BMTEN-GOED,
BOUT OP STAM.
ANNONCES.
EXTÉRIEUR. France.
HDIZEN, STALLINGEN,
GRONDEN EN HOVENIERHOVEN,
lions du sénateur de l'Indiana étaient adoptées,
il ne resterait plus aux États-Unis d'autre alter
native que la guerre. Quoiqu'il en soit, les
résolutions de M. Hanneganonlélé déposées sur
le bureau pour être ultérieurement débattues,
quand l'ordre du jour appellera la discussion
du projet relatif la notification faire l'An
gleterre de la cessation de l'occupation com
mune.
Un courrier russe arrivé hier de Palerme
a apporté la nouvelle que l'impératrice de Russie
arivera Rome la fin de janvier ou dans les
premiers jours de février. (Gaz. d'Auysbourg.)
Viewne, le Vo janvier. Depuis quelquesjours
on avait eu des craintes sérieuses pour la vie de
l'archiduc Charles, atteint d'une grave maladie;
mais les bulletins d'hier et d'aujourd'hui sont
plus satisfaisants et on espère encore que l'illus
tre malade pourra se rétablir.
Duesde .le janvier. La deuxième cham
bre, dans la séance d'aujourd'hui, a décidé que
les prêtres des catholiques allemands auraient
le droit de bénir les mariages sous certaines con
ditions, droit que le gouvernementd'accord
avec la chambre haute, leur avait refusé jusqu'à
ce jour.
On WldiainsleJournaldeMaine-et-LoireAxi
18 janvier
Il y a deux jours, une laitière des environs
de La Banmelte, nouvellement mariée, appor
tait au marché de la ville d'Angers ses provi
sions de lait, de beurre et de fromage, lors
qu'elle aperçoit tout coup devant elle une va
che noire attachée un arbrepuis un gros
paquet placé sur l'herbe, auprès d'un autre ar
bre. La laitière s'étonne et marche d'un pas plus
rapide jusqu ce qu'elle soit enfin arrivée au
près du paquet et de la vache. C'est d'abord le
paquet qui excite sa curiosité. Elle s'approche
et entend de faibles gémissements: elle exa
mine et découvre, en soulevant un voile blanc,
une jolie petite fille qui était soigneusement en
veloppée de langes fins et de chaudes couver
tures. Grande d'abord fut sa surprise, mais plus
grande encore fut sa joielorsqu'à près avoir
tourné et retourné l'enfant, elle eut trouvé, ca
chée dans des langes une bourse qui contenait
vingt-cinq napoléons, accompagnés de la lettre
suivante, sans signature
La personnequi trouvera mon enfant, dont
des considérations puissantes me forcent mon
grand désespoir, de me séparer pour quelques
années, est priée de lélever en l'entourant de
tous les soins que je serais si heureuse de pou
voir lui donner moi-même. Les 500 francs
qu'elle t rouvera dans ses langes, sont pour elle,
ainsi que la vache noire, dont le lait doit rem
placer le mien. Chaque année elle recevra, sous
le voile de l'anonyme, la somme nécessaire
l'entretien et l'éducation de mon enfant jusqu'à
ce que les événements me permettent de repren
dre ses yeux mon titre de mère. Un jour, elle
en peut être assurée, il me sera donné de la récom
penser largement pour leservice qu'elle est priée
d'accorder aujourd'hui aux larmes d'une fem
me plus malheureuse que coupable, et qui expie
déjà bien cruellementen se séparant de son
enfant, la faute que sa position lui commande
de cacher sa famille et au monde.
La laitière n'eut rien de plus pressé que de
détacher la vache noire, de s'emparerde la pe
tite fille et des 500 fr., deserrer dans son cor
sage la lettre de la mère, et de s'en retourner
la ferme raconter son mari celte bonne for
tune.
- Un triste événement a signalé la soirée du 2
janvier devant Bone. Vers six heures et demie
une barque maltaise, patron Ve|ta, montée par
quatre hommes revenant du fort Génois, avec
quatre voyageurs du Courrier, un médecin civil
que I on croit appartenir àla famillede M. Don,
ingénieur des ponls-el-chausséessa femme et
son domestique, puis un jeune homme que l'on
ne connaît pas mais que l'on présume être M.
