BELLE MAISON HOFSTEDMEN A CEDER, A DES CONDITIONS AVANTAGEUSES H cn w Et principalement, par sa situation avantageuse, usage de PHARMACIE, ORFÈVRERIE. MAGASIN DE MODES OU DE DRAPS, etc. Pour entrer eiijouissance ilans le couraut de 1854. ADJUGERA PUBLIQUEMENT BERIGT. »- jf .s- - s "g t S. z g 5 s.s I q Q a c z e o. -a 2 bD te bruit est très-accralité V'kine que l'armée autrichienne va.subir une réduction partielle. te Time* dit qïre l'augmentation du taux de l'es compte a été vue avec satisfaction. Bien des per sonnes auraièh^HtêiHe voulu que l'escompte fût^ixé 5 p. c,aù lie.ù d«*4 1/2, le désir du commerce sérieux étant d'obtenir pour ses calculs, la stabilité dont l'absenc^e^.t plus" nuisible qu'une gêne bien caractérisée.im^éspere cependant que le taux de 4 1/2 suffira pour modérer la spéculation etla main tenir dans les limites 4e la prudence. Le Mo<m ng Chroniéle publie une correspondance de Constantinople d'aptrès laquelle l'exaltation de population turque+était son comble. Les Anglais es Français étaient'spécialement l'objet de la alveillance musulmane et la population grecque vivait dans de perpétuelles alarmes. La malle de l'Inde, arrivée hier Trieste, donne des nouvelles de Calcutta du 3 août. Elles annoncent que la famine régqait Rangoon. Par celte voie nous avons des nouvelles de la Chine, où ne s'était produit aucun fait nouveau de quelque importance. Le plénipotentiaire anglais Hong-Kong avait invité ses nationaux s'abstenir de toute interven tion dans les opérations de guerre des Chinois. La Gazette de Cologne dément elle-même anjour- d'iiui, l'arrivée du prince Menschikoffà Vienne. La Banque de France va élever son tour le taux de son escompte. C'est la nouvelle la plus impor tante que nous adresse aujourd'hui de Paris, notre correspondance particulière. Elle ajoute que la Ban que va faireau gouvernement un prêt de 5o millions de francs. 11 est probable que ce double fait était ignoré la Bourse d'avant-hier; autrement les fonds n'y au raient pas haussé, quoique après tout, la hausse ait été peu importante. M. Reeves, l'un des secrétaires du conseil des ministres de la reine d'Angleterreest parti de Londres, mardi soir, i3septembre, pour se rendre Conslantinople, afin de remettre lord Slraford de Redcliff, les nouvelles instructions de son gouver nement. Ces instructions sont de la nature la plus pres sante et des plus catégoriques; elles ont été délibé rées d'urgence dans un conseil tenu par le comte d'Aberdeen, lord Clarendon, lord John Russell et lord Palmerston, seuls ministres présents Londres. Les résolutions ont été prises l'unanimité, dit- on. On a remarqué que les quatre ministres qui ont participé cette délibération remplissent ou ont rempli la charge de premier secrétaire d'Etat ministre des affaires étrangères. M. Reeves est arrivé Paris le 14. On assû a communiqué au cabinelfrqnçaU^es^i^^ dont il était porteur. qu'il' lions Nouvelles diverses. Le Moniteur rend compte de la revue de Salory par Louis-Napoléon qui, cette fois, a harangué les troupes par un discours qui a terminé ainsi Après l'honneur d'avoir été élu trois fois par un peuple tout entier, rien ne peut me rendre plus fier que de commander des hommes tels que vous L'Echo agricole ayant eu le malheur de prouver par deschiffres incontestables, que la mesure relati ve a la taxe du pain, n'était pas aussi excellente que le gouvernement voudrait le faire croire, vient d'être frappé d'un premier avertissement. Le Globe raconte une anecdote qui prouve l'habi leté sans égale des Indiens se servir de l'épée et la simplicité de caractère de feu sir Charles Napier. A la suite de plusieurs