(grave ses ri nent il main- e blocus des ^mations portent £me muni d'un pas- Lombardie par celte fu(par malheur son observation est saj^s détails) rofonde'uPde 13,6+3 mètrè». C'e.t/^coiimi* le observer M. Ara ;u, une pi olon fa ur enormisêime; (jt^çe chiffre semble' encué pins extraordinaire, t'nd on se rappelle que la plus liante .sommité des ites montagnes de l'Himalaya est seulement de mètres. service régulier de courriers est établi entre Vienne et la frontière de Dalmatie pour les nou velles du Monténégro jusqu'à ce itiomeut. Turcs el Monténégrins ont respecté la frontière autrichienne, t la peine de mort est même proclamée dans le camp turc contre quiconque violera le territoire autrichien. vies rdu Grand-Duché 'u le 19 de ce mois. Elle '(ldd'elle mais elle a voté iHo.t'Ia 1 ives au crédit finan- Hd r>-es de prévoyance. x~an avait été fermée dès le 6, lïïat y avait été poignardé par un in- iTge. Elle a été rendue au culte le 1.1. L'assassin de l'empereur d'Autriche se nomme définitivement Jean Libeny; il est âgé de 21 ans, ué Sluhlweissenbourg el garçon tailleur. 11 a avoué dès son premier interrogatoire, avoir joriné depuis plusieurs jours le projet qu'il a ac- Snï^ajjiyelje. flppartuV3'1 pas de complices. C'est un liomtiie trapu et d'ûuôinhysionouiie insignifiante. (tri prétend qu'en rentrant au cliâteau, l'Em pereur dit au général comt çde Grqnqc et au gou- verneur général de Kampen qui lui présentaient "leurs condoléances: Ne me plaignez pas, messieurs; je suis content de partager le sort de mes pauvres soldats d'Italie. Ija Presse, de Vienne, dit qu'il a été Constaté que l'assassin de l'Empereur avait touché chez un ban quier, l'avant-veille de son crime,.le montant d'une traite de Londres de boo florins. Plusieurs journaux suisses et allemands avaient annoncéque dansla sédition de Milan, des grenadiers hongrois avaient fraternisé avec les révoltés, et leur avaient livré leurs armes. Les rapports du feld-ma- réchal Radetzky ont établi depuis que pas un soldat n'avait manqué son devoir. Le rétablissement de la santé du roi de Suède a été célébré solennellement le 10 dece mois i» Stokholm. Dans l'après-midi il y a eu de grands banquets aux quels ont pris part les membres du gouvernement intérimaire, ainsi que les autorités militaires, civiles el administratives. Le soir il y a eu illumination générale. Les membres de la famille royale ont parcouru les rues de la capitale. Toutes les classes de la société témoignaient la plus grande joie du rétablissement de S. M. Les nouvelles de Paris n'ont pas d'importance politique. Louis-Napoléon continue de présider aux Tuileries les séances du Conseil d'État. Dans la séance d'avant-hier, on y a volé les budgets. Les journaux semi-officiels ne nous disent pas si l'Em pereur a pris la parole dans la discussion. Une petite fille de Lucien Bonaparte, la princesse deSolms, a reçu un ordre d'expulsion auquel elle résiste en faisant plaider devant le tribunal de la Seine, qu'elle est française et que la loi de 1849 ne saurait lui être appliquée. Deux des écrivains arrêtés pour l'affaire des cor respondances étrangèresMM. Tanski et Pagès-Du- porf, ont été mis en liberté sous caution. La Patrie assure que la souscription h l'emprunt de la ville de Bruxelles, ouverte avant- hier Paris, dans les bureaux de MM. Cusin, Legeridre et C% a eu un succès complet. Toutes les dépêches télégraphiques avaient dit qu'après avoir été pansé dans le palais de l'archiduc Albert, l'empereur d'Autriche était retourné pied au palais impérial. Le fait est inexact et la Preste constate qu'il s'y est rendu en voiture. elle télégraphique arrivée Berne, Tessinois expulsés de