ANNONCES. Faits divers. BOOJI-VENDITIEN, TE SI VERKOOPING m TE WOUMEN, TE LANGEMARCK, AENBE§TEDING VLEESCH, KEERSSEN, ©©©©0OST1EIM EN STOVEK.OLEN A VENDRE UN BEAU ET SUPERBE AUSSI BON QUE NEUF. Pose de Dents osanores sans ligatures. qui est saisie, on se le rappelle, d'une proposition de M. Bcttingde Lancastel, d'après laquelle il lui appartiendrait elle seule de fixer le nombre des ministres et leurs at tributions respectivesaccueillera le projet de M. L.-N. Bonaparte, si tant est qu'il l'ail véritablement conçu. Il est question des généraux Levaillant, Magnan et Fabvier pour les ambassades de Saint-Pétersbourg Vienne et Madrid. Partout des généraux; la suprématie militaire en pleine paix cela ne laisse pas que d'être assez curieux. Le Moniteur algérien, du 20 novembre, annonce en ces termes, dans sa partie officielle, la conclusion du différend avec le Maroc: Oran, 19 novembre, i f heures. Le général commandant la division M. le gouverneur général. Le Laeomer, de retour Tanger, m'apporte la nou velle que le gouvernement marocain a accordé toutes les satisfactions demandées par la France, le 8 de ce mois. Le pavillon national a été réarboré le 8 sur tous les consulats. Un incident survenu Mogador s'est terminé notre entière satisfaction. Partout nos agents ont été réinstallés avec les plus grands honneurs. Je vous enverrai, par le premier courrier, copie des dépêches des consulsdeTangeretdeGibraltaràce sujet. angleterre. lovdres 26 novembre. L'émigration vers la Californie par la voie du cap Horn est encore plus considérable que par la voie du Mexique. Tous les jours des navires se rendent cette destination, avec des passagers nombreux, et venant d'Europe ou des États-Unis, touchent Valparaiso pour se ravitailler. La frégate la Constance, arrivée hier Portsmoulh, de Valparaiso, a apporté 2 millions de dollars en or de la Californie pour le compte du commerce. La veille du départ de cette frégate, le 28 août, l'amiral Hornby était parti pour San-Franciseo, bord de la frégate l incon stante, pour protéger les sujets britanniques en Califor nie. D'après les dernières nouvelles reçues de ce pays, les habitants ayant refusé d'obéir aux ordres des agens du gouvernement des États-Unis, le commodore américain, Jones, n'ayant pas des forces suffisantes pour les mettre la raison, avait pris le parti d'arrêter tous les arrivages de denrées alimentaires. Une opération très-douloureuse a été pratiquée Londres sur un magnifique cheval auquel le docteur Wise a administré le chloroforme. Son maître n'a pas voulu que ce pauvre animal fût opéré autrement que dans un état d'insensibilité. L'opération, faite avec des fers rouges, a duré vingt minutes. Le cheval n a pas remué une seule fois la jambe que I on brûlait; il parais sait endormi. Peu de temps après, étant réveillé, il a mangé et bu avec son appétit ordinaire et il est parti On écrit de Peyrehorade, le 12 novembre, YÉclaireur des Pyrénées. Je viens la hâte vous donner quelques renseigne ments sur un affreux événement arrivé hier soir, onze heures, entre Puyoo et Labatut. M. N..., voyageur du commerce pour une maison de bijouterie de Paris, voyageant en poste avec sa voiture, prit Orthez, pour compagnon de route, M. Labastie, de Peyrehorade, qu'il connaissait beaucoup. Arrivés Puyoo, ils changèrent de chcveaux et atte lèrent l'un d'eux en arbalète. Us partirent peine eurent- ils parcouru 2 5 kilomètres, qu'arrivés une côte ra pide, mais courte, les chevaux pressés par la voilure, qui était très-lourde, prirent le galop. Aussitôt le postillon de chercher la mécanique afin d'enrayer: ne la trouvant pas, il cria au voyageur de se dépêcher d'enrayer, qu'on allait verser. Mais hélas! M. N..., qui n'avait pas compris les cris du postillon, lui dit de laisser galopper. Inslfuit cepen dant par M. Labistie, il se prit la mécanique que, par surcroît de malheur, il tourna en sens contraire. Aussitôt les chevaux, pressés davantage par la voiture, quittèrent la route et se dirigèrent vers un précipice où hommes, chevaux et voitures furent précipités. M. N..., voyant nécessairement l'imminence du péril, sauta, s'accrocha un arbre où la voiture, par la