combats avec les ludiens, un fameux jongleur visita un jour le camp angTais et exécuta ses tours devant le général, sa famille et son état-major. Entre autres faits extraordinaires, cet homme coupa en deux, d'un coup de son épée, un citron placé sur la main de son aide. On pensa qu'il y avait quelque connivence entre le jongleur et son compagnon. Diviser d'un coup d'épée sur la main d'un homme un objet aussi petit sans toucher la chair, lui parut une chose impossible, bien qu'un fait semblable soit relaté par Waller Scott dans son roman du Talisman. Pour éclaircir ce point, le géné ral voulut tenter lui-même l'aventure et présenta sa main droite au jongleur. Celui-ci, après l'avoir regardée attentivement, dit qu'il ne ferait pas l'ex périence. Je pensais bien que je vous trouverais en défaut, s'écria Napier. Mais arrêtez, reprit l'au tre, laissez-moi voir votre main g3uche. Le général la lui tendit, et l'homme dit alors avec assurance Si vous voulez tenir voire bras ferme, je ferai le tour? Mais pourquoi la main gauche et non la droite? Parce que la main droite est creuse au milieu et qu'il y a risque d'abattre le pouce; la paume de la gauche est élevée et le danger sera moindre, Napier tressaillit. Je fus effrayé, dit-il; je vis que c'était l'acte d'un homme d'une habileté extrême se servir de l'épée, et si je ne m'étais pas moqué de lui devant mon état-major, et si je ne l'avais défié de renouveler le tour, je l'avoue franchement, je ne mu serais pas exposé l'épreuve. Toutefois, je mis le citron sur ma main, et tendis fermement le bras. Le jongleur se balança sur lui-même, et, d'un coup rapide, coupa le citron en deux. Je sentis le tran chant de l'épée sur tfia., main, comme si on avait tiré au travers un lil froid, et voilà, ajoufa-t-il, quel» .sont les hahjJftKliruurs de l'Inde que nos braves sofïjaJ^-riTKui'laits Meeanée VARIÉTÉS. Voici le tableau des superficies des plus grands monuments de l'Europe Saint-Pierre de Rome, 20,000 mètres; Sainte-Sophie de Conslantinople, 9,69»; Saint-Paul de Londres, 7,809, le Manège de l'école d'équitatiori de Moscou, 7,260; Notre-Dame de Paris, 6,a58, Saint-Sulpice de Paris, 5,646; le Panthéon de Paris, 5,5g3, le Panthéon de Rome, 5,i82; le Temple de Minerve Athènes, 2,190,1a fameuse Halle de Padoue, 2,256; le Palais de l'in dustrie des Champs-Elysées va avoir de superficie plus de 60,000 mètres. État-civil d'Ypbes, du 18 Septembre au Ile inclus. Naissances. Sexe masculin, 6 idem féminin, 4; total, 10. Mariages.—L'Olivier, Henri-Nicolas-Ferdinand-Alfred 24 ans, sous-lieutenant au régiment des Guides, et Bous- man, Sophie-Philippine-Ghislaine-Eugènc, 25 ans, par ticulière. AclcePierre-Martin, 44 ans, cultivateur, et Vermeersch, Sophie-Constance, 23 ans, cultivatrice. Tegedhoff, Édouard-Frédéric-Joseph, 52 ans, journalier, et De Conincl:, Émérence-Clémence, 25 ans, dentellière. Leconte, Jean-François-Léopold, 29 ans, cordonnier, et Vercruysse, Louise, 25 ans, dentellière. Bulckaeti, Ives-Léon-Job53 ans, boucher, et Swingedauw Jeannette-Françoise, 44 ans, cultivatrice. Décès. MaertenJeannette-Joséphine, 69 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin, 2. Marché d'ïfres, du 24 Septembre 1853. Le prix du froment a subi une légère hausse de 49 centimes; la vente a été très-lente, le marché a été assez bien fourni; 372 hectolitres ont été présentés en vente, les prix ont flotté pour le froment blanc, entre fr. 25-60 et fr. 55-20; moyenne fr. 29-40; pour le froment rpux entre fr. 24-80 et fr. 50-40; moyenne fr. 27-60. Il y a eu hausse sur le prix du seigle qui s'est vendu en moyenne fr. 19-60; 58 hectolitres ont été