T POUR 1851. UNE PAGE DÉTACHÉE L'H ISTOIR O Almanach prophétique. Almanach comique. Aliiianach astrologique. Aliiian ach de napoléon. Almanach de l'Illustration. Almanach des dames et des demoiselles. Almanach de la mère Gigogne. Almanach encyclopédique. etc. En vente au bureau de cette feuille Ouvrage terminé. (1301 1388) Par PERAEEE, Docteur en Droit. y lorsqu'à rri va le chariot lîoés l'un par l'autre, È:se tntU trerpl us l'écart. François Denul, âge de soiip. L'autre victimè, rus, fut relevée t j la rbu.e. imortal dnfctnuet "ti'pjécaîîjalès pnla fyrinéet.) t QQïl trot 'Oit ^rophélifje âge, disait-il, archons sur un vol es nous Haenacent.rr Ilots... qui la faute Il n'en fallut patriote orale de sa figure éuîlarni Ç)n lit dans le Messager de Çiqnd - Une de ces selerirnités -que-l on voudrait voir se reproduire rtipins rarement dans nos viWes iidjus- ouflù'-' i i' Ues a eu lieu, ces jours derniers, (ïand. 11 y a 5oaris que .VI. Joseph Canueel, prolede l'imprimerie de M\l. De JJusM'flèr, frères, est entre dans cet éta blissement. NT inaître ni ouvriers n'avaient voulu laisser passer ce mémorable 'ànni versaire "sémi-sé- ire sans témoigner leur digne chef d'atelier <^^stime qdtÉ6j.j^Jeur inspirer, et paisses - p;„. |a manière paternelle" -de ses devoirs envers K&'lg-dres. e, VI M;'De Busscher, frè- iéB eux tous les ouvriers et mUe au respectable jubilaire, mpagnons de travail, une belle ortant des ateliers de M. Minue- ville. nilTlaume De Busscher, le doyen des s de la ville, a offert son vieil ami, tant propre nom qu'en celui de ses fils, une riche gpe en or, ciselée et ornée de l'inscription: Jubel- yeechenk_i85o. au »t i in ir'sUSnt au S'** ]ui dit ^publique en ses ennemis, redouter les rouges. Qu 'couteau blanc, elle n'en valent af- lonlsgne. rchahd 'de n deux prit la rquoi ne pas ccusez les doit beau- soit égorgée sera pas moins vïsez-la trartquille. De quoi vousplaignez-vous? T— Je me plains, répondit—il, de la dernière loi florale. st-ce pas une infamie d'en avoir exclu tous les et iv Al( Monsieur, vous devez vous tromper, çe t je suis curé d'une paioisse où il y :epauvres, et ces pauvres sont électeurs et même engibles,la pauvreté n'est donc pas un titre clusif. Que la loi ait voulu atteindre cette classe tante d'hommes qui ne savent ni d'où ils sont, T où ils vont, cela se conçoit et cela est bien. Comment répliqua vivement le démocrate; ignorez-vous que ces homme» sont les meilleurs citoyens, qu'ils sont la probité par excellence Monsieur, lui dit le prêtre, j'en connais une douzaine que je crois pur-sang, aussi parfaits que vous pouvez le désirer. Je vais leur délivrer un certificat bien ample de démocratie, et vous les adresser. Voulez-vous avoir la bonté de leur confier vos jambons pendant quinze jours seulement Silence absolu. Comment, Monsieur, vous n'osez pas leur confier vos jambons, et vous voulez leur confier les destinées de la France?... désarmer, car le chien s'abat, et le malheureux éçoil tonte la déçharg© un peu au-dessous du sèiu droit. 11 tombe tout aussitôt en prononçant ces paroles Mon père, mon Dieu, pardonnez-moi! Le père infortuné saûf$te éperdu sur le corps ina nimé de son fils... c'était une scène déchirante. r Pendant ce temps, l'affreuse nouvelle circulait loin.çlh' arrive bientôt au eliâtcau. Upc de| domestiques vient annoncer M. Ferdinand Despériers qu'un horrible malheur a frappé sa maison, que l'un de ses neveux a péri la chasse. Trois inères étaient là... trois mères entre la douleur et l'espérance. Elles interrogent la domestique... Celle-ci, épdù vantée, tombe évanouie en murmurant le nom de Camille Sénac. M Au nom de son fils, Mm" Sénac est comme frappée de mort. On l'entoure, on cherche lui donner un peu d'espérance, lorsqu'un paysan effrayé annonce que ce n'est point Camille, mais bien Émilc qui a perdu la vie. Mm" Lalanne subit son tour toutes les tortures, .tou tes les angoisses qu'avait endurées sa sœur. Cependant Mm® Jules l)espériers_ redouble de cou rage, elle se multiplie pour consoler ses belles-sœurs, lorsque sa fille se précipitant ses genoux Maman, maman, dit-elle, c'est Paul, c'est mon frère... vous n'avez plus de fils... La malheureuse mère