I1111HSI A Ni» .4 NI AN El) CRÈME ET EU POUDRE. nouvelle* diverse*. BEAUTE ET CONSERVATION DE LA PEAU. APPROUVÉ PAR LES CÉLÉRRITÈS MÉDICALES. d'une source authentique, nous parait avoir entièrement raison, quaud il prétend que la neutralité des puissances allemandes n'est en vérité qu'une neutralité de (orme, tandis qu'en réalité celte neutralité n'existe plus. Voilà une interprétation grave de la situation, qui ne manquera pas d'être appréciée S'-Pétersbourg domine elle le mérite, d'autant plus qu'elle se rattache un acte politique européen, tendant réfuter les doutes qui pour raient être élevés au sujet de l'altitude de l'Europe dans la question orientale et vis-à-vis de toutes les éventuali tés qu'offre cette dernière, surtout de celles qui concer nent les intentions vraies ou supposées de la Russie. Cette question ne pourra dorénavant jamais être ré solue par des conventions particulières; elle sera jugée devant l'aréopage des grandes puissances de l'Europe. Les Autrichiens ne sont pas entrés en Servie, comme on l'avait dit, et le Constitutionneldans un article qui semble communiqué, affirme très-réso lument qu'ils n'y entreront pas, moins qu'uue révolution n'y éclate. Le gouvernement français est bien décidé ne souffrir de contradictions de personne. 11 vient de frapper d'un avertissement Jourtiul des Econo miste*un recueil mensuel qui n'est lu que par des hommes sérieux, très-capables, en général, de con - damner eux-mêmes les doctrines fausses qui y seraient préconisées et auxquels on pourrait cer tainement laisser ce soin. Quel était lecrituedu Journal des Économistes Il avait risqué quelques critiques, au point de vue de la scieuce donL il est l'organe, contre l'institution de la caisse de la boulangerie. Voilà où en est ce gouvernement qui se largue sans cesse de sa force. Il s'appuie sur l'assentiment de huit millions d'électeurs, sur une armée de qua tre ou cinq cent mille hommes, et il a peur d'une phrase ensevelie dans un recueil lu par quelques centaines de personnes tnoffensives. Un correspondant particulier de Paris nous ap- preud d'autre part, qu'uue visite domiciliaire a été faite chez le correspondant de la Nouvelle Gazette de Prusse. L'empereur d'Autriche vient de préluder l'am nistie qu'il doit accorder, dit-on, l'occasion de son mariage, par la levée de l'état de siège en Galiicie, en Hongrie et dans le baunal de Vuïvodie. Cet acte était tout fait inattendu, surtout cause de la guerre où l'Autriche peut se trouver engagée d'uu moulent l'autre. 11 parait constant que l'insurrection grecque est comprimée eu Epire; mais les insurgés tiennent encore en Thessalie. En Grèce, la célébration de l'anniversaire de l'indépendance hellénique a donné un nouveau stimulant au fanatisme de la popu lation. L'Observateur d'Athènes enregistre Seize ordonnances royales acceptant les démissions de vingt et un généraux, colonels et officiers, qui tous sont allés rejoindre les iusurgés. Des nouvelles de Nice, du 11 avril, annoncent que le duc de Valenliuois, fils du prince de Monaco, al toute sécurité l'issue de la guerre. 11 a passe en été mis eu liberté. Le gouvernement piémontais lui dîners les derniers temps de son séjour ici. On parle a laissé le choix de se rendre Monaco, par mer, ou beaucoup de deux de ces dîners d'adieux. L'un a été eu France parla voie de terre. 11 s'est décidé pour I donné par l'archevêque de Pari». MM. Cousin et ce dernier parti. j Saisset avaient été invités par le prélat, qui, dit-ou, Quelques habitants de Menton, qui ont pris part s'est montré fort aimable pouriesdeux philosophes. Que nous sommes loin de la monarchie de Juillet! Le pi être et le philosophe combattaient pour de bon immense, et il y avait aussi bon nombre d'équipages, de cavaliers et de daines eu amazone. Le temps s'est rafraîchi depuis avant-hier, et dimauche matin nous avons eu quelques rares gouttes de pluie; mais le temps s'est rasséréné depuis et la pluie tant désirée n'arrive pas. Un violent incendie a éclaté dans la nuit du 14 au i5,sur le territoire de Lokeien. Trois femmes ont été dévorées par les ffamnies. On manque d'autres détails. M. le maréchal de Saint-Arnaud a quitté Paris samedi matin, io heures 35 minutes, par le che- miu de ler.de Lvou, pour se rendre Marseille. 