OVEltSLAG
ÏNSTEL
ANNONCES.
MALADIES DES YEUX.
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COMMUNE DE WYTSCHAETE,
BAS-WARNÊTON,
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ment d'exécution. L'autorité en a certainement
eu connaissance, et doit avoir pris ses mesures
en conséquence, cependant nous Voyons que
plusieurs journaux et entre autres le National,
parlent aujourd'hui des craintes du public pour
le 29 juillet. L'autorité de son côté, a déjà pris
quelques mesures de précaution. Ainsi, nous
apprenons ce matin que toutes les troupes sont
consignées dans leurs caserneset que toutes
les mesures sont prises pour envoyer des troupes
dans les endroits où la tranquillité pourrait être
compromise.
Des bruits inquiétants sont répandus de
puis quelques jours sur l'étal de santé de M.
Berryer.
Rien décidément ne peut forcer le minis
tère ordonner une enquête sur les nombreuses
accusations dont il est l'objet. Il s'est entouré
de sa majorité parlementaire pour répondre aux
attaques précises du journal la Presse, el il a
laissé subsister toutes les impressions défavo
rables qui existaient contre lui, sans cependant
chercher que les imputations de M. Emile de
Girardin étaient des calomnies. Les faits révélés
d'abord par la Semaine, ensuite par le Courrier
Français au sujet des concessions en Algérie
ont compromis de nouveau le président du con
seil et il semblait naturel que le ministère
cherchât faire luire la vérité dans celle affaire,
on a vu cependant hier par la réponse de M.
Hébert M. de Boissyque le cabiHet ne se
souciait pas plus de s'éclairer sur les concessions
Talabot que sur les promesses de pairieet la
prétendue vente d'un projet de Ipi aux maîtres
de poste. Ce n'est pas ainsi pourtant qu'un
cabinet se tient l'abri de tout soupçon, et sa
conduite en face des accusations de la Presse
l'a tellement affaibli que tous ses efforts pour
se reconstituern'aboutiront jamais qu'à une
combinaison éphémère et sans viabilité.
La situation de M. Teste, dans la prison
de la Conciergerie, est loin de s'améliorer. Une
hypertrophie au cœur eut venue aggraver ses
infirmités habituelles; et les moyens employés
pour rétablir l'équilibre drtns la circulation du
sang, n'ont eu jusqu'à ce moment aucun succès.
M. Peilapra a quitté aujourd'hui Paris
dans un état de santé qui donne de graves in
quiétudes sa famille. Il se dirige, dit-on du
côté de l'Allemagne.
LF. FRÈRE PHILIPPE F.T SES OIES. Le Slipé-
rieur-général de la congrégation des frères igno
ra nlins est le frère Philippe. 11 est l'auteur d'une
histoire l'usage des écoles de frères de la doctrine
chrétienne qui, suppr imée dès 1837, attend encore
aujourd'hui les modifications nécessaires. On a at
taqué celle de feu Loriquet. Celle du frère Philippe
11e lui est pas inférieure. Cilons-en de courts ex
traits: D'«ù viennent les malheurs, de la Révolu
tion? De la faiblesse de Louis XVI pour le peuple:
la condescendance de Louis XVI pour l'opinion
publique fut la cause de tous les malheurs de la
révolution.
Voici comment s'es't formée la garde nationale
Au milieu de tous ces mouvements convulsifs, on
s'arme de toutes paris, et une foule de dupes se
vouant la volonté des factieux, qui se jouent de
leur crédulité, pour les conduire au malheur.
La nuit sublime du 4 août, où les députés de la
noblesse renoncèrent leurs litres et privilèges,
voici comment on la présente:- Les membres les
plus ardents de l'assemblée, après un repas spleYt-
dide, tiennent la séance nocturne, si connue sous le
nom de la séance du 4 août, là, uniquement poussés
par la vapeur du vin, ils portent des crédits contre
les nobles et leurs propriétés, contre le clergé et ses
revenus
Le frère Philippe imprima bravement ces niaises
calomnies
On se proposait de construire une guillotine
qui eût abattu trente têtes la fois, et déjà l'on avait
creusé, près de la porte Saint-Antoine, un canal
pour recevoir le sang des viclimes et le conduire
la Seine.
On a vu des hommes s'abreuver du sang de
leurs victimes, faire rôtir leurs chairs et s'enrassa-
sier sur les places publiques.
Sous la terreur, les incarcérations furent si
nombreuses, qu'en 1793 le gouvernement fut obligé
d'ouvrir les prisons pour laisser faire la moisson.
Enfin, voici commehl le frère Philippe traite nos
soldats et leurs chefs ce qu'il invente contre eux
<1 Masséna fut repoussé du Portugal par le duc
de Wellington, général anglais, Suchet s'en vengea
sur Taragone dont la plupjrt des habit,mlS*furenti
massacrés ou jetés tous vivants les uns sur les autres
dans des puits qui furent comblés jusqu'au bout.
A Leipzig Napoléon poursuivi par l'ennemi
fut obligé défaire sauter le pont de la Saala et de
sacrifier une partie de sou armée qui n'avaiL pas
encore pu passer.
Les Français échappés au carnage de Waterloo
rentrent en France dans le plus grand désordre et
ceux qui avaient été amenés par force au Combat se
hâtèrenl de gagner leurs foyers.
Voilà un échantillon de la manière dont on veut
enseigner l'histoire la jeunesse française Et qu'on
dise que les conseils municipaux qui votant des
fonds de pareils prolesseurs sont excusables
Par le ministère du Notaire IBENiXIT,
Ypres, il sera procédé le Jeudi, 12 Août 1847, 3
heures de relevée, Wytschaete, au cabaret le grand
Bloc, au long du chemin de Messines Commines,
occupé par le sieur Louis Recquaert, l'ADJUDI-
CATION DÉFINITIVE des Biens suivants
OOSTHOEK.
i° Une pièce de Terres labourables, d'après
le cadastre de 86 ares 90 centiares, y connue, section
C,n" 272,occupée avec4a ares 92 centiares de terres,
sous le n" 4 ci-après, par Pierre-Jean Loge, jusqu'au
1" Octobre 1848, ensemble au fermage annuel de
90 francs, outre les contributions.
