PLUS DE CHEVEUX GRIS! BOOMEJf. EIKEN-B00MEN. B0SCHTA1LME l\ mm de mm 3 Nouvelles diverses. EIKEN, BEUKEN EN ANDERE GEMEENTE DRANOUTER. Le nombre de métiers était d'abord fixé douze, m ais les demandes d'admission devinrent si consi- dérables qu'il lut porté trente-huit5 aujourd'hui tous ces métiers sont occupés, de sorte que le nom- bredes jeunesgensqui fréquentent cet établissement peut être évalué, y compris les espoleurs, cin quante; leur salaire varie de 4° centimes a 1 franc 10 centimes, d'après leur degré d'aptitude, d'in struction et d'assiduité au travail. L'enseignement industriel ne se borne pas un genre de fabrication; il comprend toutes les espèces de tissus, depuis les toiles, les siamoises, les coton- nettes, les galapluids, les coutils, les orléans, les paramatas, etc., jusqu'au linge damassé. Tous ces objets se sont faits jusqu'ici pour compte de différents fabricants de Roulers d'isegliem d'Ypres, etc., mais depuis quelques mois un jeune homtne de la localit^ a essayé la confection de divers tissus, et tout permet d'espérer que sous peu, il y aura, Passchendaele même, un industriel qui, grâce aux facilités qu'il aura rencontrées l'atelier, pourra procurer du travail toute la classe ouvrière de celle commune. Les demandes d'admission l'atelier sont considé rables, et sans pouvoir préciser par des chiffres les avantages que le bureau de bienfaisance retire de cet établissement, l'on peut affirmer qu'ils sont nom breux; pour ne citer qu'un lait, nous dirons qu'en 1848, ce collège avait sa charge cinq orphelins, qui peuvent suffire aujourd'hui, par leur salaire, toutes les dépenses de leur entretien. Plusieurs jeunes gens qui ont terminé leur ap prentissage sont placés domicile et trouvent une existence honnête dans le produit de leur travail. Depuis près d'une année, uue école primaire a été annexée cet établissement; tous les soirs, au sortir de l'atelier, les élèves se rendent l'école commu nale, où l'instituteur primaire leur donne une heure de leçon. Cet enseignement embrasse la religion la lecture, l'écriture et les éléments du calcul. L'on peut constater dès présent que cette mesure exerce la plus heureuse influence sur l'intelligence, sur le caractère et sur les moeurs de ces jeunes gens. ClBi*oaBiquc politique. Un 12 Janvier an 14 inclus. Lundi, la Bourse de Paris s'est remise la hausse Est-ce que la question d'Orient est arrangée Avait- on du moins des nouvelles d'une tendance plus pa cifique? Nullement. On en était au même point que la veille, t.'esl ce qu'il parait la lettre du roi des Belges, remise l'empereur des Français par M. le prince de Chimay, qui a opéré la hausse ou qui y a contribué. Un correspondant particulier de Paris nous livre tous les bruits qui ont circulé ce propos. Nous si gnalons seulement ici le plusextraordmaire de tous: c'est que Louis-Napoléon aurait invité le duc de firabant aller lui faire une visite Paris. Ce bruit est un de ceux que l'on ne dément pas, mais auxquels on ne croit que quand ils se sont réalisés. Un journal semi-officiel, le Bulletin de Parit, fé licite hautement M. de Cas!elbaj.se, ambassadeur de France Saint-Pétersbourg, de n'avoir pas voulu assister au Te Deuin chanté en l'honneur du coinhtt naval de Sinope. Un journal de Stockholm donne des détails sur le comité secret de la Diete, où le gouvernement a com muniqué la demande de la Russie et la réponse qui fui a été faite. Folkeet Hast s'exprime ainsi Notre voisin russes commencé par produire plusieurs demandes passablement blessantes pour la Suède, au cas où la guerre éclaterait sur h Baltique ou dans le voisi nage. Le gouv ornement a décliné ces exigences dans les termes les plus précis; il a, en même temps, fait sur ce sujet des communications l'Angleterre, la France, la Prusse et l'Autriche, et a finalement obtenu le résultat satisfaisant qu'une parfaite neutralité