orléans passe une partie de son temps écrire'
ses impressions et souvenirs. Elle passe presque"
toute la journée au milieu de ses enfants et en
compagnie «le la duchesse de Mecklembourg,
elle-mère.
discours du trône, après avoir été ré-
ile d'une première lecturea été lu
pour la deuxième fois dans le
^j^^^^^^^lhriMflàHitaâjLdéfinilivement
Belg
sens
décemGBTaux autres puissancdJt nous
Le ministère cependant et nommément m .'e la
zot, s" >st abstenu de toute déclaration de ce
genre.
Nous nous plaisons croire que le corres-
reu.dant de la Gazette <PAvysbourg est, celte
pouvoir a'ixf-v-mé, et nous croyons même ^oir
droit de visite a étérepur annoncer cjuej^
députés conservateurs expriment memer,ieur
étonnement de ce que M. Guizot ait adopté,
pour faire adhérer aux traités de 1831 et 183
un projet de loi tendant obtenir un noi
crédit de 3 millions. Cette combinaison leur a
paru le comble de la maladresse, elle doit défi
nitivement tourner la majorité contre lui.
Il est positif maintenant que le cabinet
des Tuileries n'a fait aucune démarche auprès
de celui de Londres pour en obtenir la résilia
tion amiable des traités de 1831 et 1833. On
ajoute même que M. de St.-Aulaire a lui-mêm»
écrit, dans une dépêche adressée son cabinet,
que lui, personnellement, ne pourrait jamais se
charger d'une proposition pour l'abolition des
traités de visite de 1831 et 1833, et que si ja
mais cette intention venait un cabinet quel
conque en France, il faudrait, pour une pareille
mission choisir un aulre négociateur que lui
parce que-ayant né
je traité de
lu'iLr
psition
Itte explifj
«ue dan
Nousrecommandonsau monde faslnonable, et sur
tout aux dames, le joli recueil intitulé la Sylphide
qui se publie toutes les semaines rue du Nord, n° 8,
Bruxelles. Cet élégant journal donne chaque se
maine se? abonnés unemagnifique gravure de mo
des, cfunformat plus grand qu'aucun autre journal,
des poitrails d'artistes, des gravures sur acier, des
lithographies,des patrons et des broderies; son texte,
confié aux meilleurs écrivains, tient aucourantde
tout ce qui peut intéresser les gens dn monde: les
spectacles,les beaux-arts, les chroniques,les mœurs,
lesusagescontemporains,les modes,l'ameublement;
il contient de jolies nouvelles marquées au cachet
du bon goût et qui peuvent être mises sans danger
entre les mains des personnes les mieux élevées. Le
prix de l'abonnement n'est que de 3o francs par an
pour la Belgique.
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huize van sieurFr. Tack, herbergier ter zelveKaeye,
te Ypre.
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En vente chez lambin, tils, rue du Temple, Ypres.
TU KTOPËIN
By d'Heer M.-J. PKIEÎ1I, te Ypre, in
zyne kweekerien gelegen op S'-Jans, by de Pad-
devyver, een groot getal schoone Iepen Plant-
boomen van de beste specie.
De gene gaeding hebben, mogen zich met ver-
trouwen ten zynen huyze aenbieden, of aen den
toeziener dezer kweekerien daer tegen woonende.
leset
.Igrd ALlA
Ecûn cabinet"»1
)ir quelque
t Tri i'
rcles traités existants
t signé, l'année 1841,
it d'avance la réponse
berdeen en cas d'une
telle de M. de S^Aulaire
cercles diplomatiques '-
nte naturellement l'assu-
n, qui ne cesse de répéter
çais se saurait se former
s'il ne reconnaissait la
OPENBAERLYK TE KOOPEN
brëi^^^^^j=}2 S
de s'absei.
assister atjx u.
et 'W..
M. Lie
bien it.«
sumant.
t"cû Er
l^^ten den zuidkant van de
Reçoitctréstrae*, n° 34) gebruikt zonder pacht door
de zusters Casteleyn.
■x" Een Huis en Erve, aen den noordkant van de
Oude Hout-Markl, n° 7, gebruikt zonder pacht door
Pieter Borry.
En 3° Een Huis^en Erve açiid£^_^/"ikant van
dei
doo?
Deri Not aris VÂNTOE «M ÉERSCH,
te Ypre, is belast met deze Verkooping.
ON-DEMANDE un Clerc de Notaire, pour la
campagne.Appointements selon mérite.
S'adresser au bureau de ce journal.
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Le Samedi 21 Jauvjer 1848 une heure de
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brugge, il sera procédé par le ministère du Notaire
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ments les plus curieux du pays ML t
3y Des plans en perspective des vilks principales
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CENTIMES 1
CHAQUE LIAî^ISON.
v» t
cour d.l
b voi Hourt
jcassaliou a rejeté aujourd'hui
Iquin pour la partie criminelle
'ornent, et a admis le pourvoi pour la
Llalive aux frais. El^a ren^éA-t'afflrire
Ja" cour d'assi$es^^H^^j|fl
Çt la^^^^B^^^familIc
tics pour
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TIVE de
i* Utij^lAisoN-BouLANGERiE, et 2 ares 7 cen
tiares de^udssitués auhadrg de Proven, l'ouest
de la chaussée de Popej^Qie Rousbrugge.
iT,VGËR
rf res
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IX-BOI
20 de 72 are& .oJ.éçnJWos Jardin.
pâture et terres-à-labour, avec une gra,
bâtiments qui s'y trouvent érigés au r
l'est de ladite chaussée.
Ces biens sont occupés par le Sieur Bossuwe
Proven, qui les mettra' la disposition des acqué- A chn
reurs, le ier Octobre 1848.
L'ouvrage sera complet en 80
nombre sera donné gratis aux 2,L
Il parait au moins chaque senr
une livraison simple coutcnai
vignettesfleurons et culs-de-t
Seront tirés part et donnés
tance ou leur développement ne{
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