t 'ADJUDICATION AuwsTEimi; HET MEST FUMIER, EXTÉRIEUR. France. OLINGER. OLINGER. dans le moindre délai possible. La direction a commencé donner des leçons particulières, et un prix très-modéré aux jeunes demoiselles qui désirent apprendre cet utile et agréable ouvrage de mains, et les dentelles, ainsi con fectionnées. restent la propriété de ces élèves. Toute la journée on y donne aussi des leçons gratis sur le pied d'un règlement arrêté cet effet. On écrit de Berlin, le 17, la Gazette de Cologne Malheureusement la foire de Franc fort-sur-l'Oder, qui vient de finir, n'a pas apporté de remède l'état de souffrance de la plupart de nos fabriques. Les produits de pres que aucune branche d industrie n'y ont trouvé d'écoulement, et ce qui s'y est placé a été vendu des prix si bas qu'il en est résulté des pertes importantes pour la plupart des fabricants qui étaient forcés de réaliser pour pouvoir remplir leurs engagements. Et il en est beaucoup dans ce cas-là, parce que les capitaux de la majeure partie de nos industriels ne sont pas assez con sidérables pour leur permettre de laisser passer les moments de crise et d allendre des temps meilleurs. Celte foire va exercer une fâcheuse réac tion, surtout sur l'industrie de la Silésie, où la classe des pauvres tisserands de la montagne est depuis longtemps déjà dans une triste situa tion. En vain demandent-ils du travail tout prix, la majeure partie des fabricants sont dans l'impossibilité de les occuper cet hiver. L'industrie linière ne peut se relever et ar river chez nous un développement qui lui permette de soutenir la concurrence étrangère, qu'autant qu'elle soit sous l'égide d'un tarif protecteur. Qu'on ne la. perde donc pas de vue dans les négociations d un traité de commerce avec la Belgique. Un tenté de commerce avec un pays de fabriqués comme la Belgique, exige la plus grande précaution relativement aux branches d'industrie.du Zollverein qui sont aussi cultivée* dans-ce pays. Le Holstêïn"n'est pas, proprement parler, une partie inlégrantedu royaumedeDanemark, appartient l'Allemagne, et c'est comme duc de Holslein que le roi de Danemark est membre de la confédération germanique. La loi de suc cession pour le Holslein est différente de celle du Danemark; et l'Allemagne ne verrait pas croyons-nous, sans une vive satisfaction leur séparation, d'autant plus qu'elle assurerait l'ac cession du Holsteirrau Zollverein. Maison croit que la Russie a prévenu ce résultat en décidant le duc de ftôlstein-Augustenbourg et sa faniille céder leurs droits tfe succession en considé ration d'une indemnité pécuniaire importante. Ainsi le Danemark et le Holslein sont conservés comme un héritage entier pour le prince'Fré déric-Guillaume et ses héritiers au moyen de l'ordre de la Russie; et les liens de famille don neront la Russie une influence prépondérant* (.ans celle monhrchie qui lient les îles du Sound' et de la Baltique. L'arrangement auquel nous faisons allusion n'est point, il est vraiun sujet dans lequel VAngletérre ait quelque juste pré tention d'intervenir, mâjsnôus connaissons trop la politique prévoyante de la Russie pour re garder av^c indifférence la marche d'événements qui tendent établir le protectorat russe ou quelque chose de plus sur les possessions de la monarchie danoise. Paris, 26 Novembre. On nous confirme encore aujourd'hui de la manière la plus positive la nouvelle de la maladie du jeune fils du duc de Nemours. M. le docteur Guersent qui lui a donné ses soins ainsi que les autres médecins appelés en consul tation conservent peu d'espoir de le sauver. Les journaux de Paris ne confirment pas celte nouvellequi nous est donnée par la corres pondance. D'ordinaire, l'ordonnance de convocation des chambres est publiée au Moniteurvers le 20 novembrelorsque la session