PALAIS ENCHANTÉ GRANDSARTCOURTOIS, -S I TRAIN DE PLAISIR 2 REPRÉSENTATIONS EXTRAORDINAIRES. OU LES MYSTERES DU DIABLE, I* H 3 B il "s i i fr a n VILLE D'YPRES. A la Grande Loge, sur la Grande Place, DE LA FAMILLE PHYSICIEN BELGE, L'habile prestidigitateurdont toutes les feuilles d'Europe ont fait les plus brillants éloges. Aujourd'hui Samedi et Dimanche, UNE GRANDE PREMIÈRE PARTIE. I I. La Grâce de Dieu 011 la nouvelle Fanchon, caprice DEUXIÈME PARTIE. TROISIÈME PARTIE. QUATRIÈME PARTIE. L'ESCAMOTAGE D'UNE DAME'VIVANTE, Bureaux 7 heures. On commencera 8 heures. S §•5 3 3 z: r- g- O m r: n =T s- m- o A - 3 Sg 1 1 I I -1 z 3 a o. 3 ex a <y' S s 3 A O C 3 2 M a p /-o- K ^3 5:2 2 g. p 1 5 2 S 3 a. s 5 2.P as r« r* Dll 13 Août 1854. MODIFICATIONS AUX HEURES DE DÉPART. De Poperinghe 6 h. du malin Ypres 6-10 Comines 6-25 Wervicq 6-30 Menin 6-40 Wevelghem Cou rirai 6-50 8-00 Fleule 8-05 logelmunster. 8-25 DIseghem. Roulers Gits Lichtervelde Thourout. Bruges. 8-30 du matin. 8-45 8-55 9-05 9-15 9-45 Arrivée Ostende 10-30 Retour d'Ostende 7-00 du soir. S o. q- JS'CfQ S» aa s.» "S g ai 2 I O 3 M m 2 m S 2 ®9 m- e G s 2 g S as -S M PS S 99 a a a es n M A t* M f •S A a a. co, en a - -a Deux heures de Sorcellerie: i5 tours Indiens et Chinois, vraiment dignes d'admiration, au milieu desquels l'enchaqteur physicien emploiera son art fixer les regards et l'attention des spectateurs, par un enchaînement attractifet non interrompu d'effets intéressants, récréatifs, et destinés, par leur prestige, éloigner la monotonie et faire naître la surprise ainsi que le plaisir. Le répertoire se compose de i5o tours nouveaux, paraissant pour la première fois. I. Le vase Hollandais. 2. La boite mystérieuse, pour violon, créé par M. Grandsart. 3. Les bijoux voyageurs ou le petit courrier galant. 4. La couturière de 1730. 3. Le bijou des Dames. 6. Le fabricant de cartes. 7. Le vase enchanté ou la métamorphose du vin. 8. Le parapluie infernal chinois. L'expérience extraordinaire de la Suspension Ethé- réenne, ou les cScts prodigieux du chloroforme et de l'élher. M. GRANDSART, après avoir endormi son fils aîné avec l'éther, le fera tenir sur une canne, et il se trou vera suspendu dans une ligne horizontale. Intermède Musical, donné par M. Grandsart, violo niste. Il se fera entendre dans les morceaux suivants 2. Air italien avec solo et imitation de flûte traver siez, sur une seule corde. Grande séance de féerie mystérieuse fantastique et cabalistique. Le bassin de Neptune ou la clarification instantanée. Le Petit Robert automate. Les boîtes magiques de Pliaragnrainus. La polka des petits sorciers. La bouteille gastronome et l'cspingole espagnole.La foire de Beaucairc dans le Palais d'Abondance, ou 200 ca deaux aux jeunes spectateurs. Cette fête, une des plus brillantes de ce genre sera terminée pur par M11" Courtois, aînée. Au lever du rideau, on remarquera le plus beau cabinet de physique-mécanique, composé de plus de de 5oo machines, qui met M. Grandsart-Courlois même de varier ses expériences l'infini. Malgré la splendeur de ses brillantes représentations, le prix des places est fixé de manière ce que dout le monde puisse jouir de ces intéressantes soirées. PRIX DES PLACES Premières, 1 fr. Secondes, 50 centimes. NOTA. La salle est disposéeet décorée, de manière pouvoir recevoir l'élite de la société, et garanti du mauvais temps. IL Y AURA BONNE MUSIQUE. Pendant les intermèdes, une réunion d'artistes et amateurs de la ville exécutera quelques morceaux choisis. On ne donne qu'une seule représentation par soirée. s en o E o- s. 3 ST o. 3 n a.= 3 H g A 3 3 SI -a o. A se •5"? 25 o 3- r I a O A O 3 m 3 as o. -s r> -r a O 0» c S S Es' 3 5 g as S h 3 3 Q. A 3 O s* n a 3 - ^4 S •3 c/i CL o 2 £«9 (S SSq. S» -■ Ol c* s'E 3 2 a QQ 2 X G. 7 P 2 W Cc2 2 P7 M A -S 5 H as - m il 3 *3 A O V! W C— Z 7= 3 ST'» 2=9 t- a. S s 2 >So» s: w 5 BSaj3 C*3 55 ït. a se 2 2. o S w SB s t* Z s B 3 m S "2 A S. 2 3 s =- s 33 JT OQ - C» S A «te A 2 2 (jûjl B* o 3 3 - S. aie 2 2 g c 00 S 3 oc ai ai S 3' A ~32 o D 3 "S Hn3 2. n cd 1 «=8 L - sP 5 O •d M e! - ^-CÏ(-e3WS®!i-a3Sr&,3: £.e»og«=230Â,ïA® S 2 - 2 c 5 s. _S C3 n- 2. -a O o f> s Û- o ,5S 2 b H ,iA S- -t C A. A a a îi. sr. s 2. S S s c C6 2 S 5 «s* b d H S* Q bb 'O 55 o o S a" sr. a A 2 n D D s. -•tw cb 3 Eg- a- -O <T! se a S 3 i a - s 3 -""g TS S CD 2. 03 "3 s S. 68»- *8 ê^OS S g"S S 5 5- g 3 c. r* c es X O S S'3 .^3 A 39 5 cw I s 3- o o CL 3 A r» —-a 3 "2 o 2, 3T3 rr A-" ©3 g- A 3- C M. 3 3 o- g- â-S 3 o c 53 A 3- a. P S-| cr a A* 39 1 2 f s a A i A O -3 rj g" SI A A» m A 3# s* 01 r* s* 2 a 09 Q.2 tn "S 3. 2 C A Ci 3 as o 3 o S 2 Q-g-q- 3 3 S 5.3 a 14 5' A A ft 2 S a o 5 5 2. a 9 n- H "5 S P a w 5 n o n 3 2 e 2 A n 2 W S 9 r n n 0 fi O 89 53 H s. s. H A 5 P3 en 53 3 en G

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Le Progrès (1841-1914) | 1854 | | pagina 4