la Loin hardie masse dans le canton. Le blocus est si que les livraisons de sel stipulées par un n'ouït plus lieu. On retient le sel même déjà issent. Pestli, adressée i la Gazette gshoury], et portant la date du 17 lévrier, les lies de Milan.y auraient eu leur contre-coup. 11 avait, dit lalsure, un projet d'insurrection géné- Depuisqi^-lquesiourg. ona fait des arrestations. pb-ines de personnes suspectes ou )L'avant-deruière nuit, la police a j/oyageurs dans l'hôtel d'Angleterre. toutes les places conduisant la for- de étaient garnies de sentinelles, rae- jusqu'à ce jour. Toutes ces mesures l'on voulait tenter un coup de main sur la forteresse et délivrer les nombreux prison niers politiques. On assure que la Cour supérieure de Florence a prononcé sa sentence contre les individus détenus sous l'inculpation d'avoir participé l'assassinat tenté sur la personne du ministre Baldasseroni. Des quatre individus poursuivis, l'un aurait été condamné trois années de réclusion dans la forte resse de Vollerra, deux une année d'exil dans divers lieuxde la Maremme, el le quatrième, cause de sa qualité d'étranger, l'éloigueuienl du grand- duché. Celui qui a frappé le ministre s'est enfui et a quitté la Toscane. propos de procès et de la Toscane, on rie parle plus de l'affaire Guerrazzi dont les débats sont ou verts depuis l'été dernier, et qui n'a étéjusqu'ici ni jugée ni abandonnée. L'autre jour c'était M. Brenier qui devait aller remplacer M. de Lavaletle, l'ambassade française de Conslantinople. Aujourd'hui le Moniteur annonce que M. deLacour, ministre plénipotentiaire Vienne, est nommé ce poste. Les journaux français publient une nouvelle liste de cent cinquante huit individus, condamnés par les cotlimissions mixtes, auxquels remise est faite de leuj* peine. C'est pour soumettre au Saint-Siège la question des classiques, que \1. Veuillot, rédacteur en chef de l'Universs'est rendu Rome, en compagnie de M. l'abbé Gaume et de Mgr. de Salines, évêque d'Amiens. Le correspondant du Journal des Débats doute que le Saiiil-biége veuille prendre aucune dé cision dans cette affaire. Le gouvernement autrichien se prépare ren forcer l'armée d'Italie, de mauière n'être surpris snr aucun point. Tout le corps d'année de la Mo ravie, sous les ordres du général Schlick, a reçu l'ordre de se mettre eri marche. 11 passera par Vienne pour se rendre sa nou velle destination. Les troupes se concentrent sur Laybach. L'empereur d'Autriche a ordonné que tous les soldats qui ont été blessés dans l'émeute de Milan, recevraient un secours sur sa cassette particulière. La PressedeVienne, avait annoncé que l'assassin de l'Empereur avait touché la veille, chez un ban quier, le montant d'une traite de boo fl. venue de Londres. Cette nouvelle a été reconnue iausse. Nous recevons une protestation du euré Pollet,de Locre, qui réclame contre un fait quesurle rapport de personnes dignes de confiance nous avions cru pouvoir rendre publie. Nous avions tout lieu de croire la contravention exacte, puisque le Propaga teur avait daigné l'excuser. Peut-être y a—t—.il confusion et s'agit-il d'ua prê tre d'une autre commune Quoiqu'il en soit, nous publions la protestation du curé Pollet, sans qu'il doive invoquer l'autorité judiciaire, mais en fui faisant observer toutefois que sa missive n'eut rien perdu de sa valeur, si elle eût revêtu une forme plus polie. Nous prendrons de plus amples informations et nous feront connaître si la nouvelle inexacte, son sujetcomme le déclare M. Pollet, ne s'applique pas d'autres, car le fait en lui-même n'est pas démenti ce qu'il nous semble. Nous saisissons, cette occasion en publiant la lettre de M. le curé