I BLÀ^J Ji_ M. vl^l. vil. INTÉRIEUR. M. Malou, sénateur2of{ nousen donnerons un exemple, en citant l'incurie T AXXÉE. - N" 636. JElDÎ i0 JU|X 18i7 On »'»bonne Tpres, Marché M A Tout ce qui eo.Mnl, I. rU.- H mm ahl^ HV |||I m 0 1 il «d.*, rra(,„, «•[tUurj du royaume. H jMI H gg g» H H Kg «k1 l'éditeur d„ jonm.l, Yprr». PRIX DE l'aBONNEMEHT, WgÊ 1H I HH H H |ff 9 H t ^9 Le Pxogxés p.r.U le Dim«. Tour les antre» localité, 6-00 PRIX DES INSERTIONS. Pris d'un numéro0-25 Quin" centimes par ligue. JOURNAL D'APRES ET DE L'ARRONDISSEMENT. 1PRE8, le 9 Juin. ,e s ancs4 qUj es|- une des principales causes de la Élections de L'arrondissement D'Tpres. °'X per ues12 famine dont nous avons été menacés. L'on Pour la première fois depuis six ans, nous luttons M.Yanden Peereboom186 des ^réaéps^tra îicèr^ pCjl'r L.>en'r et nous avons failli l'emporter!... M Van Renvnplie al de.s?ereflesetranSeries1.af\ndesoula{ïerl affreuse Avant-hier soir, nos adversaires étaient découra- Voix perdues 7 misere de nos populations affamées, et tous les gés, abattus et craignaient un échec. C'est alors que Billets blancs7 jours on jette des millions pour satisfaire ou les grands moyens ont été mis en œuvre; un cer- ménager des influences électorales. Une avance tain nombre d'électeurs qui appai tenaient au parti ae n de quelques millions en achats de céréales, faits clérical, mais qui avaient hautement promis leur Électeur* in 't urcau' en temps utile, eut pu maintenir pendant toute voix notre candidat, ont été forcés de lui être JT" m8cms379 l'année |e prix du froment en-dessous 28 francs hostile. A Popermghe, les meneurs du clergé ex- par hectolilre et prévenir cet accroissement Je ardéUo^s'de^^mêmTcouleu'r,3mettaient au-desg'us M sénateur321 ^'ît' "»lre beau pays une de tout la question d. parti. C'est ainsi que dalis la Voix perdues10 *eC°°,le Irlande!... Est-ce uu serv.ce que le vitle même, nous avons perdu une quarantaine de ^'""neurent non, a rendu. enreUranl notre voix, perte qui a décidé l'élection du candidat des M- Vanden Peereboom94 garnison de cavalerie Si le ministre Malou ou prêtres et du ministère. C'est une honte pour la M. Van Renynghe237 "J" eP.ulë '»»ueQt s'était interposé en faveur ville d'Ypres que d'avoir éprouvé une défaite qui, V1"e d Ypres, peut-on supposer que le sans le refus de concours de quelques-uns de nos 3e Bureau. ministre de la guerre eut maintenu une aussi concitoyens, préférant un candidat d'une autre lo- Électeurs inscrits374 fâcheuse mesure? Est-ce un service que les calilé, insuffisant, d'une nullité notoire, a un hom- Votants s»o" hommes du pouvoir ont voulu rendre aux me qui a donné des preuves de sa capacité, villes d'Ypres, WervicqCommines et Pope- mais qui a es convictions libérales eut été un M. Malou, sénateur. 97Q ringhe en comprenant le railwav projeté dans phrases stéréotypées dans les colonnes des îournaux dii ui catholiques, que les questions de parti son/oiseuses, Bl"el bla0Cd'sJoa^'0« proposée so.t par M. Malou, soit en- qu'il faut choisir le plus indépendant et le plus v - p3r lOUt aU,re dePule> Sl nous en avions capable, et ici on vote pour M. Van Renynghe qui Vanden Peereboom. .123 eu un, nous eussions été détachés de ce grand sera tellement dépendant, qu'il a avoué ne vouloir M* Van Renynghe 160 Prpjet* certes qu'aujourd'hui nous serions aller la chambre que puiTr devenil pius sûrement déjà reliés au réseau de l'état, ce qui eut été jtige-de-paix. Total. de la plus haute importance, pour la conserva- Mais laissons-là ces électeurs delà ville qui ont Jy- Malou, dans les trois bureaux a obtenu ,Ion de notre industrie et la prospérité de notre abjuré toute idée de civisme, pour voter aveugle- 833 suffrages sur 890 volants. commerce. ment, d'après les inspirations du plus sauvage fana- Pour la Chambre des représentants. Voilà quelques exemples des faveurs que nous lisme, et d.sons que notre défaite d aujourd'hui Electeurs inscrits1060 devons M. J. Malou et son parti si nous n'est qu une part.e ajournée. D ailleurs c'eut été Votants890 devions les énumérer, toutes les colonnes d'un trop beau de réussir des la première lutte, quoique coionne» a un l'arrondissement soit loin d'être aussi arriéré qu'on M. Alphonse Vanden Peereboom f„ r S" ".'a'eUt paS" le croyait, il y a quelque temps. Nous reviendrons candidat libéral a obten f(.„ est P«ur faire cesser ces criantes injustices au combat armés de l'expérience que nous avons ai y R U,.'. 