HOFSTEDE, MOBILIER. aaïaïQaiQas. PERFECTIONNEMENT ET RABAIS. LES BOURGMESTRE ET ECHEW MAEIGARZEN, TESTE PUBLIQUE d'une A LOO. JBinnen Passchendaele. Te lfpre. binren ZONNEBEKE. duslrie de l'État, a figuré la vente de la reine pour les victimes do la Guadeloupe. Mais de tous les per fectionnements introduits dans la régie, aucun n'a eu de plus grands effets que la création d'une école des tabacs recrutée l'école polytechnique. Le» habitudes d'analyse et de précision, qui ressorlent de l'ensejgr.cment polytechnicien s'introduisent de plus en plus dans la fabrication des tabacs, qui déjà comptait parmi ses régisseurs des hommes distin gués, et.assurent aux produits de la régie une supé riorité déjà incontestable. En ce moment la question de l'intervention du gouvernement dans les opérations industrielles est l'une de celles sur lesquelles s'exerce le plus volon— lier» la controverse. Déjà, par les postes et pr les pontsetchaussées, le gouvernement montre qu'il possède la puissance de gérer de vastes services et de diriger d'immenses travaux mais, dans les tabacs seulementil apparaît comme manufacturier et même comme commerçant. Or, il s'acquitte fort bien de celte double tâche. II achète prix débattu et de bonnes conditions, et il excelle fabriquer. Cette industrie il faut le dire, a des caractères par ticuliers qui semblaient l'indiquer pour devenir l'objet d'un monopole de l'État elle exige qu'on opère sur une très-grande échelle. Pour que le tabac soit bon, il faut que les matières aient été con servées quelques années partant qu'on ait des appro visionnements considérables et un gros capital dor mant. En bonne économie, il serait nécessaire en ce moment d'avoir en magasin, indépendamment de 17 20 millions de kilogr. qu'absorbera l'exercice i843, 41 millions de kilogr. de feuilles, représentant 5o millions de francs peu près. Qui est en mesure de faire des avances dans cette proportionsinon l'État Journal des Débat»), la recherche d'un trésor. Au commencement de 1814, alors que le nord de l'Europe vomissait sur la France d'innombrables phalanges demi sauvages, M. Joseph Delb..., lieutenant dansles gardes d'honneur, corps nou vellement créé, fut tué la défense de Soissons, laissant pour unique héritière de sa grande fortune une jeune femme qu'il avait épousée quelques mois auparavant^ et qui habitait élofs l'un de ses domai nes, situé loùt près d'Arpajon. Bientôt les progrès des armées alliées furent si rapides que les Cosaques irréguliers arrivèrent, dans les premiers jours de mars, jusque sous les murs de Paris, tuant sur leur passage les habitants inoffensifs, brûlant les habita tions et se; chargeant de tout le butin qu'ils pou vaient ernporter. Surprise, au milieu de la nuit par une bande .de ces pillards, l'habitation de Mme Delb... fut eu quelque sorte emportée d'assaut, les domestiqués*. \ùésles bâtiments incendiés, et la jeune femme elle-même, tombée au pouvoir de ces barbare?, succomba bientôt aux horribles traite ments dont elle fut l'objet. Une seule servante, Madeleine Héron, survécut ce désastre conservant toute sa présence d'esprit, alors môme que les flammes dévoraient la maison elle courut la chambre de sa maîtresse, s'empara d'un riche-écrin, d'une somme considérable en or, de tonte l'argenterie de la maison, et elle alla jeter le tout d S un puits au milieu du jardin. Mais cetteiction héroïque avait épuisé toùîe son énergie; saisie par les Cosaques en sortant du jardin, elle eut souffrir d'horribles tortures; elle'survécut pour tant.,» ses souffrances, mais son intelligence était morte la pauvre fille était devenue folle. Quelque temps aprèsMadeleine Héron fut recueillie par son frère, cultivateur près de C.hâville (Seine-et-Oise). La folie de cette pauvre fille étant fort douce, on n'avait pas songé l'enfermer, et on la laissait même vaquer aux, soifRiVordinaires du ménage. Cela durait depuis*jgg anàiççsque, il y a peu de jours, Madefèineufutrjdl£>Hte d'une Àialadie aiguë qui mit prompteme'nt -sa Via, eu datijgër. Le délire se manifesta mais il dura.peu, et la pauvre fille, sur le point de quitter celte ferre où elleavait passé de si tristes jours, recouvra'tout coup la ..raison. Alors, comme si ces 29 dernières années n'avaient été netlPTHe qu'un long sommeil, elle appela ses rtftfîtces lèçSiéritiers de ces derniers furent mandes, et Madeleine leur raconta ce qui s'était passe'.en i8r4 la maison de campagne, près d'ArpajonComment eÇd avait sauvé de grandes richesses; jmis, quelquej£hfeures après elle expira. Mais la in» Vigne dont il est question avqit été vendul^5îrr"Tîcilation par les héritiers des éppux Delb...; les acquéreurs n'ayant voulu faire droit aucune réclamation, une action a été intentée cojitr^eux^j^^p^iéritiers^u^'evendiquOqMe^ trésor jeté dans les puits par la fidèle servante, et il est probable que nous aurons prochainement nous occuper des débats de