timetres lient E. Id. d'Utao parte deux vantaux 'F.' Id.'|wBMl^^e«' Ces dessins 'ief'ottf^ajta'à Vetfhelte de 10 ccntimèt pour niètrë'èt dôivéht être cxêcijtT's connue s'i.ls état destinés un (ytorier lAsr^'i'' eciiiiiel'cetiou des meubles. A 3° MODÈLE EN RONBE (lO^Bn'UN yiKB OiINÉ, pouvant êll'C reproduit en pqrcel.aiiié^^^ itinrbr.t;j çn métal et en car ton-pierre; hauteur n'exoéit'utt pas-jà'on iiiètre. 4° CADUC EN BOIS, AVEC ORNEMENTS SCUI-FTÉS J le CildrC DC pourra être d'une dimension moindre de 50 centi mètres de hauteur et de côlji. 5° ciselure d'arme fourbie, épée ou sabre. )ans chacun de ces concours, l'exposant dortt l'œuvre rait jugée occuper le premier:rang, et représenterait, 1 d'ailleurs, un mérite distingué1, recevra un diplôme et une somme de trois cents francs. Des mentions honorables jagurront être décernées pour les envois qui paraîtront mériter d'être distingués. Art. il. Pour être admis prendre part aux con- faudra être Belge de naissance, ou cours spéciaux, il résider en Belgique depuis trois années consécutives Art. 12. Les objets faisant partie du concours reste- ttnt la propriété de leurs auteurs. Cependant les expo sants pour ces concours .seront tenus de permettre l'Association de faire prendre un dessin de leurs objets, pour être conservé dans ses collections permanentes ou pour servir aux publications qu'elle pourrait entre prendre. Art. 13. Les personnes qui se proposent de prendre part aux concours devront joindre aux envois leur nom sous pli cacheté. - Elles se conformeront, pour toutes les autres disposi tions, aux mêmes règles que les autres exposants, sauf qu'elles sont tenues de faire connaître le prix des objets qu'elles destinent aux concours. Art. 14. Les objets une fois exposés ne pourront être és avant la fîu de l'Exposition. - dés chronique politique. c Un SI avril an 23 inclus. «S» ^Cv ^rémise de la barrette de cardinal par Louis- v. -C* A ç-léon Mgr de Morlot, archevêque de Tours, et -^discours prononcés cette occasion, voilà tout y:qni peut attifer l'intérêt pour aujourd'hui sui es nouvelles de France. Hier la seconde Chambre des États-Généraux a repris ledébat sur le rétablissement de la hiérarchie catholique en Hollande. Le gouvernement fléchit sous la pression du pétitiouiieinenl. Le ministère a annoncé une quasi-rupture diplomatique avec la cour de Rome. L'envoyé néerlandais auprès du St-Père est rappelé. A la suite de celle déclaration, la Chambre a adopté une motion de M. Van ûoorn ainsi conçue La Chambre, après avoir entendu les coinmu- nications du gouvernement, desquelles il résulte que des représentations énergiques ont été ou seront fuites la cour de Rome, passe l'ordre du jour. Les nouvelles de Madrid sont du i3. Le général Lersundi persistait dans ses bonnes intentions. 11 avait offert M. Martiuez de la Rosa la présidence du conseil. Celui-ci l'avait refusée par ce motif qu'il ne voudrait pas présider un cabinet dont les mem bres étaient déjà choisis, et ayant un point d'appui dans les influences égales ou supérieures la sienne. La démarche du général Lersundi est rassurante toutefois, et donne lieu d'espérer une solution satis faisante de la crise. Le Times du 18 persiste soutenir, d'après des renseignements bien établis, dit-il, que Kossuth est compromis dans la découverte des armes et muni tions de guerre dont nous avons parlé. La première Chambre de Prusse a repoussé, dans sa séance du 18 avril, la proposition tendante fixer six années la durée de la période législative que la seconde Chambre avait adoptée. Le gouvernement bavarois avait organisé contre le Courrier de Nuremberg un système de persécution tel qu'au moindre mol de politique, la moindre allusion tel ou tel acte, le journal était saisi. La saisie était levée souvent, mais alors les nouvelles contenues dans le numéro avaient perdu tout leur intérêt. Depuisle l'janvier dernier, les saisies ainsi faites s'élèvent 55. Dans ces circonstances, le ré dacteur du Courrier de Nuremberg s'est décidé ne plus le laire paraître. Ce journal (autrefois Friedenss und Kriegs-Kurier) élail, après la Gazette des Postes de Francfortla plus ancienne feuille allemande. 