ANNONCES,
in iiAiiiB
nao
Un instituteur modèle. Le Journal de Lorient pu
blie la lettre suivante d'un instituteur de campagne, qui
demandait de l'avancement.
PATRIMOHIELE
HOOGHLEDE EN STAEDEN.
TE PROVEN.
Des gains de mise-a-prix seront accordés.
Teinturier, Apprêteeir et Dégraisseur,
RTJE DF. BOESINGHE, N" 7, A YPRES,
.i, j li. ETOOR, der rcsidencie van Woumen, met
1" Lot. -- Une TRÈS-BELLE MAISON
usage de cabaret, portant pour enseigne
le Damier, érigée sur fond d'arrentement,
située Warnèton, Pont-Rouge, occupée
par Delmotte.
Lambin, Fus, éditeur.
Marché au Beurre, 1, Ypree.
VARIÉTÉS.
LE MONSIEUR QUI ACCEPTE DES CIGARES.
Nous connaissons un monsieur, car bien certainement
il n'est inconnu pour personne, dont l'existence est prise
{iar une grave occupation celle de se répandre dans
e monde. Ce monsieur est partout, a tout vu et sait tout.
Dans la rue, il ne vous arrête point, mais vous entraîne
dans sa course en vous pressant les mains avec clTusion,
en vous distillant une flatterie nauséabonde. Pour
prix de tant de travaux et de tant de peines, notre mon
sieur dîne chaque jour dans les meilleures maisons, a des
places dans tous les théâtres et passe toute la belle saison
dans les villas de ses amis.
Un de ces soirs, nous le trouvâmes vis-à-vis de nous
dans un restaurant. Afin de nous accorder sa présence
dans ce dîner de garçons, il avait, disait-il, envoyé cinq
ou six lettres dans plusieurs maisons princièrcs où il était
attendu.
Ce monsieur a un très-bon appétit; aussi, grâce la
joyeuseté des propos de la compagnie qui l'entourait,
et de nombreux verres de Richebourg, il devenait légè
rement iinbriaque.
On apporta les cigares.
Un havane, monsieur X..., lui dit un des convives.
Volontiers.
Garçon, passez le feu monsieur X...
Non, merci, je fumerai dans un moment.
El M. X... après avoir roulé un moment un cigare
entre ses lèvres, le passa dans sa poche.
Ah le cigare c'est ma ruine Observa un hom
me de lettres qui se trouvait parmi nous.
Je consacre mille écus mon tabac, déclara un
homme riche.
Eh bien messieurs, fit M. X..., en acceptant un
nouveau cigare du convive riche et le plantant entre ses
lèvres sans l'allumer, eh bien messieurs, mon tabac
me rapporte moi peu près mille francs.
Vous coûte, voulez-vous dire?
Non, non, me rapporte.
Ah contez-nous cela.
Au fait, nous sommes ici tous intimes,remarqua
l'individu aux relations dont la langue s'épaississait
ouïe d'oreille.
Monsieur X..., c'est du Richebourg.
Volontiers, merci.
Voyons l'histoire des cigares.
j Ah oui, eh bien je me fais mille francs par an.
Vous avez donc un débit de tabac?
Non pas.
Alors
D'abord, je ne fume pas; mais j'accepte les cigares
qu'on m'offre. On m'en offre beaucoup, surtout dans les
repas d'hommes. Bonjour, mauvais jour, j'ai vingt ciga
res. Au bout de l'an, environ sept mille. Je les cède
quinze centimes. Cela me fait un petit revenu de cent
pistoles et paie mon tailleur.
--C'est très-intelligent, monsieurX... Accepteriez-
vous un cigare?
Volontiers.
Garçon du feu M. X...
Non, merci, je le fumerai ce soir.
Le 8 de ce mois, un Talma en herbe se trouvait en
désaccord avec son propriétaire au sujet de trois termes
en retard. Le futur tragédien demandait du temps et le
propriétaire demandait de l'argent; pas moyen de
s'entendre.
Dans la chaleur de la discussion, le Roscius du boule
vard se permit de traiter le Vautour dhuitre et d'épicier.
Fureur du Vautour qui se retira chez le concierge d'où
il écrivit au locataire mal embouché:
Mooossieur,
Si vous voulez éviter l'effusion du sang, je vous
conseille de retirer vosexpressions. On attend la réponse.
La réponse ne se fit pas attendre, la voici telle que
nous la communique le Mercure du propriétaire:
Mooossieur,
Je suis tout prêt retirer mes expressions si vous
voulez renoncer vos termes.
Nous serions désolés d'y changer la moindre syllabe:
Monsieur,
Je prends la liberté de vous adresser la présente en
vous honorant infiniment, n'ai'ant pu vous en apprendre
personnellement de vive voix, l'ors du jour que j'ai sété
devers M. Mauret maire de la commune de Jizy vers le
23 novembre.
