BOOMEN, BIRG va* BERMIIERTIGUEI» AFMIFSTimXG. MAGASIN DE MERCERIE EXTÉRIEUR. France. ANNONCES. EIKEN EN EENIGE ANDERE Goud, Zilver, Monters Stoîfie-goede- ren, KleederenLakens, Sargien; Koper, Tin en veel andere voorwerpen. POUR CAUSE DE DÉCÈS. A REPRENDRE ET DE QUINCAILLERIE, slant, ces hommes onl fait une décharge qui a tué deux chevaux. Les deux gendarmes d'escorle qui précédaient la diligence sont revenus au galop mais une seconde décharge, un des gendarmes est tombé mort, et l'autre a dû se porter toute bride vers Auray, pour chercher du secours. Les •40,000 fr. ont été enlevés. Un conflit fort grave, et dans lequel les journaux voyaient la suppression de la consti tution du royaume de Bohème subsistait de puis quelque temps entre les états de ce royau me et le gouvernement Autrichien la suite d un refus de subside par les états de Bohême l'em pereur-roi avait résolu de passer outre, et de faire percevoir la taxe refusée malgré la dispo sition formelle de la constitutionportant que la couronne ne pourra décréter aucun impôt sans l'assentiment formel des états. Les journaux allemands annoncent aujour d'hui, que l'empereur a enfin cédé aux récla mations des étals, et qu'il a ordonné la sup pression de l'impôt causé de ce conflit. On a reçu Paris des nouvellesdeSuisse, d'Italie et du Levant. Les forces fédérales n'avaient pas encore marché le 7. Il devait y avoir le 8 une grande revue Berne, après la quelle le signal des hostilités serait définitive ment donné. Le Sonderbundlui, n'a pas at tendu l'agression. La nouvelle de l'attaque du Tessin par les troupes du canton d Uri est con firmée aujourdhui par toutes les correspondan ces, mais on ne sait pas positivement le résultat du combat. Seulement il paraît positif que les troupes d'Uri n'ont pas été repoussées vers leurs frontières. Un autre engagement, dont les ca tholiques auraient également pris l'initiative, paraît avoir eu lieu sur les confins de Berne et de Fribourg. Le 7, plusieurs chefs influents du parti conservateur du canton de Berne ont été arrêtés dans cette ville, et mis au secret, sans qu'on ait pu savoir le motif de cette mesure. On a également arrêté un seigneur russe, qui séjournait depuis quelques semaines Berne, sous le faux nom de Klein, et qui est prévenu d'espionnage. Les commissaires nommés par les Grisons ont mission de se rendre successivement Lucerne et Berne pour tâcher de concilier les deux partis le clergé du même canton s'est adressé directement Pie IX pour lui demander le rappel des jésuites. Les nouvelles d'Italie sont très-satisfaisantes il est permis d'espérer que la question des ter ritoires de Ponlremoli et de Fivizzano a reçu, l'heure qu'il est, une solution amiable. Du moins la Gazette piémontaise annonce-l-e!Ie que Pontremoli a été cédé la Toscane moyen nant une nouvelle somme de quatre millions de francs. Dans le royaume de Sardaigne l'enthousiasme va croissant. L'eniree du roi Charles-Albert Gênes, le 4 de ce mois, a été pour lui l'occasion d'un véritable triomphe. Le soir il s'est, promené dans les ruesaccompagné de son fils et sans escorte. Les habitants l'entouraient dans le délire de la joie. Un homme s'étant avancé au-devant du roi, et l'ayant supplié d'accorder une amnistie gé nérale pour tous les condamnés politiques, le roi, vivement ému a répondu Soyez tran quilles, mes peuples, mes frères! Rassurez-vous! Espérez! vous obtiendrez tout ce que vous demandez. L'opinion générale en Sardaigne est que les dernières réformes seront incessamment suivies d'autres améliorations au moins aussi impor tantes. On va jusqu'à