Faits divers.
îe ua vœu
"déparic-
lc Morbihan,
la Vendée. Enfin dans
kemeuts do l'Ailior, des Ilautes-Alpcs, du
la Loire, do la Saône-ct-l.ôirc, de la Soin-
it dos Vosges, le conseil-général ne s'est pas
la question de la révision.
•foudre éclate son.s la forme du plus Joli
soufflets vertement appliqué sur le visa-
fiéroïuÇ.
par un vigodreux coup d'ombrelle est
n irisiautr.et le feu se trouve engagé sur
gne. Les deux pu iudes n'y vont pas de
te; bientôt lia peaux, rubans, dentelles,
ppoi tent les plus terribles atteintes. Des
armants se trouvent pochés, et l'on voit
uelqufcs gouttes d'un sang vermeil perler
us joli nez du inoridp.
Jefio qui s'était aussitôt formée autour de ce
clos d'une nouvelle espèce,aurait problable-
le inolit de celte charmante bataille, mais
mes ooiiibatiaieiiA la façon des héros d'Ho-
ifiailleiiis la lêinnjj^ffq perd jamais ses droits,
lialogue était ausajjif que les gestes:
h, lu as été chez't-.iMf tiens, voila un soufflet
tu l'aimes, voila u rie égrali gn ure Je lecouuaissais
it loi, et l'ombrelle 'détonne le plus élégant
au. Je l'arracherai les yeux, tu ne le verras
lus scélérate, attrape, tifrontée, etc.
étend même que des expressions un peu
et que nous ne voulons pas répéter ont
Es.; Toujours est-il que le combat pre-
■j^Unus gigantesques, et Dieu sait ce
ptvé, lorsqu'un gamin (il était de Paris
Hnuyé de ne pouvoir percer les rangs
uis de ne rien voir, s'est mis crier
perçant.e': La police! la police!
pcïdenl a mis fin au combat. Nosdeux héroï-
Vfui âtire-d'à îles; mais la jolie blonde n'en
sera pas quitte si bon marché, car son antagoniste
'-Saône, lui a lancé eu fuyant cette terrible flèche du Parthe:
Oise, Dcux-^ Sois tranquille, je te repincerai!
j§ÉKj 1 Pauvre petite blonde
Cnéraux ont' 1
Le général Haynau, qui vient d'être l'objet
Londres de scènes déplorables que nous avons ra
contées, a passé hier Verviefs, venant d'Ostende
et se rendant avec ses deux aides-de-cainp Aix-
la-Chapelle. 11 était en babil de ville. Les traces
laissées par l'émeute anglaise sur la personne du
générai n'étaient pas eucoi'e entièrement effacées.
DETERRE. Loxdrrs, 6 Septembre. Un
uflicier écrit au Times pour lui exprimer toute
a lion que lui a inspiré llaltcntat contre le général
laynau, mais il déclare en même temps rougir de la
conduite-peu courageuse du général qui, au lieu de se
mettre bravement en l'ace de la multitude, a pris
lâchement la fuite.
I e Globe, dans un article consacré ce fait déplorable,
rejette tout le blâme sur les directeurs de la brasserie,
qui auraient pu contenir les ouvriers comme l'a fait AI,no
Beufircd, pendant qu'ils assiégaient sa maison.
II s'importe en ce moment en Angleterre une quantité
considérable de noix, surtout de Belgique. Le Snho en a
apporté dernièrement 2,228 paniers outre 1,1)43 paniers
de ponnnes. Il est arrivé d'Anvers trois autres cargaisons
de 1,557, 1,540 et 350 paniers de noix.
On écrit de Dublin
Une lettre de Thurles annonce que les évêques catho
liques, réunis en synode, ont enfin pris une décision
relativement aux collèges de la reine.'Après une longue
discussion ils ont condamné ces collèges, mais seulement
une voix de majorité. Ce résultat est en réalité favora
ble aux collèges. Du reste, toutes les discussions du
synode doivent ctre soumises la sanction du pape.
