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JOURNAL D'YPRES ET DE L'ARRONDISSEMENT.
INTÉRIEUR.
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.ANNEE. N° 278.
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^3o s'abonne y»rfs, rue du
Temple, 6, «t^çhe» .ous les per-
ei'ptçfcide» fioS^o'lu royaume.
t)f4t'».b0nnfwent
.- ptr trimestre»
Pour'Ypresfr. 5-00
Pour les autres localités 6-00
Prix d'un numéro 0-25
JEUDI, 28 DÉCEMBRE 1843.
Tout ce qui concerne la ré
daction doit être adressé,franco,
l'éditeur du journal, Ypres.
Le Progrès parait le Dimanche
et le Jeudi de chaque semaine.
prix des insertions.
Quinze centimes par ligne.
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Y PRES, le 27 Décembre.
ature a été réunie pendant cinq se-
lotre situation politique n'enest point
devenue plus nette, ni plus franche. Les hom
mes d'état qui siègent au banc ministériel, pren
nent toujours le masque du libéralisme. Même
il a été impossible la chambre d'obtgnir les plus
légers éclaircissements sur la dernière crise mi
nistérielle.
Il est vrai que M. Goblet a lu une profession
de foi qui pouvait au besoin expliquer sa posi
tion, ainsi que celle de ses collègues de la jus
tice et de la» guerre. Mais eu disant que les
ministères étaient vacants, et que ce n'était pas
1 effet dune lutte, MM. Mercier et Deschamps
expliquent-ils leur entrée au pouvoir? M. Mer
cier, député de lopposUion,ancien ministre des
finances sous le cabinet Lebeau-Rogiers'est
assis sur le même banc que M., Nolhombgqui a
intrigué pour'amener la cfiùfê des minis'fres
libéraux dont il convoitait la place? Il faut en
convenir, ce sont là des revirements d'opinions,
qu'on aurait grande peine expliquer conve
nablement et qu'on n'explique pas du tout, en
faisant comme M. Mercier, simplement un ap
pel l'oubli de toute désunion politique, et en
soutenant, que ses principes ne se sont pas 710-
difiés par son avènement au pouvoir.
A la rigueur, on pourrait croire aux paroles
de MM. les ministres de la justice et des fian
ces, si on ne voyait côté d'eux MM. Notbomb
et Descharaps. Ce dernier, après avoir été répu
blicain au congrès, s'est jeté corps perdu dans
le camp catholique, dont il est un des person
nages considérables. M. Nolhomb contin
i- ores
jouis son système mixtec est-a-direju
laisse le clergé empiéter de plus en plus sur les
attributions du pouvoir civil. La guerre qu'on
fait nos institutions, pour être sourde-actuel
lement n'en est pas moins réelle. Nous j !!n,
martifUn6 tout homme clairvoyant et de L
foi, le clergé n'e t—il point, par suite des dern.,
arrêtés royaux, maître dfjjf- de toute l'inslru
tion primaire en Belgil
Il est inquiétant p*1"
de voir quel a
dafis les hau eMl- Celtij^
abandonne «nnbre, afira
nions pour c^r eUe ne présen
ce qu'M y a^ucune SWution poscl
guère la priait de Tunis a
'dans les rangs eiK' 9°' s
ces défections ht?' de
Nous pouvons
catholique n'existe!
chambreque pari
conscience qu'on P1
l'opinion cléricale S(Y
propres forces, sa
sont du parti di
ce qui est bon
l'on ne verra
sentées par de.
celte parlialjt
cet oubji de toute justice distributive. Un parti
qui se croit assez fort pour gouverner d'après
un tel système, le fait exécuter par des hommes
qui ne sont que ses instruments. Il les méprise
et les désavoue, du moment qu'ils lui ont rendu
les services qu'il attend d'eux.
C'est avec satisfaction que nous avons appris
la nomination de M. Delabit, garde-génie de
seconde classe, au grade de garde-génie de pre
mière classe.
