a a i 3 s* ADJUDICATION D'ADD-EL-RADER, OVERSLAG. LA V e DlIIHOAf, UN BON TILBURY DE VOYAGE VOYAGE EN CHINE, Alphonse Monnier. ANNONCES. EN ZEEFS BIOGRAPHIE Publiée d'après des renseignements recueillis sur le théâtre de la guerre; .PART-VIENNENotaris n Zonnebeke, is er geld in lee- nits goed bkzkt. Zaterdag, 28™ Augustus 1847, ten twee uren namiddag, in de estaminet S'-Andries, opde Boter- niarkt, binnen de stad Ypre, zal er geprocedeerd worden toi den OVERSLAG van i° Een schoon en allerbest Hofstf.deken groot 3 heclaren 18 aren 65 centiaren, gelegen ter gemeente Oeren, arrondissement Veurne langst den vaert van Veurne naer Loo, iegens de Oeren- brug, houdende aen den bnrg-weg, peu de Oeren- brug-straet en aen de landen van de hofstede van d'beer De Renty, te Ryssel. MALADIES DES YEUX. D'après les dernières Expéditions françaises et anglaises PRIX: 3 FR. CHEZ TOUS LES LIBRAIRES. F.t ne voyez-vous pas cette caste lubrique Aborder hardiment la question politique Guîdaut tous les ressorts delà corruption Elle obtient le secret par la confession Et pour mieux triompher ces très-révérends pères PromèNent sur la terre indulgences plénières Si votre probité se refuse leurs rceux Vous êtes sans pitié réprouvé par leurs Dieux Leur rancune sur vous vomira l anatherae Si vous n'adoptez pas leur dangereux système. De même qu'on enmaillotle les mem bres de 1 enfant dès le berceau pour leur donner une juste proportion, il faut dès sa première jeunesse emmaillotter pour ainsi dire sa vo lonté pour qu'elle conserve dans tout le reste de sa vie une heu reuse et salutaire souplesse. Le jésuite Cerdtti. Perindè ac si cadaver esseub.... Comme si on était un cadavre, (Constitutions des Jésuites; 6 n« 'partie, chap. 1. Paulin, édi teur, 1844.) IV. - Paisibles vrais croyants I immortalité Qui cherchez pour votre âme un point de vérité, Et qui les yeux bandés criez l'hérésie Contre celui qui veut que l'homme se défie Des dogmes vicieux qui lui rongent le cœur Et le rendent momie en le souillant d'erreur. Consultez avant eux ce qui leur sert de guide; Vous verrez transpirer comme un poison perfide La domination l'anéantissement Du peuple de Jésus et du gouvernement Siiunnides hardis, ils vont avec adresse, An lit du moribond prodiguer leuroarresse Afin de soutirer son or et ses secrets Ils lui montrent le Christ et ses divins décrets Qu'ils ont dénaturés 11! b «i Oh Dieu de la lumière, Viens doue tes enfans dessiller la paupière, Toi qui peux d'un regard écraser l'univers Viens au moins renverser tousices hommes pervers o Qui se disent unis la noble pensée Qui*' échappe du ciel ainsi qu'une rosée n Faite pour féconder et non pas pour flétrir n Le corps que tu fais naître et que tu fais mourir Et l'àuie qui vers toi péniblement gravite m Se trouve éteinte aussi de leur bras parasite. Tout est esclave, les âmes et les corps et cadavf.r! Tel quun cadavre hélas! et dès notre berceau Il faudrait d'après eux creuser notre tombeau Perdre sa dignité soulfrir toute sa vie Pour trouver ici bas une sainte agonie, Pour avoir une place côté de leurs Dieux Dieux qu'ils ont fait tyrans (5 despotiques haineux Oh oui le jour approche où franchissant l'espace La vérité céleste étoufiéra la race Qui voulut étoufTer la voix de l'écrivain Qui grave de sou sang au grand livre divin La loi de l'Éternel dans sa toute-puissance La loi de l'univers dans sa magnificence V. Je ne dirai pas comme l'auteur de la Nouvelle École des Maris: que le principal mérite de cette pièce consiste dans une idée aussi jolie que neuve. Non, je n'ai pas eu eu vue de faire une jolie pièce moins encore de donner une idée neuve j'ai voulu glaner, populai rement glaner, dans les champs où quelques éorivaius émineuts ont moissonné, et je crois n'avoir peine réussi qu'à me faire l'écho bien pâle de