doit s'ouvrir dans les derniers jours de décembre. On dit que celte ordonnance paraîtra demain ou après- demain, au plus tard. M. Dupin père, ancien sous-préfet de Cla- mecy et père des trois frères Dupin vient de mourir dans le département de la Nièvre. On nous assure que le nonce du pape qui a été reçu hier par le roi, a remis entre les mains de S. M., une réponse du saint-père la lettre autographe dans laquelle Louis-Philippe lui demandait de mettre un terme la polémi que soulevée par quelques évêques de France contre l'Université. D'après une correspondance de Rome, en date du 10 novembre, les négociations entre l'ambassade de France et le saint-siége sont très- activesdansce moment; elles se rattachent, dit- on aux difficultés que soulève le clergé français au sujet de la liberté d'enseignement. D'après ce qui transpire de ces négociations, le collège des cardinaux aurait complètement approuvé les démarches des prélats Île France. Néanmoins, le saint-siège, sans abandonner les principes suivis dans tous les temps, usera dans cette af faire'de toute la modération possible pour ne pas susciter des embarras au gouvernement français qui lui a toujours donné tant de preu- vés de bienveillance. Constitutionnel l«r RÉGIMENT DE CUIRASSIERS. DU 1'Adjudication du Fumier, provenant de tous les chevaux du régiment qui seront casernés en cette ville, pendant l'année i844. Les personnes qui désirent être adjudicaires devront faire leur soumission sur papier timbré conforme au modèle annexé au cahier des charges et la déposer dans la boîte, placée cet effet dans le bureau dudit Capitaine Quartier-Maître jusqu'au dit jour 2 Décembre, l'heure fixée pour l'ouverture. Les soumissions indiqueront en toutes lettres le prix, en fractions décimales de francs, par jour et par cheval, auquel ils veulent entreprendre ledit Fumier, ainsi que les noms et prénoms du soumis sionnaire et de ses cautions. Il sera joint chaque soumission, un certificat délivré par la Régence du domicile du soumission naire et des cautions, constatant leur solvabilité, et qui offrent les garanties nécessaires pour être admis, le premier comme adjudicataire, et les autres com me cautions. Toute soumission dans laquelle on aurait omis une des formalités mentionnées ci-dessusou qui ne sera pas accompagnée de certificat, ne sera pas admise. Ypres,ie 23 Novembre 1843. LE CAPITAINE QUARTIER-MAÎTRE, le RÉGIMENT CUIRASSIERS. VAN het provenant de tous les chevaux du regiment, stationnés a ypres. 'En vertu de lWitorisalion de Monsieur le Ministre c^c la Guerre et sous son approbation ultérieure, le Conseil d'administration de 1er .Régiment de Cui rassiers, en garnison Y près, procédera le 2 Décem- bre prochain a onze heures précises du matin au bilreau du Capitaine Quartier-Maître du susdit régiment^, demeurant rue au Beurre, N° 19, voortkomendeT van al de peerden van régiment, gestationneerd ïe ypre. 'Krachlens autorisait e van Mynheer den Minister van Oorlog en onder zyne verdere goedkeuringden Raed van administratif van het Ie régiment Cuiras siers in garnizoen te Ypre. zal den December aenslaende, ten elfuren'des iWbrmiddags,ten kanlore van den Kapitein Kwartier-Meester van gemeld régi ment, woonènde in de Boterstraet, N° 19, voortsgaen lot de Af.nrestkding van het Mest, voorlkomende van al de peerden van het régimentdie gedurende hetjaer 1844 5 in deze stad zul/en gécaserneerd zyn. De persoonen die wenschen aenbesteder te zyn, zullen kunnen aennemings-brief op gezegeld papier moeten schryvenvolgens het model gehecht aen het kohier der tasten, en denzelven leggen in de bus ten dien einde geplaetst in het kantoor van gezeiden ■Kapitein Kwartier-Meesterlot den gemelden dag 2" December, op het lier vaslgesteld voor de opening De aennemings-brieven zullen in