ESPAGNE. Madrid, 2 Septembre. On parle
depuis quelques jours de modifications ministérielles. Le
bruit a couru que M. le marquis Pidal quitterait le
ministère des affaires étrangères, où il serait remplacé
par M. le comte de San Muis, et M. Zarragoza, chef
polilique actuel de Madrid, serait chargé du portefeuille
de l'intérieur; M. de Pidal aurait l'ambassade de Vienne,
et M. de Colombi retournerait son pçste Lisbonne;
quoiqu'il en soit de ces bruits de ville, il paraît positif
qu'en ce moment il n'est pas question sérieusement de
modification du cabinet.
Tout récemment, une des rues de Lille a été le
théâtre d'une scène c.oraico-lragique qui n'a pas
laissé que de faire une assez vive impression sur
l'esprit de ses botnbreux spectateurs
Une jeune femme blonde passait. Tournure leste,
pied mignon, nez au vent et regard idem. Tout
indiquait une de ces jeune» pécheresses du quartier
Notre-Dame de Loretle, égarée dans de sauvages
climats. La jolie fille d'Eve trottait menu le long
des maisons sans penser mal, lorsqu'elle est accos-
pas
11 paraissait souffrant.
On lit dans Je Libéral: Un combat des plus dé
goûtants s'est livré Kain dans la journée de mardi
dernier. Deux hommes se sont complètement dés
habillât et se sont battus comme deux bêtes sauva
ges. Il a été impossible aux assistants de meHre fin
cette lutte c'est seulement quand les deux coni -
battants ont été exténués qu'elle a pris fin.
On écrit de New-York, Je 24 a0"'
Le bateau a vapeur ta Palmetto nous apporte de
la Havane, la nouvelle que le capitaine Benson,
commandant le navire ta Georgiana, et le capitaine
Pendleloii, commandant la Sutan-Leadont été
condamnés mort comme ayant transporté des
hommes de l'expédition du général Lopez. Les
deux capitaines seront, selon toute probabilité,
exécutés; il n'y aura de grâce, que pour les hommes
des équipages.
Un arrêté de la cour provinciale de la Gueldre,
publié dans le dernier numéro de la Belgique judi
ciaire, décide que pour que l'exercice de l'art de
guérir par une personne non diplômée, soit punis
sable, il n'est pas exigé qu'elle ail demandé un salaire.
Appliquant par conséquent au prévenu l'art. 18 de
la loi du u mars 1818, commune la Belgique, la
cour l'a condamné 25 florins d'amende
Un escroc assez habile vient d'être arrêté Spa,
dans la salle de jeu. Cet individu avait jeté sur le
tapis vert un rouleau de billets en disant qu'il les
engageait jusqu'à concurrence de mille francs II
perdit; mais au moment où le croupier se disposait
lui rendre son surplus, il s'aperçut que les pré
tendus billets de banque n'étaient que des chiffons.
Avant-hier soir un assassinat horrible a été con
sommé dans la commune de Froidmont, sur la
personne d'une jeune fille de l'endroit qui se trouvait
dans un état de grossesse assez avancé. La victime a
été trouvée gisante dans une tnare de sang, non loin
de la demeure de son beau-frère, où elle s'était, dit-
on, rendue dans la soirée.
Avant d'accomplir son mariage avec la sœur de
l'assassinée, il paraîtrait que le sieur I)avait
longtemps fréquenté celle-ci et qu'il n'a pas tardé
recommencer une fréquentation devenue coupable
s'est transporté hier matin sur les lieux il a pro
cédé une énquêle et a fait faire i'aulopsie du
cadavre.
Les soupçons de la justice n*ont pas tar.dé se
porter sur le sieur Det»' hier après-midi il a
été arrêté et conduit sous bonue escoile la maison
d'arrêt de Tournay. Jusqu'à présent l'on n'a point
appris qu'il ait été confronté avec la victime.
(Libéral.)
Un meurtre s'est accompli Wiers, canton de
l'éruwelz, dans la soirée du ier de ce mois. Voici les
détails que nous avons reçus
La cloche de retraite avait cessé de tinter et le
garde-champêtre procédait l'évacuation des lieux
publics. Un mauvais sujet qui, parait-il, en voulait
ce loncliouiiaireparsuile d'une vieille querelle, se
sauva dans une chambre quand le garde parut dans
l'estaminet où il se trouvait,"et personne ne s'aper
çut de sa disparition.
Le gardien de l'ordre, ainsi que son devoir, le lui
ordonnait, fit sortir toutes les personnes présentes;
il s'apprêtait lui-même quitter, mais en ce mo
ment son ennemi sort de sa cache lté, tombe >ur
lui l'improviste et l'atteiut violemment âla gorge.
