Vente publique &3is»Q-a>9as» FLANTSOENEN EN BRANDHOOT, BUREAU DES POSTES D YPRES, 4 Variétés. VAN GEVELDE In het bosch van houthupst, te LANGEMÀRCQ. IS. MISE A PRIX Jeudi, 7 Septembre 1843, 3 heures de relevée, en la Maison communale Zil- lebeke, Occupée par la veuve et enfants Le Houck, des Biens immeubles, ci-après, savoir: COMINES, (France). Chemin de Fer. Heures de départ. LES FURETS, "S- V de la reine d'Angleterre, n'a pas pu se décider lui pardonner de lui avoir préféré le prince de Cobourg. - Les grands travaux qui se font la pré fecture de police de Paris vont s'étendre jusque dans la cour Lamoignon. La grande galerie doit incessamment tomber. Déjà des négociants et marchands d'argenterie ont disparu. Le Pa- lais-de-Justice, la Préfecture, la Conciergerie seront réunis, et ne formeront qu'un vaste corps de bâtiment détaché de tout voisinage. On calcule que, depuis une année, il s'est fait Paris seulement plus de 10,000 portraits au daguerréotype. On voit maintenant des ar tistes photographiques de tous les côtés, et les prix en ont été tellement réduits, que l'on en fait m4titehant un franc. Le bruit se répand de nouveau que le duc de Nemours renonce son voyage au champ de Lyon. guerre aux enseignes. Le peintre en bâtiments est farceur de sa nature, c'est un joyeux compagnon très-amusant pour ses amis et connaissances, mais il est la terreur des gens établis et de tous ceux qui, par goût ou par état, ont intérêt la tranquillité publique. Le peintre en bâ timents cultive la mystification avec agrément; avant toutes choses, il faut qu'il s'amuse, qu'il fasse rire ses camarades; tant pis pour les victimes! Mais, hélas toutes les plaisanteries ne sont pas bon nes faire, comme toutes les vérités ne sont pas bon nes dire. Regardez Goujon la barre de la police municipale, comme son sourire est pâle, comme il regarde d'un air pileux ses amis qui sont venu6 pour le voir juger Le président. Votre nom Goujon. Goujon!... Une voix. Où diable a-t-il pêche ce nom-là (Rires.) - Le président. Qui parle? La même voix. C'est moi, monsieur le juge, moi, Théodore Mercier, principal témoin dans l'affaire. Le président. C'est bien vous parlerez quand on vous interrogera. Goujon, il est constaté par le pro cès-verbal que, dans 1? nuit du 6 au 7 août, vous avez causé la perturbâtion dans votre quartier vous avez été vu décrochant des enseignes. Goujon. C'est pas possible. Qu'est-ce qu'elles m'ont fait, moi, les enseignes? J'ai pas de raison pour lés détériorer. C'est des faux ceux qui m'accu sent... et voilà Le président. Vous avez peut-être cru faire une espièglerie; aussi a-t-on usé d'indulgence en ne vouj faisant point comparaître en police correction nelle. Voyez quoi vous vous exposez. Goujon. Connais pas! connais pas! J'ai dormi comme un sourd .cette nuit-la. Le président. Vous allez entendre le témoin. Approchez, M. Mercier faites votre déposition. Mercier. La nuil'du 5 au 6 du courant, ma fem me' iin'é^eille vivement, et me désignant avec terreur la'croisée de notre entre-solelle s'écrie Tiens, (un singe !>*\llilarité.) C'était monsieur Après avoir 1 econnu,que c'était un homme que j'avais affaire, je prends mon sabre de garde national mais déjà cet homme avait disparu...- Je le reconnais maintenant parfaitement. Je me mis la fenêtre et je le suivis de l'oeil; il grimpait sur toutes les portes, regrim pait et toujours comme cela. Je passai la nuit me «Ipm.niMer si c'était un voleur ou -un amoureux. Le iarc n'en pas douter que c'était un Vûit^KWirez-vous quec'èlait une véri- t'ejdâfi^ ftktre rue; lés passants avaient ;e en^l'aiit^riaient comme des fous... 11 y anbMqrrsS/u- avait coupé des enseignes et manière dé coqs-à-l'âne. On ''Chalumeau épicier, drogue.» 