MAISON LA VACHE, POUDRE DENTS INCORRUPTIBLES. annonces. £lixir OPENBAERE VERKOOPING RENOMMÉS 4 A Vendre, Zynde sedert meer dan dertig jaren gestadiglyk de dagelyksche vergader- plaets eener voortreffelykste en talryli ste gezelschap pour assister un combat d'animaux dont le théâtre était une arène située en avant du palais quelques degrés plus bas. Là marchaient trois ou quatre vigoureux buffles aux cornes prodigieusement lon gues, tandis que deux tigres, leurs adversaires, s'ob stinaient rester dans leurs cages. Enfin, l'aide de bâtons pointus, on parvint les chasser, et ils dé passèrent, en passant rapidement entre eux les buffles, qui les poursuivirent de leurs cornes et les firent bientôt rentrer au fond de leur refuge. Tout-à- coup, d'une cage placée au côté opposé, s'élance un énorme tigre qui, la queue hérissée, l'oeil enflammé, rugissant décolèrent teignit en quelques bonds le plus grand des buffles, lui enfonça les quatre griffes et les dents la partie supérieure du cou et s'y attacha dans une immobililécrispée. Étourdi decelteattaque imprévue, le buffle un moment courba la tête sous ce terrible fardeau; mais bientôt il s'agita, sécoua violemment son ennemi qui ne lâchait point prise et travailla l'écraser contre le mur. Ses compa BELLE Le Mardi, ii Août 1845, il sera procédé la MISE-A-PRIX, avec bénéfice de paumée, et le Mardi, 26 du même mois, l'ADJUDICATION DÉFINITIVE, avec bénéfice d'enchères, chaque fois 3 heures de relevée, I'Hôtel le Petit-Ypres, rue de Dixmude, Ypres, d'une belle et grande MAISON, de construction moderne, en dernier lieu occupée par Mr Schockeel, située Ypres, l'est de la rue de Lille, près de la Grande Place, et ayant une libre sortie dans la ruelle du Violon. L'acquéreur pourra entrer de suite en jouissance et reteuir la moitié du prix d'achat, pour 10 ans, l'intérêt de 4 p. ']0 par an. Le Notaire VAIDER3IGEBSCH, la résidence d'Ypres, est chargé de cette vente. ÉTCDE DE Mre YAIYDERMEERSCH notaire, a ypres. Le Notaire VA Î¥D E NI E E K SCH résidant Ypres, vendra publiquement, avec béné fice de paumée et d'enchères MAISONS A YIPIRgS. 1® Une grande et belle MAISON, en dernier lieu occupée par M. Castricque-Werkyn, ainsi que plusieurs Bâtiments ayant servi de Fabrique de Rouenneries, avec deux Cours et un grand Jardin, ensemble d'une superficie de 18 ares 5o centiares; le tout situé l'ouest de la rue de Lille, n" i"0, Ypres, et traversé par la petite rivière V Yperlée, l'endroit où elle entre eu ville. Cette Propriété, ayant cinq issues différentes, est des plus convenables l'érection d'une brasserie, Distillerie, Poterie et de toute espèce de fabrique ou d'usine, auxquelles le chemin de fer, qui aboutira la ville, sera très-favorable. Elle peut également convenir l'établissement d'un Pensionnat ou d'une Congrégation religieuse. l>c4ÏIÏçrntpourra de suite entrer en jouissance. Une MAISON, rue de Dixmude, n° 12, /ujft YprèS, at^c Porte-cochèreCour et grand ffgrjdfii; Décodée par M. De Pruyssenaere, inspecteur des contributions, jusqu'au 1" janvier Déja^MAlSONS, contigues la précédente, l'une occupée par Marie De Coninck, au loyer de 3oo francs, et l'autre par Jean Boury, au loyer de 180 francs, le tout par an, outre les contributions. Nota. Cep acquéreurs auront la faculté de rete nir, n^fiSàWÎ^risjns, les 2/3 du prix d'achat, l'in térêt<le °/v p&Xan. BOIS. AI WARNÊTON, ÉfieLoryjâl partie de BOIS avec les Arbres, Balivtftyx et is, âgé de 4 ans, de la contenance gnons accoururent son secours et se ruèrent sur lui avec leurs cornes mises en arrêt comme des lances. Pendant ce temps, les deux tigres avaient repris courage et ils se jetèrent dans la mêlée. La lutte se prolongea avec un acharnement inexprimable au milieu d'effroyables rugissements, avec un échange rapide de coups de griffes et de coups de cornes. Quelques singes attachés avec des chaînes des barres de fer se couchèrent plat ventre sur le sol et firent les morts, tandis que le fracas du combat résonnait au-dessus d'eux; enfin le tigre fut arraché de la tête du buffle, et quelques coups vigoureux de cornes le rejetèrent dans un coin. En ce moment on lâcha deux ours dans l'arèue; un nouveau combat s'engagea entre l'un d'eux et un tigre. Un buffle, animal intrépide,y mit fiu,quoiquehlessé,enlançant les deux champions par dessus les autres. Ours et tigres avaient perdu l'envie de s'attaquer; les tigres s'étaient tapis eu hurlant d'effroi contre les murs, g— et ni pointes ni bâtons ne purent les en détacher. La victoire resta aux buffles. La lutte héroïque sou tenue par la mère d'un buffle qui se trouvait parmi les