Le malheureux agent cherche se débarrasser, mais
c'est en vain, sou adversaire le lient d'une main
ferme; il est sur le point d'êlre asphyxié, alors il
sort son sabre du fouçreau et en applique un coup
si ferme sur la tête du lâche qu'il l'élend raide-mort
a ses pieds.
Le Times se livre de nombreux calculs et de plai
santes réflexions propos d'une statistique publiée en
Angleterre sur la population et les mariages. Il prétt nd
d'abord, contrairement une idée qui a prévalu jusqu'ici
chez nos voisins, que les naissances de la population
masculine dépassent celles dejfatiteesexe. Ainsi, dit-il,il
paraîtrait qu'en 1848 il est né 15,053 enfants mâles en
sus du chiffre atteint par les naissances du sexe féminin.
Il dit ensuite: Les tables que nous venons de consulter
nous indiquent que les ebanccs.de mariage qu'a une
femme atteignent leur maximum entre les uges de 20 et
25 ans.
Avant 20 ans une femme n'a que le cinquième de ces
chances et de 25 50 que le tiers de ces mêmes chances.
Après 50 ans, comme on peut le supposer, l'es chances
de la femme au mariage diminuent graduellement jus
qu'à zéro, et c'est pourquoi, ajoute spirituellement le
journal, plusieurs femmes mettent tant de temps arriver
cet âge.
Les hommes, ainsi qu'on le sait bien, se marient plus
tard que les femmes. Nous trouvons cependant que la
grande majorité des mariages sont contractés, tant par
hommes que par femmes, avant l'âge de vingt-cinq ans,
et nous pensons que eetle" circonstance doit être princi
palement attribuée aux unions contractées de bonne
heure par les classes ouvrières. Les hommes, cependant,
conservent la faculté de contracter un mariage un âge
plus avancé que le sexe plus faible. Sur 27,485 person
nes qui se sont mariées en 1848, on n'a compté qu'une
seule vieille fille spinsterqui fût dépassé 00 ans, tandis
qu'on a compté 12 garçons qui sont mariés après cet âge.
Un veuf âgé, ce qu'il paraîtrait, choisit une femme
d'un âge plus mûr que 11e le fait un garçon, auconiraire,
une veuve préfère que sou second mari soit plus jeune
qu'elle. De toutes les veuves qui contractent un second
mariage après 50 ans, il y en a plus de trois quarts qui
sont unies des hommes au-dessous de 50 ans; mais,
naturellement, mesure que les chances de mariage dé
croissent pour les individus, on voit augmenter l'âge
auquel ceux-ci le contractent.
D'après un calcul approximatif, le nombre des. maria
ges ou figurent les veuves comme parties contractantes
est d'environ neuf pour ccut sur le chiffre total annuel
des mariages en Angleterre, et ceux dans lesquels les
fiancés sont des veufs, de quatorze pour cent sur cette
même totalité.-D'où L'on peut induire, d'une part, que le
nombre des veufs qui contractent des alliances avec de
vieilles filles est plus grand que celui des garçons avec
des veuves; et, de l'autre, que les veuves trouvent pour
maris plus de veufs que de garçons. Fait qui sert illus
trer le vieil apophthegme que c'est la sympathie qui
fait les vrais amis.
On a annoncé que le Comte de Chambord habitait le
second de l'hôtel Duringer, parce qu'une famille Anglaise
avait refusé de lui céder le premier de cet hôtel qu'elle
occupait.
Nous apprenons par un membre du corps diplomati
que que la famille dont parie M. Faribé, n'est jias an
glaise mais Américaine.
Dixmede. - Marché aux grains du 9 Septembre 1850.
tée par une de ses amie». La conversation s'engage tel point qu'on le soupçonne d'être le père de
aussitôt sur un ton assez animé. Que s'est-il dit 1 l'enfant que la malheureuse portait dans son sein,
d'abord, c'est ce que nous ignorons. Toujours est-il I M. le procureur du roi, accompagné de M. le juge
qu'après deux ou trois minutes d'une explication I d'instruction et de Al. Pliilippart, médecin légiste,
SORTE
NOMBRE
PRIX
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