1, au-dessus du magasin de'la mo ud, modiste jurée de la Faculté de endraîe.) Et un peu plus loin briftirl de petit bottier.» (Rires.) fe-»%us reconnu le prévenu? fbent! Et sur ma porte, moi, m lisait - Théodore Mercier tijJJ'fe'fHajnes enceintes et tout ce qui •téTt.» (Rires prolongés.) faergiques dénégations, Goujon s'entend fr. d'amendé et aux frais. Étude du notaire BOEDT, a ypres. i* D'une petite Ferme de la contenance de 1 hectare 71 ares 90 cenliares, située en la commune de Woesten, près de la place, le long du chemin dit Steen-straete, tenant aux terres de la veuve De Ifaene, de Charles Wulleman, de Pierre Vandamme, de M. Lemaire, de Charles De Cock, de Pierre Tier- soone et du sieur Deraan; exploitée par Pierre- Jacques Vallaeys. 2° D'une belle petite Ferme de la contenance de 4 hectares 86 ares 7g centiares, située en la com mune de Vlamertinghe, un peu sud-est de l'église, tenant au chemin conduisant Voormezeele, abou tissant aux terres des enfants de feu M. le chevalier Hynderick et des enfants de feu M. Merghelynck- De Langhe, aux terres de M. Louis d'Hondt-Capron, de M. Rycx-Priem, de M. le comte De Patin Laugemarcq, de la veuve De Haene et autres. Exploitée par Charles- Albert Sam y n. 3° D'une Maison Vlamertinghe sur la place, dernièrement occupée par feue la veuve Satnyn. 4° Quatorze ares 5o centiares de Jardin et fond de Maison Vlamertinghe, occupée par Fran Çois Barroo. 5° De a 1 ares 10 cedtiares de Terre a labour Vlamertinghe, occupée par Louis Meurisse. L'ADJUDICATION DÉFINITIVE, est fixée Sa medi g Septembre i843, 2 heures de relevée, en l'auberge la Longue Allée, rue de Lille, Ypres. r OpVrydag,8nSepten»l>er 1843,0m 12uren 'smid- dags,zal men Verkoopen teu verzoeke van M. JacoBUS DE RIDDER, eigenaer te Oostende, in het bosch van llouthulst, in de partien Westmullebronken, Meuniken-Weiden en Kruis-Eiken i* 5*» koopen gevelde Eikenr-Boomen,idienslig voor molen-, schip-, kuip-, timmer en', andere werken-x 1 20 lïO idem gevelde Eiken-Planlsoenen, dienslig voor lat-hout, diltperssen, enz.; 3° 10,000 barde en zagte drooge Ameloozen, dienstig voor bakkers; En 4° IOjOOO idem groene. Al het gezeid Brand-hout is uitgevoerd tôt op de dreven, en is verdeeld in koopen t'elks gerieve. De vergadering terlxerberg het Kasteel/je, gelegen in dito bosch Houthulst. - Deze Venditie zal gehoudén Vvordeh met Negén maenden tyd van betaf.lING, behoudens do'or de koopers beker.de solvabele medekoopers te slèllen. étude du Notaire VAN EECKE, a tpreS. A. MISE A PRIX Vendredi 8 Septembre 1843, 4 heures de relevée, au cabaret occcupé par le sieur Jean-Baptiste LozieElverdinghe, d'une Ferme contenant 2 hectares 98 a. 63 c., située dans ladite communed'Elverdinghe,occupée par Pierre- Albert Vercameravçc droit de bail jusqu'au ir Octobre 1844» au Pr'x de 280 francs par an par dessus les contributions aboutissant aux propriétés de Mademoiselle De Moucheron et de M. De Stuers, Ypres. 1" Une partie de Terre a labour d'environ 34 ares 98 centiares. j' 2° 61 ares 21 cenliares Terre a labour. Ces deux parties sont occupées par Jean-Baptiste Lefevere, fermier Wervicq (France), avec droit de bail jusqu'au ir octobre i844, moyennant 100 francs par an, non compris les contributions. WYTSCHAETE, (près holeebeke). 3° Une autre Partie de Terre contenant 3g ares 6g cenliares, occupée par Pierre-Joseph Moreau Hollebekeavec droit de bail, j-aison de 32 francs par anplus les contributions. COMMUNE DE ZILLEBEKE. 4°UneMaison et autres édifices, avec environ 4 a. 60 centiares en Fonds bâti et Jardin, occupée sans droit de bail par Louis Moreau. REIVTE. 5° Une Rente au capital de fr. 2,176-87 c. 4/2 p. °/0, charge des enfants de feu Fr. Bailleul, Zillebeke, hypothéquée sur le Moulin brûlé. Voir les conditions des susdites Ventesau bureau dudit Notaire VAN EECKE, Ypres. période d'été. DE BRUXELLES POUR Gand 6-15,10-15, 4-15,7-15; Ost. G-15 m. 4-15 s. Court. Roub. 6-15,10-15, 4-15; Tourn.0-15 m. 4-15, s. Anv. 7-00, 11-00, 4-30 8-00; Liège 6-45, 10-30,4-45; Moiis, Quiév. 