IIOTEL DE LA EIIATEI EEME s- **e Année. »v a 3 Jeudi, 13 - nouvelles «liverses. AVIS Mil. les créanciers du chemin de fer de la Flandre occidentale.(Ligne «le Wcrvicq l'ope ring lie.) Sont convoqués en assemblée au Samedi, 22 Octobre 1853deux heures de relevée l'estaminet du Grand Sultan Grand'Place, Ypres, tous les négociants, marchands, etc., qui out fourni des matériaux pour la susdite ligne du chemin de fer et dont la direction refuse le paiement, sous prétexte que c'est Monsieur De Vistel de Lille, qui les a comman dés; afin d'aviser aux moyens de forcer ces Messieurs solder ces fournitures. ce o. s s en g c J a N -T3 0 g f o S N S a te s a s i - f%- s -S*A V*~- - issie.;Ell§rf sera poussée par le cabinet de Londres,1 |Ije(ll (Je :eunes fi||e8. qui dans.utv conseil des niinislres tenu avant-h.cr, -a Q ,es maîtres chez lesquels se rendaient les déc.de a 1 unanimité-, au .1 fa lait reprendre les negoc.a-j J d<J recommandalion tions pour itiriver a une solution pacilique. -a- L'empereur de Russie a fait ce qu'on avait annoncé du coiffeur, ®,ale',t ""Ire^qu, dea propriétaires de après avoir reçu l'empereur d'Autriche et le roi de Prusse maisons de denauche, dont L.... s elait constitue le Varsovie, il est retourné Rcrlin, vendredi* soir, avec pourvoyeur duos la capitale. Les malheureuses jeu- ce dernier, et a dû repartir hier, pour se rendre Saint- nés lilles, victimes de cette odieuse exploitation, Pétersbourg par Kœningsberg. 1 arrivant leur triste destination la plupartdu temps Il parait certain que le\ministèrc espagnol se propose sans aucune ressources, étaient réduites choisir -'invoqua- les Corlès jiour le 19 novembre, jour de la la reine Isabelle. La nourse de Çaris d'avant-hier est venue eu hausse, les nouvelles pacifiques continuent de nous arriver de tous côtés. On verra par la côte de la bourse de Vienne du 8, que ce jour-là, les fonds ont regagné ce qu'ils avaient perdu la veille. Nous avions donc raison de dire que rien ne justifiait la panique du premier jour. Le duc de Saxe-NVeymar, général d'infanterie au ser vice de la Hollande et commandant de l'armée néerlan daise aux Indes-Orientales, vient de donner sa démission de ces doubles fonctions, II est remplacé par M. le général- major Siuers, auquel le roi des Pays-Bas vient de conférer le grade de lieutenant-général. L'arcbcvêqueet lesquatre évéquesnommésen Hollande suite de l'établissement de la hiérarchie catholique, ant reconnus par le gouvernement néerlandais. Le inistre du culte catholique, M. Lichlenveldvient erlir les gouverneurs des provinces qu'ils peuvent correspondre officiellement avec eux pourvu que les noms ;de famille précèdent les litres des prélats. Une vingtaine de réfugiés politiques ont été arrêtés Gènes, par ordre du gouvernement piémontais. Le Par- lan\ento de Turin dit que ces arrestations ne doivent inspirer aucune inquiétude aux réfugiés honnêtes. Le gouvernement persiste dans l'intention de conserver inviolable l'asile ceux qui ne se rendent pas complices de participation des mouvements étrangers de nature compromettre l'État, ni d'autres délits. Une dépêche télégraphique privée, en date de Turin, 7 octobre, annonce que la Gazette officielle publie une or donnance royale portant réduction des droits perçus l'importation des céréales. Une autre ordonnance royale réduit de moitié le tarif des transports de céréales sur le chemin de fer de Gènes Turin. Celte dernière mesure est temporaire. Le gouvernement toscan vient de promulguer une nou velle loi municipale. Le pacha d'Égypte vient de se rendre aux représenta tions des consuls étrangers Alexandrie. La défense relative l'exportation des grains ne sera mise exécu tion que le 1r décembre. Le bruit