citer le jour où ces nou velles mesures seraient proclamées. C'est le âO novembre. Il s'agirait de la réforme postale, de la réduction de limpôt du sel, de l'institution de la garde nationale, et enfin de la promulga tion de l'union douanière, conclue entre tous les souverains Italiens, l'exception de l'empe reur d'Autriche et du roi de Naples. Encore assure-t-on que des négociations sont entamées avec ce dernier. Paris, 15 Novembre. On lit cesoirdans le Moniteur Parisien: Ce soir, cinq heures un quartau mo ment où le Boi revenait de Fontainebleau par le chemin de fer de Corbeil, et sortait du w ig- gon royal dans la gare du chemin de fer d Or léans pour monter en voiture, unedétonnation s'est fait entendre. Heure jsemenl, cette déton- nation provenait d'un simple accident. Un valet de pied, en retirant les effets des voilures de suite, avait laissé tomber le pistolet d'un des officiers d'ordonnance. Larme, en tombant, a fait feu par l'effet de la percussion. Le pistolet a été retrouvé dans son étui sur le quai de la Gare, la balle a été également retrouvée, et dans la direction opposée où se trouvait le roi. Personne du reste n'a été blesse. Ces faits ont été immédiatement constatés par le préfet de police, qui accompagnait le Roi, et par toutes les personoes présentes. Un des effets les plus remarquables des progrès de la civilisation moderne, c'est sans contredit l'éta blissement de ces communications rapides et fré quentes, qui rendent presque voisins des peuples que la nature avait séparés par de grandes distances les uns des autres. Il y a un siècle, un Turc était un objet de curiosité des plus rares; biens des gens en Belgique pouvaient vivre et mourir sans seulement en avoir vu, sans même en avoir entendu parler. Dans ce temps-là, l'histoire de la Turquie n'intéres sait qu'un petit nombre d'érudits. Il y a un demi- siècle environ, Picard, dans sa comédie des Oisifs voulant parler de la chose du monde la plus indif férente, fait dire l'un de ses personnages «Rien n'est plus sûr; le pacha a été étranglé. Personne, cette époque, ne prenait le moindre intérêt l'étranglement d'un pacha quelconque. Aujourd'hui, il y a tel pacha dont la mort compro mettrait l'équilibre européen. Reschid pacha, le pre mier ministre du sultan Abdul-Medjid, a passé Paris vingt ans de sa vie. A part son importance politique, sa mort serait sincèrement pleurée par ses intimes de la chaussée d'Antin. Enfin, les grandes familles de Turquie envoient leurs enfants faire leurs études dans nos écoles, et c'est chose com mune en Europe, que d'avoir été le camarade de classe des fils de quelque pacha. On comprendra combien une IiistoiredeTurquie, publiée dans ces circonstances, offre d'attrait au lec teur, surtout lorsqu'elle est, comme celle dont la Bibliothèque illustrée vient de publier le pre mier volume, également remarquable par le classe ment méthodique des faits l'élégante clarté du style et la limpidité du récit. Ce volume, qui doit être suivi de trois autres sur le même sujet, expose l'origine de la nation turque et la première expan sion de sa puissance maintenant son déclin. Le lecteur y trouvera l'élymologie des mots pacha vizir, cadi, passés dans les langues de l'Europe; une séried'exploilsguerriers, accomplis avec une valeur fabuleuse, transporte chaque instant le lecteur dans un monde quasi-romanesque, tant il diffère complètement du nôtre. L'exécution typographique et le luxe des gravu res rendent ce volume digne de ses devanciers. M Histoire de Turquie doit consolider et augmenter le légitime succès de la Bibliothèque