serait garantie en cas de guerre, aux royaumes-unis, eu égard leur posi- sition insulaire, l'Angleterre, la France et la Prusse y mettant toutefois pour condition, que les royaumes-unis feraient des armements suffisants pour pouvoir soutenir et défendre eux-mêmes, en cas de besoin, une pareille neutralité. La politique suivie par le gouvernement dans cette question, aussi bien que l'énergie avec laquelle il a dé fendu l'indépendance des royaumes-unis, a satisfait tous les membres du comité. I^es dernières nouvelles des principautés, données par les jouctiaux allemands, parlent d'une insur rection des paysans de la petite Valachie, contre les Russes. Le fait serait vrai qu'il aurait peu d'impor tance. On écrit de Moscou au Lloyd que le sixième corps d'armée a reçu l'ordre de se mettre en marelle poul ie Sud. On prête ay gouvernement russe l'intention de créer Vienne un journal français consacré la dé fense de sa politique. La Gazette de Posen parle vaguement de la dé couverte d'un complot politique en Pologne et dans le grand-duché de f*osen et de nombreuses arres tations qui en auraient été la suite. Le gouvernement prussien se dispose faire l'ac quisition d'un port militaire dans le mer du Nord. 11 a communiqué ce projet la seconde Chambre, dans la séance de lundi dernier. Nous lisons dans la Gazette médicalesous les dates 26 novembre et 3 décembre, un rapport par le docteur Fiévet, sur la nature toxique et le danger de l'emploi des préparations de plomb et plus par ticulièrement de celles connues sous le nom de blanc de fard, cosmétiques dont le blanc de plomb et le bismuth sont la base. M. Fiévet a rendu en celte circonstance un éminent service l'humanité, cel les artistes et le monde élégant ont été trop souvent victimes de ce protée mallaisantaussi sommes- nous convaincus de la haute importance qu'on doit accorder h une préparation qui ne récèle aucune substance métallique. Il est de notre devoir de recommander tout particulièrement I'Aspasine 'crêrrie végeto-animal), cosmétique, inventé par Mignot, parfumeur, 19. rue Vivienne,Paris; il est le seul que nous connaissions exempt de tdut élé ment nuisible b la peau et dont on puisse désormais faire usage en toute sécurité. Entrepôt général pour la vente en gros chez M. BttULÙ, 23, rue de l'Hôpital, Bruxelles, et pour le détail chez tous les parfumeurs et coiffeurs de Bel gique. Ê-vxT-nvii. n'ÏPBi:s. du 8 Janvier au 14 inclus. Naissances. Sexe masculin 5 idem féminin 7, total 12. Mariages. MelsensAlexandre-Joseph25 ans, taniiscm-, et Vermeulen, Sophie-Cathcrinc-Joscplic, 52 ans, sans profession. BregnePierre-Ferdinand, 40 ans, journalier, et NoyezAmélie-Reine, 44 ans, jour nalière. TltieuwAnge-Albert, 52 ans, maçon, et Vun Lerberyhe, Virginie-Éinélie, 40 ans, domestique. Talon, Jean-Baptiste, 26 ans, cordonnier, et Nevejans, Barbe-Constance, 26 ans, dentellière. DécÈs. Van Becelaere, Laurent-Marie, 88 sns, jour nalier, veuf de Constance Monffu Béguinage. Ilaus- pie, Maric-Jacquclinc, 75 ans, dentellièreveuve de Joseph De Groole, rue de l'Hôpital-S'-Jcnn. Deramaut, Pierre, 62 ans, journalier, célibataire, rue de Tourhout. De CneuvelMarie-Geneviève, 78 ans, dentellière, veuve d'Albert-François Coulellc et d'Anselnie-Joseph Crepin Vieux-Marché-au-Bois. Mesure, Eugénie- Cécile, 16 ans, dentellière, rue de Mcnin. Poupart François-Dominique, 77 ans, capitaine pensionné, époux de ColeUe-Sopliic De Snick, rue au Beurre. Délava, Louis-Joseph, 52 ans, charron, époux de Sophie-Amélie Doom, rue de Tourhout. Enfants au-dessous de 7 ans sexe masculin 5 idem féminin 1total 4. IdAncnÉ d'Ipres du 14 Janvier 1854. Les prix du froment ont baisse on peu aujourd'hui; 174 hectolitres se sont vendus de fr. 54-88 57-80; en moyenne fr. 56-54 l'hectolitre. 