colle le tiers aen- (tuiden den prys in décimale fractien van francs per dag enpèr peerd, en icelfeen zy gezegde Mest witlen acnnemen, alsook denamen en voornamen van den inschryver en zyne'borgtn. Er zal aen elken èennemihgs-brief geechl worden, een certificaet afgelecerd doOr de regering der woon- plaets van den inschryver en'van zyne borgen bevestigende h un vermogen om te hetalen.en die noo- dige verzekering aenbieden om aenvoerd te icorden den eersten als aenbestederen de andere ats borgen. Allen inschryoings-brief in welken men eene der hier bovengemèlde vourscliriften zou vergeten hebben of die niet zal vergezeld zyn van een certificaetzal niel aenveerd worden. DEN KAPITEIN KWARTIER-MEESTER Oui,sénora, de lui«I dp vqus. Elina se mit trembler convulsivement. Alberto raconta en peu et av une grande circonspection, ce qui venait de se passer i ksft. inaperçue de Stéfano dans le groupe l'io- urs qûelqent que lui avait infligé son a«3î. e, plus siIenci Pauv5es femmes ce récit, ne iart sans qu'une c»suil« duelqui venait que celle de Bertha, ipijnrïe |er, tout-à-coup, cette sp^jatir® noos devons (éger choc jAfsv .déyoAm,1011!^ Égaré par la i.a|re, Stefano offrit sa ç|ûi s' ei^veiude i '113 fcchemiu dff £!a/rSOUS tint d Unei'i- U Nous fdu com- lui. J'étais venu ici, sénora, ajouta Foscarini en s'adressant particu lièrement Maria, j étais venu vers vous dans l'espoir que vous vou driez bien vous charger de la tristS mission d instruire la jeune sénora de toûtT 'eci. s, Folle de terreur, necoutaifl que la Violente impulsion de son èœur, Eléna s'élança, hoés* la maison, avec la^pidilé que donné fcITroi, et quelques minutes^rès, se trouva, comfne par tucha.nte- devant le lit où était.'cçiiphé^e blessé; il avdft témoigné It? d'être seul parce que toip ces soins étraugers l'importunaient et qu'il avait e^ige que l'on appelât Ber.lba, croyant sa position dangereuse qu'oq ne le lui qssurait. un des LorsqueTombre d'une femme se dessina près de soj sans d**e, que c'était celle qu'il attendait. Eléna, respirant s'était jetée dans un f* tout d'une voix, mençait a comprendre toute 1 incpnvenanry Ct,r -, i tait faire le réoit de précipitée, btelanmiui put les mains s- cont les lion de Erizzo légè- uq'HCb. uiouiiB iui j'i i lia luniu» i r> ..J" souuu le mari A Pise. II. lire ses lèvres. KdiguaiH uxclle qr artisan* lie avail, par sa voiif plus don<*s, les ».us paJ^fc n z1!* ^^^^Kl>)i>era de Madrid oi^lon ne la 0^1 comment le comte Arnidéi, préparais, mais je ne pouvais laisser impunément insulter notre nom, c'eut été unclàclielé. Me pardouncrcz-vouset m'aimerez-vousencore? Oh! oui, vous mon amour, toujours, ma vie entière! dit la voix passionnée de la sénora Amidè'i, trompée par des paroles qui ne lui étaient pas adressées. l'p cri douloureux partit en même temps du seuil de l'apparte ment;'Bertha venait d'arriver et avait tout entendu. Le blessé ayant réputation de i Tgléna, s'était évanoui eu lui tordautla main qu'il parsesgravesdehors.il Ainsi Erizzo n'omettait t ible. Il en était arrivé au denouc^it pâle, les yeux hagards prêts sa narration»{^avaient pas remarqufche écumait, et ne put trouver ges qui étaient venus grossir leur ^tes convulsiyement, et sem-, prudent conteur, terminant son récit *kine manieire mppïicffllfë ce*'* rieuse que le monde avait attachéer^ÇJ ra^on, elle était folle, foje fer s'appesantit sur sa joue, et y iros, rij es traits, ni la voix de ctfux encore, que celui qu'il venait d'iftjtfçnait d'arriver aussi, dont le famille. L agresseur était StéfanÔjj^Pcherchèrent en vain la »"ap.- avait rejoint le groupe de jeunc^^Be. On ramena Eléna au palais sation qui semblait animée. ^Binent le blesséqui était revenu suite au prochain n°.) r du Temple, 6.

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 4