achetés. Les avoines se sont vendues en baisse il y a eu dimi nution de 19 centimes l'hectolitre. Il y a eu, sur le prix des fêveibaisse de fr. 1-60 79 hectolitres ont été vendus. Les pommes de terre ont subi une augmentation 54 hectolitres ont été présentés en vente et vendus au prix moyen de fr. 6-17soit par 100 kilogrammes environ fr. 9-25. m MËIMBIgiR®, GELEGEN TE VOORMEZEELE, TE KOOPEN BINNEN YPRE. 1° Een HOFSTEDEKEN groot 3 hec- taren22aren 25 centiarcn, gelegen te Voor mezeele, langs den steenweg naerKemmei; gcbruikt door Dominicus Mortreu,en verdeeld in vierkoopen. En 2» Ecne I1ERBERG, genaemd de Niecwe Wandeling, met 29 aren 20 centi- aren grond, 00k gelegen te Voormezcele, langs gemelden steenweg. Den 1NSTEL zal gebeuren binnen Yprc, in de estaminet Antwerpen, Zatei'dag, 8" October 1853, om 3 uren namiddag, op het gevin van 1nstelpremien, ingeVolgC de VOOr- waerden berustende ten kantoore van den Lotaris VANDERMEEKSEH, te Ypre. ET AVEC VUE TRÈS-GRANDE RÉDUCTION DE PRIX, LE LOYEll d'une ENTIEREMENT RECONSTRUITE DEPUIS UNE DIZAINE D'ANNÉES, propre a divers genres de commerce Cette maison située dans un des quartiers les plus fréquentés de la ville d'Ypres, et ayant trois différentes issues, se compose d'un magasin servant de boutique, d'une salle manger, cuisine, six belles chambres dont trois au premier étage, et troisau deuxième, vaste grenier, très-grande cave pouvant servir de magasin, d'atelier ou d'habitation, petit jardin au fond se trouve en outre un petit bâtiment composé d'une cuisine usage de lavoir et d'une chambre l'étage. S'adresser au bureau de cette feuille. Le Notaire VA Y EECKE h YPRga 'J Le 5 Octobre 1853, 5 heures de relevée, I'Aigle d'or, Ypres, Grand'Place, la BELLE FERME contenant 25 hectares 96 ares 89 centiares Vlamertinghe, le long de la chaussée, deux kilomètres de la ville, vis- à-vis la campagne de Monsieur Evrard; occupée par Van Eecke. Mise prix 76,500 francs. By M' POUPART-VIENNE, Notaris ter residentie van Zonncbeke, is cr geldin leening te bekoinen raits goed bezet. By den Agent van affairens Médard DE GEESTtôt Rousselaere, zyn gesta- dig te bekomen groote en kleinc kapitale sommen, op leegen intrest en hypotheek. h UJ cj PS S Cd o -e j us H Z US us 53 us O m ee I u c» co ce IaJ Eà co co -0 SI S O as -*=> >- 7^ mJ <0 |i| ^=i rz (=S x S* UI -S e M h O s, tj 4) S 2 13 S h ae -g k SO o ûs a. tC G t-o "S O o 9 «1 uO N M s i? 55 ■s s a o 3 a m C O a o es O ta Sf a a- C o ■°d o S CQ O O O O rrt e* s g S K çj -o a a as 6- US c O a àP 3 O c -O te te - .E -a is u o 1 S s O o Zm 3 a w es ■O m es g V te c es u S E ÇJ O "U 'ïZ Ss "5 2 a. g Z o j» jj -3 9 .E e> a. 5 - w -- S Z— o T3 te c I Cl es o u o 3 J3 g tes 3 O c C> 3 IO es c.' o c a ZJ us 3 Ci c c v -3 e 20 1 F tc'^ cc 3: -3 et te L c c -Z w o c/> S 2 "2 o -s c co o T o C t- VI o «5 o- 0 se O a c c - C «1 Cî w us i-s a e o o «*- G* IO 3 -k _0 t- s r- V", S - s S E o. M e® <r .2 c O t3 S 3 - 8 t- Cz3 G s g fii 5K caj 5 a te C .3 US TT Ci CO o c-9 O S' "^3 us 'rr ogSii -c 5Î mîj c C5 O -OOO^CCIG J^îOOO S is22is!sii Jej9»8 8-S A ÇZ G se 55 t - -S te - —z tp-3 C zz o Jz TZ te -C *3 N i- o c M es Zm •g 2 s 2 3 S s p S w A a. e* t. ■S a S a S l 2 c a t. o-a te "S S c - c >s?ï£ - g 5 Yk Il a B S Z c o E o te «s a 2 SP S s. 1.5 S? c - o 2 L te o .E G O ■°3 «5 5 g O S- tp O a te 3, o .E i£ S Ci S5 Ta c o c; O G es c c S s en us Ci C C O «V Ci r* .«O CJ r__ t" C C H O es O W N N "C Ci O 3 G O s- te~ ^5^5-2 2 o.S H Sj-1 -w o r3 c3cs-.cnu c- S O. co O "3 -, c .h C^-SO >>0 G g I o 00 3 «IO esj M co G

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Le Progrès (1841-1914) | 1853 | | pagina 3