L AccessitHippolyte Cornette, Eugène Van Rode, Henri Dutil* lieul, d'Ypres, et Araédée Lanuée, de Bruges. a* division. 1. Gustave Lambin, et Pierre Del- inaere, d'Ypres. a. Pierre Liebaert et Richard Cùffyn, d'Y près. AccessitEugène Liebaert, Jules Cartiny, de Leuze, Joseph Des- ramaùdt et Nestor De Grave, d Y près. langije flamande. Ie ANNÉE. i. Pierre Delmaere, René Begerem, et Nestor De Grave, d'Ypres. 2. Charles Becuwe, Gustave Lambin et Eugène Liebaert, d'Ypres. Aetessit Louis Dujardin, Jules Cartiny, Pierre Liebaert, Adol- pht^iliit'leos, d Hollcbeke. 2® ANNÉE. i. Hippolyte Cornette. i. Honoré Bossaert. Accessit Amédée Lanuée, J.-B. Vande Putte, Edmond Van A lie,'unes. 3e ANNÉE. i. Louis Van Lamoen. 2. Jules Baes. Accessit Jules. Kilsdonk, Alfred Nicaise, Arnaud Souneville, d Y près. LANGUE ANGLAISE. division. Jules Iweins. Gustave De Grave. Accessit Jules Vande Brouke. 2* division. Edouard Maerlens. 2. Joseph Thylis, de Bruges. Accessit Éiuile Vande Brouke et Gnstave Hammelrath. LANGUE ALLEMANDE, Jules Iweins. i. Gustave De Grave. Accessit: Jules Vande Brouke et Frouçois Garnier. mathématiques, i* division. Mention honorable Eugène Cous- sement, d'Anvers. i. Hector Santy. a. Gustave De Grave. AccessitJules Iweins. ae division. - i. DésiréFerryn. - a. JosephThylis. Accessit: Gustave Hammelrath et Marcel Geurts. 3e division. i. Edouard Maerlens. a. Gus tave De Stuers. Accessit: Jules Boedt, Gustave Van Alleynnes, Félix Geurts et Alfred Nicaise. 4e division. t. Charles Van Rode, d'Ypres. 2. Louis Van Lamoen, et J.-B. Vande Pulle. Accessit: Jules Baes, Louis Van Grave, Bruno Vanderslichele et Jules Kilsdouk. Cours élémentaire. Mention honorable Henri Dutlillieul, d'Ypres. iAlphonse Wallaert, d'Ypres. a. Eugène Van Rode, d'Ypres. Accessit: Albert Van Grave, François SeauxHonoré Bossaert, Joies Vandermeersch et Charles Becuwe. physique. Prix d'honneur .-dules Iweins. i. Jules Vande Brouke. 2. Gustave De Grave. Accessit Hector Santy. histoire. ier cours. 1. Jules Iweins. 2. Marcel Geurts, et Jules Vande Brouke. Accessit Gustave Hammelrath. -• 2e cours. 1" division. Edouard Maerlens. 2. Gustave De Stuers. AccessU Gustave Van Alleynnes, François Garnier, Joseph Thylis. 2° division. 1. Bruno Vandersticliele, d'Ypres. Accessit: Louis Van Grave. 3° cours. 1. Alfred Vande Walle. 2. Louis Van Lamoen. Ascjssit AlfrecANicaise, Cli. Van Rode, Ch. Iweins. y géographie. 1" cours.'1® division. t. Gustave De Sltiers. 2..Édouard Maertens, et Gustave Van Alleynnes, Accessit François^Garnier, Joseph Thylis, Félix Geurts. a® division. 1. Louis Van Grave. Accessit Brnuo Vanderslichele. a" cours1. Charles Van Rode. 2. Alfred Vande Walle. Accessit Jules Baes, I.ouis Van Lamoen, Ch. Iweins. Cours élémentaire. 1. Alfred Hannestinghels, de Liège. 1. César Heldenbergh, d'Ypres. Accessit Honoré Bossaert, Edmond Van Alleynnes. commerce. 1. Alfred Nicaise, d'Ypres. 2. Louis Van Lamoen. Accessit Jules Baes, Ch. Van Rode, Jules Kilsdouk et Milo Verbeylcwegen. calligraphie. i" Section. i. Jules Sauly. 2. Jules Iweins. Accessit. Hector Sauty, Gustave Vau Alleynnes et Joseph Thylis. 2* Section. 1. Marcel Geurts. 2. Henri De- liem. Accessit Jules Baes, Jules Vande Brouke et Ch. Van Rode. 3e Section. 1. l.ouis Van Grave, d'Ypres. 2. Adolphe Vande Cappelle, de Deveuter. Accessit: Alfred Vande \Valle, Jules Boedt et Jules Kilsdonk. DESSIN. Mention honorable Jules Iweins et Hector Santy. 1" Division. (D'après la bosse.) i. Juln Satily. Accessit: Gustave De Grave, Gustave Hammelrath et Jules Vande Brouke. 2" Division. (D'après l'estampe.) 1. Gustave Van Alleynnes, d'Ypres. Jcoeuit; Théophile Cornette, Jules Vandermeersch et Ch. Yan Rode. 3e Division. (Petite tête.) 1. Gustave De Stuers. Accessit François Garnier, Gustave Lambin et Joseph Thylis. 