Michelet, Ouinet, E. Sue, etc. Mou but exclusif a élé de preseuter, mon tour, et dans un petit cadre, un aperçu des vices des Jésuites etde leurs constitutions, j'ai voulu en peu de lignes dire au peuple méfie-toi de la vipère cachée sous les fleurs méfie toi des robes noiresai je réussi c'est ce qui m'inquiète le moins. Mes lecteurs (dans l'hypothèse qu'il s'en trouvera d'assez bien consti tués parmi mes compatriotes, pour digérer une tartine aussi peu appétissante me le diront. La publication du Juif-errant (que je viens de relire avec une attention sérieuse et soutenue, m'a inspiré cette Muette a excité comme bien des œuvres l'admiration ou la critique ceux là avec conscience, avec passion ou enthousiasme et ceux-ci avec une haine [5] Dans un ouvrage intitulé de Regele jésuite Mariana a établi et professé la dootriue de ligitimité du tyranuicide eu certaines circonstances c'est-à-dire qu'il soit permis sous prétexte de ty rannie de tuer les rois. aveugle et ignorante esprit de parti ou mépris de tout ce qui n'est pas eux; en tête desquels marche la noblesse fanée, et le clergé mis en scène dans toute sa honteuse nudité. Ils ont crié l'hérésie la diffamation l'utopie probablement parce qu'ils ont vu développées avec le plan du possible du réalisable du vrai des idées démocratiques humanito-socia- listesils ont vu l'ouvrier moralisé par le bonheur, ennobli par la liberté de pensée et grandi par l'émulation Quelques industriels ont déjà mis en pratique quelques-unes de ces théories. E. Sue demande mieux que la machine purement matérielle et aveugle. 11 veut que cette même machine vive se meuve d'elle- même et de sa propre intelligence; il veut l'esprit et le corps qui comprend et agit!Il nous a dit tenez-vous en garde contre les roueries des jésuites et des mauvais prêtres Voflà je crois tout ce qu'on lui a reproché. Quelques esprits forts l.'acousent d'avoir employé un style popu laire ou trop la portée de toutes les intelligences ou en dépit de la grammaire frauçaise. Ils se sont bien gardé d'essayer le prouver. Une fois encore pardon mais cette fois c'est pour avoir abusé outre mesure des colounes du journal. C'est chez moi une maladie passée l'état chronique, que lorsque j'ai commencé je ne pKiis plus finir. Il me faudrait un cadre, ou plutôt une toile com «ne au peintre, et de laquelle mon pinceau ne pût sortir, sous peine de se yoir condamné de tracer des lignes dans l'espace ou daus le vide. VI. Je ne suis point partisan du scepticisme. Je n'admets point non plus que parmi nos trente ou quarante mille prêtres, il ne s'en trouve point de bons et agissant consciencieusement. J'ai eu moi-même et nous avons tous les jours mille preuves du contraire. Ce que je demande, ce que notre siècle demande, ce que des savants profonds ont sigualé, c'est que la société soit purgée de ces hommes dan gereux et insinuantsqui sous le manteau de la religion et ad rnajorem Dei gloriam (pour la plus grande gloire de Dieu) se glissent dans toutes les classes de la soeiélé .se mêlent toutes les intrigues politiques amoureuses 4 et autres ce que dis je les savants ont signale ce sont leurs livres qui sous prétexte de mé decine ou^de morale, pervertissent et vicient le cœur au lieu de le g uérir. |4| Nous aurons occasion, dans notre prochain article, de revenir sur ce sujet sous le titre Mystères du Clergé. Nous prouverons pièces en main qu'un grand nombre de membres du clergé font une concurrence acharnée aux entremet leurs de mariages! ou comme agents intrépides d ins les élections et ad majorent Dei gloriam Bailleul1er Juillet 1847. VEKKOOPISG BY RECHTSMAGT y an TE Y PRE. Op Zaterdag, 28n Auguslus 1847, «en elf uren 's morgemsop de Groote Markt te A pre zal er Verkooping gehouden worden van Meubelen be- staende in Tafels Stoelen enz., en van allerhande