Mise prix 1,800 francs.
2° Une parcelle dePRÉ, de 27ares 5o centiares,
connue au cadastre, section C, n" 273, occupée avec
les terres sous le n° 5 ci-après, par André-Louis
Recquaert, jusqu'au 1" Oclojire i85o, ensemble au
fer mage annuel de i35 francs, outre les contributions.
Mise prix 1,000 francs.
Ces deux numéros sont par accumulation
mis prix ci 2.800 francs.
3° Une Pâture, reprise au cadastre, section D,
n° 4°8, de 48 ares, occupée par Fidèle Leterme, sans
droit de bail, raison de 65 francs l'an.
Mise prix 1,700 francs.
4° Une parcelle de Terres labourables, figu
rant au cadastre section D, n" 60S, de 61 ares, occu
pée jusqu'à concurrence de 42 ares 92 centiares avec
les terres sous le n° 1, par ledit Joye et le restant par
le sieur François De Cuninck,k 18 francs par an, sans
droit de bail.
Mise prix 2,315 francs.
5° Deux parcelles de Terres labourables,
d'après le cadastre de 1 hectare 5o ares 40 centiares,
occupéosavec le pré sous le n" 2, par le sieur
Louis Becquaert.
Mises prix 6,260 francs.
BAS-WARNÊTON,
TRÈS DU CHEMIN DÎT WATERSTRAET.
6" Une Pâture, reprise an cadastre section A,
n"* 412 et 413 bis, de 96 ares 20 centiares, occupée
par les sieurs André-Louis et Louis Recquaert.
Mise prix 5,020 francs.
7° Une M Aison et son fonds,connus au cadastre
section A, nos 4 '4 et 4 >5.
Mise prix 200 francs.
La masse des deux derniers lots est mise
prix 5,500 francs.
PRÈS DU CHEMIN DE COMMINES A WARNÊTON.
8°Une Maison àquatre demeures et 3i ares 36
centiares, fonds bâti et jardin, sous la section R, n°*
33o, 331332, 333, 334» 335, 336 en 337.
Mise prix 850 francs.
Pour plus amples renseignements s'adresser
audit Notaire RENTY.
HEM VAW LCRBElIffiHt
CHIRURGIEN—OCULISTE.
On peut le consulter tous les samedis Ypres Hôtel de la Tête
d'or, rue de Lille; les autres jours, Courtrai, Plâoc de la station du
chemin de fer n° 2. - Les pauvres Sur la simple exhibition d'un
crlifieat signé par un des membres du bureau de bienfaisance de la
commune qu'ils habitent, soht traités gratis.
STUDIE VAN DE N NOTA RI S VAN EECKE
TE YI'HE.
Op 7° Augustus i847, ten i tiren namiddag, in de
afspanning de longue Allée, teYpre, van onroerende
Goederen, te weten
GEMEENTE ZILLEBEKE.
Vier liectaren 99 aren 10 centiarcn Zaeilavii
en Meersciï gebruikl door de kinderen van sieur
Antoine Du Quesnoy verdeelt in 4 koopen.
Ingesteld 11,600 francs.
GEMEENTE HOLLEBEKE.
Vyf hectaren 10 aren 10 centiaren Bosch in
3 parlien met boomen en faillie daerop staendc
houdende aen de eigendommen van de hospicen
te A pre, AI. Evrard en andere, en de kleine stroet
van den Verbranden molen naer Hollebeke.
Ingesteld 4,800 francs boven den hoomprijs.
Een IIofstedhken by het kasleel grool 2 hec
taren 5i aren 22 centiaren gebruikt door sieurs
Charles-Louis Dehem en Jean-Baptiste De Vri end t.
Ingesteld 6,550 francs.
GEMEENTE WYTSCHAETE.
Twee partien Zaeiland by fiet Blokje, groot
83 aren fio centiaren, gebruikt door Joannes-Bap
tiste Corneille.
Ingesteld 2,560 francs.
Twee parlien Zaeiland, by de hofslede sieur
Pieter Coppin,te Aleessen, groot 2 hectaren 1 are
10 centiaren gebruikt door den zelven Coppin.
Ingesteld 5,800 francs.
GEMEENTE WEST-NIEUWKERKE.
Twee partien Zaeiland, by het Zwynebakjc
groot 1 hectare 72 aren 28 centiarengebruikt
door Pieier-Franciscus Finaut.
Ingesteld 5,450 francs.
De voorwaerden dezer Verkooping eigendoms-
tylelen en plans, berusten telks nazienlen kantooren
van de Notarisseii VA.NÎ J5ECK.E le Ypre
en tOAIl N te Langemarck.
Op 101 Ougst]i847, en OVERSLAG 24" Ougst,
1847 t'elkens om 4 uren na noen ter Iterberg
S1 Arnoldus te Dickebusclt plaetse, van eene wel
gekalarite IIerbero met groote gebouwen voor
dezen brouweryeen nieuw in steen gebouwen
woonhuis met groote erven aile t'eenen blokke
in het dorp te Dickebusch gelegen gebruikt door
Josephus Bentin, tôt in October i848, en Pieter
Minne, tôt i" Mei i848.
De voorwaerden en plakbrieven dezer verkooping
te zien ten kantore van Al1" VJLNT KECH.E f
Notaius, te Ypre.
Elk zegge het voort.
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