u pd J IIOTEL DE LA CHATELLEIVÏE Nouvelles diverses. O sa a Sri g S». !|j -S 2 I- GRANS'PLACX, A Y1PRS Du reste et sous ce rapport, cettj semble destinée bouleverser tiiuJ Jusqu'ici on avait dit Si vis pac\ vous voulez, la paix, préparez-vous faut dire maintenant Vous voulez la d'Orient conçues 3 - Nous avons reçu des nouvelles de Mbnt 24 septembre, annonçant une nouvelle r< •einM* du bellutn. Si président Gero a dû quitter la ville èl se réfugier guerre. Il j, l10,d d'une frégate française: un gouvernement paix, commencez j jjr0Vj^0jre a nommé. Les affaires cependant par faire la guerre^ 1 ,r» 1 1 11 étaient pas eulravees Le Lloiid de Yrenne, du 4 novembre, dit en propres termes qu'il n'y a pas eu de combat entre les Turcs et les 1 l' Iegi aplnque publiée ci-dessus, nous "usscs, prçs de Kalafat. Le quartier-général rusSe restait d|JPl e"d^ que le n octobre, suivant le calendrier ^"Wii; les Turcs ne se seraient pas avancés plus loin 1 ussïS cesl-a-dire, le 2 de ce mois, l'empereur jvillagc de Skripcz, qui est 20 kilomètres de Nicolas a lait publier sou manifeste de guerre. Il ne j s'agit plus de négocier, mais de contraiiidi e la Tur- arrespôndandes de Vienne assurent d'un autre q'uië par les armes, se soumettre aux volontés du fi but ion 1 lits et actions qui qui se U*>rTvent saris destina articulière. Ce décret, dit le' jduit Mexico une immense |No (ildav Molda litté le Manquerai' ^Le grand il n'est pas vrai que les Turcs aient franchi le Tzar. Depuis huit mois, l'empereur de Russie trou |ur d'autres points encore que Kalafat. ble l'Europe pour un intérêt qui devait souieve «nonemns que St.rhey, hospodar de Valachie, COI1(re lui pn,live|.s eillier moin8 )es or(flocJoXe8 e Ëucharest pour Vienne. On assure qu il y ai, :0 v, r *1 L r M J qui vivenl sous ses lois, rious 1 aurions cru ulus par le général Gorlschakoff lui-même. r, 1A s que le prince Ghika, hospodar de'?**6' P "8*um}n.ê P.l"s juste. En le voyant mettre u quelle tournure prenaient les choses le comble son iniquité, nous ri avons qu'un regret: /oyé le tribut dû la Porte, et a aussi ce''" (le ,ie pouvoir espérer qu'elle retombera sur Invoye r hi déclarant qu'en continuant y rester, il 'Ul ,011' So" poids. es devoirs envers son souverain. \J Indépendance dit qu'on a appris hier Paris, je de Toscane, après avoir passé quelques d'une manière positive, qu'un engagement très-vif jours Rome, en est'parti le 29 octobre pour Naples. j et très-sérieux a eu lieu près de Kalafat. Ce sont les Les fonds pub,lies ont haussé d'une manière assez Russes qui, au nombre de douze mille, ont attaqué notable a la Bourse de Paris du 8. Il parait que l'idée les 1 ores. Ils ont eu un très-grand nombre de tués d'un congrès européen qui se réunirait Londres pour régler le différend turco-russe, gagne du ter rain. La Presse de Vienne eu parle comme d'une chose certaine, mais elle ne peut dire quand ce con grès se réunira, ce qui affaiblit beaucoup l'influence rue pouvait avoir son assertion. D'ailleurs, un congrès ne se réunit pas avec la cé- el de blessés. Les deux armées étaient également animées. Il y a eu des engagements très-énergiques la baïonnette. Les Turcs ont conservé leurs positions. Le manifeste de guerre de l'empereur de Rus sie, est la uouvelle importante du jour, devant laquelle toutes les autres pâlissent. Nous n'avons rien ajouter ce que nous avons lérité de l'étincelle électrique, et les hostilités, eu ce dit de ce nouvel acte du Tzar. Nous avons I moment flagrantes, pourraient être fortement enga-conviction intime qu'il y a unanimité en Europe gées avant que les diplomates pacificateurs ne lus-j pour condamner ses prétentions, La condamnation aent en roule pour l'Angleterre. sera sévère, surtout delà pirt du parti de l'ordre Après cela, l'on peut se demander si la diploma- j européen, car l'empereur de Russie le trouble sans tie qui a été impuissante éviter le conflit, pour- J droit, sans nécessité, saris justice, et s'il était vrai rail facilement y mettre un terme quand il sera defeomme il le dit, et nous croyons que c'est faux, que plus en plus engagé. On ne l'espère, ainsi que nous leSulian eût accepté pour auxiliaires les révolu- le