Plusieurs personnes se sont intéressée de m'apprendre
que^ cette paroisse était vacante d'instituteur (clerc laïc)
en étais interdits pour les causes importantes.
Alors, de cette occasion, je désirerais parmisceux qui
se présentent être dans les archivesde vos bonnes grâces
En fait d'y être agrées chez vous en qualité d'institu
teur clerc laïc.
De mes tendres années je suis été attachée cet état,
comme provenant de fils de maître d'école, et plus encore;
Qui ayant été facteur des mutations des démarcations,
des sections d'1 plusieurs communes, auxquels il n'a pas
épargné les instants de in'avoir instruit de ces capacités
dont j'ai encore l'agrément de l'avoir près de moi pour
m'aiguiser s'il le fallait!
Je ne puis vous apprendre d'avantage et suis avec dé
sir d'être en but au service d'une paroise plus vaste que
j'occupe pour l'instant afin de mieux deploier les talens
et les dons que Dieu nous a fait part, auxquels je suis
voué pour m'y consommer tant qu'il plaira Dieu.
En attendant, j'ai l'honneur d'être,
Monsieur
Votre très-humble et très-serviteur obéissant,
J.-B. BUSSI..., m. d.
Avouez qu'il serait cruel de ne pas accorder de l'avan
cement cet instituteur, ne fût-ce que pour lui appren
dre. écrire.
Le pétitionnaire, dit-on, a des idées très-avancées;
tellement avancées, qu'on doute que ses études puissent
jamais réjoindre ses idées.
l'impôt de luxe. A propos des exigences sans cesse
renaissantes du timbre, un financier très-malin proposait
hier de ne plus se borner aux papiers grands et petits,
mais de timbrer aussi les hommes:
Art. l"et unique. Tous les Français seront timbrés.»
Impôt de luxe, répondit-on, ils sont bien suffisamment
timbrés comme ça.
PUBLIEKE VEUKOOPING
van hbne c.oede
GELKGES Bl NNfcN DE GEMEENTEN
Étude du Notaire HE.\TV,
Ypres.
SCHOOINE VENDITIE
van
Op Dynsdag, 25° February 1831, om t
INSTEL, Maendag, 3" Maert 1831, ter
herberg S'-Amand, bewoond door Petrus
Vanden Bussche te Hooghledeop de
dorpplacts, en OVERSLAG, zonder uitstel,
Maendag, 17" derzelve maend in de her-
Lcrg het Oud-Sleyhaeghe, le Hooghlede,
zuidwest der kerk, langs den steenweg
nacr Yperenbewoond door Frederik
Romtnelaeretclkcns des nainiddags, ten
4 uren, van eene behuisde, bebouwde en
beplante IIOFSTEDE, gestaen en gclegen
binnen degemeenten Hooghledeen Stacden;
by 't gehuchte Sleyhacghe, groot h. 13-2C-7 0
cenliaren, doorsneden door den steen veg
van Dixmude naer Rousselaere, palende
voornamelyk aen de landen van M9f.
Pyckc-De PcteghemRosseel te Gend
Dciney te Hooghlede, Bracq-Vercruysse te
Kortryk, Moerman te Brussel, De Kernel
te Boesinghe, De Geyter te Wetteren
De Lacy te Hooghlede, De Vogelete
Staden, en andere gebruikt door den
medeverkooper- Joannes Vermotetôt
laetslen September 1831.
De konditien dier Verkooping mettîtels
van aenkomst, zyn berustendc der studie
van den Notabis SOENENte Hooghlede,
en men kan ook aile inligtingen bekomen
by M" CHRISTIAENNolaris, te Pas-
scbendacle.
STEL-PENNINGEN TE WINNEN
Le Mercredi, 26 Février 1831, neuf
jna iov, heures très-précises du malin, vu le grand
Le .amedi, 22 Février 18d1, a 4 ueures;nom|jpe d'Arbrcs C{ |curs différentes situa-
preciscs de rclevee, en la Maison-de-ville tions sera édé ,e dil Notaire
Pr(ls> sc'a procedeparle ^i^i°il'1rireiv RENT1T, en les communes de Rcninghelst
5 0ULIN A et Dickebusch, la Vente de 133 marchés
MOL DRE avec Maison d habitation et d*ARBRES, consistant en de TRÈi-BEA UX
autres bâtiments, jardin et fonds, conlenqntJC|,£j,jESi donl p]usjeurs0nt la circonférence ure namiddag precies, binnen de gemeente
ensemble, selon titre, 22 ares 05 centiares, de 2 mètres et demi 3 mètres et demi, pr0ven, ten verzocke en in behoeve van
et selon le cadastre, section D, n» 9, 10 oUORMES f BOIS-BLANCS PEUPLIERS Joefvrouw Claere Cadockrentenierster te
H, 2o ares 92 centiares, situea Ypreshors.AUNES,POMMIERS,NOYERS et FRENES. Dixmude, en Mynheér Pieter Vandermar-
vers'Popcringhe" et près du'hàmeau'dd! A commencer dans une pâture occupée''"ce, grondeige.iaer, te Yperen, op hunne
Kruisstraet L occupfpar Pierre W .es A„,s sUuée j* Z-
jusquau 1 Octobre 1854, moyennant le village de Renmghelstet tres-pres du pave naer Rouslmigge, gebruikt door de
prix annuel de 350 francs, outre les con-' 1 °8- 8
tributions.