Archambault, commis-voyageur, a étéjetée. par
un violent coup de vent du nord, vers la pointe
du feu de cigogne. La barque a chaviré; les qua
tre voyageurs et deux marins ont péri. Les deux
autres marins s'étaient dirigés la nage vers les
rochers de celte pointe, où ils ont été recueillis
par les matelots de la direction du port.
Aujourd'hui le temps est encore afFreux la
tourmente continue. Aux environsde l'abattoir,
des recherchesont été commencées pour retrou
ver les corps des naufragés, que l'on présume
y avoir été jetés par les vagues.
A l'heure où nous mettons sous presse, on
nous apprend que le cadavre d'une dame vient
d'être retrouvé. Les recherches se continuent.
(Scybouse du 4.)
avantage se servir dorénavant de moins de charla
tanisme et de faux bruits, pour se faire signaler.
Si je suis bien informé notre régence se propose
de faire confectionner un nouveau corbillard; il est
espérer qu'elle y mettra tous ses soins afia de ne
pas être prise delà même manière que la régence
d'Ypres, et qu'elle choisira dans le sein de notre
ville, un artisan capable de satisfaire aux plus mu-
nitieuses exigences. L......
Bruges, le 12 Janvier i846.
Paris, le 19 janvier.
La chambre des députés a continué hier la
discussion du projet d'adresse. A la fin de la
séance de lundi, M. Duchâtel, ministre de l'in
térieur, a répondu aux attaques de M. Leyrand,
relativement aux listes électorales en repous
sant le reproche de les avoir fait altérer. Puis
la chambre a entendu M. Ledru-Rollin qui a
attaqué avec une extrême violence le ministère
de la gauche: M. Guizolet M. Thiers.
On lit dans le Journal de Rouen
On a annoncé que M. le ministre des tra
vaux publics avait commis un ingénieur des
pools-et-chaussées pour aller constater sur les
lieux les causes de l'événement de Barenlin.
Nous apprenons que la compagnie du che
min de fer de Rouen au Havre a déjà soumis
M. le ministre des travaux publics un projet de
reconstruction du viaduc écroulé. La maçonne
rie aurait cette fois une part bien moins grande
dans les travaux qui sont refaire, on lui sub
stituerait, pour rendre la construction plus lé
gère uu système de charpente de bois et de
fonte qui permettrait, d'ailleurs, ce qu'assure
l'ingénieur de la compagnie, de réparer plus
promplement le désastre qui va relarder de plu
sieurs mois l'ouverture Au cYiemiu du Havre.
Un jeune homme, ancien employé de la
compagnie du chemin de fer de Paris Lyon
vient d être arrêté sous la prévention d'avoir
fabriqué une promesse d'action de ce chemin.
Il a déclaré que celle promesse d'action fausse
était la seule action qu il eût négociée. C'estl'in-
forlune, a-l-il dit, qui l'a poussé ce crime. Il
vivait depuis longtemps avec une jeune person
ne qu'il aimait passionnément, et pour laquelle
il avait été contraint de faire de nombreux sa
crifices, il a cédé la fatale pensée de fabriquer
une fausse action pour se procurer les ressour
ces qui lui manquaient.
La ville de Rouen vientde faire une perle
irréparable. M. Flaubert, chirurgien en chef de
l'Hôtel-Dieu de Rouen, est mort hier matin,
onze heures. M. Flaubert était regardé juste
titre comme l'un des chirurgiens les plus illus
tres de la France, son nom suffit sou éloge.
Monsieur le rédacteur,
J'ai l'honneur de vous adresser la présente avec
prière de vouloir l'insérer au prochain numéro de
votre estimable journalpour rectifier un fait
avancé dans le N" de samedi dernier de l'Impartial
de cette ville.
Il n'est nullement vrai que les objets ayant servi
la confection du corbillard commandé par la ré
gence d'Ypres M. Félix Vande Velde, sortent de
ses ateliers. J'ai la conviction que la coupe ou caisse
est faite chez M. Goethals, charron, rue Anglaise,
lequel a pris modèle sur le vieux corbillard de no
tre ville que les cariatides ont été sculptées dans
l'atelier de M. Rousseau; que le train avec toute la
ferrure l'exception des roues) est un vieux train,
acheté par M. Félix Vande Velde M. de Bruyn, de
Bruxelles, au prix de 260 francs.