illustrée. {On souscrit au bureau de ce journal.) GROOTEVERKOOPINO van OP WESTROOSEBEK.E. Donderdag, i8" Novetnber 1847, om 10 nreu 's morgens, ter hofstede gehruikt door de wednvve van Eugenius Eanden Bussche, gelegen op West- roosebeke, weinigoost van deszelfs kerk, langs deu sleenweg van daer leidende naer Hooglede, by de herberg den Wildeman, zal men openbaerlyk ver- koopen eene groote lioeveelheid van schoone EIKEN eneenige andere BOOMEN, verdeeld in 116 koopen. Deze Verkoopiug zal gebeuren met langea tyd vau hetaling, mits stellende goede en welbekende medekoopers, en den lienden penniuk met de be- spreken comptant te yoldoen. Den Notaris VAATÏFWJIREWSCII, te Ypre, is met deze Vcrkoopingen met den out- vangst belnst. TTÊ YlPfôg. Donderdag 18° November i8+7j en volgenden dag, telkens len twee uren namiddag, zal'er gehou- den worden, in den Lombaerd, te Ypre, Venditie van het volgende Deze Venditie zal gebeuren met comptant geld en augmenlalie van den vierden penning. De Administralie der Burgerlyke Godshuizen, binrieu Ypre, maekt bekend aen het publiek, dal zy den 5°° December tSiq, ten twee uren namiddag, in Iiare gewoone Zitting-zael, Belle-Godshuis, in do Rysselstraet, zal overgaen lot de Openbaere Aen- besteding van het Bier, Vleesch, Keersen en Zout, voor de slyting van de scholen van de Arme Knech- ten en Meiskens, Burgerlyk Hospitael en Nazareth, als 00k van de benoodigde doodkisten lot begraveii de overledene belioeftigen, ten laste van gemelde adminislratie, voor het dienstjaer 18+8. bestaende ix ontrent i* 2SO liectoSitcrs Bier a" 6000 kilo^rammen VIeeseIt, 5° 300 kilogramme!! lieersen, 4° S Iteefolifers Zout, fi* IOO Baadkisten. De voorwaerden dezer Aeubesteding liggen in het secretariaet der Godshuizen, Rysselstraet, te Ypre, alwaerde gaedinghebbende aile dage, ter uitzonde— ring van de Zou- en Heiligdagen, kunnen lezing nemen. 3!en verzoekt de rucjtbaerheid. Il sera procédé pir le ministère du Notaire RENTY, Ypres, savoir Le Samedi, 20 Novembre 18^7, 3 heures de re levée, la Muison-de-Ville, Ypres, la MISE-A- PR1X i° D'une M aison et son fonds, Ypres, rue de Bailleul, n" 28, occupés par le sieur Charles Duc 152 francs par an, échéant annuellement le premier Janvier, sans droit de bail écrit. a0 D une Maison et son fonds, audit Ypres, au nord de l'Esplanade, n° 1, occupés par le sieur Clé ment Dutoit, 102 Irancs par an, ét béant annuelle ment le 7 Mars, sans droit de bail écrit. Le Lunoi, 22 Novembre 18*7, 3 heures de re levée, Wylschaete. au cabaret occupé par la veuve Trece, hameau Oostaverne, la MISE-A-PRIX D'une Pâture, Wylschaete, Oostaverne, de la contenance d'après litre 8g ares, 87 centiares, et d'après le cadastre, s0D B, n# 967, 90 ares, 20 cen tiares, occupée par la veuve <T Alexandre-Joseph De Hem. El d'une Pièce de terres labourables, d'après titre de 29 ares, 25 centiares, et selon le cadastre, s"" B, 11° 4 18, 28 ares, 80 centiares, aussi Wyt- schaete, occupée par ladite veuve De Hem. Et le Lundi, 29 Novembre 1847, l'heure du midi, Zillebeke, la ferme occupée par le sieur Philippe Gillis11011 loin du pavé Conimines, la Ventede 67 marchés d'ARBRESconsistant en Ormes, Chênes et Peupliers. Pour tous renseignements s'adresser audit No taire BEiWÏ. un beau et grand En gros et en détail, établi, depuis plus de a5 ans, et très-bien achalandé, rue de Lille, Ypres. Location ou vente de la maison, au gré du pre neur. Grandes facilités pour le paiement. S'adresser, Ypres, rue de Lille, J3, M"' M. Tutiwhl,

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Le Progrès (1841-1914) | 1847 | | pagina 3