4° Division. (Principes.) 1. Polydore Boedt. Accessit Hippolyte Cornette, Édouard Maertens, Désiré Vaude Cappelle. déclamation. Mention honorable: Jules Van de Brouke et Gus tave De Grave. Division. Prix d'honneur Jules Iweins. 1. Joseph Thylis. 2. Hector Santy. Accessit Édouard Maertens, Émile Vande Brouke. 2e Division. 1. Guslave Van Alleynnes. 2. François Garnier, d'Ypres. 1 Accessit: Charles Iweius et Jules Boedt. n mais il est évident que c'est une circonstance tout en dehors des lois de douane. ville d ypres. conseil communal. Séance publique du Jeudi, 24 Août 184.3, 4 heures de.relevée. - ordre du jour i* Aviser sur la radiation d'une inscription hypo thécaire, par suiLe de remboursement fait l'admi nistration du bureau de.bienfaisance. 2° Délibérer sur une demande de la même admi nistration tendanteàobtenir l'autorisation d'acceptej: un legs de deux rentes s'élevant un capital dé fr. 4,740-74. 3* Demander l'autorité supérieure l'autorisation de continuer percevoir les: t'axes municipales, d'à- prèsle tarif actuellement en vigueur, et y introduire les modifications qui pourraient être jugées néces saires. 4° Nommer un secrétaire provisoire pour remplir ad intérim les fonctions du titulaire actuellement en congé. Au grand tir l'arc qui eu lieu dernière ment Ypres, un des principaux prix consis tant en une magnifique cafetière en argent, a été remporté par un habitant de SMJmer. Un journal français assure que là-douane s'est op posée l'entrée de l'objet gagné et qu'elle en a provisoirement opéré la saisie. On ne connaît pas encore le résultât de cette singulière mesure, Dans la journée du 18 de ce mois, le nommé Lauwerie, Pierre, journalier, âgé de 48 ans, demeurant en la commune de Bulscamp, a été trouvé pendu dans une écurie. On ne sait quoi attribuer cet acte de désespoir. Le 21 dr, le nommé d'Hondt, Henri, âgé de 15 ans, demeurant chez ses parents Bas-War- nêton, étant se baigner dans la Lys, fut entraîné par le courant et s'est noyé. Le cada vre n'a été retrouvé que deux heures après l'évé nement. RAPPORT sur l'état de l'administration dans la Flandre occidentalefait au conseil provincial dans sa session de i8-t3, par la députation per manente. Suite et Fin.) 5. Industrie linière. L'industrie linière attire constamment notre sollicitude spéciale. Cette in dustrie capitale pour la Flandre, est éminemment digne de tout l'appui du gouvernement et de celui des mandataires de la province. Vous avez cru né cessaire d'étendre l'action des encouragements pré cédemment votés et avez porté en conséquence au budget provincial de i843, un subside de 20,000 fr. De son côté le roi a alloué, par arrêté du 19 mai dernier, une somme de 3o,ooo fr. La condition de la participation des.communes dans ces encourage- tments, est en général, que celles-ci consentent se cotiser elles-mêmes, pour doubler ou tripler les sub ventions de l'état et de fa province. Ce mode do répartition a produit de bous résultats. Le concours que les comités cantonnaux nous prêtent, pour soulager la position de la classe ou vrière, mérite la reconnaissance publique. Lçù:omi- tés communaux rendent aussi de grands setmees. Il a été présenté aux mardié*j en 1842, 147,411 pièces de toiles; 102,266 ont été vendues. Ce dérnier chiffre est inférieur de «§,242 celui de i84i. C'est là un décroisse ment extrêmement inquiétant. 6. Rajjineries de sucre exotique et sucreries in digènes. Trois raffineries de sucre exotique exis - teut Bruges, deux d'entre elles chôment depuis longtemps. Celle qui est en activité, travaille unique ment pour la c.opsommaliou du pays. Les fabriques dp sucre de betterave sont au nom bre de trois. Deux seulemeudravaillefit et produi sent i5o,000 kilogrammes de sucre., Brasseries. Les brasseries de bière sont nombreuses dans la province. En 1842, 568 brasse ries, dont .45 ."sont restées iuaclives, ont produit 567,967 hectolitres de bière. 