11 est accompagné de M™ la maréchale de Saint-Arnaud. M. le maréchal Magnan, un grand nombre d'offi ciers généraux et d'officiers supérieurs de l'armée, tous les officiers composant l'élat-major de M. le maréchal ministre de la guerre, s'étaient rendus la gare du chemin de fer. S. A. I. le prince Jérôme y avait envoyé un de ses aides-de-canip. M. le préfet de police et plusieurs autres hauts fonctionnaires de l'ordre civil se trouvaient égale ment au départ du maréchal. (Patrie.) On donne comme positif que le corps expédition naire lrauçais sera porté 100,000 hommes. Les préparalils se font déjà dans ce but. On sait qu'Ostende a le monopole des expéditions de lapins pour les marchés de Londres. A notre tour, dit le Journal d'Anvers, nous aurons l'appro visionnement de la Hollande. Depuis quelques jours, nous remarquousqu'il s'expédie une masse de lapins vivants pour ce pays, tous les bateaux de pêche en prenueut. Aujourd'hui, le bateau vapeur Amicitia en avait au moius 400 bord. La robe en dentelle de Gand, destinée être of ferte par la ville M°" la duchesse de Brabant, est terminée. C'est un véritable chef-d'œuvre, dit le Messager de Gandqui fait le plus grand honneur l'établissement des Filles Bleues, où elle a été con fectionnée. 1 On pourra se faire une idée "de l'importance du travail et des difficultés de la confection, quand on saura que les dentellières avaient manier 80,000 fuseaux. On écrit de Paris F Observateur Vous savez que l'héritier présompiif, le prince Napoléon-Jérôme, a enfin quitté Paris, et qu'il eit en route pour l'O rient. 11 est parti dqnanche, et des dépêchés spéciales nous tiennent chaque jour au courant de sa santé qui est excellente. Nous pouvons doue attendre en l'échauffourée provoquée par lui ont été écroués dans les prisons du Sénat, Nice. Le Longchamps Bruxellois a élé favorisé hier par un très-beau temps. La foule sur les boulevards était alors, et ne communiaient point la même table. Voyez aussi quel fonds on peut faire sur les velléités libérâtrescomme dirait M. Veujllot, de M. Cousin. Il n'y a pas longtemps qu'il applaudissait très- chaleureusement certaine phiIippique véhémente de son collègue Miguel. C'est le même homme qui vient tendre la main l'hérilier présomptif la table de M. Sibour. Le prince s'est montré froid et réservé. Lesdeuxéclectiques l'ont trouvéaristocrate. On suppose généralement que M. Ponsard sera nommé l'académie française, en remplacement de M. Tissot, qui vient de mourir Paris. Un chapelier de Berlin a pris une excellente ré solution pour faire augmenter sa clientèle. IL place au fond de chaque chapeau le portrait photographié de l'acheteur. Le brigandage ne disparaît jamais complètement de la campagne romaine. Nous avons rapporté il y a quelques semaines le vol main armée dont une famille française avait été la victime sur la roule de Civila-Vecchia ces jours derniers, M. Sauzet, an cien président de la Chambre des Députés, vient d'être le héros d'un événement peu près semblable. M. et M™ Sauzet, eu compagnie de quelques amis, avaient été faire une excursion Monte-Cavi, l'an cien Mous Abanus, où se trouvait le temple de Ju piter Lalial, autour duquel se célébraient les fériés latines et les triomphes appelés ovations. lis revenaient Albano en contournant le lac de ce nom, par une des plus délicieuses routes des montagnes romaines, quand tout coup, au détour d'un sentier de la forêt, M. Sauzet aperçoit le canon d'un fusil deux coups un demi-mêlre de son front. 