vieux, fut attribuée l'amour maternel. t De là, 011 se rendit dans une autre enceinte. C'était un champs-clos situé au-delà du fleuve, destiné au combat de deux énormes éléphants. Aus sitôt qu'ils s'aperçurent, ils se ruèrent les défenses en avant, l'un sur l'autre, et leurs trompes s'entre lacèrent ne plus former qu'un nœud. Pendant ce duel, l'un d'eux, ayant eu une défense cassée, fut pris d'un accès de fureur épouvantable, mit son ad versaire en fuite, et le poursuivit sans relâche travers les champs. Des cavaliers et des piétons armés de lances coururent séparer les combattants et n'y parvinrent qu'à grande peine. Une partie des spectateurs, qui se pressaient autour de l'enceinte, se précipita dans le fleuve pour n'être point écrasés; cependant il n'arriva aucun accident. suivant le mesurage cadastral section H, n° 84y, de 3 H. 23 A. 70 c., située sur le territoire rural de la ville de Warriêtou, arrondissement d'Ypres tenant aux propriétés de M. Khnoff-Deridder, Gand, et de M. le baron Dubois, Bruxelles, au chemin dit Broekstraet et aux sieurs Coquel, Vanalleweereld et De Coninck, au-delà le chemin du moulin dit Roozenberg-Molen vers le hameau appelé la Hutte. L'ADJUDICATION PRÉPARATOIRE aura lieu le Mardi, 12 Août 1845, et l'ADJUD1CATION DÉ FINITIVE, le Mardi, 26 du même mois, chaque fois 3 heures de relevée, VHolel le Petit Ypres, rue de Dixmude, Ypres. STAD BRUCiGE. Door uitscheiding omdeniioogen oiiderdom vanden eigenaer YAN EEN GROOT EN SCHOON HUIS zynde de prachtige estaminet DEN ook genaemd ALGEMEENELYK BEROEMD EN VERMAERD, STAENDE IN DE STAD BRUGGE, Tusschen den Burg en de Vischmarktnaby hel gouvernement, de rechlbanken en het stadhuis. Den INSTEL zal gebeuren in het te veilen Huis, Zaterdag, y" Augustus i845, ten 5 ureu tiamiddag. Voor breeder informatien en tôt bekoinen plak- brieven, zich te adressereu by M. JOANTUTES C LAEKHOIDT, Notaris in de Hoogstraet, te Brugge. êALLE DE ET de F. FAY (de londres,) Chirurgien-Dentiste de feu S. A. H. le duc de Su s se x. M. FAY a l'honneur d'informer le public, que sa POUDRE a une puissante renommée pour la vertu qu'elle possède de nettoyer, blanchir les dents et de les raffermir dans les gencives, sans que l'émail en soit altéré. - S fr. la boîte. Son ÉLIXIR, si renommé Londres, jouit d'une réputation universelle, il est justement apprécié non-seulement Londres, mais sur tout le continent et même en Amérique; son emploi est infaillible dans les maladies les plus invétérées auxquelles les gencives sont sujettes. Par un usage continuel en combinaison avec la POUDRE,on empêche le tartre de s'accumuler, l'haleine de devenir infect, et les personnes atteintes du scurbut se guérissent de cette maladie. 3 fr. 50 c. le flacon. M. FAY traite toutes les maladies de la bouche, et place aussi (sans douleur) des Dents, que le temps n'altère jamais. Par suite des grandes demandes faites pour sa POUDRE et son ÉLIXIR, M. Fay s'est trouvé dans la nécessité d'établir des dépôts dans les différents endroits sous-mehtionnés, A BRUGES, chez M, Fay, rue Flamande, 71, et chez tous les bons pharmacienà de la ville A GAND, Dillen sœursj rue des Foulons, 3a. A OSTENDE, De Clerck sœurs,ruedela Bride,4. A YPRES, Frisou-Van Outryve, pharmacien. AYIS. On a l'honneur de prévenir le public qu'on vient d'établir une Salle de Bains, 1 ''Hôtel de la Châ- tellenieGrand'Place, Ypres. On peut en prendre tous les jours, moyennant la rétribution d'un franc cinquante centimes. Chirurgien-dentiste de feu S. A. H. le Duc de Sussexdemeurant actuellement Bruges rue Flamande, 71, A l'honneur d'annoncer au public d'Ypres, qu'on pourra le consulter sur la dentition des enfants, les maladies, les douleurs et les défectuosités de la bou che, des dents et des gencives dont il entreprend le traitement médical. Les dents incorruptibles de M. Fay, sont supé rieures tout ce qui a été produit jusqu'à ce jour sur le continent; il les place sans la moindre douleur; l'extraction des racines n'étant pas nécessaire la pose des dents; elles imitent parfaitement la nature, et possèdent trois qualités essentielles aisance, beau- lé et solidité; elles remplissent parfaitement les fonctions de la mastication, et sont d'une grande utilité la prononciation. La Poudre et I'Élixir de Mr Fay, jouit d'une si grande réputation qu'il serait inutileici d'énumérer leurs qualités. Il se trouve chez lui tous les jours depuis 1 o jus qu'à 3 heures de relevée, les mercredis exceptés. Ypres, imp. de LAMBIN, fus, éditeur, Marché au Beurre, 21,

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Le Progrès (1841-1914) | 1845 | | pagina 4