tombe la renverse en proie d'horribles convulsions et des spasmes nerveux. Une fièvre et un violent jlélirc se sont déclarés, et, l'heure où nous écrivons ces lignes, un affaissement général l'accable encore. aoo vitriers ont commencé hier travailler la couverture des bâtiments de l'Exposition. Le verreem ployé est épais d'un demi pouce. On l'ap porte sur.le terrain coupé et taillé, et le travail s'exécute avec une rapidité extraordinaire. Les brasseurs de Londres brassent, pour le temps de l'exposition, le double de leur provision habi tuelle de bière. Dans une des plus jolies habitations deRichmond, se trouvent actuellement réunis et vivans i grand- père, une grand'mère, i père, 4 mères, 3 sœurs, 5 frères, 6 oncles, 3 tantes, 5 neveux, 6 nièces, 8 cousins, 5 fils, 6 filles, i beau-frère, une belle- sœur, i gendre, i hrus, petit-fils, 3 petites-filles, i filleul, une filleule, i parrain, i marraines, une veuve,i veuf. Tolaljo, et la famille ne se compose ^^ZTs.'- RoosePierre-Jacques, âgé de 76 État-civil d'Ypues, du 27 Octobre «m 2 Novembre inclus. Naissances sexe masculin 4 idem féminin 2 total, 6. Mariages DulroGratien-Joseph, âgé de 68 ans, commissionnaire, et Fonde Woestyne, Nathalie-Amélie, âgée de 63 ans, dentellière. DoussyJean-François, âgé de 28 ans, charpentier, et Hof.Marie, âgée de 21 ans, dentellière. De Saeger, Fidèle-Amand, âgé de 43 ans, cordonnier, et Van Dromme, Barbe-Cécile, âgée de 28 ans, domestique. Ditc^S*: M or lion, Louis-François, âgé de 33 ans, cordonnier, époux dePaulinc-Eugénic-Annc Van Houcke, rue de Liège. GeleinAmélie-Sophie, âgée de 28 ans, dentellière, épouse de Constant-Albert Cremmery, Sl- Jacques-lez-Ypres. Bonté, Félix, âgé de 40 ans, (décédé Oran, Afrique, le 21 Décembre 1847). Synave,Rosalie-Louise, âgée de 46 ans, dentellière, rue en tout que de treize personnes. On lit dans le Journal des Landes Le 28 du mois dernier, un bien cruel événement jetait dans la désolation la famille Despériers, réunie tout entière au château de Cauneille, pour y célébrer la bienvenue de M1'® Labcdoyère, mariée, il y a un mois peine, notre hoqorablc ami Frédéric Despériers. Ce matin, vers 6 heures, M. Ferdinand Despériers partit pour la chasse avec son frère, son beau-frère et ses trois neveux, âgés de 14 16 ans. A midi et demi, M. Ferdinand Despériers perd de vue ses compagnons de chasse et rentre au château. Quelques instants s'étaient peine écoulés que nos chasseurs, arrivés en face d'un large baràdcau, conçoi vent le projet de le gravir pour y faire un frugal déjeû ner. Déjà M. Jules Despériers et M. Labedoyère étaient parvenus au sommet, et les enfants se disposaient les imiter, lorsque M. Paul Despériers appuie son fusil sur le talus et gravit le baradeau. Dans cette position, il reprend son fusil, et le retirant vivement par le canon. Sans douté il avait ou- ans, jardinier, époux de Jeanne-Thérèse Swyngedauw, S'-Jacqucs-lez-Ypres. Van H etMarie-Joséphine, âgée de 48 ans, dentellière, épouse de Jean-Charles Verhaeghe, March'é-aux-bêtes. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin, 2; idem féminin, 1; total, 3. Marché Vrais», du 2 Novembre 1850. Les prix du froment sont restés les mêmes qu'au marché précédent. 648 hectolitres se sont vendus de fr. 14-00 19-60; en moyenne fr. 16-80 l'hectolitre. Les prix du seigle sont montés de 70 centimes par hectolitre. 33 hectolitres se sont écoulés aux prix de fr. 11-40 12 fr., prix moyen fr. 11-70 l'hectolitre. Une légère hausse de 12 centimes l'hectolitre s'est produite sur les prix de l'avoine qui ont varié de fr. 6-73 7-50, en moyenne 7-12 l'hectolitre. 11 y a eu 60 centimes de hausse sur les prix des fèves. 21 hectolitres se sont vendus raison de fr. 12-70 l'hectolitre en moyenne. Les prix des pommes de terre n'ont point changé. 3,500 kilogrammes ont été vendus raison de 8 fr. les 100 kilogrammes. EN VENTE AU BUREAU »E CETTE FEUILLE DE OU GUILLLACME DE JULIERS, PIULIPPE DE THIFTTE, JEAN DE NAMUR, JEAN BORLUUT, LE SIRE D ARKKL, SAEFTINGENf BREYDEL, KONINCK,ZANNEKIN. Prix du volume contenant des gravures 8 francs. ftVILLAUME VAN

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Le Progrès (1841-1914) | 1850 | | pagina 3