Pollet, de lui prouver que la protestation d'un prêtre est plus fa cilement accueillie par un journal libéralque celle d'un laïc par un journal soidisant morale t religieux. Voici la lettre Locre, le 25 Février 1855. A Monsieur le directeur du Progrés, d Ypres. Voire feuille n'ayant ni lecteur ni abonné dans notre paroisse, ni dans les paroisses voisines, je viens d'appren dre par hasard que vous avet donné, dans votre numéro de Dimanche dernier, un petit article, bien intéressant sans doute, pour vos lecteurs, dans lequel vous annoncez triomphalement que j'aurais été saisi en fraude par la douane française, avec une grande quantité de dentelles, etc., etc. Malheureusement pour vous et les vôtres, Mon sieur, et cor.me cela vous arrive bien souvent, il n'y a dans tout ce que vous dites, mon sujet, pas un mot de vrai. Je me vois donc obligé d'en appeler la loi, afin de vous inviter insérer dans votre plus prochain numéro la présente protestation. Je ne sais si je pourrai attendre de l'équité de vos confrères, qui ont mis tant d'empresse ment pour reproduire votre précieux article, qu'ils repro duisent aussi cette réclamation. Ph. Pollet, curé d Locre. nouvelles diverses. M. Benazel a obtenu de nouveau la ferme des jeux de Baden pour i,521,400 thalers. Les abîmes delà mer ont une étendue qui varie beaucoup; peu considéiable pour la Manche et beaucoup moins grande qu'on ne l'aurait cru dans tout ce canal de jonction entre l'Angleterre et la France, leur profondeur atteint, pour la pleine mer. des proportions énormes, dont les évaluations sont d'ailleurs fort incertaines. Le capitaiue Denham, de la marine anglaise, écrit M. de Humboldt que, par le 36' degré de latitudeil a jeté la sonde, et qu'il a État-civîi, d'ïpbi:», du 20 Février au 26 inclus. Naîssances.Sexe masculin,6; idem féminin,2; total,8. Mariages. Néant. Décès. RavanCharles-Joseph, 69 ans, cordonnier, époux de Walburge Vande Casleele, rue de Menin. DemeyCaroline-Joséphine, 87 ans, sans profession, veuve d'Henri Van Zandycke, rue de Cassel. Lander- wyn, Geneviève-Cécile, 75 ans, dentellière, veuve de François Ferrand, rue de l'Hôpilal-S'-Jean. Labyt François-Xavier, 75 ans, veuf de Marie Slckelorum, époux d'Isabelle-Constance Duflou, rue de Menin. GrymonprezMarie-Françoise, 77 ans, dentellière, veuve de Nareis Orcel, rue de Menin. De SmitsCorneille- Antoine, 71 ans, tailleur, époux d'Idonie-Françoise Van de Maelc, Marché-au-Bois. OttonAlbert-Charles, 63 ans, journalier, époux de Stéphanie Renart, rue Basse. De TurckFrançois, 50 ans, boucher, époux d'Amélie- Constance Missy, rue de Dixmudc. Feys, Brunona- Françoise, 53 ans, sans profession, célibataire, rue delà Bouche. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin, 6 idem féminin, 1 total, 7. Marché d'ïprer, du 26 Février 1853. A cause du mauvais temps, il se présente peu de fro ment au marché; aujourd'hui 199 hectolitres ont été offerts en vente; les prix ont peu changé et ont varié de fr. 19-20 21-60; en moyenne fr. 20-40 l'hectolitre. Une légère baisse s'est produite sur les prix du seigle 9 hectolitres seulement ont été présentés en vente; les prix ont été de fr. 13-60 13-80; en moyenne fr. 13-80 l'hectolitre. Les prix de l'avoine sont montés de 25 centimes l'hectolitre 6 hectolitres se sont vendus de fr. 7-50 8-50 en moyenne 8 fr. l'hectolitre. Il y a eu 60 centimes de baisse sur les prix des fèves; 60 hectolitres se sont vendus fr. 13-60 l'hectolitre en moyenne. Les prix des pommes de terre n'ont point changé 1,200 kilogrammes ont été vendus fr. 9-50 les 100 kilogrammes.

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Le Progrès (1841-1914) | 1853 | | pagina 3