11 est flatteur et encourageant pour les artisaus de
notre ville, de voir qu'on apprécie leurs ouvrages, et
qu'on les juge capables d'exécuter aussi bien ici, que
dans toute capitale, tout ce qui peut leur être com
mandé,' mais en même temps très-fâcheux, que la
première personne qu'on ait employée se soit vue
obligéé, de recourir des vieilleries dénotées ci-des
sus et tte provenant nullement de nos ateliers.
J'engage donc M. Félix Vande Velde dans son
openbaerlyk
Te Verkoopen binneii IiOO.
LOO ItEVENS DE STAD.
Ecn GEBOLW van tvree stagien, die-
nende voor I.usthuis, met Iloveniershuis
en Feerdestal daeraen houdende, ruime
Keldcrs en voorder gerieflykheden, Ho-
venierhof waerop dezelve Gebouwen
staen, en vischvyvers daermegaende, te zamen groot
in oppervlakle tôt een hectare acht aren acht en derlig
centiaren (2 gemelen 14$ roeden), voorts een Boeren-
huis met Scheur en Schacpstallen, ten noord^est-
lioeke, palende oost en noord de famille Vanlioutte,
zuid de hovingen van den notaris Floor, en west op de
Noordstraet.
Ilet Lusthof is onbe*oond, het overig is gcbruikt
door verscheide pachters, waervan den pachlprys over
bel jaer 1845 bedraegt fol 61g francs den kooper zal
daeraen mogen handsiacn, te weten acn bet Ilove-
nierbof met de betaling >au den toopschat, en aen de
Huizingen met eersten Mei 1846.
Dezen sclioonen Eigendom, '"aervan den Grond van
de besle hoedanigheid is, op vyf honderd meters
afstand van de Loo-vaerd, op den steenweg leidende
van Loo naer Veurne en Ypre, en op den steenwcg die
zal gemaelt wordcn van Loo naer Dixmudc, is door
zyne gelegendheid geschitt tôt stiebten een Brou^erie
ofSto erie.
De Verkooping der voorschreven Goederen zal
gebeuren, in eene enkele zitting, op Donderdag,
12° Maert 184 6, ten een ure namiddag, in de herberg
het Stadhuis, te Loo, en intuuchentyd konnen de
gegadigde aile inlichlingen bekomen wegendezelve
Vcrkooping, ten Kantoore van den Notaris
FLOOB;le Loo.
ELK ZEGGE HET YOORTS.
YERKOOPING
van
DONDERDAG, 5" February 1846, ten 12 uren
des middags, zal men verkoopen, ter hofstede gele-
gen in Voormezeele, by S'-Eloy, langst de kalsyde
van Ypre naer Waesten, gebruikt door Benedictu
Sohier, 48koopen Abeelen, Eikenen Iepen Boomen,
waer onder 5 IEPEN VAN 2 METERS DIK.
Onmiddelyk daerna,in de herberg Het Dambert,
bewoonl door Pieter Menu, ter geuegd S'-Eloi
Eerst, de Taillie oud 7 jaren, en i5 geteekende
Plantsoenen, op eene partie bosch groot 77 aren,
gelegen te Wytschaete by den Diepeudaele, ver—
deeld in twee koopen.
TEN TWEEDEN 11 koopen Iepen Boomen
staende in de weide, aen gezegd bosch houdende,
gebruikt door Sr Le Signe.
En ten derden, de Taillie oud 7 jaren, staende
op eene partie bosch in Voormezeele, achter Sl-
Eioy, groot 44 aren, 10 centiaren, palende aen de
Rouserez-dreve.
Maend\g, g" der zelve maend, ten 1 ure namid
dag, zal er verkocht worden op de grassingen der
hofstede gebruikt door Sr Charte* Cailliez, te Brie-
len, digt by de plaets, 36 koopen Iepen Boomen.
Elk zegge het voort.