8. Distilleries. —D'après les résultats constatés par la direction des contributions, la quantité de ge- ùièvre fabriquée pendant 1812, est intérieure celle produite par les distilleries en i84i. Cent dix-sept usines, dont 25 ont été iuaclives en 1842, ont produit 26,45o hectolitres, tandis que pour i«4i, 97 usines ont produit 33,789 hectoli tres. La cause principale de cette diminution est attribuée par la direction la cherté des céréales, la majoration des droits sur les eaux-de-vie indi gènes, ainsi qu'à la gène qu'éprouve la classe ou vrière la campague. Nous pensons que la fraude n'est pas étrangère ce mouvement décroissant. 9. Tanneries. Il existe dans la province 85 tanneries, qui soutiennent assez bien la concurrence avec les prodaits provenant d'autres localités. en pressant son front de ses deux mains -rouelle est belle, mon Dieu Pià? il se tait et s'assied. Mais il a fait en sorte que la porte, demi fernii^fcie lui dérobât point la vue de Fernande. Ses regards ne la p un homme, qui s'est approché de lui sans qu'il s'en main sur féfaule. Il se retourne, et frémissant de rcevant don Roderic, il murmure voix basse à'u \daisj cependant? loderi^.. je n'en sais rien moi-même piéprisaut glissa sur les lèvres du favori, fipn seqpit un peu tardive, mon ami, reprit-i! apfès St t^soutnjjÇsiou passée répondait mieux de ta sou- Cette atroce comédie s'accomplira ce soir? -h Dans un instant. Livrer Fernande Il le faut... Et si je supplie? On sera sourd. Si je résiste La mort» Diégo devint blanc et froid comme un marbre. Qu'as-tu donc reprit Roderic avec ironie. Ce que j'ai? s écria Diégo avec emportement. Tiens, regarde de ce côté et tu vas me comprendre... Vois cette femme, sa beauté; ad mire ces trésors merveilleux de jeunesse et d'innocence, et dis-moi si ce n'est pas un horrible supplice que de les avoir possédés, ne fut-ce qu'une minute, ne fut-ce qu'une seconde, pour y renoncer ensuite et les perdre jamais Effectivement, dit Calderone, cette femme est belle et je con çois tes regrets. Tes. réflexions, qui me semblent fort justes, n'ont qu'un tort, c'est de venir uu peu trop tard. Il ne te sied point, Diégo» de regretter un bien que lu as yendu toi-même, et au lieu de te la menter tans sujet... Mais tu n'as pas compris, Roderic J Ce n'est pas sa beauté, c'est elle, que j'aime, entends-tu bien?y* Alors, répliqua don Roderic d'un ton bref, tu es fou. Est-ce que tu n'as pas vendu ta faoulté d'aimer, pomme ta faculté de sentir, comme ta faculté de vivre? Est-ce que tu n'appartiens pas, âme, corps et pensée, celui qui est ton maître et le mien As-tu le droit de plaindre d'une arrestation simulée qui aboutira un séjour de cinq ou six mois dans une forteresse de YalIadolid,où lu seras traité bien moins en prisonnier d'état qu'en protégé du roi? Faut-il te rappeler, d'ailleurs, que ta puissance èïda mienne sont attachées au même Gl, émanent du même souffle? Que ce souffle s'éteigne, que ceGl se brise et nous tombons tous deux. Voilà le soi t qui nous menace aujour d'hui. Philippe III, faible, impuissant, incapable d'une main, se sert souvent de la main de ses favoris pour accomplir de grands exem ples, pour exécuter des vengeances terribles! Quand l'un lui déplaît, il le détruit par l'autre; et dans ce combat dont il dirige les coups sans les porter-lui-même, il abandonne le vaincu àses propres forces, et sourit au vainqueur. Or, la lutte est engagée entre TJzéda, Gis du duc de Lerme.et nous. Nous lui disputons, comme il nous le dispute» ce terrain dangereux et mouvant qu'on appelle la faveur du roi. Le grand point fut de nous emparer de cetteimagination faible et lente

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 2