conver sion qu'elle fit dans la chute, fut le heurter en pleine poitrine et le tua instantanément. Le postillon, lancé plus de trente pas dans un ruisseau, appelait au secours, tandis que M. Labastie, blotti sous les nombreuses malles que contenait la voilure, luttait contre un danger dont il comprenait toute la portée, mais dont il ne connaissait pas encore les fâcheuses suites. Après mille efforts et malgré les nombreuses meur trissures dont son corps était couvert, M. Labastie sortit de sa trappe. Mais désespoir! que voit-il d'abord? M. N... collé contre un arbre, la main droite en l'air comme pour attester la résisiance qu'il avait voulu offrir la voi ture, et ne donnant plus aucun signe de vie plus loin le postillon criant tue-tétc, et se débattant dans les eaux du ruisseau. Malgré la douloureuse impression que cette scène affreuse dût faire sur lui, M. Labastie ne perdit pas son sangfroid. Il se dirigea ou plutôt se traîna jusqu'aux pre mières maisons appelant au secours. En peu d'instants il prit toutes les précautions néces saires pour garantirlcs nombreuses valeurs que contenait la voiture, et qui gisaient et là; puis il fit enlever le corps de M. N..., qu'il confia aux soins de l'autorité avec les débris de cette catastrophe. M. Labastie est en ce moment au lit, fortement con tusionné, recevant de tous les habitants les témoignages les moins équivoques de sympathies. Son état n'est pas encore bien caractérisé. M. N.... n'était âgé que de 24 ans et ne comptait que 18 mois de mariage. Le gros lot de la loterie de l'emprunt Esterhazyau tirage du 16, a été gagné par un pauvre cordonnier de Peslh, père de dix enfants. Ce lot est de 30,000 florins. marché d'ïpber, du 1" Décembre 1849. Notre marché au froment s'est ressenti de la féte de S' Éloi. 236 hectolitres seulement ont été exposés en vente; il y a eu hausse de 80 centimes l'hectolitre. Les prix ont varié de 16 fr. 17-20; en moyenne fr. 16-60 l'hectolitre. Les prix du seigle ont monté de 10 centimes l'hecto litre. 49 hectolitres se sont écoulés aux prix de fr. 9-20 10-20; prix moyen fr. 9-70 l'hectolitre. Une légère différence en plus, de 6 centimes l'hec tolitre, s'est produite sur les prix de l'avoine qui ont varié de fr. 6-75 7-12 en moyenne fr. 6-93 l'hecto litre. 12 hectolitres onl été exposés en vente. Il n'y a eu aucun changement dans les prix des fèves qui se sont vendues fr. 10-20 par hectolitre en moyenne. 31 hectolitres ont été vendus. Les pommes de terre sont restées aux mêmes prix que samedi dernier. 2,200 kilogrammes se sont vendus 6 fr. les 100 kilogrammes. état-civh, d'yi>res, du 23 Novembre au 1" Dé cembre inclus. Naissances sexe masculin 3. Sexe féminin Total 10. Un mort-né du sexe masculin et 1 du sexe féminin. Mariages: Liebaert, Honoré-Joseph, âgé de 41 ans, charpentier, et Van Egroo, Marie-Thérèse, âgée de 29 ans, domestique. Fraipont, Laurent-Ferdinand-Adol phe, âgé de 58 ans, capitaine au 2e régiment de Lanciers, et Bourgois, Alixe-Pauline, âgée de 21 ans, particulière. Swaegers, Louis-Joscph-Arnouldâgé de 63 ans, particulier, et Rappelet, Ma rie-Thérèse, âgée de 28 ans, sans profession. Maerten, Ferdinand-Ives, ferblantier, et Si$, Cécile-Louiseâgée de 46 ans, cabaretière. Comptaer, Louis-Jean, âgé de 60 ans, journalier, et Samyn, Seraphinc-Blondine, âgée de 39 ans, journa lière. Dutoit, Pierre-François, âgé de 53 ans, jour nalier, et Oreel, Cathérine-Thérèseâgée de 55 ans, couturière. Duprez, Charles-Louis, âgé de 40 ans, journalier, et Guller, Eudoxie-Virginie, âgée de 35 ans, dentellière. Décès De Bruyne, Bernard, âgé de 9 ans, Chemin de terre. Poulie, Thérèse-Françoise, âgé de 74 ans, particulière, célibataire, rue de K.auwekind. Bubbe, Jean-François, âgé de 70 ans, gantier, veuf de Marie- Henri-Colette De Hollanderrue de Dixmude. Cal- mein, Joseph-Martin, âgé de 75 ans, journalier, veuf d'Isabelle-Pétronille Doolaeghe, rue de Menin. Enfants ao-dessous de sept ans Sexe masculin 2. Sexe féminin 3. Total 5. Den Notaris ruyg1iebaert, te Merckem residerende, zal by Venditie ver- koopen 1 Op Dondcrdag, 13" December 1849 om een ure namiddag, in behoevevan Myn- hecr Carton, grondeigenaer, te Ypre, op zyne hofstede genaemd t'Heule-Goed, be- woond door Pieter Pauwels, digte noord by de plaets, 43 koopen allersclioonste IEPEN, EIKENPOPELIEREN en A BEELEN 2° Op Donderdag, 20" December daerna om een ure namiddag, in behoeve van Me vrouw douairière Baronnes De Serret, te Brugge, in de garzingen langs het Martj'e- oever en Noordschote-straet, digte west het dorp, 40 koopen POPELIEREN. IN HET JONKERSHOVE. 