s'était répandu Washington que non-seule ment la Russie, la Prusse et l'Autriche, mais aussi la France et l'Angleterre avaient protesté contre l'attitude prise Sinyrne, par les agents des États-Unis dans l'affaire Costa. Le New-Yorl; Herald se dit eu situation d'affirmer que les ministres de France et d'Angleterre, MM. de Sartiges et Crampton, n'ont fait encore aucune semblable démarche auprès du gouvernement américain. Hier, vers six heures du soir, un terrible malheur, dû encore l'imprudence des parents, est arrivé la banlieue de la ville d'Ath, faubourg de Mons. Jules Quesnes, se trouvant seul dans la maison, s'amusait jeter quelques morceaux de bois sur le feu, lorsque tout-à-coup une étincelle mit le feu ses vêtements. M. le commissaire de police qui se trouvait non loin de cette demeure, entendant les cris de cet enfant, courut aussitôt sur les lieux, mais trop tard, tous ses membres étaient déjà hor- liblement brûlés. M. le commissaire, quoique brûlé la main, lui prodigua tous les soins. Cet enfant est mort aujourd'hui 11 heures du matin. Un sieur L..., exerçant ostensiblement la pro- fession.de coiffeur dans la commune de Schaerbeek, entre la houle de la condition qui leur était offerte, et la mendicité ou le vagabondage. Malgré les plaintes nombreuses et véhémentes auxquelles devait donner lieu l'industrie de L..., il y avail déjà cinq ans qu'il l'exerçait sans entraves, lorsque la police, dont l'attention avait été éveillée enfin par des actes récents de scaudale, vinty mettre un terme, en arrêtant le placeur, surpris en flagrant délit de marché avec un nouveau clieut. On lit dans le Phare de la Manche Un malheur est arrivé en rade de Cherbourg, dans la soirée de mardi 4 octobre. Vers sept heures, le canot de la bisquirie de Saiut- Vaast, l'Aimable-Marie-Louise,capitaine Deleuvre, parti du port de commerce, sous la conduite de deux hommes, pour aller porter en rade, bord du vaisseau V Auslerlitzdeux marins de ce bâtiment. Trompé par la brume, contrarié par un fort vent du Sud et peut-être mal gouverné, le canot ne put accoster le vaisseau et dériva vers l'est de la digue, où il dut chavirer sur les huit heures, et où on l'a trouvé au jour la quille en l'air, flottant près du talus intérieur du môle. Les quatre malheureux qui étaient dans celte embarcation ont péri. Vienne, Vendredi, soir. La déclaration de guerre formelle par la Porte est parvenue la légation ottomane pi ès de notre Cour. Elle est toutefois accompagnée de la déclaration suivante Les hostilités ne seront toutefois ouvertes que si, dans un délai déterminé, les Russes n'ont pas évacué les Principautés du Danube. Marseille, dimanche. Le bâtiment de guerre anglais le Fury vient d'en trer dans notre port. Il est parti de Conslantinople le 2 octobre. Il confirme la nouvelle que la Porte a déclaré la guerre la Russie ajoutant qu'elle commencera les hostilités si, quarante jours après la notification, les principautés danubiennes ne sont pas évacuées Des onze membres du gouvernement provisoire proclamés l'iiôtel-de-ville, le 24 février 1848, deux sont morts: M\l. Armand Marrast et Arago. M. Albertest en prison. Trois sont exilés sur la terre étrangère ce sont MM. Ledru-Rollin, Flocon et Louis Blanc. Les cinq autres vivent en France dans la plus profonde retraite ce sont MtVl. de Lamar tine, Marie, Garnier-Pagès, Crémieux, Dupont (de l'Eure). semaine defUK, il est mort suhtHhpienl dans son fauteuil, étouffé par la graisse, crfïjue je présume. Trois jours avant sa mort il pesait 64^ livres. naufrage troiscent quarante-huit victimes. Ou a reçu hier Liverpool la nouvelle de la perle du vaisseau epiigrant Annie-Jane, parti de ce port le g du mois dernier, en destination de Quebec et