11 a paru i37 années non interrompues. La réponse de l'Autriche la dernière note du conseil fédij^il est arrivée Berne le i5. Elle porte la date du 7 ou du 8 avril. La Nouvelle Gazette de Zurich croil savoir que le ton de celte note n'est ni belliqueux ni hautain. Cependant, ajoute la Ga zette, la prophétie de M. Druey, qui avait dit que l'Autriche se soumettrait la nécessite ux circ< slunces, ne parait pas devoir se réaliser. La Gazette des Postes de Francfort assure Comte il'Appony, ambassadeur d'Autriche la cou. .de iurm, quittera prochainement le Piémont pour retourner Vienne. - éloh a piévoir, depuis le départ de M. de l'ievel, de leuiie. Le vapeur le Tuyarrivé le 17 Southampton, a appui Lé des nouvelles du Brésil. Le Tuy a quitté Buéuus-Ayres le 4 mars. Au départ du courrier les allaires politiques étaient dans l'étal le plus alar- j niant, la désorganisation était complète. Buenos-j Ayresétail toujours assiégé par les forces d'Urquiza, l ■nais il n'y avait pas eu d'assaut eu règle; on s'était borné de part et d'autre des escarmouches qui avaient coûté beaucoup de sang inutilement versé. Lrquiza avait proposé la paix; on négociait, et en atleiidaui, une suspension d'armes availétéconclue, les deux armées gardant leurs positions respectives. Les journaux français ne donnent aucune nou velle importante de leur propre pays. Ils ont des nouvelles de Conslantinoplé du 5 avril, d'après les quelles la mission du prince Menschikoflaurait pour but de conclure avec la Porte, un traité d'alliance ofieusive et défensive, qui établirait une solidarité parfaite entre les deux pays, lesquels devraient être toujours prêts s'aider réciproquement, selon leurs moyens, en toute occasiou, n'avoir l'un pour l'au tre aucune espèce de secret diplomatique, et consi dérer comme euuemisles ennemis de l'un d'eux, etc. Les journaux français disent que le prince Men- j schikoll était sur le point de réussir laire accepter 1 ce traité par la Porte, mais ils espèrent que l'arrivée des ambassadeurs de France et d'Angleterre Con slantinoplé, le fera échouer. E11 publiant les noms des membres du nouveau ministère espagnol formé par le générai Lersundi,! le Journal des Débuts ajoute Un assurait, Madrid, que les membres qui composent le nouveau ministère avaient annoncé l'intention d'abandonner tout projet de réforme de la Constitution. Le Staats-Courant nous apporte une nouvelle in attendue. A la suite du vote de la stconde Chambre sur le rétablissement de la hiérarchie catholique, tous les ministres ont donné leur démission, quoi que au fond le vote ne fût pas hostile au cabinet. Le Roi a accepté la démission des ministres de l'inté rieur, des finances, de la justice, des affaires étran gères et du culte catholique, et leur a donné immé diatement des successeurs. Des déclarations faites par le ministère démis sionnaire, dans la séance du 18, il résulte que le grief reproché la Cour de Rome portait sur la forme plutôt que sur le fond. Le ministère repro chait au gouvernement de Sa Sainteté de ne pas lui avoir fait connaître ses intentions, et proclamait en même temps qu'en soi la hiérarchie ne violait pas la Constitution. Le parti protestant n'a probable ment pas trouvé le ministère la hauteur de ses répugnances pour la hiérarchie catholique, et c'est sans doute son influence qu'il faut attribuer la retraite du cabinet. Une dépêche télégraphique de Turin, en date de mardi, adressée VIndépendance, annonce que ce jour-là le ministère avait présenté la Chambre des députés, un projet de loi tendant allouer un crédit de quatre cent mille francs, destiné faire des prêts aux émigrés lombards naturalisés' sardes, dont les biens ont été séquestrés par le gouvernement au trichien. La nouvelle que le ministre d'Autriche Turin prendrait un congé, comme l'a fait M. de Revel, est révoquée en doute. On en conclut que l'Autriche ne veut pas rompre les relations diplomatiques, et qu'elle fera spontanément pour les émigrés lom bards ce qu'elle refuse de faire la demande du Piémont. Il paraît positif, nonobstant les dénégations dont le fait a été l'objet de la part du ministère anglais, la Chamhredes communes, que Mazzini quitta Gênes la suite de l'affaire de Milan, bord de la frégate anglaise la Rétribution. Cette frégate se rendit tour tour Livourne, Naples et Pulerme, l'ayant bord, et on 11e l'ignora pas dans ces deux dernières villas. A Naples, le gouvernement prit de grandes précautions, et l'on attribue en partie aux mêmes circonstances, les arrestations et même les exécu tions capitales ordonnées en Sicile par le général Filangieri. De Païenne, la Rétribution se rendit Malle, c'est là que Mazzini se trouve depuis. 