disions hier, que dans l'idée que l'armée russe gagnera la première bataille. Certains journaux aiment soutenir des thèses singulières. Aujourd'hui, par exemple, le Siècle soutient sérieusement que la guerre doit être aussi utile la Russie qu'à la Turquie. A la Russie, parce que, victorieuse, elle garde sa conquête, sous pré texte d'indemnité; vaincue, elle l'end le territoire qu'elle serait obligée de rendre si elle acceptait la médiation de l'Europe. Elle ne peut pas perdre plus une défaite qu'a une négociation. A la Turquie, parce que par la guerre, elle fait lion" Trait serisalioil Le manifeste russe a été connu /5 Parispar une dépêche télégraphique. Il estVccirCfitf par les journaux avec nu sentiment de réprobation aussi prononcé que celui que nous avons exprimé nous-méme; les journaux du gouvernement,on le verra par le passage du Journal de l'Empire que nous citons, ne sont pas les moins énergiques. Les journaux s'occupent beaucoup aussi de l'affaire d'Oltenitza, sur laquelle les détails précis manquent encore. Nous les attendrons pour apprécier, sans crainte d'erreur, l'importance de ces premières hostilités. Il vient desc passera Casse! un fait des plus affligeants. Le gendre de l'Électeur a assommé coups de canne, le premier ministre de son beau-père, M. Hassrnpilug. 11 paraît que le comte d'isenburg voudrait que sa femme, née du mariage morganatique de l'Electeur avec la comtesse de Schaunbourg, fût élevée au rang de prin cesse. M. Hasscnpflug s'oppose cedésir; de là une grande haine du comte pour le ministre. Le 4 de ce mois, il fut le chercher au théâtre, l'amena sur la place voisine, et après un échange de quelques mots, il se mit le rouer de coups, jusqu ce qu'il ne lui restât plus qu'un bout de canne dans la main. La Gazette de Cologne prétend que des bourgeois étant survenus, le comte leur aurait dit Braves gens, ne vous mêlez pas de ceci je suis le comte d'isenburg, et je bé tonne le ministre Hasscnpflug. Les bourgeois l'auraient laissé faire, et M. llasscnpflug serait sorti des mains du comte tout ensanglanté. Le lendemain, le comte d'isenburg est parti pour Ei'furt avec sa femme. Une instruction est commencée. L'Élec teur a écrit son ministre une lettre de regrets, où il le prie de lui conserver ses services. La première Chambre a envoyé de son côté une dépu- tation M. Hasscnpflug pour lui exprimer les regrets de l'Assemblée. tionnaires de tous les pays, il l'aurait absous par avance, car c'est le Tzar qui est aujourd'hui le véritable révolutionnaire. La cause du Sultan est la cause du droit. Une attaque contre le droit est un acte révolutionnaire au plus haut degré. Le fait d'une première rencontre entre les Rus ses et les Turcs sur les bords du Danube, est con firmé. Nous recevons par des dépêches télégraphi ques de Vienne, du 8, quelques détails sur celte affaire, qui a eu lieu le 4, Ollenilza. La corres pondance de Parisel les journaux français en parlent aussi, mais n'y attachent pas grande importance. Le d'abord tomber de plein droit tous les traités oné- Journal des Débats oc la mentionne qu'eu termes reux que la Russie lui a imposés de victoire en vic toire, le pistolet sur la poitrine. Elle a chance ainsi, pour peu que la foilunelui fasse réparation du passé, de recouvrer la plénitude de sou indépendance. En- généraux très-fugitifs, et il ajoute: Quoiqu'i puisse se passerdece (été, onassurequedenouveaux ordres ont été envoyés de Conslautiuople Omer- Pacha pour avoir suspendre les hostilités. Le suite, quel que soit au premier choc le sort des Journal des Débals dit ceci d'après le Morning armes, elle peut être battue, elle ne peut pas être j Chronicle. La mont re de ces journaux relat de aussi vaincue. I bien que celles du Times, qui assure que l'empereur Ces raisonnements rappellent l'histoire de ces de Russie est disposé k abandonner sa position, quatre joueurs qui ayant juué toute une nuit, se j pourvu qu'on lui offre une issue convenable. L'issue, trouvaient avoir gagné chacun dix francs. Mais ici c'est la guerre. A l'heure qu'il est, le Times doit l'histoire nous apprenti comment la chose était pos sible c'étaient des joueurs de violon. L'anniversaire du 5 novembre (conspiration des poudres) a été célébré comme d'habitude Londres. Cette année, parmi les personnes les plus impopu laires du jour, on a choisi l'empereur Nicolas, comme il y a trois ans on avait choisi le cardiual Wiseman. Son effigie a eu les honneurs d'une pro menade burlesque en ville. l'avoir appris. Le Journal des Débats dit que d'après les der nières nouvelles d'Amérique, il paraît certain que le général Sauta-Anna est dans l'intention de se faire proclamer empereur du Mexique. Nous profiterons de l'occasion pour parler d'un acte de Sanla-Anna, connu depuis trois jours, mais dont nous n'avons pu faire mention jusqu'ici. Il s'a git d'un décret par lequel il a autorisé le rétablisse- La grève de Preston continue; les ou vriers persis- 1 ment de l'ordre des jésuites dans la République. Le lent rester inoccupés; ils reçoivent des différentes gouvernement leur rendra leurs anciennes maisons. On écrit de Tongerloo, le 8 novembre Un déplo rable accident est arrivé hier Soit. Le sieur Kort- jens, habitant de celle commune, vieillard de 70 ans eiiviion, père de 12 enfants, venait d'entrer, accom pagné de deux de ses fils, dans le bac du canal, avec un convoi du dix vaches. A peine le bac était-il en mouvement pour passer l'eau, qu'un deces animaux s'étaut jeté sur un autre, produisit un désordre la suite duquel bestiaux et passagers furent précipités dans le canal. Le plus jeune des deux fils eut le bonheur de s'accrocher une des piècesde boisde l'embarcation. 11 lut sauvé par le garde Jocbenis et le nommé Verheyen. Un troisième fils, arrivant sur ces entre faites, avec une voilure, et voyant sou père et son frère près de se noyer, se précipita leur secours et se noya avec eux. Bientôt, la vieille femme Kortjens se présenta son tour, pour passer le canal. Instruite du sort de sou mari et de ses deux enfants, sou désespoir n'a pas de bornes, et l'on a beaucoup de peine l'empê cher de se jeter l'eau. Une heure après, on repê chait trois cadavres en présence de la foule conster née, et au milieu des larmes et des crisdes nombreux enfants auxquels une mort cruelle venait de ravir leurs seuls soutiens. Oixhiide. Marché aux grains du 14 Novembre 1833. parties du pays, de nombreux subsides qui les en couragent dans leur obstination; la 'semainedernière, les tisserands ont reçu eux seuls plus de 2 ,000 liv. st. résultant de souscriptions particulières. églises et propriétés, l'exception du collège San- Ildefonso et de ses dépendances, et des biens qui sont destinés au service militaire. II leur sera éga lement rendu toutes les propriétés rurales et ui bai- SOUTE NOMBRE PRIX DE GRAINS. dneciolitres PAR HECTOLITRE. F». C. FR C. 31 20 39 50 26 50 27 00 Orge d'hiver 17 58 19 13 9 25 9 52 17 50 18 00 14 25 16 00 cn H U s M H fc H m O M É- u M m O H L M (d H K ta r* C/j1 as H 1-9 -9 w H Ex3 H O ce C - m a o c CZ *C1 E e. o G* sP- -O "C -c G* im rCC f" I z -- - o -GP C/) O H - a G r. Qfi - U C 3 3 S- f se o "U c/Î _3 Q-« «3 es O - es g-1 a ta "S e - 3 3 rr O 3 v) i - a. 3 es s -i -3 §-y 3 y J •■ce h cf) •3 S C® U g .s -J £T -= c o J «3 33 M e j= a> 'O S P3 *5 S en rnS *CG -H C5 S». U ïj O U c C £d -J V) ta t C3 bC S Q- «3 rz *0) 3 r c s .3 tC O ri _cc *35 to en C .2 "35 c i en Ci s i 3 O s- CJ 3 3 ec pp; cL S 5 CL O 1-1 m 3» es 09 »- tC S - S o-° P M> =-5 5 iT'5 c .E cr o O c CL ej CD s E4» "3 S- Q 0 3 G 3 V m C C8 '3 O c> en c 2 o «c; en g ."3 en -3 o J~ §9 C es te y c C v. O -a w C 3 C bO'Z sa cr ~ej en G? g m s 1 s- CO Cj m *3- c .2g a"! C3 en 3 -GP 3 S S ."S c te GP 3 CL Tenu par M11' CM A ItLOT'f E §Oi\lVEV1LLK. M"® CHARLOTTE SONNEVILLE a l'honneur de prévenir MM. les voyageurs que cet ancien hôtel n'a jamais été fermé, et qu'elle continue y recevoir les personnes qui veulent l'honorer de leur confiance. La table d'hôte se lient une heure de relevée, et les dîners particuliers toute heure du jour. Divers embellissements, récemment opérés celte magnifique construction, lui per mettent d'offrir MM. les voyageurs des appartements très-eonfortables. Un service de bains se trouve organisé dans cet établissement.

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Le Progrès (1841-1914) | 1853 | | pagina 3