de Montréal, avec 4^0 passagers, dont 348 ont péri dans les flots. Dématé par des vents contraires dans 1 Océen atlantique. V A unie-Jane a été poussé sur la terrible côte de Barra, une des Hébrides; et cinq minutes après il coulait fond. Le naufrage a eu lieu en vue de l'île Valersay, que 102 passagers seulement, y compris le capitaine, sont parvenus atteindre. Le commandant était resté sur les débris de son navire pendant six heures après le désastre, faisant tous les efforts humainement possibles pour diriger le sauvetage et arracheraux flots les malheu reux qui luttaient encore. Le capitainea fait les plus grands éluges des habitants de l'ile qui ont recueilli les naufrages. On se souvient, dit le Journal de* Débals, qu'un lieutenant de la marine française, M Bellot, avait généreusement offert de partager les dangers de l'expédition anglaise envoyée la recherche de sir John Franklin. M. Bellot avait déjà, l'année der nière, fait un premier voyage. Il était reparti avec la nouvelle expédition, suivi par les vœux et la reconnaissance des compatriotes du navigateur per du. Nous avons malheureusement annoncer que e courageux et dévoué marin a péri dans les glaces. Le rapport du commandant anglais, dont nous avons publié liier un extrait, dit que M. Bellot, en allant d'une station une autre pour porter des dé - pêches et des nouvelles, a été jeté par un violent coup de vent dans une profonde crevasse de glace où il a été noyé. Deux hommes qui étaient avec lui se sont miraculeusement sauvés, et ont rejoint leur bâtiment après trente heures de souffrances. Tout le monde s'associera aux regrets que laisse ce géné reux jeune homme et l'hommage qui est dû sa mémoire. On compte Paris 601 boulangers et 5gg dans la banlieue. Total, 1,200 boulangers pour i,5oo,ooo bouches. On lit dans le Javannah-News Un médecin uous communique une lettre dans laquelle nous remar quons le passage suivant «Je puis vous citer un exemple de mort occasionné par une rapide sécré tion de graisse. Nous avions 18 milles de notre ville un jeune homme qui était un vrai phénomène A vingl-deux ans il pesait 565 livres; il continua grossir jusqu'à un peu de 600 livres; il était l'aise et prenait soin de sa plantation. Il y a quatre se maines, il com m en ça grossir encore, d'abord d'une j livre et demie par jour, ensuite de deux livres. La j Dixmkde. Marché aux grains du 10 Octobre 1833. SORTE NOMBRE prix DE GRAINS. d'hectolitres PAR HECTOLITRE. FR. C. FR. C. 25 00 55 50 21 00 22 00 Orge d'hiver 15 86 18 97 6 80 8 16 14 00 15 50 15 00 15 66 ■te!) Ês) ts§ te!) a H -3 W N! W S CS O o a a Ul lil M g a a o Ul CL O o se u H s u 2 o es w f" tk se a a a G a c a o O s CM te B S s o P a -s te se S tf 5 c -3 S S o o o c c z. W 5 I I CM q s- T3 u en _2 te ^3 o 2 2 "7S -2 <y u o OJ -1 o s o g CM o c tC O es 2 C5 (M fcg 22 o ua o o s e o o aa <^T te as s s 0 "I -J W cn en o te fe J2 cC te O o H-t O as c g CM c te o M es ^3 "3 o c s 2 5 te o c/D c: ca c A S o o tm QJ -S s o tp a O CM CJ te H O O c C* rc <y ça w o H M i te .s bafl m te S -o "S e 5 u: a. - - g - u s S ai Tenu |»ar M"' CHIKLOTTE SOYXEV1LLË. M"0 CHARLOTTE SONNEVILLE a l'honneur de prévenir MM. les voyageurs que cet ancien hôtel n'a jamais été fermé, et qu'elle continue y recevoir les personnes qui veulent l'honorer de leur confiance. La table d'hôte se tient une heure de relevée, elles dîners particuliers toute heure du jour. Divers embellissements, récemment opérés cette magnifique construction, lui per mettent d'offrir MM. les voyageurs des appartements très-confortables. Un service de bains se trouve organisé dans cet établissement.

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Le Progrès (1841-1914) | 1853 | | pagina 3