11 y a eu 40 centimes de hausse sur les prix du seigle 16 hectolitres ont été vendus aux prix tle fr. 25-60 l'héctoljtre. Une baisse de 26 centimes l'hectolitre s'est produite sur les prix de l'avoine; 10 hectolitres se sont vendus de 10 fr. 10-50; en moyenne fr. 10-25 l'hectolitre. Aucun changement n'est survenu dans les prix des fèves; 10 hectolitres se sont vendus en moyenne fr. 10-25 l'hectolitre. Les prix des pommes de terre n'ont point change; 1,900 kilogrammes se sont vendus 12 fr. les 100 kilo grammes. L'dAU Blfî3S)lllEKlif!illE, la senle véritable, teint la minnteen tontes nnanccs et pour toujours, les cheveux et la barbe. L'(ÈIPII(L^¥©I1IRI£ BlKllDBlEiffl j enlève en un instant et sans retour les poils et le dnvet de la peau. Chaque article garanti fr. 6. DÉPÔT A YPRES, CHEZ BARBIER, COIFFEUR, RUE DE LILLE, 85. \ENDITIE TE BENXNGHEIaST, Op de Bosschen genaemd den Grooten en Kleenen Mullemaertlangs de straet van den Kasteclmulen, by de hofsledc gebi-uikt doorde weduvre van Pieler-Jacobus Capoen, Dynsdag, 51° January 1854, teu 11 urcii vooriniddag, van IOS 9400PEH ZEER SCaOONE VENDITIE Ter hofstede eu landen gebrulkt door d'IIcer Clf.mext Ver Llst. Op 2" Fcbrnary 1854, zyndu O.-L.-V. Lichtmis, ten 12 uren prccies, VAN 62 K00PEX ABEELEN, ;L 011 RHIN, fl tEIPlElM EN Elk zegge het voort. VERKOOPING VAN fcn PLANTSOENEWj Groeyende op de navolyende goederenge- legen te Dranouter, behoore nde aen bel Bureel van Weldadigheid en Kerkfubriek At>v7p/*it> tipiwppntp Bureel 1 derzelve gemeente. Maendag, 16° January 1854, ten 2 uren namiddag, in het Gemeente-IIuis, te Dra nouter, bewoond door Sr Baelde- Vallaeys. zal er vcrkochl worden de TAILLIE, oud 7 jaren, der volgeude bosselicn. 1» Van cen hectare 29 a. 44 c., gc- nocind den Bruynen-llcil, onverdeeld. met d'erfgenanien van d'heer Louf. 2° Van ccne partie inbotulende 72 n. 4 c genoemd den Legen-Bierpot, met 87 Planisoenen. 5° Van 22 a. 5 c., genoemd den Koc- raert, met 90 Planisoenen. 4° Van 55 aren 12 c., houdende aen 't voorgaendc boschgemeenc tusseben 't Armbestuer en de Kerkfubriek, met 20 Planisoenen. 5° Van 29 a. 70 c., genoemd Kerk- Elst-Bosch, wyk van den Zwarten-molen, met 62 Planisoenen. 6° Van 25 aren 72 c., 00k genoetnd Kerk-Eist-bosc.h, houdende acn 't voor gaendc, met 15 Planisoenen. En 7° Van een hectare 5 a. 84 c., ge noemd de Leegc-Ilelle, behoorende aen M. Bchaeghel, palcnde 't gebruik van Sr Van Pouillic-Dc Clierf. Dcze Venditie zal geschiedcn met lyd ZEER SCHÔONE VENDITIE V YN TE STAVELE, DIGT by het DORP ROUSBRl'GGE. Op Donderdag, 19° Janunrv 1854, met de middng-ucr, zal den Gueffieii RUVSSE\', 1 te Rousbruggc, verkoopen op de hofsteden van betaling, m,ts borg stellei.de en onder dc G cn gewoonelykc voorwaerden. IcWes Camerlynck, te Stavclc, 128 koo- Den Notahis 1TILKKY, IcNieuwkeikc,1 ZWARE È1KEN, JÈPEN, ABEELEN, ontvangst bclast. POPEL1EUENj W1LGEN en BEL'KEN-BOO- MEN. condition is met ilczc Verkoopiug en 1 Door t'ambt van M" IIOLVOET-VAN WOUiHEN, Notaris, te Bccrst, En ten overslaen van wien het behoort, OVEHSLAG op Maendag 25° January 1854, oui 5 uren namiddag, in d'herherg den Keizeii, te Bccrst, van Eenc schoonc IIOFSTEDE, met 12 hec- tarcn Cl aren 61 ccntiarcn Land cn Gras, te Vladsloo, by «le placls, gcbruikt by de W* Jean-Baptiste Provoost, geschikt in 11 koopen. Separaet ingesteld 22,500 francs. Vcilcomlilicn, titcls en plans ter studic van M" IIOLVOET-VAN WOUilIEN, voornoemd, eu inlichtingcn by SI" HlJIf- GIIEBAEKT, Notaris, te Slcrckcm. Op gewoonc van betaling. cn langen tyd MOYENNANT RENTE VIAGÈRE. ©É0H1& Journal (I un bon rapport, notamment par sa clientèle d'annonces. Le matériel qui sert son impression, peu coûteux, serait vendu en même temps. S'adresser personnellement au proprié taire pour obtenir tous renseignements. Grand avantage. La rente viagère se rait inférieure au chiffre do produit. Inutile de se présenter sans bonne garantie.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1854 | | pagina 3