11 comprit de quoi il s'agissait, mit la main son gousset et offrit au porteur de l'escopette les quel ques pièces de monnaie qui s'y trouvaient. Gracie, excelenzarépondit le brigand. Mais M. Sauzet son geait ses compagnons qui avaient pris les devans. L'industriel comprit sa pensée, et lui indiquait du doigt un fourié du taillis où il aperçut ses ami» Gia ho fatto. J'ai terminé avec eux, dit le brigand ftlice viagio, continuez un heureux voyage et il disparut dans la forêt. La perte pécuniaire éprouvée par M. Sauzet et se» amis est insignifiante, mais l'événement n'en est pas moins peu agréable et effraie fort les nombreux curieux amenés par les fêtes de la semaine sainte. Cependant on aurait tort d'y voir autre chose qu'un fait isolé fâcheux, déplorable accusateur de la mol lesse de la justice du pays, mais un fait isolé tel qu'il peut s'en produire dans tous les pays du monde. Le g avril, dimanche des Rameaux, trois cents palmes bénies par S. S. ont été envoyées au général commandant la division Irançaise pour être distri buées aux officiers des divers régiments qui en avaient fait la demande. Dixmdde. Marché aux grains du 17 Avril 1834. soute nombre prix de g ra ins. d'hectolitres par hectolitre pr. c. er. c. 30 00 54 00 25 00 24 00 Orge d'hiver 12 42 14 82 9 25 12 25 13 75 15 50 14 00 15 00 ,£28^05^8^ Çjg i Ce cosmétique blanchit et adoucit la peau, prévient la formation des rides, fait disparaître pour toujours les boulons, les tacbes de rousseur, les élevures de l'épi- derme, etc.; il est indispensable aux peaux sèches, arides et dures délayé dans un bain, il répand sur l'universalité du corps une teinte qui charme l'œil, et après l'immersion les chairs se conservent souples, élastiques et fermes; enfin il se combine si intimement avec le derme de la peau, qu'aucun indice n'en révèle la présence; il est exempt de tout élément nuisible et remplace d'une manière absolue tous les blancs de fard base de plomb, dont l'emploi est dangereux. Entrepôt kéxkrai. chez MIGNOT, fabricant de parfumerie surfine, 19, rue Vivienne, Paris; et chez M. BRULE, 25, rue de l'Hôpital, Bruxelles, où l'on trouve les spécialités de savon médical aromatique et de l'essence de violette de Parme pour le mouchoir. Kautoop vau den Nstari» CAPELLE, te Watou. HARINGHE-ROUSBRUGGHE. Dynsdag, 2* Mei 1854, ten namiddog, te Haringhc-Rousbrugghc, ter De Block, te Watou, Ixktel van eene patrimonlccle, wel bebonwde en bepl.intc Hofstede, gelegen (c Watou, Op Dynsdag, 2- Mei 1854, ten 5 uren '00®1 b-v ?c P'»cls, inhoudende, volgens de ii—tl cadastrale innet, 16 heclaren 95 arcn 50 687, 688, 689, 1, 712, 715, 714, 715, herberg genaemd den Molenwal, openbare cnn'Ya?' f!''6,.'1, 11 Vnpnaphtmflr. Lpn vorzoeke der wp.dnwp. on 716, 717, 7 1056, 1056'"', 1066, 10G6li', 1069, 1070, Verp.eluing, ten verao.kc 1er wcduwe en kinderen JfyOH, van Cr. M Za.llaa- J"j »"j den, te Iiaringhc, voor 9 jarcn intcgacn 1 October 1854. WATOU-PLAETS. 1071, 107 lb", 1072, 1094, 1094b", 1097, Watou, zuideinde der dorpplaets tegen- ,e J0'!6.1 baghel, te Ryssel; oordig gcbruikt door Félix Vervisch. ^Cl ce a ^ncf ln ''J koouen. beliou- En 2" Een Woonliuis staeude op grond der kerk, noordeindc der dorpplaets van Watou thans gcbruikt door de eige- naren vader en zoon Van Hove. WATOU, oost niet verre van de plaets. Op Woensdag, -10° Mei 1834, ten 5 urennamiddag, ter herberg n brouwery bcwoond door sieur by plakbrief in 19.koopen, behou- dens zamenvoeging. Met behoud vau gckruik voor Francis en Karolus De Baenetôt 1* October 1863, mils 1,500 francs 's jsers, boven de lasten. instelpennl.ng te winnen. Om allcvcrdere inlichlingcHzich lebege- .ven by voornoemdcn Notaris CAPELLE.

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Le Progrès (1841-1914) | 1854 | | pagina 3