M. Delabit, depuis longtemps attaché au
génie de notre place, a acquis droit de cité
parmi nous, tant par sa conduite sans reproche,
que ^r son caractère scrviable et son assiduité
s^8 fonctions. Généralement aimé des habi
tants d Ypres, nul n'aura appris sa promotion
un grade supérieur, sans lui rendre la justice
de Convenir qu'il l'avait méritée depuis long
temps. %*-
c^noblè défunrëS
VILLE D YPRES. CONSEIL s£g(J ge Tou|0
Se'atnje^ublique du mercredipar son courage''.
ordre du ja.e distinguait1» eaux
1 encore renia- 'r
Commun.cal.on ~e la depeefee a jmmécJiat.,
tred état gouverneur de la provint^ Mo
1 instruction prjMtaue. 1
20 Nominatioêf d'un membre de la Co?.'.'
administrative du M0.1t de Piété, en remplacuxiSÎM®
de M. Hynderick, déct'dé.
Nomiriftion d'en memh-e''e 1 1 ltis'""-sion
publics. Sir Thomas bratiam, cé'* ut, deiot,r—
irsa famille et celui qu'il a illustré SOnt des...
d'Angleterre en 1814, avec h' 111 3i' dames...
Lynedoch et une peosio: dr.'conscience' Mais
et ses héritiers. Le nob' - moins qu ils nt 11
la bannière du p?r,r e- D'ailleurs, ajouteui le
~0O pt-cl» cale.., serment n'obligerait que les
Arts iscroyants> tandis que nombrede gens, ayant
*L_ le religion ne seraient pas retenus par ce
sur la Campine depuis le mois d'avril dernier.
La première section du canal a été d'autant
plus utile la classe ouvrière nécessiteuse, que
les ouvrages exécuter consistaient principale
ment en terrassements, travail qui est la por
tée de tout ouvrier et dont la dépense s'est éle
vée au-delà de un million six cent mille francs
pendant cette campagne.
Dès. aujourd'hui, la section du canal en train
d'exécution peut être rendue navigable sur
trois lieues et demie de parcours. On pourrait
immédiatement la mettre en communication
avec le canal de Maestricht et là Meuse. Dès
aujourd hui, la houille de la province de Liège
pourrait être transportée jusqu'au cœur de la
Campine. et-approvisionner les communes de
Bochplt, Hamont, AchelCautille, Neerpelt,
Grand £t Petit BrogelExel, Hechtel, Lille-
Saint-Hubert, Overpelt, Peer Lommel, etc.
ainsi que plusieurs localités hollandaises.
Les ouvrages dart.ilc.ee canal ont été con
duit ^avec talent et activité par les entrepre
neurs Vissers, Riche et compagnie. du Liml.)
CHRONIQUE JUDICIAIRE.
etWl n'assisr- ix* flandre orientale.
Leyuge, 11 ..ci,
tefg rnm belle-sœur et le neveu sur
•fil. Laubiér"' se posa^re et oncle, heut.
demande pe - r QppJ. isre,-? .-î
""auer de »eul-etrc ucun .T
subtilit-°cl°bre 1838, vint mourir le révèrent.
<ises légataires universels lei n PP.
B déposèrent au bur*
«tons, -une déclaration "omprena.™. r
lire de 1er!
passil
1 qua
2,000 francs
B ouvrât. [9 c el un passif de L'n 1"
înmais mâlâdô. -» Ou3ncl j y
poste I H.COns,Sta,t en W*U'P ob' .e d'une
poste, (ui. - f
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je avenir politique,
ivé lajcorruptiom
itales.
A.1
1 est coulut ièr o- 1 "'ellic. d. Si elle est couturière, elle
noi. 2 vih* ip r.
Yj squ huit 11 1 u fait alors un tour de rue
«s. d?r(ellière, c. es. que je SI
rtine et retourne «nus
'le toit Pate, la no énéi. fj, éul a
Nous ..Vantes j"1 P;ls/0 est huit heures 1
un l sJi
mauvaise charge. 2,ot'U francs dans une v'ie
qui renferme un micf homme, s jj se trouve
toujours des farceurs et nne vie esausceurdun
farceur, première qualité, msistait en ii:-frère m'a
—tué un pied de... charcuterie.
sob£e préside/, h Venez donc au lait.
V°Bouvrot. M'y voilà j nous avions eu la veille une
jeur;uSsion mon beau-frère, une discussion sur
spcitait ses moustaches, je lui oppo—
LnuBref, je le battis complètement f
tkteujva plus-rien répondre, il fut
"tes moustaches étaient
rires.!