9 Men bied uiterhand tekoop,cenegroote hoeveelheid SPARRENvan aile slach, ■taende op meer dan 100 hectaren lands, in t'Jonkershovete Woumentoebehoorende aen Mynheeren Jombart en Oelachaussée grondeigenaren, te Ryssel. Den Notaris UIJYGUEBAERT, te KOOPDAG VAIN SCHOONE IEPEN, ZWARE POPELIEREN en andere BOOMEN, we1n1g zuid en oost oe dorpplaets. Maendag, 10" December 1849, ten een ure namiddag, tcrhiernagemeldehofsteden, zal'er gehouden worden Venditie der aldaer in de schors geteekende Boomenwaeron- der veel schoone Iepen, zware Popelieren, EikenAbeelen en andere BOOMEN, dien- stig tôt allerhande slach van werken, te weten 1° Ter hofstede gebruikt door Pieter JVerÀ!Mt,zuid by de plaets van Langomarck, 56 Iepen, 3 Abeelen, 3Popelieren en 1 Eik, verdeeld in 50 koopen. 2" Ter hofstede gebruikt door Pieter Dochy, oost der plaets van Langemarck, langs de Lekkerboter-kalsyde, 54 Popelie ren, 2 Esschen, 2 Wilgen en 2 Iepen, ver deeld in 28 koopen. Nota. De vergadering aen koop 1, in het gars der hofstede Pieter Werkin. Dezenkoopdag zal gehouden worden met tvd vanbetaling, voordekooppryzen alleen, behoudens door de koopers stellende solva- bele en aen den Notaris COMl'Y, te Lan gemarck verblyvende, wel bekende mede- koopers geliuisvest in het arrondissement Ypre. De bespreken met den toeslag tevoldoen. BURGERLYKE GODSHUIZEN der stad ypre. voor het dienstjaek 1850. By Mr polpart-vienne, Notaris, ter residentie van Zonnebekeis cr geld in Merckem, is met deze Verkooping belast. jleening te bekomen mits goed bezet. De administratie der Burgerlyke Gods- huizen dezer stad, inaekt bekend aen het publiek, dat zy, den Vrydag, 7° Dccemb: 1849, ten 5 uren namiddag, in hare woone zittingzael, Belle-Godshuis, i: Ryssel-straet, zal overgaen tôt de 0i BARE AENBESTEDIiSG van de v, ,;i voorwerpen, ten dienste van de g: onder het beheer der zelfde GodaLu voor het dienstjaer 1850. A. 6,OOOklIogranimcn Vïecsc'i; 300 kilogrammen Kcerssen; voor het Burgerlyk Hospitael, Nazareth, Kncchten- en Meiskens-scholen. B. 100 Doodkisten, tôt begraven de overledene behoeftigen ten laste van ge- meldc Godshuizcn. C. 1,200 kcctoliters Stovckolcn, genaemd gaillcttcn en gailletterien, voor de slyling van het Hospitael, Nazareth, Bellc-Godshuis, Sint-Jans-Godshuis, Be- gynen-gcstichtwcduwen van de Stich- ting H. Geest, Knechten-cn Meiskens- scholen, Sccretariaet en Vergadering- zmil derzelfde Godshuizcn. De voorwaerden dezer Aenbesteding liggen in het sccretariaet der Godshuizen, llysselstraetalwaer de gadinghebbendo aile dagen, ter uitzondcring van de Zon- en Ileiligdagcn, kunnen lezingnemen. Men verzoekt de rugtbaerheid. L'Association pour l'encou ragement du service mili taire, sous la protection du Roi, dont les seuls agents dans la Flandre occidentale sont: MM. Joos-Verschaeve, secrétaire com munal, Ypres Inghels de Thilly, Bruges; Mestdagh, secrétaire communal, Iseghem, Paret, agent d'affaires, Dixmude Morael, avoué, Furnes;/. Haminan, receveur communal, Ostende; Vandenbergsecré taire communal, Thielt; continue rece voir des participants la caisse de Prévoyance qu'elle a ouverte pour faciliter aux jeunes gens atteints par le sort, leur remplacement :is la milice elle opère aussi lerempla- ît de tout milicien, aux conditions que dits agents feront connaître aux in- S'adresser, pour le voir, rue de Menin, n° 28, Ypres. ÉRÂIL Sy©©É®AiNÉM pour tamponner les dents creuses, M. JOUAI MALLAY, dentiste, n* 19, rue de la Régence, Bruxelles, continue tamponner les dents gâtées, l'aide de son célèbre succédaneum il pose des dents osanores et sili ceuses sans aucune ligature ni fil de mé tal; raffermit également les dents ébranlées.

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Le Progrès (1841-1914) | 1849 | | pagina 3