Pour plus amples renseignements, s'a
dresser au dit Notaire RENITY, Ypres,
rue d'Elverdinghe, n° 2.
de Reninghelst vers Ypres. jwednwe Jacobus Delaeter, en de weduwe
Cette Vente aura lieu avec terme de paie- Carton, zal'er gehouden worden openbaere
nn ,j„ Venditie van 57 koopen ZEER SCHOONE
ment, moyennant de constituer caution £N ZWARE 0LMEN,- AISEELEN,- ES-
SCHEN,- WILGEN en EEKEN- BOOMEN,
Qu on se le dise. doop Runne jengte en dikte dicustig tôt
solvable.
m
EN TOUS GENRES,
A I/INSTAR DE PARIS y
allerhande slach van werken en construc-
tien.
De vergadering en het begin der venditie
aen koop 1, ter hofstede V" Delaeter.
Geraelde venditie zal geschieden op 6
maeuden tyd van betaling voor het princi-
pacl, mils goede bekende borgen te stellen
en gereed te voldoen den 10" pennink en
bespreken, ailes betaelbaer te Poperingbe
in handen van den Notaris Charles
A I honneur de porter a la connaissance du public qu il vient de s établir en cette de direclje e[) ontvangst be|ast
VENTE
de
Samedi prochain,!" Mars
1851, 2
heures de l'après-midi, l'École d'équita-
tion, Ypres, fera vendre publiquement
ville.
Il lave neuf toute espèce d'habillements, châls de toutes qualités, fichus, gilets
pantalons, tapis, garnitures de salons, etc. Les robes se lavent sans être décousues. H
teint, de toutes les couleurs, les étoffes telles que mérinos, draps, cbaly, crêpe et
coton rcteint les étoffes noires de plusieurs nuances foncées ou claires, ainsi que du
gris souris et du gris noisette. Il teint et lave tout objet de bal, ainsi que les rubans
en rose, ponceau, gros bleu, pâle bleu, vert, jaune, lilas, etc.
Il aura toujours chez lui des cartes d'échantillons des nuances les plus nouvelles.
Par son expérience, ses soins, son exactitude et la régularité de ses prix, il espère
mériter la confiance des personnes qui voudront bien lui favoriser de leurs commandes.
garantie des ouvrages.
Étude du Notaire RENTY,
Ypres.
Ledit Notaire procédera, 10 heures du
seront vendus le
suivants.
10 Mars 1851 et jours
Et le Mardi, 25 Février 1851, neuf
et D'ESTAMPES.
Le Jeudi, 27 Février 1831 et jour sui-
la Cascriic de cavalerie, le FUMIER DES vant, l'on vendra le Mobilier. Les Vins
matin et a 2 heures de relevée, la maison
heures précisés du matin, ledit Notaire
mortuaire de M. Van Ootryve, cure de S'i
procédera, a la mortuaire de M. De Tré-
Nicolas, a Ypres, a la Vente d un TRÈS-
BEAU MOBILIER. D'EXCELLENTS VINS et ^uitssst
D'UNE BELLE COLLECTION DE LIVRES n
on se le aise.
CHEVAUX DE TROUPE.
By M' POUPART-VIE.YÏVE, Notaris,
ter residentie van Zonnebeke, is er geld in
et la collection de Livres et d'Estampes leeninB bekomen raits goed bezet.
Étude du Notaire ROMHEN8,
Warnèton.
Mardi, 25 Février 1851, 4 heures de
relevée, I'Hôtel des Messageries, occupé
par le S' Camerlynck, Warnèton, il sera
procédé, devant le juge-de-paix compétent,
l'ADJUDICATION DÉFINITIVE, savoir:
Mise-à-prix 1,000 francs.
El 2" Lot. - Un FOND-BATI et JARDIN
dé 12 arcs 30 centiares, situés Warnèton,
Pont-Rouge, occupés par Flavine Philippo,
qui les bâtiments y existants appartiennent.
Mis-à-prix 550 francs.