celte affaire. AVIS AU PUBLIC. Des personnes dans le but de me nuire, font circuler le bruit que j'allais quitter la Blanchisserie que j'occupe quoiqu'il en soit et sans chercher qualifier la conduite de ceux qui répandent ces fausses nouvelles, je viens déclarer que ces bruits sont dénués de tout fondement et que loin de cher cher quitter un établissement où je viens peine, j'emploirai chaque jour de nouveaux efforts pour mé riter de plus en plus la confiance des personnes qui continueront de m'en honorer. F. DE BEER-MOREL. Dickebusch, 12 Juin 1845. VEATE PUBLIQUE van eene Op Woensdag, ji° Juny 1843, ten 3 uren namid- dag, ter herberg den lesten Stuiver, te Passchen daele, zal den INSTEL gebeuren van eene Hofstede gelegen binnen het zelve Passchendaele, west van de kerk, gebr uikt door den medeeigenaer^rnno Demoor, groot volgens titels 23 heclaren 41 aren 89 centi- aren of G. 33-1-42 R. DeVerkooping gebeurd door het ministerie van de Notarissen VEBLE K, te Zonnebeke, en CHKISTIAEIÎ^te Passchendaele 00k inliglingen te bekomenhyM" VAIS EECHE^ Notaris te Ypre. 1/2 per °ju te winnen voor den hoogsten Stel. J. DE POORTER-ROFFIAEV, Fabricant-Rubanier, rue de la Porte d'or,Ypres, a l'honneur d'informer le public qu'il fabrique au moyeu d'un procédé nouveau toutes espèces de Mèches quinquets et pour lampes de nuit. Il espère par la qualité supérieure de ses produits et l'extrême modicité de ses prix, mériter Rentière satisfaction des personnes qui voudront bien l'ho norer de leurs commandes. r On obtient F article en groet en détail DE LA. VILLE D'TPKES Ont l'honneur de porter la connaissance des intéressés que par suite de la délibération du.Con- seil communal de celte ville, en date du 7 Mai i84i, approuvée par arrêté royal du 8 Novembre de la même année, le taux de rachat pour les cé- dules de la dette différée a été fixé 86, en séance du Conseil du 21 Février de lâ présenté année. A dater du vingt-six de ce mois, des boîtes fer mées et cachetées seront placées au secrétariat de celte ville et au bureau du receveur communal l'effet de recevoir les soumissions. En cas d'insuffisance de soumissions il sera procédé au tirage des actions le 26 Juin prochain en séance publique du Conseil communal. Fait en téance du collège échevinal le 26 Mai 1843. PAR ORDONNANCE I.cs Bourgmestre et Échevins, Le Secrétaire. B. V A N DER S TIC H ELE. J. DE CODT. Le Jèudi, i5 Juin i843, deux heures de relevée, au cabaret ayant pour enseigne Sl°-Barbe, Loo, il sera procédé l'ADJUDICATION DÉFINITIVE et SANS REMISE, d'une Belle Ferme, située en la commune de Loo, de la contenance de i3 hectares 44 ares 5o centiares, occupée par Pierre-Jacquet- François FanHeeavec droit de jouissance jusqu'au ier Octobre i843. Portée seulement 2o,000 francs. Pour obtenir des renseignements ultérieurs, s'adresser en l'étude du Notaire FLOOR, Loo, chargé de ladite Vente. VERIPÂGIHfiriBKGi van Op Maendag, 19" Junins i843, ten 2 uren s'na- middags zalmenpubliekelykverpachten, ter herberg bewoont door S' Charles Casierbuilen de Ryssel- poort derstadYpre, de navolgende MAEIGARZEN, le weten: i* In de innondalieri der Meessen-poort, het Gras der drie partieq, begrepen onder de letters E, F en G. i° In de innondalien der Tempel poç'rt, het Gras der drie partien begrepen onder àezelve letters E, F en G. Én 3° Het Gras van geheel de buiten-ligne met de drie aenpalende forten, van de Meessen-poort tôt aen de Tempelpooj't. Ailes verdeeld in koopen,t'elkensgerieve, volgens dealdaer geplaetste en genuineroteerde piquetten. Deze Verpachting zal gebeuren met tyd van betaling, mits stellende goede en bekende mede- pachters, en onder de gewoone voorwaerden alsdan voortelezen. d'un très-beau Lundi,.19 Juin i843 et jours suivants, le matin 10 heures et l'après-diner 2 heures, il sera procédé la maison mortuaire de Madame la douai rière Clément Merghelynck, rue d'Elverdinghe, en la ville d'Ypres, la vente d'un TRÈS-BEAU MOBILIER, consistant en Tables, Fauteuils, Chai sesBois de lits, Literies', Litige déménagé, Por celaines, Batterie de cujsioe, UNE VOITURE .EX DES HARNAIS et beaucoup d'autres objets trop long détailler. La Voiture et les Harnais seront vehdus le Mardi, 20 Juin, dans l'après-diner, ainsi qu'un Char-A- bancs deux roues timon ou brancard. Qu'on se le dise. YMOTIIII van Op Donderdag,2gn Juny 1843, Sint-Pieterfidag ten 3 uren namiddag, zal erdoor het ministerie van den Notaris VEKMjESEj te Zonnebeke, binnen dezelve gemeente, openbaerlyk verkocht worden, het Gras van zeer goede-kwalileit, op eene partie Meersch gelégen by de plaets, groot omtrenl eene hectare en half of drie gemeten eene lynne, verdeeld in acht koopen, behôorende aen ilJr De Coenete Ypre. Deze Venditie geschied mellangen iydyan beta», ling, mifs'borg te stellen. Ypres, imprimerie de lambin, Fils, éditeur, rue du Temple, G,

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 4