soorlen van Zeefs, zoo als groote Koorn- en Boon- Zeefs, zyde vellen en hairen Zeefs van verscheide grootten, en meer andere voorwerpen te lang om te melden. Deze Verkooping geschied metgereed geld zonder verhoog. Elk zegge het coort. Vendredi, 3 Septembre 1847, 5 heures du soir Y Hôtel de* MessageriesWarnêton d'une FERME de 5 hectares 48 ares 90 centiares, située Warnêton peu de distai/ce du pavé vers Lille, occupée par Louis Grignon avec droit de bail jus qu'au i* Octobre i851 5oo francs par an cl les contributions, divisée en 6 lots. Mise prix en masse fr. 16,420. Les litres de propriété et conditions de celle Vente reposent chez le Notaire ROIfMMEI%S, Warnêton. Qu'on se le dise, en vente au BUREAU de cette feuille par le général prussien C. DE DECKER; traduite de l'a ulemas d par THONISSEN; sous-lieut1 au I0« régiment 1>e ligne. Biochure de 170 pages, ornée d'un portrait d'Ahd-cl Kader, d'après Horace Vernet, et renfermant tous les principaux événe- i daus la guerre algérienne. PRIX FR. 1-75. meuts a "WTWAY L'Association pour l'encourage- 1 W I ment du service militaire, sous la protection du Roi, dont les seuls agents dans la Flandre occidentale sont: MM. Joos- Ferschaeve, secrétaire communal, Ypres; Inghels de Thilly, Bruges Mesldagh, secrétaire commu nal, Isegbem; Paret, agent d'affaires, Dixmude; Morael avoué, Furnes; Harnmanreceveur communal, Ostende; Vandenberg, secrétaire communal, Thielt; continue recevoir des par ticipants ia caisse de Prévoyance qu'elle a ouverte pour faciliter aux jeunes gens atteints par le sort, leur remplacement dans la milice elle opère aussi le remplacement de tout milicien, aux conditions que les susdits agents feront connaître aux inté ressés. Gebrnikt door Joannes Feys, ten pryze van 35o francs 's jaers. Ingcsteld 9,600 francs. 2® Eene Vette Weide, groot 1 hectare 45 aren 92 centiaren, gelegen te Pollinckhove, by de Fynteele, palende aen den Loo-vaert, aen de vetle- weide vanS* Goddei is, te Pollinckbove, en aen degene van de heeren De Man, Herwyn en De Stuers. Gebruikt door Alexandre Dedullen, ten pryze van i5o francs s'jaers. Ingesleld 5,000 francs. 3° Een Huis gelegen binnen de stad Ypre, aen de oostzyde van de Mondslraet, geteekend n° 29, thans onbewoond, palende van zuiden aen het buis van sieur Cardinael-Castryck, en van noorden aen het volgende. Ingesleld 5,000 francs. 4" Een Huis nevens het voorgaende, geteekend n® 27, thans onbewoond. Ingesleld 2,000 francs. 5°— Een Huis geteekend n° 37, in de RecoIIelle- straet, binnen Ypre, gebruikt door Charles Bolle, ten pryze van 180 francs 's jaers. Ingesleld 1,700 francs. En 6® Een Huts in twee woonsten, op ceins- grond, te Boesinghe, gebruikt door Karel ferhaeghe, en de wed" Bollitigier. Niet ingesleld. Titels en condilien ten kantoore van den Notaris BOEOT, in de Lombaerd-straet, te Ypre. El. HISOIRi) VAN LSSBi chirurgien-oculiste. On peut le consulter unis les samedis Yprfs Hôtel de la Têls d'or, rue «le Lille; les autres jours, Courtrai, Place de la station du chemin de fer n° 2. Les pauvres sur la simple exhibition d'un certificat signé par un des membres du bureau de bienfaisance de la commune qu'ils habitent, sont traités gratis. MARCHANDE DE POISSON, RUE DES PAUVRES FILEES, A YPRES, A l'honneur d'annoncer au public qu'elle vient de recevoir un DÉPÔT D'HUITRES ANGLAISES, prendre fraîches de jour autre, au prix de fr. <f-5© le ceiit. A VENDRE àlISSI BON OUE NEUF. S'adresser rue de Menin, n° 28, Ypres. UN BEAU VOLUME PETIT IN-8® JÉSUS, AVEC GRAVURES, CARTES, ETC. NB. Cel ouvrage forme le 5® volume de la BIBLIOTHÈQUE ILLUSTBÉE, laquelle on s'abonne, chez Lambin, fils, Marché au Beurre, Ypres. Vpres,i mpr. de LAMBIN, Fils, Marchéou Beurre,!.

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Le Progrès (1841-1914) | 1847 | | pagina 4