400 V01X- flue n°us avons soutenu la candidature de M. acquise dans l'escarmouche que nous avons livrée, et dn nenynG"ei candldal cle- Alphonse Vanden Peereboom jeune actif nous verrons si le clergé ne se repentira pas des r479 idem. indépendant de fortune et de caractère. Nous saturnales politiques qu'il organise et dont j.isqu'ici sommes certains que jamais ses propres intérêts il a ele un des puncipaux acteurs. Dans 1 élection IVous avons vu sans étonnement, par la ne l'emporteront sur l'intérêt de ses coramet- qu, v.ent d'avo.r eu heu ,1 a commencé par s'effa- lettre de M. Malou-Vanden Peerebom, insérée tants. M Vanden Peereboom est instruRTar e cer, laissant faire les agents du gouvernement ma s Han* lo iLml»,. ,1 n ec c LUUUIU C!"- "isiruu, parie quand il a vu que la partie n'était plus égale et que nArp ,u, IZTîï P>^pa<jaleur, que le facilement, n attend el ne veut rien du pouvoir l'opinion libérale resterait maîtredu tei rain alors 'i i r"'n,slre des finances, répudié la can- et nous avons la conviction que quaod même tous les moyens imaginables ont été employés, les p" 3 7 6 S°n neveu' Alphonse Vanden M. Van Reninghe en aurait la bonne volonté, il curés ont été de porte en porte, menacer, supplier, eereboom. ne saurait aussi efficacement défendre nos inté- la religion est intervenue et a été souillée au con- M. Malou et les siens ont trop d'intérêt au r^ls et rendre 'es mêmes services notre tact de misérables intrigues politiques. De la part maintien du statu quo pour ne pas être con- arrondissement. du gouvernement, 1 espionnage a été organisé, les traires toute nomination, qui amènerait un Que le père du ministre, la main sur la con- dénonciations pleuvaient, le digne Satrape de la changement quelconque H est si apréible science's 11 a Pesé les qualités du candidat qu'il Flandre occ.dentale sommait de comparer devant pou^ mi^slre Je pouvoir dormir w lés 80ulienl' et ceux d* «"eu qu'il répudié luides fonctionnaires,dont le tort consistait cro re t n i m. uuimir sur tes M «cputuic, que le candidat libéral valait mille fois mieux que de,!x orei',es Nayant aucune opposition P0"1™-1"'1. disconvenir que gu.de par le fana- celui du gouvernement el d'avoir osé l'avouer. On cra,nd,;e de ,a Part des clépulés flamands, il t'snae politique, il n ait dans celte élection joué les traitait en ennemis du gouvernement, comme si Peilt disposer de I ai^gent de ces provinces, pour un ro'c* dleux? méprisable et qui n'augmentera l'existence du pays était attachée au maintien du sal'sfaire aux exigences de celles qui ont eu pas ses litres la considération el la bienveil- cabinet De Theux. Enfin, des proclamations hon- assez de tact politique pour envoyer aux 'ance de ses concitoyens tcuses, infâmes, des pièces officielles injurieuses aux Chambres des représentants instruits et indé- '-JLL-L" libéraux, les dépeignant comme des monstres, qui pendants.. La lettre adressée au Propagateur, par M. "anéantissement de été éntoyé^ -L C°nÇ0'1 et Pour, cause? q«e M. Malou Malou' père du minislre des finance^ «t «ne aux bourgmestres des campagnes, pour tâcîieVde accePte P™ reproches qu'on adresse un P 6 ,Ce ,Pa^ l.roP remarquable, trop amusante, frapper les esprits et remporter la victoire. gouvernement, dont sou fils fait parti»; mai» e esl,nee a épanouir la rate de nos lecteurs, Depuis bien longtemps on ne se souvient pas .ne r®sld'e Pas de 'a que ces reproches ne Pour que °ous ne 1 insérions pas textuellement d'avoir vu les hauts lonclionnaires se permettre des *°'ent pas fondés. daus notre journal; voici son contenu: actes aussi détestables, disons le mot, aussi infâmes. Quant l'assertion que ce gouvernement a Ypres,le ,wi"in it47' Jamais un concours pareil d'electeurs n'a eu lieu tant fait pour les Flandres, il serait très-difficile A Monsieur l« rédacteur du Propagateur, l'a ,'T ,DSCr"8 9° 80 SOnt PléSenléS cl'°yon.s-nous, M. Malou, dénumérer quels H ^"s unecirculaireélectoraleémanée de l'Union T. sont ces bienfaits: et malpré tout l'amnit. «I dite libérale, on assigne au candidat qu'elle proposa C°mment '"T S° Pa 8 l'attachement que M. Ma loï porte ToncVel \f F'™ de ,e el de'e ptéserver de 1 Bureau. fi|Si noiJS ,.en défions; tafldisque pour w ,ab"Qe infa.U.blemeat le plonger l'incurie, Electeurs inscrits307 est très-facile d'articuler nos griefs surtout ,',cJaPac,le el/ '"«oucianca du Couvernement. Votants274 r.n.„. I Ul ne partage pas ces craintes et ne puis acceD- poui ce qui regarde iiotre arrondissement; ter les épilhète» blessantes que l'on prodigue si triomphe. Que signifient des tore toutes ces bettes Voix perdues 2 celui des Flandres? Un mot eu faveur de la

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Le Progrès (1841-1914) | 1847 | | pagina 1