11 y a publié un écril intitulé Agli lluliani! (Aux lla- liens), dont il a envoyé un fragment un jourual de Gênes, VItalia del Popoto, qui l'a reproduit. mtois, que le roi de gouvernement, par la tion de la coSTnissioii gouvernementale iu- maire, qu'il avait été obligé de nommer durant sa maladie. La Gazette de Casseldu 16 avril, publie dans sa partie officielle, une ordonnance qui abroge dans la Hesse-Électorale, la loi du 28 octobre 18*8, con cernant la liberté religieuse et l'introduction du mariage civil. Celle ordonnance abolit le mariage civil l'égard des membres des églises chrétiennes établies. Le nouveau ministère espagnol est discuté. Les uns soutiennent qu'il suivra les errements des deux cabinets qui l'ont précédé, et même avec plus de fermeté. Les autres espèrentau contraire qu'il en trera dans les voies de la conciliation. Le Heraldo, organe de 1 opinion constitutionnelle modérée, exprime la confiance que lui inspirent les nouveaux ministres appartenant cette opinion. El les autres Le Chancelier de l'Echiquier a présenté lundi der nier la Chambre des communes, l'exposé financier pour l'exercice i853-i854. Semblable presque tous les budgets présentés depuis les réformes de sir Ro bert Peel, celui de M. Gladstone promet de nouveaux dégrèvements au commerce et l'industrie. Ces dégrèvements sont évalués trente-trois millions et demi. Les droits sur le thé seront réduits d'atinéa en année, et ne seront plus, en i857, que d'un sbelling. Le droit d'accise sur le savon est aboli); les tint bi es d'assurances sont réduits ainsi que les droits sur les certificats d'apprentissage, et sur la plupart des denrées alimentaires. Prenant en considération la proposition de M. Milnei-Gilson concernant l'a bolition du droit sur les annonces de journaux, et pour l'éviter complète probablement, M. Gladstone propose de réduire le droit t> deniers; il supprime en même temps le timbre sur les suppléments. Quant Vincome-tax, il va sans dire que M. Glad stone en propose lu maintien, tout en lui conservant son caractère temporaire, lia déclaréque nul budget n'était eu ce moment possible en Angleterre sans cet impôt. Le gouvernement propose d'en autoriser la per ception pour sept nouvelles auuées, mais avec des réductions successives, savoir: au taux actuel de 7 deniers par livre sterling jusqu'en 1855au taux de 6 deniers jusqu'en 1857, et au taux de 5 deniers jusqu'en 18G0, époque oû les revenus publics au ront pris un tel accroissement, que les Chambres pourront, si elles veulent, reuoncer sans inconvé nient cette ressource. État—civil. d'Y pu es, du M Avril au 23 inclus. Naissances: Sexe masculin, 7; idem féminin. 8; total15. Mariages. Legon, François-Joseph, 24 ans, cordon nier, et De WaeghenacreSophie-Amélie-Justine, 28 ans, faiseuse de coiffes. Vanderbiest, Adolphe, 27 ans, musicien au 12» régiment de ligne, et GeloenJu lienne-Stéphanie, 29 ans, marchande de dentelles. Décès. Vande Casteele, Joseph-François, 52 ans, journalier, époux de Sophie-Clémence-Louise Dcdicr, rue de Menin. Daubenfeld, Hippolyle, 21 ans, soldat au 7e régiment d'infanterie, rue des Boucliers. De Meulenaere, Pierre-Jean, 51 ans, maréehal-ferrant, veuf de Cécile-Françoise Meursdom, rue de Menin. Obgn, Paul-Florentin, 48 ans, brouetteur de bierre, veuf de Marie Veriloene, époux d'Isabelle Wouts, rue de Mcitin. Lietaert, Honorée-Marie, 10 ans, rue de la Prison. Kestelyn, Jean, 51 ans, cultivateur, époux d'Eupliéntie Boulen, S1 Jacques-lez-Ypres.Sanctorum, Natalie- Jcanne-Joscphine, 48 uns, dentellière, célibataire, rue au Beurre. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin, 3; idem féminiD, 3 total, 6. Marché d'Yprfs, du 23 Avril 1853. Il y a eu un peu de changement dans les prix du fro ment; 388 hectolitres ont été exposés en vente les prix ont varié de fr. 18-80 21 fr.; en moyenne fr. 19-90 l'hectolitre. Les prix du seigle ont monté de 20 centimes l'hec tolitre 25 hectolitres ont été vendus de fr. 14-40 15-60 en moyenne 15 fr. l'hectolitre. Il n'y a eu aucun changement dans les prix de l'avoine; 26 hettolitres ont été vendus de fr. 8-50 40-50 en moyenne fr. 9-50 l'beetolitre. Une hausse de 40 centimes l'hectolitre s'est produite sur les prix des fèves; 83 hectolitres se sont vendus fr. 15-80 l'hectolitre en moyenne. Les prix des pommes de terre n'ont point changé 2,500 kilogrammes ont été vendus 11 fr. les 100 kilo grammes.

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Le Progrès (1841-1914) | 1853 | | pagina 3