0-30, 9-45, 3-30, 6-15; Charl. Nam. 6-50 tu. 3-30 de rel. DANVERS POUR: Gand 6-00,10-00, 4-00, 7-00 Ost., Tourn. 6-00 m. 4-00 de r.; Court. Roub. 6-00, 10-00, 4-00 Brux. 6;0T 10-00, 3-00, 4 00, 7-00; Liège 6-00, 10-00, 4-00,- DE fJËGE-'POUR Brux.-, Anv. 7-15, 1-15, 5-15 ;Gand 7-15,1-15; Ost.,>Cuurt., Journ. 1-15, de-jèt St-Tr. 7-15, 1-15, 5-15 Verv. 7-30,11-00, 6-00 - DE GAND POUR: Brux.Auv. 5-15, 8-15, 2-45 Liège 5-15, 8-15, 2-45; Ost. 6-10, £-45, 6-30; Court., Roub. 5-15,8-45,12-45,6-30. Tourn. 8-45, 6-30 DJLBRUGES, POUR Gand, Brux. Auv. 6-45, 12-45, 4 30 Ost. 7-30, 10-00, 7-45 Court., Tourn., Roub. 6-45, 4-30; Liège 6-45À12-45.— D'OS TENDE POUR: Gand., Brux., Auv. 615, 12-%, 4-00- Couit. Tourn., Roub. 6-15, 4-00; Liège, St-Tr. 6-15, t%15.- DE TOURN Aï POUR Anv. Brux. Ost. 6-00, 3-45; Liège, St-Tr. 6-00, m.; Tirl. 6-0(*|5-45 - DE COURTRAI POUR: Gaud 6-45,1-30, 4-30, 7-00 Brux. Auv. 6-45,1-30,4-30; Tonat. 10-00,7-45; Fivcs (Lille) 6-45, 10-00, 2-00, 7-45 ;Ost. 0-45, T%j 4-30,de r. Liège 6-45, 1-30.- DE TERM0NDL POUR GaiJ" 7-30 ,11-30, 5 50, 8-30; Brux., Anv.6-00,9-00,3-30,6-45 Ost. Tourn. 7-50, m. 5-30, s. Court.Roub. 7-30 11-30, 5-30.- DE V ERV1EKS PÔtJR Liège, Brux. Auv.Gand 6-00, 9-30, 5-45; Court.Lijle 6-00 9 30 m. Oh, Tourn. 9-30 m. DE NAMUR POUR Charl. Brux. Mous et Quiév. 8-04), 5-45.— DE CHARLEROY POUR: Namur9-15, 6-15 Brux., Mous, Quiév. DE QUTÉVRMfl POUR: Mous, Brux, 6-00, 9-30, 3-00 5-15; St-Saulve 8-45, 3-00, 8-45; Charl., Naraur 6-00 m.5-00 s. DE SA1NT-SAULVE POUR Brux. 8-00, 11-15, 4-45. 1 départs e* arrivées des courriers 1 y pendant la période d'ÉTÉ. departs. 6 heures du malin, pour Anvers, Bruxelles, Courtrai GaudMenin, Tournai et la France. G 1/2 heures du matin, pour Bruges. 8 heures du matin, pour Poperinglie et Warnêton. 3 1/4 heures de relevée toute la correspondance pour l'intérieur et l'étranger. 31 /2 heures de relevée pour Dixmude, Furnes, Dunkerqué, Calais et Boulogne-sur-mer. 4 heures de relevée pour Poperinglie. arrivees. 8 heures du matin, la correspondance de l'inté rieur et de l'étranger. 10 heures du malin, Dixmude Furnes et Poperinglie. 3 1/2 heures de relevée Poperinglie et Warnêton. 5 1/2 heures du soir Anvers, Bruxelles, CourtraiGand,. Mons Menin, Tournay, Oslende, et ia correspondance française. 8 heu res du soir, Bruges. .Service rural. Départ 8 1/2 heures du matiu. Rentkée -. G heures du soir. NB. Les lettres affranchir et charger, pour ne point éprouver de retard, doivent être transmises au bureau un quart d'heure au moins avant la clôture,«des dépêches; l'affranchissement est obliga toire pour lAngleterre, l'Autriche, l'Espagne, le Portugal l'Italie^ la Turquie et les pays d outre-mer. Les lettres sujettes faffranchissement obligatoire, pour lesquelles on ne remplit point cette formalité, ne sont point expédiées. Il èst défendu dé renfermer des espèces ou des bijoux dans les lettre#, celles présumés en contenir, trouvées la boite, sont mises au l'ébut. Les dépêches.adininistralives coutresignées par les fonc tionnaires publics, doivent être remises la main au guichet, celles trouvées la boîte sont sujettes la taxe. Le bureau est ouvert de 8 heures du matin jusqu'à midi, et de 2 G heures du soir. A Bruxelles, chez tarride, Passage du Théâtre lelong, rue des Pierresj Anvers, ratincex; Gand, van goetkëm tt veuve bivort, et chez les principaux libraires onzième livraison. .(aout 1843.) 2e semestre. Celte publication satirique' mensuelle, écrite dans un esprit fran chement indépendant et libéralparaît du lO'au 15 de chaque mois. Prix de l'abonnement pour 6 mois, 3 fr. 50 j pour 3 mois, 1 fr. 80 j pour chaque volume, pris séparément, 75 centimes. Ypres, impiimerie de lambin fils éditeur, rue dt* temple, 6«

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 4